Le 28 avril marque la « Journée mondiale sur la sécurité et la santé au travail. »
28 avril
Journée mondiale sur la sécurité et la santé au travail
Le 28 avril marque la « Journée mondiale sur la sécurité et la santé au travail. »
Depuis 1996, cette Journée rassemble tous les acteurs du monde du travail (travailleurs, employeurs, pouvoirs publics…) autour de l'Organisation internationale du travail. Objectif : promouvoir la sécurité et la santé en milieu professionnel.
Selon un rapport du Bureau international du travail, 2,3 millions de travailleurs meurent chaque année dans le monde à la suite d'un accident du travail ou d'une maladie professionnelle, soit 5.000 personnes par jour...
En France, le ministère du Travail dénombre quelque 700.000 accidents du travail par an, dont 44.000 graves.
En 2012, la journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail a eu pour thème « Promouvoir la sécurité et la santé dans une économie verte ».
retrouvez notre article sur la santé et la sécurité au travail
Suivre le lien:
http://foed.over-blog.com/2017/04/sante-au-travail-dans-le-monde-dire-non-aux-discriminations.html
Le 28 avril marque la « Journée mondiale sur la sécurité et la santé au travail. »
Towel Tex est l’une des 1 549 usines de confection à avoir été soumises à une visite d’inspection dans le cadre d’une initiative du gouvernement du Bangladesh soutenue par le programme de l’OIT pour l’amélioration des conditions de travail dans le secteur du prêt à-porter. Financé par les gouvernements du Canada, des Pays-Bas et du Royaume-Uni, ce programme contribue également à renforcer les capacités des services d’inspection du travail et à améliorer la sécurité et la santé au travail dans le secteur.
Pour plus d’informations, veuillez contacter:
Steve Needham, responsable de la communication de l’OIT au Bangladesh
needham@ilo.org
Le 28 avril marque la « Journée mondiale sur la sécurité et la santé au travail. »
28 avril 1789
Mutinerie à bord de la Bounty
Une partie des 42 hommes d'équipage de la goélette britannique « Le Bounty » se révolte contre les mauvais traitements du capitaine William Bligh...
Deux ans plus tôt, en décembre 1787, le navire a quitté le port anglais de Spithead avec quarante-quatre hommes d'équipage en vue de gagner Tahiti, dans le Pacifique, puis les Antilles. Il s'agit d'un navire charbonnier à trois mâts, gréé carré, la Bethya, qui a été réaménagé et rebaptisé Bounty (Générosité) pour l'occasion.
L'objectif du voyage est de cueillir des plants d'arbres à pain à Tahiti et de les amener à la Jamaïque, où les Britanniques comptent les cultiver en vue de nourrir à bon compte les esclaves des plantations.
La mission a été confiée à un lieutenant de 33 ans, William Bligh. Il a déjà effectué plusieurs voyages transatlantiques et participé au deuxième voyage du grand explorateur James Cook.
Pour les besoins de la mission, le capitaine (c'est son titre à bord) recrute des marins volontaires de préférence à des repris de justice ou à des hommes raflés de force dans les ports selon une triste pratique (la « presse ») alors courante dans la marine britannique.
Le 28 avril, à quelque 1. 300 miles à l'ouest de Tahiti, la mutinerie éclate.
Fletcher Christian et plusieurs de ceux qui le soutiennent pénètrent dans la cabine de Bligh - dont il ne verrouillait jamais la porte - le réveillent et le poussent, vêtu seulement de sa chemise de nuit, sur le pont, où il est gardé par Fletcher Christian armé d'une baïonnette.
Les mutins ordonnent à Bligh, à deux aspirants, au maître d'équipage, à l'assistant du chirurgien (Thomas Ledward) et au commis aux écritures de descendre dans la chaloupe de la Bounty.
Plusieurs autres se joignent volontairement à Bligh plutôt que de demeurer à bord, car ils savent que ceux qui restent à bord seront considérés comme mutins de jure selon les Articles of War, le règlement en temps de guerre de la Royal Navy.
Ils réussiront à rejoindre l'île de Timor le 12 juin, après un périple de 5.000 kilomètres.
Après un bref séjour sur l'ile Tubaï, les mutins retournèrent à Tahiti pour y déposer 16 membres d'équipage. Puis Fletcher Christian reparti avec 8 hommes d'équipage, 6 Tahitiens et 11 tahitiennes (dont une avec un bébé) pour échapper à la Royal Navy.
Ils s'installèrent sur une île inconnue des cartes maritimes de l'époque, Pitcairn, dans laquelle ils établirent une colonie.
En 1791, Bligh ayant survécu, la frégate « Pandora » commandée par le capitaine Edward est envoyée dans les mers du Sud à la recherche des mutins…
La mort de Jules Bonnot, le célèbre anarchiste âgé de 36 ans, marque la fin de sa bande dont plusieurs membres ont déjà été arrêtés.
28 avril 1825
En France, la loi du milliard des émigrés affecte un capital d’un milliard à l’indemnisation des émigrés dont les biens avaient été vendus.
28 avril 1912
Fin de la bande à Bonnot
La mort de Bonnot
La mort de Jules Bonnot, le célèbre anarchiste âgé de 36 ans, marque la fin de sa bande dont plusieurs membres ont déjà été arrêtés.
L'épopée de la bande à Bonnot n'aura duré que quelques mois, le tourbillon fut sanglant et la légende immense.
« L’ennemi public numéro un », Jules Bonnot, terrorise les Parisiens depuis la fin de l’année 1911. Avec sa bande de malfrats issus des milieux anarchistes, il a multiplié en quelques mois les braquages de banques et les actions violentes contre les forces de l’ordre.
Les premières arrestations
Le 30 mars 1912, Soudy est arrêté. Le 4 avril 1912, c’est le tour de Carouy. Le 7 avril 1912, les policiers capturent Callemin, l’un des protagonistes les plus importants avec Garnier et Bonnot. Le 24 avril 1912, Monier est également arrêté.
La mort de Bonnot
Le dimanche 28 avril 1912, les hommes de la Sûreté emmenés par le préfet Lépine encerclent une villa de Choisy-le-Roi où a trouvé refuge Jules Bonnot, le célèbre anarchiste âgé de 36 ans.
Face à sa résistance acharnée, le chef de la Sûreté décide de dynamiter la maison de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) où Bonnot s'est réfugié. Les policiers abattent Bonnot et son complice Dubois lors de l’assaut final.
La fin de la bande à Bonnot
Il faudra cependant attendre le 14 mai suivant pour que le reste de la « bande à Bonnot » soit totalement neutralisée.
Les deux derniers membres de la bande en liberté (Valet et surtout Garnier, auteur de la plupart des meurtres) sont localisés le 14 mai 1912 dans un pavillon de Nogent-sur-Marne.
Les policiers espèrent réaliser une arrestation « en douceur », mais manquant de discrétion, ils sont repérés par Valet et Garnier qui se retranchent dans la maison. Un nouveau siège commence… Il dure plus de 9 heures.
Un régiment de dragons parvient à faire sauter la villa. La police, ayant donné l’assaut, achève les deux hommes et doit ensuite se battre avec la foule pour récupérer les corps que celle-ci voulait réduire en bouillie.
Le procès des membres survivants de la bande à Bonnot a lieu en février 1913. Les principaux accusés sont Callemin, Carouy, Metge, Soudy, Monier, Dieudonné, Victor Serge, auxquels s’ajoutent diverses personnes accusées d’avoir aidé la bande à différents titres.
À l’issue du procès, Callemin, Monier, Soudy et Dieudonné sont condamnés à mort et seront guillotinés le 21 avril 1913.
Dans l'histoire de la Police criminelle, l'affaire Bonnot marqua un tournant. Elle fut en effet considérée comme la première grande enquête de l'époque contemporaine en raison du recours aux techniques scientifiques des empreintes digitales, et de la collaboration transfrontalière entre les services de police (français et belge).
28 avril 1946
En France, la loi fait du 1er mai un jour chômé et payé.
28 avril 1954
Mort de Léon Jouhaux
De sa naissance, le 1er juillet 1879 à Paris, à la vice-présidence de la Confédération internationale des syndicats libres, le parcours de Léon Jouhaux a été considérable et unique.
Il a marqué très fortement de son empreinte le syndicalisme indépendant de notre pays et la paix dans le monde, pour en (...)
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