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  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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17 octobre 2019 4 17 /10 /octobre /2019 16:28
 DECROISSANTE MONTANTE Lever - Coucher : 21:04 - 11:44 (Paris)

DECROISSANTE MONTANTE Lever - Coucher : 21:04 - 11:44 (Paris)

17/10, c'est arrivé un certain 17 octobre de notre histoire......
Weather forecast, brume matinale et soleil d'automne
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Vue ce matin devant la Conf, avenue du Maine - L'odeur de la barbaque attire les chasseurs et ses chiens

 

PP

Le 17 octobre 2018, démission de Pascal Pavageau, secrétaire général de l'organisation Cgt FO depuis le dernier congrès de Lille d'avril 2018. suite à l'affaire des dossiers de notations et observations sur les personnes qui a fuité dans la presse.

 

Voir notre article sur ce sujet, suivre le lien

 

http://foed.over-blog.com/2018/10/reponse-du-secretaire-general-pascal-pavageau-a-la-suite-des-diverses-attaques-mediatiques.html

 

Les deux facettes du macronisme, le coté pile, le côté face

 

 

  La personnalité du jour

 

Ninon de l'Enclos

 

Anne « Ninon » de l'Enclos, aussi appelée Ninon de Lenclos ou Ninon de Lanclos, baptisée à Paris le 10 novembre 16201,2 et morte à Paris le 17 octobre 17053, est une courtisane, femme d'esprit, épistolière et femme de lettres française.



Fille d’Henri de Lanclos (gentilhomme tourangeau libertin, suivant de Charles II d'Elbeuf) et de Marie-Barbe de la Marche, elle se révèle une enfant prodige au luth, qui citait Montaigne et les grands classiques et qui fut promenée par sa mère bigote de salon en salon où elle faisait sensation. Plus tard, elle apprit le clavecin.

 

Anne dite Ninon de Lenclos devint une femme de lettres, influencée par les idées épicuriennes, qui savait l'italien et l'espagnol tout en étant versée en sciences.

 

En 1642, à la mort de sa mère, son libertinage et son athéisme affirmés alors que sa respectabilité n'est pas encore acquise font que les grandes dames du salon du Marais se détournent d'elle, si bien qu'elle vient habiter chez une autre courtisane, Marion Delorme, qui devient son professeur.

 

Ninon de L'Enclos

La belle et intelligente Ninon a, sa vie durant, collectionné une ribambelle d'amants (le premier à 16 ans6, puis notamment le Grand Condé, François-Jacques d'Amboise, comte d'Aubijoux, François de La Rochefoucauld, le maréchal d'Estrées, l'astronome Christian Huygens), à tel point que Walpole la surnomma plus tard « Notre Dame des Amours ».

 

Elle classait ses amants en « payeurs », « martyrs » (soupirants sans espoir) et « caprices » (élus du moment)4. Le marquis Louis de La Châtre (1613-1664), comte de Nançay, fut l'un d'entre eux.

 

À son sujet Voltaire relata : « M. de La Châtre avait exigé un billet de Mlle de Lenclos, un billet comme quoi elle lui serait fidèle pendant son absence ; et, étant avec un autre, dans le moment le plus vif elle s'écria : « Le beau billet qu'a La Châtre ! » ».

 

Elle eut des enfants dont un fils, le chevalier Louis de la Boissière, qui deviendra brillant officier de marine, fruit de ses amours avec Louis de Mornay, marquis de Villarceaux et proche du roi Louis XIV. Elle vivra sa passion durant trois ans avec lui au domaine de Villarceaux, commune de Chaussy (Val-d'Oise). Proche de Molière, elle corrigea, à la demande de l'auteur, la première version du Tartuffe.


Inquiétée par le parti, elle fut enfermée en 1656 sur ordre d'Anne d'Autriche aux Madelonnettes puis dans un couvent de Lagny. À son premier voyage à Paris en 1656, la reine Christine de Suède accorda une seule rencontre en privé à la seule Ninon de Lenclos, dont elle avait la plus haute opinion.

 

Tenant un salon à partir de 1667, elle acquit la respectabilité lorsqu'elle fut admise dans celui de Marguerite de la Sablière en 1677. Grand amateur de sagesse, Louis XIV se préoccupait souvent, par personne interposée, de l'opinion de Ninon. Le jour de ses 77 ans, Ninon eut une aventure avec l'abbé de Châteauneuf. À la même époque, elle mène de front une autre liaison avec le chanoine Nicolas Gédoyn.

 

Quelques mois avant son décès, à près de 85 ans, elle se fit présenter le jeune Arouet (Voltaire) alors âgé d'environ 11 ans9 et élève du collège jésuite Louis-le-Grand de Paris. Dans son testament, elle lui légua 2 000 livres tournois (l'équivalent de 7 800 € de l'an 2008) pour qu'il pût s'acheter des livres (en réalité, au début du xviiie siècle, comme le signale le maréchal Vauban dans son ouvrage sur la dîme royale, un simple journalier gagne moins de 300 livres dans l'année).

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ninon_de_Lenclos?fbclid=IwAR2IzzrFXZ1NRsT69ym9aTGwd36Zvxz_Rh6MNRBQsIoQHP3CbTA8WXMi2kI

 

Ninon de L'Enclos

 

Transvaal, guerre des Boers, camp de concentration anglais

Transvaal, guerre des Boers, camp de concentration anglais

Transvaal, la guerre des Boers



LA SECONDE GUERRE DES BOERS (1899-1902) VOIT LA MISE EN PLACE, PAR LES COLONS BRITANNIQUES, DE CAMPS DE CONCENTRATION EN AFRIQUE DU SUD.

FEMMES, VIEILLARDS ET ENFANTS Y MEURENT EN MASSE.

 

À l'origine de la seconde guerre des Boers (1899-1902), la découverte de gigantesques gisements d'or au Transvaal, en 1887.
Cette région d'Afrique du Sud est alors contrôlée par les Boers, descendants de langue néerlandaise des colons blancs arrivés au XVIIe siècle.

 

La ruée vers l'or entraîne l'arrivée de nombreux colons britanniques, mal perçus par les Boers qui voient dans ces immigrants prêts à tout une menace pour leur mode de vie pastoral.

 

Les frictions s'accentuent, et en octobre 1899, la guerre éclate, opposant les Boers aux forces de l'Empire britannique venues soutenir les immigrants anglais, dirigées par le général Frederick Roberts, puis par Lord Kitchener.
C'est sous leurs ordres que sont mis en place des camps de concentration, ou « camps de reconcentration » comme on les appelle alors.

 

Lord Kitchener
Kitchener mène au Transvaal une politique de la terre brûlée afin de priver les combattants boers de ravitaillement.
Parallèlement, il aménage des camps dit de « protection » pour les femmes, les enfants et les vieillards dont les fermes ont été brûlées.
Fin 1901, 118 000 femmes et enfants boers et 43 000 Noirs fidèles aux insurgés sont internés dans une quarantaine de ces camps afin d'y être « protégés ».

 
En réalité, des conditions inhumaines leur sont imposées. Privations, épidémies, rougeole, typhoïde, dysenteries, grippes provoquent une terrible mortalité.

 

La presse française, anglophobe et largement favorable à la cause des Boers, dénonce dès l'été 1901 l'existence de ces lieux.

 
Le 23 août, Le Siècle publie un rapport officiel d'une commission anglaise examinant les causes de mortalité dans les camps :

 
« Les causes principales des maladies, dont une telle mortalité est la conséquence sont :
les difficultés qu'ont eu à éprouver et les privations qu'ont eu à supporter les familles boers après qu'elles ont été expulsées de leurs fermes [...] ;
la fréquente insuffisance, parfois la mauvaise qualité de la nourriture qui est distribuée ;
souvent aussi une alimentation de la population enfantine peu adaptée à ses besoins ;
la grande différence de température entre le jour et la nuit ;
la protection inefficace contre le froid qu'offrent les tentes à la population [...] ;
le manque de vêtements et de couverture ;
l'insuffisance des installations pour les malades et des pharmacies ;
l'insuffisance du personnel médical et hospitalier dans les camps. »
 

Le 18 novembre, Le Figaro publie le témoignage accablant d'un soldat qui « pendant onze mois combattit dans les rangs boers » :

 
« Je suis allé, moi, dans ces camps de reconcentration, j'ai voulu, avec mes faibles moyens, adoucir quelques souffrances, donner du pain à ces malheureuses femmes que la faim tenaillait, et j'en fus empêché par des bourreaux qui me déclaraient qu'on en faisait déjà trop pour elles ; — j'ai vu un enfant mourant sous les yeux de sa mère, sans qu'on eût rien tenté pour le sauver, sans que le moindre médicament eût été mis à la disposition du médecin qui, une fois, avait, consenti à examiner le pauvre petit.

On envoie, me dites-vous, des provisions de toutes sortes pour les réfugiés. Voulez-vous savoir ce qu'on en fait? J'ai vu de mes yeux des soldats anglais défonçant à grands coups de pied des boîtes de lait condensé destinées aux femmes et aux enfants des Boers, et s'écrier en voyant leur contenu se répandre sur le sol :  "Voilà toujours des vivres qui n'engraisseront pas ces bandits !" »
 

Le 26 novembre, Le Journal publie un éditorial intitulé « Le massacre des innocents ».
L'article est écrit en réaction à la publication dans la presse britannique de la photographie d'une petite fille boer, Lizzie van Zyl, au corps atrocement amaigri suite à son internement dans un camp.
Le Journal décrit la photo comme « plus effroyable qu'aucune vision de cauchemar » et rend hommage à la lutte d'Emily Hobhouse, une infirmière britannique qui mène au même moment une campagne active contre les camps de concentration :

 
« Miss Emily Hobhouse nous a dépeint l'atrocité de leur détresse ; elle nous a fait pénétrer dans ces enfers où plus de 37,000 êtres humains agonisent ; elle a mis les nations civilisées à même de juger ce que le pharisaïsme de M. Chamberlain osa qualifier : "institutions de bienfaisance et de philanthropie". »

 

Avant de résumer ce dont la Britannique a été témoin en Afrique du Sud :

 
« Qu'elle décrive ces abris de toile, sans lits, sans meubles, où des familles de sept à huit personnes, rongées d'une fringale perpétuelle, vêtues de haillons, halètent dans la température torride du jour, qu'elle nous conduise à ces ambulances où sévit la typhoïde, la tuberculose, où des mères, séparées de leurs six enfants, ne sachant ce qu'ils sont devenus, accouchent du septième pour le voir bientôt expirer, où les cercueils manquant, on enterre dans des sacs ; qu'elle nous fasse assister aux brutalités des soldats envers les prisonnières […], aux expulsions, aux arrachements du foyer, à la dispersion du groupe familial, miss Emily Hobhouse garde ce ton qui bien plus impressionne que les tirades déclamatoires. »

 


 
Les camps de concentration anglais ne sont pas les premiers de l'Histoire : en 1896, le général espagnol Valeriano Weyler, découvrant une nouvelle utilisation du fil de fer barbelé, en fit construire à Cuba pour regrouper les paysans des zones rebelles.

 
Dans l'ensemble des camps britanniques, 28 000 Boers, dont 22 000 enfants, et entre 14 000 et 20 000 Noirs périront.
En septembre 1901, Lord Kitchener, dans un rapport adressé au War Office, écrira :
« Le pays est tranquille et j'y suis arrivé en évitant toute effusion de sang. Les camps de concentration, où j'ai réuni les femmes et les enfants, font rapidement leur œuvre de pacification. »
En mai 1902, l'Empire britannique emportait la victoire sur les Boers. 

 

 

Sourcing:     "La guerre au Transvaal : les camps de reconcentration" ; Le Petit Journal du 13 octobre 1901 ; source RetroNews BnF

Pierre Ancery, in Retronews

Miss Emily Hobhouse

Miss Emily Hobhouse

Décédé-es un 17 octobre...

 

532 : Boniface II, 55e pape, en fonction de 530 à 532.

 

1586 : Philip Sidney, poète anglais (Né le 30 novembre 1554).

 

1690 : Marguerite-Marie Alacoque, religieuse française, sainte de l'Église catholique.

 

1705 : Ninon de Lenclos (Anne de l'Enclos, dite), courtisane, femme d'esprit et femme de lettres française (Née le 10 novembre 1620).

 

 Ninon de Lenclos,  influencée par les idées épicuriennes,  savait l'italien et l'espagnol tout en étant versée en sciences.

En 1642, à la mort de sa mère, son libertinage et son athéisme affirmés alors que sa respectabilité n'est pas encore acquise font que les grandes dames du salon du Marais se détournent d'elle;

 Proche de Molière, elle corrigea, à la demande de l'auteur, la première version du Tartuffe.

Quelques mois avant son décès, à près de 85 ans, elle se fit présenter le jeune Arouet (Voltaire) alors âgé d'environ 11 ans et élève du collège jésuite Louis-le-Grand de Paris.

Dans son testament, elle lui légua 2 000 livres tournois (l'équivalent de 8 000€) pour qu'il pût s'acheter des livres.

 

 

1757 : René-Antoine Ferchault de Réaumur, physicien français (Né le 28 février 1683).

 

 

1806 : Jean-Jacques Dessalines, militaire et homme politique haïtien, empereur d'Haïti de 1804 à 1806 (Né le 20 septembre 1758).

 

1837 : Johann Nepomuk Hummel, pianiste virtuose et compositeur autrichien (Né le 14 novembre 1778).

 

1849 : Frédéric Chopin, compositeur polonais (Né le 1er mars 1810).

 

1893 : Patrice de Mac-Mahon, militaire et homme politique français, président de la République de 1873 à 1879 (Né le 13 juillet 1808).

 

1963 : Jacques Hadamard, mathématicien français (º 8 décembre 1865).

 

1965 : Laure Diebold, résistante française, secrétaire de Jean Moulin (Née le 10 janvier 1915).

 

Dès 1940, elle rejoint une filière de passeurs. Elle s'associe au cercle de résistants du Dr Bareiss rattaché à l'Armée des Volontaires. En mai 1942, elle rentre au réseau Mithridate en qualité d'agent de liaison. En septembre 1942, surnommée « Mado », elle entre à la délégation de Jean Moulin en zone sud.

 

Après l'arrestation de Jean Moulin, elle poursuit son travail de secrétariat à la délégation zone Nord. Arrêtée le 24 septembre 1943, en compagnie de son mari, et conduite à la prison de Fresnes. Elle est torturée, mais prétend n'être qu'une simple boîte aux lettres. Le 17 janvier 1944, elle est déportée à la prison de Sarrebruck. Du 28 janvier au 13 juin 1944, elle est en prison à Strasbourg. Puis au camp de sûreté de Vorbruck-Schirmeck. Ensuite, à la prison de Gaggenau.

 

Retour au camp de Schirmeck. Envoi à la prison de Mulhouse. Ensuite, une prison berlinoise. Déportée à Ravensbrück, elle est ensuite envoyée près d'Altenbourg, au Kommando de Meuselwitz, satellite de Buchenwald, puis, le 6 octobre 1944, au Kommando de Leipzig-Taucha, autre satellite de Buchenwald.

 

Laure Diebold

 

Laure Diebold, parfois orthographié Laure Diebolt, de son nom de naissance Laure Mutschler, née le 10 janvier 1915 à Erstein et morte le 17 octobre 1965 à Lyon, est une résistante française.

Secrétaire de Jean Moulin, elle fut faite Compagnon de la Libération alors qu'elle était portée disparue en Allemagne

La Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté est célébrée chaque 17 octobre depuis 1993.

La Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté est célébrée chaque 17 octobre depuis 1993.

Le 17 octobre

 

 Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté.
  • La Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté est célébrée chaque 17 octobre depuis 1993.
Journée mondiale refus de la misère

 

Le 17 octobre 1987, à l'appel du Père Joseph Wresinski, 100.000 défenseurs des Droits de l'Homme se sont rassemblés sur le Parvis du Trocadéro, à Paris, pour rendre honneur aux victimes de la faim, de la violence et de l'ignorance, pour dire leur refus de la misère et appeler l'humanité à s'unir pour faire respecter les Droits de l'Homme.
Une dalle, proclamant ce message, a été inaugurée à cette occasion sur le Parvis des Libertés et des Droits de l'Homme, là où fut signée, en 1948, la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme.
On peut y lire l'appel du père Joseph :

 

« Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l'homme sont violés. S'unir pour les faire respecter est un devoir sacré. »

 

Depuis cette date, le 17 octobre de chaque année, les plus pauvres et tous ceux qui refusent la misère et l'exclusion se rassemblent dans le monde entier afin de témoigner de leur solidarité et de leur engagement pour que la dignité et la liberté de tous soient respectées.

 

Ainsi est née la « Journée Mondiale du Refus de la Misère ».
Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté

 

Le 17 octobre 1992, Monsieur Javier Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général de l'ONU, au nom d'un groupe de personnalités internationales rassemblées dans le Comité pour la Journée Mondiale du Refus de la Misère, lance un appel pour la reconnaissance du 17 octobre.
C’est le 22 décembre 1992 que l'assemblée générale des Nations Unies a désigné le 17 octobre « Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté » pour sensibiliser à la nécessité d'éradiquer la pauvreté et la misère dans tous les pays, en particulier dans les pays en développement.
L'objectif de la Journée est d'illustrer de quelle façon les personnes vivant dans la pauvreté participent concrètement à la protection de l'environnement et à l'éradication de la pauvreté, et comment ces efforts peuvent être soutenus et développés.
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17 octobre 1914    Bataille de l'Yser

17 octobre 1914  Bataille de l'Yser

Le fait du jour
17 octobre 1914
 Bataille de l'Yser

La bataille de l’Yser est l'appellation donnée à l'ensemble des combats qui se sont déroulés du 17 au 31 octobre 1914 et qui ont opposé les unités allemandes qui voulaient franchir le fleuve en direction de Dunkerque aux troupes belges et françaises qui essayaient de les y arrêter.

 

Fin octobre, l’armée belge réfugiée derrière le fleuve, ouvre les écluses qui jalonnent le fleuve pour immerger la plaine.

 

 Le repli de l'armée belge

Le 4 août 1914, les Allemands envahissent la Belgique qui était neutre depuis 1831. L'armée belge commandée par le roi Albert Ier résiste grâce aux camps fortifiés de Namur et de Liège.

 

Cependant, le 20 août, les Belges abandonnent Liège et se replient vers l'ouest sur camp fortifié d'Anvers, tout en empêchant le débordement par l'ouest des Anglo-français par l'armée allemande.

Après la bataille de la Marne (début septembre), l'armée française et l'armée allemande s'enterrent dans des tranchées en Champagne et en Picardie.
Cependant, à l'ouest, l'espace est libre pour un débordement. Les Allemands entreprennent un mouvement en direction des ports de la Manche, afin de priver les Britanniques de ports. Les Français et les Britanniques en font de même pour interdire le débordement : c'est « la course à la mer ».

 
Début octobre, ayant attendu en vain les renforts britanniques prévus, l'armée belge, menacée d'encerclement, abandonne Anvers et se replie vers le sud-ouest.
Les Belges se replient d'abord derrière le canal de Gand à Terneuzen. Le 10 octobre, à Ostende, une conférence est organisée entre les chefs militaires alliés. Il y est décidé de se replier derrière l'Yser, afin de former un front continu s'étendant jusqu'à la mer du Nord.
Des unités britanniques et françaises arrivées en Belgique aideront à couvrir le repli. Entre les 12 et 15 octobre, l'armée belge s'installe sur l'Yser, entre la mer et Boezinge (6 km au nord d'Ypres).

 
Le terrain des combats

Les troupes allemandes, menées par le général Beseler et le duc Albert de Wurtenberg, veulent traverser l'Yser, fleuve côtier du Nord, pour rejoindre Dunkerque.

L'Yser n'est pas un obstacle important : en effet, le fleuve n'a que 15 mètres de large environ et n'est pas encaissé.
Cependant la région est sillonnée par de nombreux canaux qui permettent le drainage des terrains qui sont pour la plupart au-dessous du niveau de la mer.
Le déplacement des troupes est tributaire des nombreux ponts et en est ralenti. L'eau est présente à très peu de profondeur. Il est hors de question de creuser des tranchées.

Un système d'écluses très ancien permet d'évacuer l'eau. Mais si cela s'avère nécessaire, il permet de faire entrer l'eau de la mer du Nord en profitant des marées hautes. L'inondation est alors garantie sur un à deux mètres de hauteur.

 
La bataille

Les combats font rage pendant plus d’une semaine.
Le 25 octobre, à l'exception du secteur de Dixmude, la journée est plus calme. Mais le roi Albert, après consultations d'experts, prend la décision de recourir à une inondation générale entre l'Yser et le talus du chemin de fer, à condition d'obturer tous les passages existant sous ce dernier. Les travaux commencent immédiatement.

La situation est désespérée : l'artillerie belge n'a presque plus de munitions.

À Nieuport, les Français abandonnent la tête de pont de Palingbrug. Dans la nuit, on détruit volontairement le pont sur le canal de Furnes.
Au centre, sous pression de l'ennemi, les Belges doivent se replier derrière le remblai du chemin de fer. L'ordre est donné de défendre cette ultime position à tout prix.

 
L’inondation

Le soir, l'ordre est donné de procéder à l'inondation par l’écluse de l’ancien canal de Furnes. Par cet accès à l’ancien canal de Furnes, l'eau de mer peut entrer à l'est du remblai du chemin de fer, grâce au siphon sous le canal de Furnes (ou canal de Dunkerque).
La digue que l'on vient de construire entre le canal de Furnes et la ligne du chemin de fer empêche l’eau d’envahir le terrain à l’ouest du chemin de fer, où sont installées les troupes alliées.
Le soir, à l'arrivée de la marée haute, les portes de l'écluse sont ouvertes, mais les vantaux, mal fixés, se rabattent brusquement sous la pression de l'eau montante et coupent l'afflux d'eau.

Dans la nuit du 27 au 28 octobre, les portes de l’écluse de l’ancien canal de Furnes sont de nouveau ouvertes. L'inondation reprend.
 
Malgré leur infériorité numérique, cette inondation artificielle permet aux Belges de stopper la progression ennemie et d’établir un barrage effectif tout au long de la guerre.
Les troupes allemandes sont alors bloquées dans leur progression et le front de l'Yser est stabilisé. Il le restera jusqu'en 1918.
17 octobre 1914    Bataille de l'Yser (cartographie)

17 octobre 1914  Bataille de l'Yser (cartographie)

Danseuse aux millions

Danseuse aux millions

17 octobre 1997
 Début du procès dans l’affaire OMNIC

L'OMNIC (Office municipal Nantais d'Information et de Communication) est créée en septembre 1989, présidée par le maire socialiste de Nantes nouvellement élu Jean-Marc Ayrault (également député). Elle est administrée exclusivement par l'équipe municipale jusqu'à sa dissolution en février 1995 !

 

Ce montage juridique avait pour effet de soustraire aux règles et contrôles administratifs, notamment ceux du code des marchés publics, les activités confiées par Jean-Marc Ayrault à cette association.
Celle-ci était en quelque sorte le doublon de l'équipe municipale.
L’OMNIC se voit allouer annuellement une subvention d'environ 6 millions de francs par an, et confier diverses publications, principalement la confection et la distribution du journal municipal « Nantes Passion », ainsi que les campagnes de communications.

 

Ainsi, Jean-Marc Ayrault, sous couvert de sa qualité de président d'OMNIC, confiera dès 1989, et jusqu'au 1er janvier 1994, l'ensemble de ces activités à une seule et même société, la SNEP (Société nantaise d'édition et de publicité).
Celle-ci est dirigée par Daniel Nedzela, connu pour avoir été le financier du parti socialiste dans plusieurs villes de l'ouest, ceci sans appel formalisé à la concurrence, ni contrat écrit.

 

Jean Marc Ayrault
Le 13 juin 1996, Jean-Marc Ayrault, Guy Lorant, son directeur de la communication, et Daniel Nedzela ont été mis en examen par le juge d'instruction Jean-Pierre Pétillon, à la suite d'un rapport de la chambre régionale des comptes de février 1995 pour le non-respect du code des marchés publics.
Le vendredi 17 octobre 1997, les accusés comparaissaient devant le tribunal correctionnel de Nantes pour délit de favoritisme envers Daniel Nedzela, directeur de la SNEP.
Le 19 décembre 1997, Jean-Marc Ayrault est finalement condamné à une peine de six mois de prison avec sursis et 30.000 francs d'amende, condamnation supérieure à la demande du procureur, pour octroi d'avantage injustifié. Il ne fera pas appel du jugement.

 

Le prestataire Daniel Nedzela, qui faisait déjà appel d'un jugement rendu le 19 septembre 1997 pour trafic d'influence à trois ans de prison dont six mois ferme et 500.000 francs d'amende, fut condamné à 6 mois de prison avec sursis et 200.000 francs d'amende pour recel d'octroi d'avantage injustifié.

 

Guy Lorant, le directeur de la communication municipale, qui encourait 3 mois de prison, fut condamné à deux mois avec sursis.
A Camus

A Camus

Le 17 octobre......

 

1760 :

 

Naissance de Claude Henri de Rouvroy, de Saint Simon, philosophe, économiste et militaire français, fondateur du saint-simonisme. Ses idées ont eu une postérité et une influence sur la plupart des philosophes du XIXe siècle.

Philosophe de l'industrialisme, il est le penseur de la société capitaliste française, qui était en train de supplanter la société d’Ancien Régime. Il est le cousin éloigné du duc de Saint-Simon, célèbre mémorialiste de la cour de Louis XIV et de la Régence.

 

17 octobre 1793

 

En France, les républicains défont les armées vendéennes lors de la bataille de Cholet.

 

 

1943 

 

L'Eglise recrute pour la division SS Galicie 1943.
17 octobre 1957

 

Albert Camus
Albert Camus obtient le prix Nobel de littérature.
1968, Mexique :
John Carlos et Tommie Smith lèvent un poing ganté de noir (droite) pendant l'hymne américain lors des Jeux olympiques d'été de 1968.

 

 

L'actu du jour, le 17 octobre 1961, répression meurtrière par la police française......

L'actu du jour, le 17 octobre 1961, répression meurtrière par la police française......

 

 

Le massacre du 17 octobre 1961 est la répression meurtrière, par la police française, d'une manifestation d'Algériens organisée à Paris par la fédération de France du FLN.

 

Préparée en secret, la manifestation est un boycott du couvre-feu nouvellement appliqué aux seuls Nord-Africains

 

17/10, c'est arrivé un certain 17 octobre de notre histoire......

 

 

Article publication, mise à jour et modification

 

 Article initial du 17 octobre 2011, régulièrement mis à jour tous les 17 octobre

2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018

Le 17 octobre 2019, 17H17

 

 

 

 

 

 

 

 

17/10, c'est arrivé un certain 17 octobre de notre histoire......
17/10, c'est arrivé un certain 17 octobre de notre histoire......
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