Le 17 octobre 2018, démission de Pascal Pavageau, secrétaire général de l'organisation Cgt FO depuis le dernier congrès de Lille d'avril 2018. suite à l'affaire des dossiers de notations et observations sur les personnes qui a fuité dans la presse.
Voir notre article sur ce sujet, suivre le lien
http://foed.over-blog.com/2018/10/reponse-du-secretaire-general-pascal-pavageau-a-la-suite-des-diverses-attaques-mediatiques.html
Les deux facettes du macronisme, le coté pile, le côté face
La personnalité du jour
Ninon de l'Enclos
Anne « Ninon » de l'Enclos, aussi appelée Ninon de Lenclos ou Ninon de Lanclos, baptisée à Paris le 10 novembre 16201,2 et morte à Paris le 17 octobre 17053, est une courtisane, femme d'esprit, épistolière et femme de lettres française.
Fille d’Henri de Lanclos (gentilhomme tourangeau libertin, suivant de Charles II d'Elbeuf) et de Marie-Barbe de la Marche, elle se révèle une enfant prodige au luth, qui citait Montaigne et les grands classiques et qui fut promenée par sa mère bigote de salon en salon où elle faisait sensation. Plus tard, elle apprit le clavecin.
Anne dite Ninon de Lenclos devint une femme de lettres, influencée par les idées épicuriennes, qui savait l'italien et l'espagnol tout en étant versée en sciences.
En 1642, à la mort de sa mère, son libertinage et son athéisme affirmés alors que sa respectabilité n'est pas encore acquise font que les grandes dames du salon du Marais se détournent d'elle, si bien qu'elle vient habiter chez une autre courtisane, Marion Delorme, qui devient son professeur.
La belle et intelligente Ninon a, sa vie durant, collectionné une ribambelle d'amants (le premier à 16 ans6, puis notamment le Grand Condé, François-Jacques d'Amboise, comte d'Aubijoux, François de La Rochefoucauld, le maréchal d'Estrées, l'astronome Christian Huygens), à tel point que Walpole la surnomma plus tard « Notre Dame des Amours ».
Elle classait ses amants en « payeurs », « martyrs » (soupirants sans espoir) et « caprices » (élus du moment)4. Le marquis Louis de La Châtre (1613-1664), comte de Nançay, fut l'un d'entre eux.
À son sujet Voltaire relata : « M. de La Châtre avait exigé un billet de Mlle de Lenclos, un billet comme quoi elle lui serait fidèle pendant son absence ; et, étant avec un autre, dans le moment le plus vif elle s'écria : « Le beau billet qu'a La Châtre ! » ».
Elle eut des enfants dont un fils, le chevalier Louis de la Boissière, qui deviendra brillant officier de marine, fruit de ses amours avec Louis de Mornay, marquis de Villarceaux et proche du roi Louis XIV. Elle vivra sa passion durant trois ans avec lui au domaine de Villarceaux, commune de Chaussy (Val-d'Oise). Proche de Molière, elle corrigea, à la demande de l'auteur, la première version du Tartuffe.
Inquiétée par le parti, elle fut enfermée en 1656 sur ordre d'Anne d'Autriche aux Madelonnettes puis dans un couvent de Lagny. À son premier voyage à Paris en 1656, la reine Christine de Suède accorda une seule rencontre en privé à la seule Ninon de Lenclos, dont elle avait la plus haute opinion.
Tenant un salon à partir de 1667, elle acquit la respectabilité lorsqu'elle fut admise dans celui de Marguerite de la Sablière en 1677. Grand amateur de sagesse, Louis XIV se préoccupait souvent, par personne interposée, de l'opinion de Ninon. Le jour de ses 77 ans, Ninon eut une aventure avec l'abbé de Châteauneuf. À la même époque, elle mène de front une autre liaison avec le chanoine Nicolas Gédoyn.
Quelques mois avant son décès, à près de 85 ans, elle se fit présenter le jeune Arouet (Voltaire) alors âgé d'environ 11 ans9 et élève du collège jésuite Louis-le-Grand de Paris. Dans son testament, elle lui légua 2 000 livres tournois (l'équivalent de 7 800 € de l'an 2008) pour qu'il pût s'acheter des livres (en réalité, au début du xviiie siècle, comme le signale le maréchal Vauban dans son ouvrage sur la dîme royale, un simple journalier gagne moins de 300 livres dans l'année).
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(wikisource)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ninon_de_Lenclos?fbclid=IwAR2IzzrFXZ1NRsT69ym9aTGwd36Zvxz_Rh6MNRBQsIoQHP3CbTA8WXMi2kI
Transvaal, la guerre des Boers
LA SECONDE GUERRE DES BOERS (1899-1902) VOIT LA MISE EN PLACE, PAR LES COLONS BRITANNIQUES, DE CAMPS DE CONCENTRATION EN AFRIQUE DU SUD.
En réalité, des conditions inhumaines leur sont imposées. Privations, épidémies, rougeole, typhoïde, dysenteries, grippes provoquent une terrible mortalité.
Le 23 août, Le Siècle publie un rapport officiel d'une commission anglaise examinant les causes de mortalité dans les camps :
« Les causes principales des maladies, dont une telle mortalité est la conséquence sont :
Le 18 novembre, Le Figaro publie le témoignage accablant d'un soldat qui « pendant onze mois combattit dans les rangs boers » :
« Je suis allé, moi, dans ces camps de reconcentration, j'ai voulu, avec mes faibles moyens, adoucir quelques souffrances, donner du pain à ces malheureuses femmes que la faim tenaillait, et j'en fus empêché par des bourreaux qui me déclaraient qu'on en faisait déjà trop pour elles ; — j'ai vu un enfant mourant sous les yeux de sa mère, sans qu'on eût rien tenté pour le sauver, sans que le moindre médicament eût été mis à la disposition du médecin qui, une fois, avait, consenti à examiner le pauvre petit.
On envoie, me dites-vous, des provisions de toutes sortes pour les réfugiés. Voulez-vous savoir ce qu'on en fait? J'ai vu de mes yeux des soldats anglais défonçant à grands coups de pied des boîtes de lait condensé destinées aux femmes et aux enfants des Boers, et s'écrier en voyant leur contenu se répandre sur le sol : "Voilà toujours des vivres qui n'engraisseront pas ces bandits !" »
Le 26 novembre, Le Journal publie un éditorial intitulé « Le massacre des innocents ».
« Miss Emily Hobhouse nous a dépeint l'atrocité de leur détresse ; elle nous a fait pénétrer dans ces enfers où plus de 37,000 êtres humains agonisent ; elle a mis les nations civilisées à même de juger ce que le pharisaïsme de M. Chamberlain osa qualifier : "institutions de bienfaisance et de philanthropie". »
Avant de résumer ce dont la Britannique a été témoin en Afrique du Sud :
« Qu'elle décrive ces abris de toile, sans lits, sans meubles, où des familles de sept à huit personnes, rongées d'une fringale perpétuelle, vêtues de haillons, halètent dans la température torride du jour, qu'elle nous conduise à ces ambulances où sévit la typhoïde, la tuberculose, où des mères, séparées de leurs six enfants, ne sachant ce qu'ils sont devenus, accouchent du septième pour le voir bientôt expirer, où les cercueils manquant, on enterre dans des sacs ; qu'elle nous fasse assister aux brutalités des soldats envers les prisonnières […], aux expulsions, aux arrachements du foyer, à la dispersion du groupe familial, miss Emily Hobhouse garde ce ton qui bien plus impressionne que les tirades déclamatoires. »
Les camps de concentration anglais ne sont pas les premiers de l'Histoire : en 1896, le général espagnol Valeriano Weyler, découvrant une nouvelle utilisation du fil de fer barbelé, en fit construire à Cuba pour regrouper les paysans des zones rebelles.
Dans l'ensemble des camps britanniques, 28 000 Boers, dont 22 000 enfants, et entre 14 000 et 20 000 Noirs périront.
Sourcing: "La guerre au Transvaal : les camps de reconcentration" ; Le Petit Journal du 13 octobre 1901 ; source RetroNews BnF
Pierre Ancery, in Retronews
Décédé-es un 17 octobre...
532 : Boniface II, 55e pape, en fonction de 530 à 532.
1586 : Philip Sidney, poète anglais (Né le 30 novembre 1554).
1690 : Marguerite-Marie Alacoque, religieuse française, sainte de l'Église catholique.
1705 : Ninon de Lenclos (Anne de l'Enclos, dite), courtisane, femme d'esprit et femme de lettres française (Née le 10 novembre 1620).
Ninon de Lenclos, influencée par les idées épicuriennes, savait l'italien et l'espagnol tout en étant versée en sciences.
En 1642, à la mort de sa mère, son libertinage et son athéisme affirmés alors que sa respectabilité n'est pas encore acquise font que les grandes dames du salon du Marais se détournent d'elle;
Proche de Molière, elle corrigea, à la demande de l'auteur, la première version du Tartuffe.
Quelques mois avant son décès, à près de 85 ans, elle se fit présenter le jeune Arouet (Voltaire) alors âgé d'environ 11 ans et élève du collège jésuite Louis-le-Grand de Paris.
Dans son testament, elle lui légua 2 000 livres tournois (l'équivalent de 8 000€) pour qu'il pût s'acheter des livres.
1757 : René-Antoine Ferchault de Réaumur, physicien français (Né le 28 février 1683).
1806 : Jean-Jacques Dessalines, militaire et homme politique haïtien, empereur d'Haïti de 1804 à 1806 (Né le 20 septembre 1758).
1837 : Johann Nepomuk Hummel, pianiste virtuose et compositeur autrichien (Né le 14 novembre 1778).
1849 : Frédéric Chopin, compositeur polonais (Né le 1er mars 1810).
1893 : Patrice de Mac-Mahon, militaire et homme politique français, président de la République de 1873 à 1879 (Né le 13 juillet 1808).
1963 : Jacques Hadamard, mathématicien français (º 8 décembre 1865).
1965 : Laure Diebold, résistante française, secrétaire de Jean Moulin (Née le 10 janvier 1915).
Dès 1940, elle rejoint une filière de passeurs. Elle s'associe au cercle de résistants du Dr Bareiss rattaché à l'Armée des Volontaires. En mai 1942, elle rentre au réseau Mithridate en qualité d'agent de liaison. En septembre 1942, surnommée « Mado », elle entre à la délégation de Jean Moulin en zone sud.
Après l'arrestation de Jean Moulin, elle poursuit son travail de secrétariat à la délégation zone Nord. Arrêtée le 24 septembre 1943, en compagnie de son mari, et conduite à la prison de Fresnes. Elle est torturée, mais prétend n'être qu'une simple boîte aux lettres. Le 17 janvier 1944, elle est déportée à la prison de Sarrebruck. Du 28 janvier au 13 juin 1944, elle est en prison à Strasbourg. Puis au camp de sûreté de Vorbruck-Schirmeck. Ensuite, à la prison de Gaggenau.
Retour au camp de Schirmeck. Envoi à la prison de Mulhouse. Ensuite, une prison berlinoise. Déportée à Ravensbrück, elle est ensuite envoyée près d'Altenbourg, au Kommando de Meuselwitz, satellite de Buchenwald, puis, le 6 octobre 1944, au Kommando de Leipzig-Taucha, autre satellite de Buchenwald.
Laure Diebold, parfois orthographié Laure Diebolt, de son nom de naissance Laure Mutschler, née le 10 janvier 1915 à Erstein et morte le 17 octobre 1965 à Lyon, est une résistante française.
Secrétaire de Jean Moulin, elle fut faite Compagnon de la Libération alors qu'elle était portée disparue en Allemagne
La Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté est célébrée chaque 17 octobre depuis 1993.
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La Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté est célébrée chaque 17 octobre depuis 1993.
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La bataille de l’Yser est l'appellation donnée à l'ensemble des combats qui se sont déroulés du 17 au 31 octobre 1914 et qui ont opposé les unités allemandes qui voulaient franchir le fleuve en direction de Dunkerque aux troupes belges et françaises qui essayaient de les y arrêter.
Le 4 août 1914, les Allemands envahissent la Belgique qui était neutre depuis 1831. L'armée belge commandée par le roi Albert Ier résiste grâce aux camps fortifiés de Namur et de Liège.
Après la bataille de la Marne (début septembre), l'armée française et l'armée allemande s'enterrent dans des tranchées en Champagne et en Picardie.
Début octobre, ayant attendu en vain les renforts britanniques prévus, l'armée belge, menacée d'encerclement, abandonne Anvers et se replie vers le sud-ouest.
Le terrain des combats
Les troupes allemandes, menées par le général Beseler et le duc Albert de Wurtenberg, veulent traverser l'Yser, fleuve côtier du Nord, pour rejoindre Dunkerque.
L'Yser n'est pas un obstacle important : en effet, le fleuve n'a que 15 mètres de large environ et n'est pas encaissé.
Un système d'écluses très ancien permet d'évacuer l'eau. Mais si cela s'avère nécessaire, il permet de faire entrer l'eau de la mer du Nord en profitant des marées hautes. L'inondation est alors garantie sur un à deux mètres de hauteur.
La bataille
Les combats font rage pendant plus d’une semaine.
La situation est désespérée : l'artillerie belge n'a presque plus de munitions.
À Nieuport, les Français abandonnent la tête de pont de Palingbrug. Dans la nuit, on détruit volontairement le pont sur le canal de Furnes.
Au centre, sous pression de l'ennemi, les Belges doivent se replier derrière le remblai du chemin de fer. L'ordre est donné de défendre cette ultime position à tout prix.
L’inondation
Le soir, l'ordre est donné de procéder à l'inondation par l’écluse de l’ancien canal de Furnes. Par cet accès à l’ancien canal de Furnes, l'eau de mer peut entrer à l'est du remblai du chemin de fer, grâce au siphon sous le canal de Furnes (ou canal de Dunkerque).
Dans la nuit du 27 au 28 octobre, les portes de l’écluse de l’ancien canal de Furnes sont de nouveau ouvertes. L'inondation reprend.
Malgré leur infériorité numérique, cette inondation artificielle permet aux Belges de stopper la progression ennemie et d’établir un barrage effectif tout au long de la guerre.
L'OMNIC (Office municipal Nantais d'Information et de Communication) est créée en septembre 1989, présidée par le maire socialiste de Nantes nouvellement élu Jean-Marc Ayrault (également député). Elle est administrée exclusivement par l'équipe municipale jusqu'à sa dissolution en février 1995 !
1760 :
Naissance de Claude Henri de Rouvroy, de Saint Simon, philosophe, économiste et militaire français, fondateur du saint-simonisme. Ses idées ont eu une postérité et une influence sur la plupart des philosophes du XIXe siècle.
Philosophe de l'industrialisme, il est le penseur de la société capitaliste française, qui était en train de supplanter la société d’Ancien Régime. Il est le cousin éloigné du duc de Saint-Simon, célèbre mémorialiste de la cour de Louis XIV et de la Régence.
1943
Le massacre du 17 octobre 1961 est la répression meurtrière, par la police française, d'une manifestation d'Algériens organisée à Paris par la fédération de France du FLN.
Préparée en secret, la manifestation est un boycott du couvre-feu nouvellement appliqué aux seuls Nord-Africains
Article initial du 17 octobre 2011, régulièrement mis à jour tous les 17 octobre
2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018
Le 17 octobre 2019, 17H17
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