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  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.

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1 avril 2019 1 01 /04 /avril /2019 15:49
Salaires en Europe     FO exige une juste redistribution des richesses

Emploi / Salaire

 

Salaires en Europe

 

FO exige une juste redistribution des richesses

 

  • L’institut syndical européen (ETUI) constate dans une étude publiée ce jour que 8 pays européens ont connu une baisse conséquente des salaires entre 2009 et 2019.

 

 

 

Cette étude démontre au mieux une stagnation des salaires – comme en Belgique et en Finlande -, au pire une baisse, parfois drastique, allant jusqu’à 11 % en Croatie, voire 23 % en Grèce.

 

Résultat des politiques d’austérité, de l’attaque contre les salaires minima et la négociation collective, cette étude démontre que les conséquences sociales de la crise financière de 2008 sont toujours prégnantes.

 

 

 

 

Le salaire n’est pas l’ennemi de l’emploi.

 

FO, aux côtés des camarades européens, revendique une hausse générale des salaires et une juste redistribution des richesses.

 

 

 

Communication Cgt FO

Salaires en Europe     FO exige une juste redistribution des richesses

smiley Blog publication, 1er avril 2019, 16H58

 

 

 

 

 

 

Salaires en Europe     FO exige une juste redistribution des richesses
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30 mars 2019 6 30 /03 /mars /2019 18:26

       Article initiale du 29 mars 2018, re-publié le 30 mars 2019, 18H28,

mis à jour le 31 mars 2019, 14H13

 

 

 

 

 

 

Vive le 31 mars 2018

Vive le 31 mars 2018

Grde Distri / Carrefour / Plan Bompard

 

ITW de Cyril Boulay, DSC FO CPF

 

Cyril, merci de nous dresser un tableau le plus complet possible de la situation, et de l'état des négociations actuelles, concernant notamment les licenciements annoncés dans la proxi, et les modalités négociés du plan de départ.

Ou en êtes vous dans les négociations, et la préparation de la journée du 31 mars prochain?

Qu'en est-il de cet appel à la vigilance ?

 

Cyril Boulay:

Les salariés de la proxi sont très remontés contre les effets du plan Bompard, qu'ils considèrent comme une attaque frontale à leur endroit; 

 

Ils ont le sentiment d'une profonde injustice caractérisée. 

 

Depuis des années  ils servent de variable économique et financière, après avoir été en 2011, puis 2014, la vache à lait des actionnaires;

Aujourd'hui le plan Bompard s'attaque directement à leurs emplois, à leurs vies.

Il faut savoir que le 1er juillet, les salariés, sans aucun ménagement  vont être expulsés de leurs lieux de travail, comme des parias, en quelques heures leur vie au travail, les rapports sociaux avec leurs collègues vont basculer vers le vide et le néant de leur emploi, pour certains après de très longues années d'exécution loyale et de bonne foi de leurs contrats de travail.

 

Comme suite au dernier CCE, avec le constat d'absence du directeur exécutif, mais était-ce réellement une surprise (?!), la direction demeurant sans réponse quant nos légitimes interrogations sur les mesures envisagées, notre syndicat lance un appel à la vigilance d'une part devant les mensonges de la direction, et d'une autre part devant les zones d'ombre du plan Bompard 2022, dont on pense que très peu de salariés de l'actuelle proxi ne verront le terme.

 

On s'achemine vers un démantèlement de nos structures qui s'achèvera dans un bain de sang social, avec des pertes massives de nos emplois.

Toutes les CSP étant concernées.

 

Voilà la réalité !

 

 

 Il est certain que l’effervescence monte chez les salariés de Carrefour, à une poignée de jours  de la grève prévue le 31 mars pour s’opposer aux "attaques" de la direction, alors que les représentants du personnel sont toujours en attente de réponses, et que les négociations patinent.

 

Ce que nous avons déjà obtenu, ne l'a été que grâce au rapport de force engagé avec la direction, tout n'est pas encore finalisé, les revendications continuent.

 

 

Le plan Bompard, CQFS

 

Pour rappel, suppression de milliers d’emplois (2 300 dans les magasins de proximité avec un plan social, 2 400 dans les sièges via un plan de départs volontaires), passage en location gérance d’hypermarchés et de supers, participation en baisse, ventes ou fermetures de sites dans la proxi, et transferts vers la location gérance …

 

Les motifs de colère sont nombreux.

La participation en est un, conséquent, mais pas le seul, loin s'en faut.

Le feu couvait dans toutes les BU du groupe, ce que la direction n'a pas voulu regarder, préférant stigmatiser ici de mauvais rendements,  des résultats pas à la hauteur des budgets, ailleurs les syndicats coupables.

Mais de quoi ?

Les organisations et méthodes de travail totalement inadaptées que nous n'avons eu de cesse de condamner.

De dire la vérité sur les politiques tarifaires, d'assortiments, et de défendre les salariés, les conditions de travail, des objectifs irréalistes pour l'encadrement, et de dénoncer les effets des situations et postures managériales sur l'avenir de l'entreprise et du commerce.

 

Alors que la politique générale commerciale sans anticipation de l'entreprise nous conduisait dans le mur.

 

Aujourd'hui nous en payons  tous les maux, au prix fort.

 

La participation sera directement versée aux salariés cette année car elle est inférieure à 80€ (c'est la règle).

 

La division par 10 de la participation a été le déclencheur d’un mouvement qui couvait dans les magasins avec la grogne grandissante depuis plusieurs semaines face au projet élaboré par les actionnaires et mis en œuvre par Mr Bompard et ce, en faisant abstraction de dialogue et de concertation avec les OSR de l’entreprise.

 

A ce jour les négociations sur la participation sont bloquées et les inquiétudes sur les autres dossiers restent présentes.

 

PDV, PSE, restructurations PAM et stations services, réduction de surface et avenir des salariés du non alimentaire, devenir des assistant(es) de caisses, disparition de nos droits avec le passage en location gérance ou franchise autant de sujets qui mettent en danger des milliers d’emplois.

 

Sans oublier nos négociations salariales qui dans la proxi auront donné lieu à une très mauvaise mascarade la part de la direction. A ce sujet, lire l'article sur notre Blog, suivre le lien:

 

http://foed.over-blog.com/2018/03/carrefour-proxi-la-direction-transforme-les-nao-2018-en-une-simple-parodie-une-caricature.htm

 

Sans oublier tout  ce que l’on nous cache encore...

 

Depuis plusieurs semaines nos dirigeants mentent effrontément aux salariés de l’entreprise.

 

D'une part quand ils veulent  faire porter aux salariés le poids et la responsabilité du passage en location gérance ou la perte de clients et de parts de marché s'ils font grève le 31 Mars.

 

 

 

La location gérance est envisagée comme un mode de gestion complémentaire et  grève ou pas ils ne demanderont pas notre avis le jour où ils décideront que ce sera le tour de tel ou tel  magasin.

 

Dans la proxi, nous on sait trop bien comment cela s'est passé, d'abord chez Ed, puis Dia, et ça a continué dans la proxi.

Faut savoir que les magasins Carrefour City, se gavent sur les prix de vente des produits, en plus de licencier et de baisser les droits de leurs salariés.

 

La LG funeste pour l'emploi, est un véritable mouroir social pour tous les salariés qui la subissent.

 

Désinformation. Ils mentent aussi, et abusent de leur droit et des  prérogatives qui sont les leurs en indiquant  de ça ne sert à rien de faire grève car les négos sont déjà faites, ce qui est faux, les négos sont toujours en cours.

Le PSE ne sera signé que fin Avril.... si toutefois il est signé. ..Rien n'est encore finalisé
(voir le doc en PDF en bas de page, sur les avancées en cours)


Et pour la participation. ... la direction a décidé unilatéralement sans négociation de donner 350€... ce qui est loin des 600€ au global​​​​​​.

 

N'oublions pas nos camarades de la Logistique qui verra des changements radicaux, notamment d'une délocalisation vers des prestataires extérieurs, ce qui entraînera une nouvelle CCN, avec la perte des acquis du groupe arrachés de haute lutte depuis des années.

 

 Ne nous laissons pas intimider, ce n’est pas ce qui va se passer le 31 qui définira les magasins  choisis pour le passage en location gérance. Et pour les clients et les parts de marché parlons en...

 

Cela fait des années que nous alertons et dénonçons dans toutes les instances une stratégie commerciale inadaptée dont les seules mesures ont été  la réduction des coûts de fonctionnement et par conséquent la diminution des effectifs, assortis de quelques baisses de prix, bien vite rattrapés sur d'autres produits.

 

Les salariés de l’entreprise ont déjà payé le prix fort de ces stratégies à court terme dont le seul but est de satisfaire et enrichir les actionnaires.

 

 

Le mal est fait et ce n'est pas la mobilisation du 31 mars qui risquera d'aggraver la situation ... Tout au contraire !!

 

Seule une mobilisation massive et forte sur l’ensemble du territoire nous permettra de défendre nos DROITS et L’INTÉRÊT de tous les salariés menacés par ces projets mortifères.

 

Les décisions ne doivent pas être prises sans concertation et sans négociations sinon elles seront mauvaises pour les salariés.

 

Le 31 Mars c'est notre AVENIR que nous défendrons.

 

 

Par son refus de nous entendre la direction s'est lancée dans le rapport de force en usant de tous les moyens (licites ou non) pour limiter l’impact de la mobilisation du 31 Mars.

 

Mes camarades, ne tombons pas dans le panneau que nous tend la direction des magasins, il est vulgaire, méprisant et trop grossier.

 

Cette réaction démontre que l'action décidée dans l’unité syndicale fait peur à nos dirigeants, qui n'ont cure des effets sociaux du plan engagé, et que seule sa réussite permettra aux OSR d'exister et de peser dans les négociations à venir.

 

Alors oui le 31 Mars marquera une date importante pour l'avenir.

Tous concernés, tous mobilisés, tous présents sur le front des revendications. On lâche rien.

 

Vigilance, tel est le mot d'ordre

 

Le plan Bompard, ce sont des emplois et des vies brisées.

 

                                                Grève générale  pour le week-end  de Pâques !

Cyril Boulay

 

 

ITW exclusive de C. Boulay, DSC FO CPF

 

Propos recueillis par la rédaction du Blog

 

 

BM

 

 

 

 

Telecharger la communication de FO CPF

Carrefour Proxi, FO sur le front des  revendications lance  un appel à la vigilance  -  (ITW C. Boulay, DSC FO CPF)

smiley Blog publication,

Article initiale du 29 mars 2018, re-publié le 30 mars 2019, 18H28

Mis à jour le 31 mars 2019, 14H13

 

 

 

Des mouvements n'ont pas cessé depuis le 1er mars. La Bataille continue, sans relâche
Des mouvements n'ont pas cessé depuis le 1er mars. La Bataille continue, sans relâche
Des mouvements n'ont pas cessé depuis le 1er mars. La Bataille continue, sans relâche
Des mouvements n'ont pas cessé depuis le 1er mars. La Bataille continue, sans relâche

Des mouvements n'ont pas cessé depuis le 1er mars. La Bataille continue, sans relâche

 

Carrefour

2018, 2019.....Les années se suivent ...........Et se ressemblent, l'emploi, les salaires, les conditions de travail, le statut des salariés, la franchise......

La Bataille continue !

 

 

 

 

Carrefour Hypermarché 


1229 postes, 400.000 m2 de surface de vente et 15% des assortiments supprimés


Voilà l’ordonnance du Dr Bompard


FO en première ligne pour défendre l’emplois et les droits des salariés
Faciliter la fin de carrière anticipée, le congé de mobilité, la formation

 

 @enguelz

Tweet du 28 mars 2019 de M.Enguelz, délégué de groupe FO Carrefour

 

 

 

 

Carrefour Proxi, FO sur le front des  revendications lance  un appel à la vigilance  -  (ITW C. Boulay, DSC FO CPF)
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28 mars 2019 4 28 /03 /mars /2019 16:26
 Carrefour, grand nettoyage de printemps, les salariés redoutent un nouveau bain de sang social

Grde Distri / Carrefour / Emploi /  RCC

Carrefour

Grand nettoyage de printemps,

Les salariés redoutent un nouveau bain de sang social

 

Plan d'économies, réduction des surfaces d'hypers… le PDG revoit à la hausse la plupart de ses ambitions.

 

  • Briser les tabous.

 

 

Gavé de CICE, et d'exonérations  de cotisations (notamment selon les dispositions de la loi Fillon) Carrefour continue sa politique de destruction d'emplois dans tous ses formats, métiers supports  et services.

 

Partout où sa carrière l'a mené, Alexandre Bompard a levé les barrières, sans se préoccuper de leur poids, même symbolique.

 

Depuis son arrivée chez Carrefour en juillet 2017, le PDG n'a pas failli à sa réputation.

 

 

Désolé pour l'orthographe, mais tout le monde a tout bien compris

 

 

À l'occasion de la présentation de ses résultats annuels 2018, la première année complète de son règne, Alexandre Bompard l'a souligné: «L'entreprise a été capable de remettre en cause beaucoup de ses totems et de se mettre en mouvement très rapidement.»

 

Premier tabou, celui de la localisation, puisque pour la première fois, cette conférence se tenait à Massy, nouveau siège unique du groupe, où les équipes France et monde sont réunies depuis le début de l'année.

 

 

Carrefour A. Bompard restructuration
Les salariés redoutent un nouveau bain de sang social

 

 

En 2018, Carrefour a lancé un plan de transition massif pour assainir les comptes, s'attaquant aussi bien aux effectifs qu'au modèle de l'hypermarché.

 

Le géant français, 85 milliards d'euros de chiffre d'affaires (+ 1,4 % sur un an), doit prouver que le plan déjà mis en avant porte ses fruits, malgré la casse sociale déjà engagée, portant désespoir et précarité aux salariés. 

 

Après la quasi éradication des salariés de  la proxi depuis juillet dernier, ce sont aujourd'hui les sièges et les DR qui vont essuyer les affres sociales des départs, en attendant le remue ménage dans la supply chain qui s'organise en amont, maintenant c'est au tour des hypers, qui ont déjà subis moult maux et pertes d'emplois de voir fondre sur eux d'autres turpitudes, fontes des mètres carrés, plus de 1 500 emplois sont directement menacés, et Carrefour veut y aller au sabre et pour pas cher, en agitant les dispositions de la RCC, issue des ordonnances Macron.

 

 

 

 

Lors du CCE des 27 et 28 / 03 la direction a détaillé les suppressions de postes prévues dans la bijouterie, le rayon multimédia, l’arrière-caisse, le service de la paie, l’encadrement, des fonctions administratives et les caisses des stations-service, ainsi qu'un plan de transfert d'un certain nombre d'Hypers au concept commercial de la location gérance.​​​​​​

 

FO Carrefour est déjà monté au créneau pour contester la mise en location gérance de plusieurs Hypers, et appelle à une mobilisation pour le 04 avril 2019 prochain.

 

 

 

  • Carrefour négocierait la suppression de 1500 postes dans ses hypers   

 

Le groupe, attelé à la relance de ses plus grands magasins en France, veut proposer un accord de rupture conventionnelle collective.

 

  • Le plan de transformation des hypers français de Carrefour rentre dans le dur.

 

 

 

La direction du groupe doit ouvrir, à l'occasion d'un comité central d'entreprise qui se tient actuellement les 27 et 28 mars, des négociations en vue de signer un accord de rupture conventionnelle collective (RCC) avec les représentants du personnel.

 

Contrairement à un plan social, la mesure permet de se séparer de salariés sans justifier d'un motif économique. Mais aucun des départs ne peut être contraint.  

 

Alexandre Bompard accélère la mutation de Carrefour.

Selon les syndicats de Carrefour, l'accord pourrait concerner jusqu'à 1500 postes sur 60.000 salariés des hypers français du groupe.

 

Il s'agirait de la plus importante RCC depuis l'entrée en vigueur de la mesure début 2018.

 

Selon Michel Enguelz, délégué syndical FO, "le chiffre de 1 500 suppressions de postes est «potentiellement réaliste», mais devrait très certainement être réévalué, notamment sous la coupe des transferts de magasins vers le système de la location gérance, très mortifère pour l'emploi."

 

A. Bompard

 

 

L'enseigne confirme l'ouverture de négociations mais n'a souhaité donner aucune indication chiffrée. «Le chiffre de 1 200 à 1 500 suppressions avancé, est entendu ici et là...

 

Après les 2 500 postes supprimés dans le cadre d’un plan de départ volontaire l’année dernière, Carrefour entend réduire encore la voilure. Près de 1 500 postes – sur les 60 000 que la marque compte pour ses hypermarchés – sont visés.

 

La direction veut passer par une rupture conventionnelle collective, une RCC, ce nouveau dispositif instauré par les ordonnances Macron, et basé sur le volontariat.

 

La RCC est plus simple en termes de procédures mais aussi d’indemnités octroyées aux partants. Il faut en revanche que la direction obtienne un accord majoritaire des syndicats.

D’où les discussions animées qui se tiennent  actuellement;

 

Le groupe envisage ainsi de supprimer jusqu’à 1 500 postes dans les hypermarchés français, selon Le Figaro, que nous citons ici.

 

Un plan de transformation du groupe

 

Le PDG Alexandre Bompard a présenté un plan de transformation du groupe en janvier 2018.

 

Carrefour a depuis réduit ses effectifs de 4 400 postes dans plusieurs pays suite à des démissions et la fermeture des magasins Dia.

 

Le PDG souhaite réduire la surface des magasins et modifier l’offre de manière à rétablir la rentabilité.

 

  • « La disparition des espaces bijouterie, le passage en libre-service de certains rayons d’électronique, ou l’automatisation des stations-service, sont autant de postes qui pourraient être concernés par la RCC ».

 

Pour lancer la rupture conventionnelle collective, la direction doit signer un accord majoritaire avec les représentants du personnel. Il s'agira surtout de convaincre FO, qui a recueilli + de 47% des voix aux dernières élections professionnelles.

 

Sourcings:   L'Union, Le Figaro

 

smiley Blog publication, 28 mars 2019, 16H54

 

 

 

 Carrefour, grand nettoyage de printemps, les salariés redoutent un nouveau bain de sang social

Retrouvez quelques uns de nos articles antérieurs sur ce sujet

 

http://foed.over-blog.com/2016/11/dia-petit-a-petit-les-lumieres-s-eteignent-les-rideaux-se-baissent-les-parkings-se-vident-laissant-des-riverains-desempares-des-sala

 

http://foed.over-blog.com/2019/03/la-fgta-fo-conteste-la-location-gerance-des-hypermarches-carrefour.html

 Carrefour, grand nettoyage de printemps, les salariés redoutent un nouveau bain de sang social
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21 mars 2019 4 21 /03 /mars /2019 18:10
Dia% en rupture, au bord de la faillite

Grde Distri / Dia%

 

Bataille décisive pour le contrôle des supermarchés Dia%, au bord du gouffre


  La chaîne de grande distribution est au bord de la faillite (selon un article publié dans Bourse Direct que nous citons ici )


 

La direction ou le Russe Fridman?

 

Lors d'une assemblée générale qui s'annonce tendue, les actionnaires de Dia doivent décider mercredi à qui ils font confiance pour renflouer la chaîne espagnole de supermarchés, en grandes difficultés.

 

Le fonds LetterOne (L1 Retail) du milliardaire russe Mikhaïl Fridman, propriétaire de 29% de Dia, et le conseil d'administration sont à couteaux tirés depuis que le premier a annoncé, début février, une OPA sur le groupe de grande distribution.

 

 

En amont de l'assemblée générale des actionnaires, chaque camp n'a cessé de critiquer la stratégie de l'autre par communiqués interposés.

 

Logo de l'enseigne, Paris 2014

L'actuelle équipe dirigeante de Dia, dirigée par Borja de la Cierva, entend faire approuver mercredi une réduction du capital social et une recapitalisation de 600 millions d'euros auxquelles LetterOne s'oppose catégoriquement.

 

Le fonds basé au Luxembourg, qui menace de renoncer à prendre le contrôle de Dia si ces opérations sont votées, martèle aux actionnaires qu'elles risquent de réduire leur participation à peau de chagrin.

 

LetterOne promet sa propre augmentation de capital, de 500 millions d'euros... si et seulement si son OPA, en attente d'autorisation de l'autorité boursière espagnole, est couronnée de succès.

 

'Choc frontal'

 

Magasin Dia Paris, 2014



La direction, de son côté, a annoncé à la veille de l'assemblée générale être parvenue à un accord avec les banques pour repousser à 2023 des échéances de dette pour plus de 900 millions, mais à condition que sa proposition de recapitalisation soit approuvée.

 

"C'est un choc frontal pour le contrôle de la compagnie", résume Aitor Méndez, analyste chez IG Markets interrogé par l'AFP.

 

"Fridman veut être le seul maître à bord (...) et dans l'entreprise, ils se sont toujours méfiés des mouvements de Fridman", l'un des 100 hommes les plus riches du monde en 2018 selon Forbes.

 

En février 2016, l'une des entreprises dont son fonds est actionnaire majoritaire, l'opérateur de téléphonie mobile Vimpelcom, a été condamné à payer une amende de près de 800 millions de dollars à l'issue de poursuites aux Etats-Unis pour une affaire de corruption en Ouzbékistan.

 

Mais le temps presse alors que Dia, endetté à hauteur de 1,45 milliard d'euros, doit rembourser plus de 300 millions d'obligations cette année.

 

Dia & Go Madrid (nouveau format)

 

 

  • Pire, il a essuyé en 2018 une perte de 353 millions d'euros, à cause d'une désaffection des clients et de l'hyperinflation en Argentine, où se trouvent 16% de ses magasins.
  • Même ses fonds propres sont négatifs. Et les agences Standard & Poor's et Moody's ont à nouveau abaissé sa notation, tombée dans la catégorie "extrêmement spéculative".
  • "Quand vous avez un problème d'endettement si grand, et quand vous ne générez pas les ressources pour faire face à vos créanciers, il existe un risque important de faire faillite", prévient Aitor Méndez.

 

Nouveaux formats


 

Longtemps réputée pour ses prix bas et sa présence dans des zones délaissées, la chaîne de supermarchés a peiné depuis la fin de la crise de 2008 à adapter son modèle face à la concurrence du numéro un espagnol Mercadona, de Lidl ou Carrefour, explique à l'AFP Florencio Garcia, spécialiste de la distribution chez le cabinet d'études Kantar.

 

Face à ce constat, la direction et Fridman ont, selon lui, des plans "assez similaires" en voulant "être plus agressifs avec des prix plus bas" et se concentrer sur de nouveaux formats de boutiques et les produits frais.

 

Le groupe pourrait également gagner à se développer au Brésil au détriment du Portugal, deux de ses marchés outre l'Espagne et l'Argentine, ajoute Florencio Garcia

 

 

Ex Dia, Paris 12 ème, devenu C. City..........fermé depuis janvier 2018 8


 

Afin de renflouer Dia, la direction a d'ores et déjà annoncé son intention de se séparer de ses chaînes de produits de beauté Clarel et de vente en gros Max Descuento, et de licencier jusqu'à 2.100 salariés.

 

Pour se remettre véritablement sur les rails, il faudra que la chaîne "s'attaque directement à la perte de confiance des consommateurs et regagne des parts de marché", affirme aussi Aitor Méndez. Mais "à l'heure actuelle, son problème principal, c'est la dette".

 

 

 

Sourcing: PIERRE-PHILIPPE MARCOU / AFP / Archives , in Bourse Direct

 

 

 

InFOs dernières

 

Les actionnaires de Dia ouvrent la voie au milliardaire russe Fridman


Les actionnaires de la chaîne espagnole de supermarchés Dia ont voté mercredi contre le plan de recapitalisation proposé par la direction du groupe, ouvrant la voie à l'OPA du fonds LetterOne du milliardaire russe Mikhaïl Fridman.

 

Réunis en assemblée générale, les actionnaires ont parallèlement approuvé l'augmentation de capital alternative, de 500 millions d'euros, proposée par LetterOne et conditionnée à la réussite de l'OPA.

 

Sourcing:   Le Figaro avec AFP  

Publié le 20/03/2019 à 13:26

 

 

 

Dia% France:

 

Depuis juillet 2018, la vie et la lumière s'en sont allés des ex magasins Dia repris par Carrefour en 2014. Plus de 2 500 salariés ont perdu leur emploi.

 

Suivre nos articles sur le sujet:

 

http://foed.over-blog.com/2016/11/dia-petit-a-petit-les-lumieres-s-eteignent-les-rideaux-se-baissent-les-parkings-se-vident-laissant-des-riverains-desempares-des-sala

 

 

Ex Dia Evry

 

smiley Blog publication, 21 mars 2019, 12H07

Mis à jour et documentation, le 21 Mars 2019, 18H08

 

 

 

 

 

 

 

Dia% en rupture, au bord de la faillite
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12 mars 2019 2 12 /03 /mars /2019 16:10
Prime d’activité   les CAF au bord de l’explosion

EMPLOIS /  SALAIRES / Conditions de travail / #CAF
 

Prime d’activité

les CAF au bord de l’explosion

 


Avec la hausse de la prime d’activité, les Caisses d’allocations familiales sont submergées de nouvelles demandes. Les agents se mobilisent partout en France contre la dégradation de leurs conditions de travail.

 

FO exige notamment des embauches massives en CDI et une augmentation de la rémunération.

 

Tous les matins, les salariés de la Caisse d’allocations familiales (CAF) de Gironde sont invités par FO et la CGT à se retrouver pour une « pause sociale » de protestation.

 

Le 19 mars, ils seront appelés dans le cadre de la grève interprofessionnelle à dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail et exiger des embauches et une revalorisation salariale. Grèves, pétitions, assemblées générales… Dans toute la France, les mobilisations se multiplient. Une action nationale spécifique est également en préparation.

 

 

 

 

L’annonce faite mi-décembre par Emmanuel Macron de revaloriser la prime d’activité pour les travailleurs au Smic s’est transformée en surcharge de travail pour les salariés des CAF, confrontés à une explosion de dossiers à traiter.

 

Avec l’élargissement du champ d’application de la prime, le nombre de bénéficiaires potentiels est passé de 3.8 à 5 millions de personnes. Au total, selon le gouvernement, 1.1 million de nouvelles demandes ont été enregistrées depuis le début de l’année, sans que l’octroi de moyens supplémentaires n’ai été anticipé.

 


Ces dernières années, des milliers de postes ont été supprimés, et la situation était déjà anormale avant les annonces d’Emmanuel Macron, désormais les CAF sont submergées, dénonce Laurent Weber, secrétaire fédéral chargé des organismes sociaux à la FEC-FO.

 

 

Heures supplémentaires obligatoires

 


C’est en Gironde que le « stock » de dossiers en retard est le plus élevé.

Concrètement, pour tout absorber, il faudrait 10 jours de travail non-stop de tous les salariés, sans tenir compte de tout ce qui arrive entre temps, explique Nicolas Gébleux, délégué FO et secrétaire du CE.

 

On était déjà en sous-effectifs avant la prime d’activité, il y a des heures supplémentaires depuis l’instauration du RSA en 2009.

 

Dans le Gard, 12 000 demandes ont été enregistrées en janvier, c’est plus que sur toute l’année 2018. La CAF de la Somme a "gagné" 10% d’allocataires en un mois. Pour faire face à la demande, les heures supplémentaires peuvent devenir obligatoires localement. FO, pour qui ce n’est pas la solution au manque d’effectifs, exige leur arrêt immédiat.

 

 

 

Pour tenter de résorber le flux, certaines directions ont aussi réduit l’accueil du public. A Bordeaux Métropole, les portes restent fermées aux allocataires, à l’exception du siège et d’une agence, mais sans bénéficier de renforts. Et l’accès aux e-mails est resté bloqué jusqu’au 11 mars.

 

2 100 suppressions de postes


Faute de moyens, selon le délégué FO, les agents doivent se concentrer sur la prime d’activité, au détriment des autres demandes de minimas sociaux comme le RSA ou l’allocation adulte handicapé, pour lesquelles les dossiers s’accumulent également. Certains accusent jusqu’à deux mois de retard.

 

C’est un scandale, pour répondre aux annonces d’Emmanuel Macron, on met de côté les allocataires les plus pauvres qui ne vivent que des minimas sociaux et qui normalement sont prioritaires, poursuit Nicolas Gébleux.

 

Une délégation FO avait rencontré le 26 février le directeur de la CNAF et le directeur des réseaux des CAF. Elle avait dénoncé le sous-effectif chronique, un recours massif aux CDD et l’absence de reconnaissance sur la feuille de paie.

 

Mais la direction, plutôt que renforcer les effectifs, a évoqué comme solution la refonte du « modèle de production », la simplification et l’allègement des tâches, par l’automatisation de certains traitements.

 

Une prime de 200 euros excluant 75% des salariés


Début mars, le gouvernement a finalement annoncé le recrutement de 140 agents supplémentaires en CDI pour permettre d’absorber le surcroît d’activité. Il ne faut pas sous-estimer cette décision, c’est la première fois qu’on embauche depuis des années, reconnaît Laurent Weber. Mais ça ne va rien résoudre puisque 2100 postes seront supprimés par le COG 2018-2022 et que le ministère ne compte pas revenir dessus.

 

Les salariés revendiquent aussi depuis plusieurs mois une augmentation de la valeur du point, gelé depuis 2010. Les salariés de la CAF sont de plus en plus pauvres, beaucoup perçoivent eux-mêmes la prime d’activité, le CE n’a jamais distribué autant de bons alimentaires, poursuit Nicolas Gébleux.

Le pire, c’est que nous ne sommes pas fonctionnaires. Nous sommes salariés de droit privé, mais tout est bloqué par le ministère.

 

 

 

 

FO revendique aussi le versement d’une « prime Macron ».

 

Mi-février, la ministre de la Santé a proposé une prime de 66 euros bruts pour tous les salariés des organismes de sécurité sociale. Beaucoup trop peu, dénonce Nicolas Gébleux. La dernière proposition atteignait 200 euros net hors dispositif Macron, et réservée aux salariés les plus modestes, en excluant de fait les trois quarts des effectifs.

 

  • C’est du mépris à tous les niveaux, aucun syndicat ne va signer cet accord, poursuit le délégué FO, qui précise que des négociations sur les salaires doivent se rouvrir le 21 mars.

 

Sourcing:  CLARISSE JOSSELIN, in fo.fr

 

Article du 12 MARS 2019,   Prime d’activité,  les CAF au bord de l’explosion

 

 

smiley Blog publication, 12 mars 2019, 16H38

 

 

Prime d’activité   les CAF au bord de l’explosion
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11 mars 2019 1 11 /03 /mars /2019 12:10
19 mars Ce qu'on a gagné, ne le perdons pas...

SOCIETE / MANIF / GREVE

 

#Mobilisation 19 mars 2019

 

Retraites, Assurance maladie, Salaires, Statuts, Assurance Chômage, Sécurité sociale, Temps de travail, Congés payés, Salaire minimum, Conventions collectives, Formation professionnelle, Médecine du travail, Délégués du personnel, Code du Travail ... Ce qu'on a gagné, ne le perdons pas ! #19mars

19 mars Ce qu'on a gagné, ne le perdons pas...

smiley Blog publication, 11 mars 2019, 14H33

 

 

 

19 mars Ce qu'on a gagné, ne le perdons pas...
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7 mars 2019 4 07 /03 /mars /2019 17:13

Article mis à jour le 07 mars 2019, 17H44

Les salariés du Carrefour Contact de Cuise-la-Motte laissés pour compte

Les salariés du Carrefour Contact de Cuise-la-Motte laissés pour compte

Grde Distri / Carrefour /  LG / SOCIAL

 

Selon un article du Courrier Picard, daté du 07/02 019, que nous citons ici
 

Les salariés du Carrefour Contact de Cuise-la-Motte laissés pour compte
 

La supérette Carrefour Contact a fermé ses portes. Quatre employés et un apprenti ne sont plus payés, mais pas officiellement licenciés. (La situation pourrait se débloquer) 


 
Hier matin, les ex-salariés de Carrefour Contact ont accroché une banderole sur le parking :

 

« Ici Carrefour abandonne ses salariés sans indemnités », peut-on lire.

 

« Ici », c’est Cuise-la-Motte, un village situé à une dizaine de kilomètres de Compiègne.

 

La supérette, placée le long de la RN31, a baissé le rideau depuis le 21 janvier. Cette fermeture sans que les clients soient prévenus ni même les personnes qui y travaillaient.


Trois CDI – dont une salariée avec presque 30 ans d’ancienneté – et un CDD se retrouvent dans la tourmente : ils n’ont plus d’emploi, ne sont plus payés. Pour autant, ils ne sont pas licenciés, ce qui leur ouvriraient des droits à Pôle Emploi.

 

Le jeune apprenti boucher, Pierre, inscrit au CFA de Compiègne, a eu également une mauvaise surprise : il n’a pas pu rebondir sur un autre poste, son contrat au Carrefour Contact n’étant pas résilié.

 

« Le moral flanche »


Comment en est-on arrivé là ?

 

Les murs du commerce appartiennent à Carrefour, le fonds à DNL Shop.

La direction du magasin avait été confiée à une gérante, dans le cadre d’un contrat de location-gérance. Elle y a mis fin, en respectant son préavis.

 

« Le 21 janvier, Monsieur Delinotte  nous a dit :

 

« Je reprends mes clés et je ferme», relate Odile Bastin, employée de longue date. Nous, on est loué avec le fonds de commerce, qu’est-ce qu’on devient ? C’est une situation très difficile ; on a des factures à payer. On pensait être protégés ; on a le moral qui flanche. »

 

La situation pourrait se débloquer. « Je dépose le bilan  au tribunal de commerce, Carrefour ne me laisse pas d’autre choix, fait savoir Nicolas Delinotte, remonté contre le géant de la distribution.

 

Qu’ont-ils fait pour régler la situation  ? Quand je suis arrivé, les stocks avaient été transférés dans d’autres magasins et le matériel quasi-démonté. Le magasin n’est plus dans l’état dans lequel je l’avais laissé. »

 

  • Nicolas Delinotte épingle « le contrat de franchise qui verrouille tout » :

 

« J’ai l’impression de subir, d’être un salarié déguisé de Carrefour, davantage qu’une entreprise indépendante. Quand vous signez un contrat qui fait je ne sais combien de pages, sur le coin d’une table, sur une aire d’autoroute, c’est là où il faut être accompagné d’un avocat d’affaires… »

 

D’où son projet de créer une association avec d’anciens et actuels franchisés pour offrir un accompagnement. « Il faut rétablir l’équilibre. »

 

Carrefour n’a pas donné suite à nos sollicitations.

 

 

 

 

Selon article source: Pierrig Guennec | Publié le 07/02/2, in courrier picard

La LG chez Carrefour:    Les salariés du Carrefour Contact de Cuise-la-Motte laissés pour compte sur le parking du magasin

SOCIAL


Les employés du Carrefour Contact de Cuise-la-Motte enfin fixés sur leur sort

 


Les employés ont reçu le soutien du député LR Pierre Vatin et du maire Renaud Bourgeois (voir photo ci  -dessous)


Les employés du Carrefour Contact, à Cuise-la-Motte, à côté de Compiègne, n’étaient plus payés, sans pour autant être officiellement licenciés, ce qui leur aurait permis d’être indemnisés via Pôle Emploi.

 

Cela concerne trois salariées et un CDD. Sans compter un apprenti qui rencontrait des difficultés pour rebondir sur un autre poste, son contrat n’étant pas résilié.

 

Les murs du commerce, qui a fermé le 21 janvier, appartiennent à Carrefour, le fonds à la société DNL Shop. Celle-ci a été mise en liquidation judiciaire, au tribunal de commerce de Compiègne, mardi.

 

« Un liquidateur a été mandaté, il va prendre contact avec nous et voir pour le versement des salaires, rapporte une des salariées. On entre dans une phase connue, cela fait du bien. On est reconnu. on va pouvoir chercher du travail, passer à Pôle Emploi. »

 

Sourcing:   Le Courrier Picard 

Publié le 14/02/2019

Les employés ont reçu le soutien du député LR Pierre Vatin (à gauche) et du maire Renaud Bourgeois (à droite)

Les employés ont reçu le soutien du député LR Pierre Vatin (à gauche) et du maire Renaud Bourgeois (à droite)

Les ravages de la location gérance, inlassablement dénoncée sur ce Blog, véritable mouroir social, mortifère pour l'emploi et les droits sociaux.

 

Les employés du Carrefour Contact de Cuise-la-Motte enfin fixés sur leur sort !

 

Après le parking, ce sera direction Pôle Emploi, suite à la liquidation judiciaire, ce qui fait que le propriétaire du commerce va pouvoir, aux termes d'une bataille judiciaire qui a mis les salariés sur le bord de la route, récupérer son fonds de commerce, et le re-louer à un autre locataire gérant.

 

 La roue tourne, et toujours au détriment de celles et ceux qui  font la richesse de l'entreprise.

Carrefour n'a répondu à aucune sollicitation. Une salariée dénombrait plus de 30 années d'ancienneté

La LG chez Carrefour:    Les salariés du Carrefour Contact de Cuise-la-Motte laissés pour compte sur le parking du magasin

smiley Blog publication, 05 mars 2019, 14H05

Article mis à jour le 07 mars 2019, 17H44​​​​​​

 

 

 

La LG chez Carrefour:    Les salariés du Carrefour Contact de Cuise-la-Motte laissés pour compte sur le parking du magasin
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7 mars 2019 4 07 /03 /mars /2019 14:48
Statut de cadre    la négociation a enfin commencé !

EMPLOI / Statut Cadre /  Négos / SALAIRES

 

Statut de cadre

 la négociation a enfin commencé !

 

La réunion plénière qui s’est déroulée mardi 5 mars entre le Medef et les organisations syndicales signe le démarrage concret des négociations sur le statut de cadre.

 

Sans minimiser les obstacles à franchir avant d’aboutir, FO estime que le positionnement du Medef sur le sujet a changé. Patrick Cheppe le chef de file de la délégation patronale a accepté d’ouvrir des discussions sur un spectre large de thèmes.

 

La délégation FO s’est félicitée de cette nouvelle disposition à la discussion côté patronal. Elle a rappelé que cette négociation est une opportunité pour bâtir une définition interprofessionnelle des cadres explicite et actualisée sans porter préjudices aux négociations de branches.

 

Parmi les sujets retenus pour définir un cadre, figurent les points défendus par FO à savoir :

 

  • le niveau de qualification et de diplôme,
  • le niveau de responsabilité,
  • le niveau d’expertise et de complexité des tâches,
  • le management,
  • l’autonomie dans le travail,
  • les compétences mise en oeuvre.

 

FO a également été entendue sur la nécessité d’aborder les droits associés au statut tels que :

 

  • le maintien de la prévoyance obligatoire issue de l’accord du 14 mars 1947,
  • le maintien de l’accès aux services de l’Apec,
  • la mise en place d’une protection juridique pour les cadres engageant leur responsabilité pénale professionnelle,
  • la consolidation des minima salariaux conventionnels, l
  • ’obligation d’une formation qualifiante pour exercer un rôle managérial,
  • la possibilité de faire valoir une clause de conscience dans des conditions précises,
  • l’encadrement des forfaits-jours.

 

 

 

Autre sujet qui pourrait être mis sur la table : la reconnaissance de l’engagement syndical.

 

Reste une question : est-ce que le Medef ira jusqu’au bout sur tous ces thèmes ?

 

Le chef de file patronal n’a pas été clair sur la possibilité d’aboutir à un ANI. FO a insisté sur le fait qu’un accord en bonne et due forme était indispensable. Alors que le gouvernement entend déprotéger les cadres en voulant réduire leur droit à l’assurance chômage, un engagement ferme sur la volonté d’aboutir à un accord protecteur de la part du Medef est indispensable.

 

 

 

 

Un accord national interprofessionnel respectant les accords de branche sur le sujet, reste en effet l’unique moyen de remettre du collectif là où prévaut l’individuel et redonner confiance aux cadres.

 

 

ERIC PERES

 

 

 

 

Communiqué de FO Cadres

https://www.fo-cadres.fr/​​​​​​

 

 

smiley Blog publication, 07 mars 2019, 15H03

 

 

 

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5 mars 2019 2 05 /03 /mars /2019 17:37
L’égalité Femmes / Hommes,   toujours un combat !

SOCIETE / Egalité F-H

COMMUNIQUÉ DE FO
 

L’égalité Femmes / Hommes 

toujours un combat !

 

La mobilisation des femmes et l’unité des organisations syndicales nous ont permis de gagner de premières avancées : création de référentes et référents du personnel contre les violences, mise en place d’une obligation de résultat en matière d’égalité salariale, suppression du jour de carence pour les femmes enceintes dans la Fonction publique.

 

Ces dispositifs doivent être améliorés et complétés par des mesures ambitieuses accompagnées des moyens humains et financiers à la hauteur de l’enjeu.

 

En effet, le compte n’y est pas. Le quotidien des femmes est toujours marqué par les inégalités salariales, la précarité et les violences sexistes et sexuelles.

 

Pour faire enfin de l’égalité une réalité, c’est toutes les politiques publiques qui doivent être pensées et évaluées à cette aune. Nous alertons avec force : le projet de loi dit « de transformation de la Fonction publique », contredit cet objectif.

 

 

S’il est adopté, le recours accru à des emplois contractuels, impactera négativement la situation professionnelle et financière des femmes. Alors que la lutte contre les violences sexistes et sexuelles est une priorité, le projet de loi amoindrit les outils dédiés à la santé au travail.

 

Il aurait pour conséquence un recul des services publics, pourtant déterminants pour l’émancipation des femmes, et de l’emploi public, aujourd’hui majoritairement féminin.

 

Si nos organisations sont elles-mêmes engagées de longue date dans ce combat pour l’égalité, nous réaffirmons la nécessité d’intensifier la mobilisation de nos militantes et militants, d’amplifier nos actions en faveur de l’égalité professionnelle et de faire progresser la mixité au sein de nos organisations.

 

 

 

 

 

  • Le 8 mars n’est ni la saint Valentin, ni la fête des mères, c’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes.

 

A cette occasion, nous interpellons le gouvernement et le patronat autour des exigences suivantes :

 

  • 1. Assurer l’égalité salariale et professionnelle.


En 2019, les femmes sont toujours rémunérées 26% de moins que les hommes en moyenne. Chaque jour, elles travaillent gratuitement à partir de 15h40. C’est sur l’ensemble des facteurs qu’il faut agir, qu’ils soient liés à la carrière, à la part variable de la rémunération, à la dévalorisation des métiers à prédominance féminine, ou au temps de travail.

 

 

Ceci permettrait de relever le niveau des retraites des femmes alors que celles-ci ont une pension de 40% inférieure à celle des hommes, dans la perspective de retraites de haut niveau.

 

 

L’index égalité salariale doit permettre de supprimer effectivement les écarts de rémunération. Le « seuil de pertinence », le barème et la pondération masquent une partie des écarts. Un bilan rapide devra être tiré et les modifications nécessaires mises en place pour que toutes les entreprises soient dans l’obligation d’éliminer les écarts.

 

Les obligations de transparence et les moyens du CSE en matière d’information et de dialogue social doivent être renforcés. L’obligation de résultat en matière d’égalité salariale doit être étendue à la fonction publique.

 

Les employeurs doivent débloquer les enveloppes de rattrapage nécessaires.


Donner à l’Inspection du travail les moyens humains pour garantir l’application de la loi et affecter le produit des pénalités à un fonds en faveur de l’égalité professionnelle.


Lutter contre les inégalités de carrière. Renforcer et rendre obligatoire les indicateurs permettant d’identifier et de supprimer les mécanismes de plafond de verre.


Les femmes sont majoritaires parmi les bas salaires, nous revendiquons leur augmentation. Elles représentent 62% des personnels de la Fonction Publique, il est nécessaire de revaloriser le point d’indice.

 

 

 

  • 2. Lutter contre la précarité et revaloriser les métiers à prédominance féminine


La crise sociale actuelle démontre encore une fois que la précarité a majoritairement un visage de femme. Les métiers dans lesquels les femmes sont concentrées, ont une forte utilité sociale et sociétale, pourtant, ils sont dévalorisés financièrement et socialement.

 

Il y a urgence à

 

- Limiter le recours aux contrats à temps partiels, aux contrats précaires et aux horaires atypiques (dimanche, soir et nuit, horaires morcelés…) en les rendant financièrement dissuasifs pour les employeurs et en améliorant la protection sociale. 


- Assurer la mise en œuvre de la loi qui prévoit un salaire égal pour un travail de valeur égale par une juste reconnaissance salariale des qualifications et des compétences dans les classifications et dans les grilles de la Fonction publique. Revaloriser les métiers à prédominance féminine (santé, éducation, administratifs, propreté, social, services à la personne…) dans le privé comme dans le public.

 

 

 

 

  • 3. Promouvoir une parentalité partagée :


Permettre d’être parent sans renoncer à sa carrière est une nécessité pour l’égalité F/H, pour l’éducation des générations futures et pour les professionnelles et professionnels de ce secteur, essentiellement féminin.

 

Avec les mesures suivantes, nous proposons d’en faire un investissement d’avenir :

 

 - Augmenter l’indemnisation du congé parental au niveau de l’arrêt maladie pour permettre une parentalité partagée. Allonger le congé paternité à au moins un mois et le rendre obligatoire. Rémunérer le congé maternité à 100%, l’étendre à toutes les travailleuses et l’allonger à 18 semaines.

 - Investir massivement dans les services publics pour garantir le droit à une place d’accueil pour chaque enfant et répondre aux problèmes liés à la perte d’autonomie des personnes âgées.

 

 

 

  • 4. Lutter contre les violences sexistes et sexuelles :


30% des femmes déclarent être victimes de harcèlement sexuel au travail. La lutte contre les violences sexistes et sexuelles nécessite des droits supplémentaires et des moyens. Nous revendiquons les mesures suivantes :

 

 - Garantir l’indépendance et le rôle des référentes et référents du personnel contre les violences en leur attribuant des droits, moyens et prérogatives.


 - Faire de la prévention des violences sexistes et sexuelles un sujet obligatoire de négociation et mettre en œuvre des sanctions pour tous les employeurs qui ne disposent pas de plan de prévention et de procédure sécurisée pour les victimes et témoins.

 

Protéger l’emploi et la carrière des victimes, que les violences aient un lien avec le travail ou non, en mettant en place sur présentation d’un certificat médical le droit à des aménagements d’horaires, de poste, des congés, la possibilité d’une mobilité fonctionnelle ou géographique choisie…

La prise en charge médico-sociale et psychologique des victimes doit être effectuée sans frais.

 

 


 

 

Former l’ensemble des RH et manageurs, inspecteurs et inspectrices du travail, magistrates et magistrats, personnels de santé, d’éducation et de sécurité…, et les représentantes et représentants du personnel.

 

Mettre en place une sensibilisation annuelle obligatoire sur le temps et le lieu de travail.

 

  • Allonger les délais de prescription des licenciements commis suite à des discriminations ou à des violences sexuelles au travail.


Nous défendons l’intégration de ces mesures dans une norme de l’OIT contre les violences sexistes et sexuelles et nous nous mobiliserons en juin à Genève à l’appel de la Confédération Syndicale Internationale pour garantir son adoption.

 

 

 

 

Communiqué de la CFE-CGC - la CFTC - la CGT - Force Ouvrière - la FSU - Solidaire - l’UNSA

MARDI 5 MARS 2019

L’égalité Femmes / Hommes,   toujours un combat !

smiley Blog publication, 05 mars 2019, 17H59

 

 

 

 

L’égalité Femmes / Hommes,   toujours un combat !
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5 mars 2019 2 05 /03 /mars /2019 11:44
Social, mouvements chez GO Sport - (filiale de Casino, groupe Rallye)

RETAIL / DISTRIBUTION / COMMERCE

 

Mouvements chez GO Sport
 

Le groupe GO Sport se sépare de ses magasins Courir pour 283 millions d’euros et s’offre les services du cabinet Prospheres, spécialiste du redressement d’entreprises en difficultés…

 

Malgré les inquiétudes des élus Force Ouvrière, la direction du groupe a consciencieusement entretenu le flou concernant le projet de vente de sa filiale la plus performante.

 

Les magasins GO Sport restant déficitaires, le groupe a donc fait appel au cabinet spécialiste du « retournement d’entreprise », qui a déjà œuvré au sein des enseignes Pimkie, Jules, Tati ou dernièrement Eurodif.

 

  • Conséquences :   
    • Des fermetures de magasins avec à la clé la suppression de centaines d’emplois…

 

Avec 35 magasins fermés en 4 ans, les élus du Comité d’Entreprise, aidés d’experts en économie, ont déjà proposé de nouvelles orientations constructives visant à redresser l’entreprise, mais la direction du groupe n’en a eu que faire et a persévéré dans sa gestion hasardeuse !

 

Le Comité d’Entreprise GO Sport France, inquiet de la cession de Courir, a déclenché un droit d’alerte dès décembre 2018 : à ce jour, plus de la moitié des magasins sont en négatif, des fermetures sont déjà envisagées ainsi qu’une restructuration des sièges.

 

A peine en poste, et en s’affranchissant de leurs obligations vis-à-vis des représentants du personnel, les missionnés du cabinet Prospheres ont organisé des réunions d’information –pour les salariés en CDI uniquement– à partir du 5 mars pour présenter leur stratégie !

 

  • Ça en dit long sur la qualité du dialogue social à venir !

 

Force Ouvrière, appuyée par la CGT, mettra tout mettre en œuvre pour faire valoir les droits des salariés et sauver les 1 600 emplois ainsi que leur enseigne, qui a fêté ses 40 ans en 2018 !

 

L’intersyndicale ne s’interdira pas d’en appeler au gouvernement et à Monsieur Bruno Le Maire pour arbitrer les débats !

 

 

Communiqué de la Fédération des Employés et Cadres Force Ouvrière – Section fédérale du Commerce & VRP​​​​​​

Social, mouvements chez GO Sport - (filiale de Casino, groupe Rallye)

Le PDG de Go Sport (groupe Rallye) remplacé, les salariés inquiets....

 


 

Selon un article paru dans le quotidien Challenges en date du 04 mars 019, que nous citons ici, André Ségura, le PDG du distributeur français Go Sport, filiale de Casino (groupe Rallye), a été remplacé par un spécialiste de la restructuration d'entreprises.

 

Une décision qui pourrait entraîner des fermetures de magasins selon le syndicat FO.


André Ségura, le PDG du distributeur français Go Sport, filiale de Casino (groupe Rallye), a été remplacé par un spécialiste de la restructuration d'entreprises, a-t-on appris lundi de sources concordantes, une décision qui pourrait entraîner des fermetures de magasins selon le syndicat FO.

 

  • Transformation d'entreprise


Philippe Favre, nommé président en remplacement de M. Ségura, est membre de Prospheres, un cabinet de dirigeants spécialisés dans le management d'entreprises en transformation. Il sera assisté par Brice Garnier, nommé directeur général et lui aussi membre de Prospheres, précise-t-on chez Go Sport.

 

Ils auront la charge "de définir avec l'ensemble des salariés les actions nécessaires qui permettront à Groupe GO Sport, notamment après la cession de Courir, de poursuivre sa transformation", ajoute-t-on de même source.

 

La semaine dernière, le distributeur de produits de sport avait finalisé la cession de son enseigne spécialisée dans la vente de chaussures de sport (251 magasins en France et 34 à l'international) à la société d'investissement Equistone Partners Europe pour 283 millions d'euros.

Lors d'un récent entretien avec l'AFP, André Segura avait affirmé que l'entreprise, née au coeur des Alpes à la suite des jeux Olympiques de Grenoble en 1968, avait enregistré en 2018 un chiffre d'affaires de 800 millions d'euros, en croissance de 6%.

 

  • Les syndicats inquiets

 

Interrogé par l'AFP, le syndicat FO de Go Sport s'est inquiété de l'avenir de l'enseigne.

 

"Cela va être la fin de notre enseigne" qui a déjà fermé "par petits bouts 35 magasins en quatre ans", "sans plan de sauvegarde de l'emploi pour les 300" salariés concernés, a affirmé à l'AFP Laurence Labaurie, déléguée FO.

 

"On pense que tout est déjà préparé" pour la fermeture de nombreux magasins ou leur cession, a ajouté Mme Labaurie. Selon elle, "sur les 82 magasins" Go Sport restant en France, pour environ 1.800 salariés (dont 1.600 dans les magasins), "une cinquantaine sont dans le rouge".

 

Le groupe Go Sport compte au total quelque 400 magasins, sous différentes enseignes (Go Sport, Endurance Shop, Bike+, Techniciens du Sport et Go Sport Montagne), dont beaucoup en franchise.

 

 

Sourcing: Challenges.fr

Article du  04.03.2019,  19h22

Social, mouvements chez GO Sport - (filiale de Casino, groupe Rallye)

smiley Blog publication, 05 mars 2019, 11H53,

Article mis à jour, plus documentation, le 05 mars 2019, 12H03

 

 

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