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  • : FO Retail Distribution
  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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Que signifie communiquer ? demanda le petit prince.

"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, 
répondit le renard."    
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

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Lanceur d'alerte

Un lanceur d'alerte est toute personne, groupe ou institution qui, voyant venir un danger, un risque ou un scandale, adresse un signal d'alarme et, ce faisant, enclenche un processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective

 Libres, Indépendants, Déterminés et Solidaires Ensemble. Communication, Information et Expression directe de l'actualité sociale, économique et syndicale de FO CPF et des salariés du commerce et de la Grande distribution.

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DROIT A L'IMAGE

Droit À L'image

Dans ce blog nous sommes amenés fréquemment à diffuser des images, des vidéos, des photos, voire des articles de presse, d'insérer des liens vers des documents,   ceci afin d'étoffer et d'éclairer nos posts, en leur donnant plus de contenus, pour une meilleure compréhension.

Nos sources sont toujours citées.

Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.

Néanmoins rien n'empêche les personnes ne désirant pas voir leur image diffusée de nous le signaler lors de la prise de vue.

Sans manifestation de leur part, nous considérerons leur consentement présumé.

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S. Allende, assassiné lors du coup d'état, avalisé par le vatican,  fomenté par la CIA et les grandes multinationales américaines

S. Allende, assassiné lors du coup d'état, avalisé par le vatican, fomenté par la CIA et les grandes multinationales américaines

Le régime de Pinochet avalisé par le Vatican, mis en place par les Etats-Unis, soutenu par tous les capitalistes jusqu'à la mort du dictateur.
Le régime de Pinochet avalisé par le Vatican, mis en place par les Etats-Unis, soutenu par tous les capitalistes jusqu'à la mort du dictateur.

COUP D'ETAT DU 11 SEPTEMBRE 1973 AU CHILI


Le régime de Pinochet avalisé par le Vatican, mis en place par les Etats-Unis, soutenu par tous les capitalistes jusqu'à la mort du di
ctateur.

Dans les trois jours suivant le coup d'État, plus de deux cents personnes sont assassinées par les militaires aux ordres des putschistes.

La majorité des dirigeants du gouvernement de l’Unité Populaire et autres dirigeants de la Gauche sont arrêtés. Des milliers d’opposants sont parqués au stade de Santiago, de très nombreux prisonniers sont torturés, d'autres « disparaissent » (ils sont assassinés et leurs corps sont dissimulés). Des camps de concentration sont organisés à la hâte : en décembre 1973, ils renferment 18 000 prisonniers.


Résolument anti-marxiste, le général Leigh apparait alors comme le membre le plus impitoyable de la junte, promettant d'« éradiquer le cancer marxiste ».

C'est sous ses ordres que les forces aériennes procèdent d'abord à l'épuration au sein de ses rangs des opposants au coup d'État puis aux interrogatoires contre certains de ses plus hauts gradés comme le général Alberto Bachelet.


La Villa Grimaldi, l'Estadio Chile, Cuatro Álamos sont utilisés comme camps de détention et de torture, de même que le site de la société d’extraction de salpêtre Oficina Salitrera Chacabuco, l’île Dawson en Patagonie, le port de Pisagua, le bateau-école Esmeralda et la colonie Di
gnidad.

La junte confie également au général Sergio Arellano Stark la mission de traquer les militants de l'Unidad Popular et du MIR figurant sur une liste préétablie. À la tête d'une caravane de la mort qui parcourut le Chili du nord au sud du 30 septembre au 22 octobre 1973, Stark ordonne l'exécution d'au moins 72 militants de l'UP et du MIR et la torture sur une dizaine d'autres.


L'usage de la torture sur les opposants était institutionnalisé. Les tortures pratiquées comprenaient : torture par électricité, torture par l'eau, privation d'eau et de nourriture pendant plusieurs jours, viols, tortures psychologiques (tortures et viols de sa famille devant le prisonnier, humiliations diverses, privation de so
mmeil).

Certains étaient pendus par les pieds. Les prisonniers étaient également régulièrement frappés, et souvent drogués. Certains détenus étaient jetés dans la mer depuis des hélicoptères, après qu'on leur eut ouvert l'estomac au couteau (pour empêcher les corps de flotter).

Au sein des centres de torture, les cellules font parfois 70 centimètres de large, certains détenus sont placés au milieu de cadavres. Des mineures sont torturées nues, et pendues par les poignets.


La grève est passible de la peine de mort dans certains secteurs.


Parallèlement à cette répression, les libertés publiques sont supprimées, la liberté de la presse est abolie et toute activité politique est suspendue. Les responsables politiques locaux et l’ensemble des maires sont destitués, leurs remplaçants étant nommés par la junte.


À la suite du coup d'État, de nombreux artistes sont arrêtés, torturés, assassin
és (comme Víctor Jara).

La maison de Pablo Neruda est pillée par les militaires. Des groupes de musique s'exilent, comme Los Jaivas, et leur musique ne peut être distribuée au Chili que clandestinement. La production cinématographique s'écroule, et les principaux réalisateurs s'exilent (comme Raúl Ruiz). Les principaux écrivains sont également emprisonnés ou contraints à l'exil (comme Luis Sepúlveda et Isabel Allende), alors que tout ce qui est littérature de gauche est brûlée dans les rues.

Pendant l’ensemble de la période de la dictature, « des centaines de milliers de livres furent confisqués et détruits. »


La dictature militaire met au pas les universités : des étudiants sont arbitrairement exclus des universités, des professeurs sont arrêtés, expulsés, torturés ou fu
sillés.

Des militaires sont nommés à la tête de toutes les universités.


En 1974, Manuel Contreras est chargé de diriger la DINA, une police politique qui recourt aux disparitions et aux assassinats, notamment à l'étranger dans le cadre du plan
Condor.

Rassemblant six régimes militaires d’Amérique du Sud (Chili, Argentine, Bolivie, Brésil, Paraguay, Uruguay), le plan Condor, initié en 1975 à l'initiative du Général Rivero, un officier des services secrets argentins , est une entente qui permet de traquer et d’assassiner les dissidents et les opposants aux différents régimes dictatoriaux d'Amérique du Sud.

Les chiliens visés par les opérations du plan Condor sont non seulement des partisans de l'Unidad Popular et du MIR mais aussi d'anciens ministres ou militaires opposés au coup d'État comme le général Carlos Prats, assassiné en septembre 1974 à Buenos Aires, ou Orlando Letelier, assassiné aux États-Unis en 1976.


En 1975, le meurtre de 119 opposants, principalement du MIR, en Argentine, est maquillé par la DINA en règlements de comptes internes: c'est l'opération C
olombo.

L'année suivante, la DINA décapite à deux reprises la direction clandestine du Parti communiste du Chili (PCC), lors de l'opération Calle Conferencia. Les détenus sont torturés, tandis qu'on teste sur eux le gaz sarin mis au point par le chimiste Eugenio Berrios.

Les corps sont ensuite jetés à la mer lors des vols de la mort; le pilote personnel de Pinochet, le brigadier Antonio Palomo Contreras, qui avait piloté un hélicoptère Puma lors de la caravane de la mort, est mis à contribution.

https://fr.wikipedia.org/…/R%C3%A9gime_militaire_d%27August…

9/11 - 11 septembre 1973, coup d'état au chili, instauration d'une dictature sanglante
9/11 - 11 septembre 1973, coup d'état au chili, instauration d'une dictature sanglante
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