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7 janvier 2013
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Appel à la grève ce lundi 7 janvier, dans les magasins de l’enseigne Conforama
En
cette première semaine de soldes, voilà une nouvelle qui tombe bien mal pour le groupe Conforama. Les salariés du marchand de meubles et d’électroménager sont en effet appelés à cesser le travail
ce lundi 7 janvier. « On veut tout simplement que le groupe Conforama respecte une décision de justice » explique Patrick Forge, délégué syndical FO du magasin de Roanne-Mably. « Un de nos
accords d’entreprise, appliqué dans 39 des 200 magasins du groupe, prévoyait que les salariés, dont le jour de repos coïncidait avec un jour férié, bénéficiaient d’un jour de repos
supplémentaire. Le groupe a essayé de remettre en cause cet accord. Mais après un long combat juridique, la cour de cassation nous a donné raison le 14 novembre dernier. Mais le groupe se
refuse toujours à appliquer cette décision de justice.
http://www.leprogres.fr/social/2013/01/05/appel-a-la-greve-ce-lundi-7-janvier-dans-les-magasins-de-l-enseigne-conforama
FecFOcommerce.fr
Publié par FO Dia système
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5 janvier 2013
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Règles de fonctionnement du Centre Technique des Institutions de Prévoyance (CTIP)
UNE MISE AU POINT DES ADMINISTRATEURS FO
Actualité Retraites - FO n°63
Le 18 octobre 2012, lors
du Conseil d’administration du CTIP (Centre Technique des Institutions de Prévoyance) les administrateursForce Ouvrière, dûment mandatés par la Confédération,ont jugé indispensable de procéder à
une mise au point quand aux règles de fonctionnement du CTIP. Dans leur déclaration, ils réaffirmaient les règles de fonctionnement internes ainsi que la notion de mandat effectif du Conseil
d’administration vis-à-vis de la présidence et de l’administration du CTIP.
La délégation a insisté sur l’exigence du respect de la notion du mandat, seul élément déclencheur de l’action du Président et des services techniques. Ce sont ces
mêmes règles qui doivent prévaloir dans toutes les Institutions de prévoyance et les Unions où nous siégeons.
Rappelons que les missions du CTIP sont :
- d’agir dans l’intérêt des entreprises et des salariés dans le domaine de la prévoyance collective.
- de représenter les Institutions de prévoyance auprès des pouvoirs publics nationaux et européens.
- de favoriser le développement des Institutions en préservant leur vocation sociale et la spécificité de leur gestion.
La déclaration de la délégation Force Ouvrière
« A l’occasion des échanges relatifs aux positions à prendre à l’Unocam quant à la négociation conventionnelle avec les médecins,nous avons constaté certaines
difficultés de fonctionnement.Certes celles-ci ne sont pas forcément le fait du CTIP car obliger notre centre à se déterminer en quelques heures, voire quelques minutes, relève pour le moins d’un
manque de considération de la part des autres composantes de l’Unocam.
Au-delà de cet épisode, la Confédération Force Ouvrière souhaite que la gouvernance du CTIP revienne aux fondamentaux dans son fonctionnement, aidée en cela par
l’ANI de février 2012. Notre démarche s’inscrit également dans l’obligation qui est celle de notre Centre de respecter lui-même les recommandations que nous véhiculons par ailleurs vers les
Institutions.
En premier lieu, la seule instance politique délibérante est le Conseil d’Administration dont le bureau prépare les délibérations le plus en amont possible, sans
qu’il puisse en aucune façon s’y substituer ni les présumer.
Cela implique que la notion d’urgence soit effectivement réservée à des situations exceptionnelles et en ce sens non répétitives et induit sans doute un
accroissement du nombre de Conseils. Les groupes de travail seront d’autant plus utiles dans l’aide à la prise de décisions que les documents préparatoires seront envoyés tôt et, dans tous les
cas, au moins une semaine avant la discussion.Leur mission est d’éclairer le Conseil et non de présumer de ses décisions.
Par ailleurs, il est important que la communication politique,particulièrement vers l’extérieur, soit faite par la Présidence,directement mandatée par le Conseil
d’Administration. Les publications du CTIP sont de la responsabilité du dit Conseil. En ce sens, les administrateurs doivent avoir la connaissance préalable des communications techniques
(études,…) et le Conseil doit avoir validé les communications plus politiques (rapport d’activité,études financières…).
Nous portons tous un mandat politique au titre de nos organisations respectives. A ce titre chaque administrateur doit disposer personnellement de l’ensemble des
documents mis en circulation, dans le respect des clauses de confidentialité qui lui sont opposables.
Les comptes rendus de réunion sont des procès-verbaux et non des relevés de décision et chacun doit donc y retrouver les positions qu’il a pu prendre au nom de
son organisation. Ils doivent en conséquence être adressés avec célérité aux administrateurs.Le respect de ces quelques règles nous semble de nature à garantir la poursuite du développement de
notre Centre au service de nos Institutions.
Enfin, et pour en revenir à l’Unocam il nous semble pertinent d’engager une réflexion sur sa gouvernance. Mandatés par notre Confédération en ce sens, nous
sommes en mesure de demander une entrevue à Madame la Ministre à ce sujet.»
CgtFO.fr
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4 janvier 2013
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3 janvier 2013
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13:20
L’utilisation de la biométrie dans le milieu du travail est strictement encadrée par la Cnil.
Celle-ci édite d’ailleurs, à destination des employeurs et des salariés, un guide très instructif dressant les règles en la matière (Guide Cnil pour les employeurs et les salariés, fiche n°12, disponible sur www.cnil.fr).
Concernant la question spécifique de l’utilisation de la biométrie à des fins de contrôle des horaires de travail, la Cnil reconnaissait jusqu’à maintenant
qu’un dispositif reposant sur la reconnaissance du contour de la main puisse servir à gérer les horaires de travail (Délib. CNIL n°2006-101 du 27 avril 2006, JO 16
juin).
S’agissant des dispositifs reposant sur l’empreinte digitale (exclusivement enregistrée sur un support individuel) ou le réseau veineux des doigts de la main,
la Cnil a toujours refusé qu’ils puissent être utilisés pour contrôler les horaires des employés.
Force Ouvrière s’est constamment montré hostile à l’utilisation de la biométrie aux fins de contrôle des horaires de travail.
Pour nous, la biométrie mettant en cause le corps humain et portant ainsi atteinte aux libertés individuelles ne peut se justifier que lorsqu’elle a une finalité sécuritaire ou protectrice de
l’activité exercée (voir en ce sens TGI Paris, 1er ch., Sect. soc., 19 avril 2005, n°05-00382, commenté dans InFOjuridiques n°50, juin
2005).
Le contrôle des horaires de travail ne justifie pas, selon nous, la mise en place d’un système biométrique. Un dispositif biométrique, quel qu’il soit, destiné
à contrôler les horaires de travail nous apparaît illicite dans la mesure où il porte une atteinte disproportionnée aux libertés individuelles. Lorsqu’il s’agit de simple gestion, un classique
système de badge doit suffire.
L’entreprise qui craint la fraude n’a qu’à régler cette difficulté par un encadrement plus dissuasif.
Comme indiqué plus haut, cette position n’était pas celle, jusqu’à aujourd’hui, de la Cnil. Par une délibération du 20 septembre 2012, la Cnil est revenue sur
sa position entendant les remarques que Force Ouvrière avait pu lui formuler lors d’une audition sur cette question (Délibération Cnil n°2012-322, JO 12 octobre).
Comme le relève la Cnil, un consensus s’est clairement exprimé lors des différentes auditions qu’elle a pu avoir avec les organisations syndicales pour
considérer comme disproportionnée l’utilisation de la biométrie aux fins de contrôle des horaires.
Dès lors, la Cnil a décidé de modifier l’autorisation unique AU-007 en ce qu’elle autorisait l’utilisation du contour de la main aux fins de gestion des
horaires: «Désormais, aucune autorisation unique ne permet de contrôler les horaires de travail par un dispositif biométrique.»
Attention, la Cnil prévoit des mesures transitoires.
Les entreprises qui recourent déjà au dispositif reposant sur la reconnaissance du contour de la main pour contrôler les horaires de travail et qui ont
effectué un engagement de conformité avant la publication de cette nouvelle délibération pourront continuer de l’utiliser pendant une période de cinq ans.
Passé ce délai, les entreprises devront cesser de recourir à la fonctionnalité biométrique pour contrôler les horaires de travail.
Le fait d’installer un dispositif biométrique pour d’autres finalités que celles couvertes par l’autorisation unique AU-007 devra donner lieu à des demandes
d’autorisation spécifiques, qui seront examinées au cas par cas par la Cnil.
À noter que s’ils ne peuvent plus servir à contrôler les horaires de travail, les dispositifs reposant
sur la reconnaissance du contour de la main peuvent toujours être utilisés pour contrôler l’accès à des locaux ou gérer la restauration sur les lieux de travail.
CgtFO.fr
publié par FO Dia système
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31 décembre 2012
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La cour d'appel de Douai a tranché en faveur de 540 salariés de Carrefour Market du Nord/Pas-de-Calais, condamnant le distributeur à rémunérer leur temps de pause, a-t-on appris mercredi auprès du syndicat
CFDT.
Les salariés, tous adhérents du syndicat, réclamaient que la rémunération du
temps de pause soit isolée de la rémunération mensuelle versée et que le solde soit comparé non seulement au SMIC, mais également aux minima conventionnels en application dans le secteur de la
distribution (un peu supérieurs au SMIC).
"La cour d'appel a validé le principe selon lequel les rémunérations servies aux
salariés devaient être au moins équivalentes au salaire mensuel minimum garanti hors pause", a expliqué l'avocat des salariés, Me Mario Califano.
La cour, dans sa décision du 21 décembre, a demandé aux salariés de refaire leurs
calculs de la somme réclamée à Carrefour Market selon les modalités qu'elle a elle-même définies, qui prennent en compte l'ancienneté des salariés. Les arriérés sont limités aux cinq dernières
années.
Elle a par ailleurs soutenu la demande des salariés qui réclamait une somme de 30
euros par mois allouée à l'entretien de leur tenue de travail, outre le baril de lessive trimestriel qui leur était précédemment accordé.
"Ce sont des litiges qui portent sur des sommes qui vont entre 2.000 et 5.000
euros par salarié", a calculé Me Califano. Soit un montant global de 1,1 million à 2,7 millions d'euros que pourrait avoir à régler Carrefour Market.
La cour d'appel se prononçait sur des dossiers déposés devant 12 conseils de
Prud'hommes différents du Nord/Pas-de-Calais. "On a 1.600 dossiers sur toute la France, le Nord/Pas-de-Calais c'était un gros morceau. Un tiers des dossiers gagnés en cour d'appel, c'est très
bien pour le futur", a souligné Franck Dutertre, délégué national CFDT Carrefour Market et lui-même salarié à Calais.
Interrogée par l'AFP, la direction de Carrefour a dit "prendre acte de la
décision de la cour d'appel et précise qu'il y a un accord ouvert à la signature sur les tenues de travail avec les partenaires sociaux".
source: le Figaro
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30 décembre 2012
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Questions à... Helen Kelly, Présidente de la Confédération syndicale Néo Zélandaise CTU
«LA PROTECTION SOCIALE EST UNE QUESTION DE VOLONTÉ POLITIQUE, PAS DE MOYENS»
Article paru dans FO Hebdo n°3056-3057
L’OIT (Organisation internationale du travail) vient d’adopter une nouvelle recommandation qui «appelle à fournir aux populations l’accès à des prestations et à des
soins essentiels en matière de santé ainsi qu’à une sécurité élémentaire de revenu».
Helen
Kelly, présidente de la confédération syndicale néo-zélandaise CTU (Council of Trade Unions), est aussi porte- parole du groupe des travailleurs dans la commission chargée d’élaborer cette
recommandation.
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29 décembre 2012
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