Avec l'AFOC
défendons le logement social et les droits des salariés
L'hiver remet sur le devant de la scéne la
situation des personnes sans logis ou mal logées. Cette anée, c'est aussi l'occasion, de différents côtés, de revenir sur la question de savoir qui doit loger dans les HLM.
Ce qu'improprement on appelle d'un terme vague "les classes moyennes", occuperaient indûment des logements sociaux.
En d'autres termes, les HLM devraient devenir de slogements nécessairements transitoires, des ahbiatts provisoires, des sortes de cîtés d'urgence "améliorées", c'est àdire en fait des îlots de
béton dégradés, dont déjà une majorité d'occupants devraient être écartés
- Les salariés cotisent, sous forment de salaire différé, au 1% dit patronal versé aux organises collecteurs et des tiéns à la
construction de logements sociaux.
- Ils payent les impôts, qui permettent l'existence physique des Communes et des Conseils généraux, impôts via lesquels existent et peuvent exister les offices municipaux et départementaux
de HLM; mais ils ne seraient pas légitimes dans les logements gérés et construis par ces offices?!
En contestant la légitimité des salriés dans les logemnts HLM; au motif qu'il n'y en a pas assez pour loger les SDF ou les tres mal logés parce
que trop pauvres, on définit le logement social comme étant une stucture provisoire, comme devant être destinés à devenir une concentration de la misére et d ela grande pauvreté, et on veut faire
des salriés, principal gisement de ressources fiscales, des sans droits sociaux, en fait des bons à payer mais n'aynt droit à rien !!
En outre, on explique aussi, par là, que le logement ayant un fianacement et des objectifs non mercantiles n'a plus sa place dans ce pays.
En d'autres termes, et sous pretexte de se pencher sur le sort des plus démunis, on affirme la prééminence du privé comme unique moyen de se loger. On est dans le même type de raisonnement que
celui qui considére illégitime et "antiéconomique" les services publics et les démanétles et/ou les privatise.
FORCE OUVRIERE et ses militants siégeant dans les conseils d'administration des offices HLM, dans les organismes collectant et/ou gérant le 1% dit patronal, mettront tout en oeuvre pour s'opposer
à cette attaque hypocrite contre la classe ouvriere, menée sous prétexte de solidarité avec les plus démunis.
Par sona ction passée et présente pour ses droits conquis et ses revendications, la classe ouvriere, même affublée du pseudonyme de "classe moyenne" destinée à la présenter comme un
groupe social quasi rpivilégié, est la principale source d eprogrés social ouvrant une solution réelle et durable à la situation des personnes se retrouvnt à la rue ou trop pauvres pour pouvoir
se loger convenablement ou être logée dans un logement HLM ou ailleurs.
FORCE OUVRIERE dénonce la campagne de dénigrement contre la prétendue "classe moyenne".
Pour certains, être smicard à 1 200 euros, agner 1 500- 1 800 €uros par mois, ferait de vous un membre de la "classe moyenne' ilégitime dans un logemetn HLM.
FORCE OUVRIERE réaffirme que le logement "social" n'est pas réservé exclisivement aux sans logis et aux "plus démunis".
Les salariés y ont leur place légitime.
Source AFOC93, Janvier 2009.