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La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
Que signifie communiquer ? demanda le petit prince.
"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, répondit le renard." Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry
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Un lanceur d'alerte est toute personne, groupe ou institution qui, voyant venir un danger, un risque ou un scandale, adresse un signal d'alarme et, ce faisant, enclenche un processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective
Libres, Indépendants, Déterminés et Solidaires Ensemble. Communication, Information et Expression directe de l'actualité sociale, économique et syndicale de FO CPF et des salariés du commerce et de la Grande distribution.
Dans ce blog nous sommes amenés fréquemment à diffuser des images, des vidéos, des photos, voire des articles de presse, d'insérer des liens vers des documents, ceci afin d'étoffer et d'éclairer nos posts, en leur donnant plus de contenus, pour une meilleure compréhension.
Nos sources sont toujours citées.
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GRANDE DISTRIBUTION / ACTION CONTRE LE TRAVAIL DU DIMANCHE CHEZ LIDL
Depuis hier, l’entrepôt Lidl de Bordeaux est bloqué.
Aucun camion ne rentre ou ne sort de la marchandise.
Ce mouvement, mené par une intersyndicale à laquelle FO prend part, fait suite au projet de la direction d’ouvrir 14 magasins le dimanche, dont deux toute la journée.
Le mouvement rencontre l’adhésion de plus en plus de salariés et pourrait se poursuivre jusqu’à samedi.
Télécharger le communiqué dans son intégralité (image intégrée)
Vente de Dia - Quelques news
Le dossier suit son cours comme indiqué par FO depuis la date de l'annonce de la mise en vente.
Nous avons demandé à être reçu au ministère par le biais d'une lettre ouverte, et avons entrepris les démarches permettant cette entrevue.
Les nouvelles sur la cession tendent à se préciser. Nous en saurons un peu plus au fil des jours, pour une annonce décisionnelle, probablement vers le 15/20 juin.
Lors du CCE d'hier et d'aujourd'hui, la direction reste muette et refuse d'aborder le sujet.
Nous avons tout d e même appris que Dia avait utilisé le CICE pour des fins dont les salariés n'ont pas été bénéficiaires, comme la lettre et l'esprit de la Loi le précisaient.
Il est à noter que tout le monde, gouvernement et OS se sont rangés à notre revendication d'une reprise globale, avec maintien des salariés, et des sites.
Pour FO nous restons en éveil en attente de la connaissance du ou des repreneurs pour entamer tout aussitôt les démarches de négociations qui s'ouvriront rapidement.
Nous sommes, en notre qualité de 1ère Organisation syndicale la + représentative chez Dia, à l'écoute des salariés et moteur dans les négociations qui s'ouvriront
FO, La Bataille continue !
Vente de Dia - Quelques news
Le dossier suit son cours comme indiqué par FO depuis la date de l'annonce de la mise en vente.
Nous avons demandé à être reçu au ministère par le biais d'une lettre ouverte, et avons entrepris les démarches permettant cette entrevue.
Les nouvelles sur la cession tendent à se préciser. Nous en saurons un peu plus au fil des jours, pour une annonce décisionnelle, probablement vers le 15/20 juin.
Lors du CCE d'hier et d'aujourd'hui, la direction reste muette et refuse d'aborder le sujet.
Nous avons tout d e même appris que Dia avait utilisé le CICE pour des fins dont les salariés n'ont pas été bénéficiaires, comme la lettre et l'esprit de la Loi le précisaient.
Il est à noter que tout le monde, gouvernement et OS se sont rangés à notre revendication d'une reprise globale, avec maintien des salariés, et des sites.
Pour FO nous restons en éveil en attente de la connaissance du ou des repreneurs pour entamer tout aussitôt les démarches de négociations qui s'ouvriront rapidement.
Nous sommes, en notre qualité de 1ère Organisation syndicale la + représentative chez Dia, à l'écoute des salariés et moteur dans les négociations qui s'ouvriront
FO, La Bataille continue !
nr.news-republic.com
PARIS (Reuters) - Deux offres de reprise de la branche française de l'espagnol Dia, mise en vente par le numéro trois mondial du hard discount, son...
Le dossier suit son cours comme annoncé par FO depuis la date de l'annonce. Nous en saurons un peu plus au fil des jours, pour une annonce décisionnelle , probablement vers le 15/20 juin. Il es t à notrer que tout le monde, gouvernement et OS se sont rangés à notre revendication d'une reprise globale. Pour FO nous srestons en éveil en attente de la connaissance du ou d es repreneurs pour entamer tout aussitôt les démarches de négociations qui s'ouvriront rapidement
Les salariés français de Lidl feront grève demain. Source VDN
C’est assez inhabituel pour être souligné : ce vendredi, les salariés de Lidl seront en grève. Il ne faudra donc pas s’étonner de voir le rideau baissé dans les magasins du secteur. Ce mouvement social fait suite à un appel de l’intersyndicale, qui compte ainsi protester contre les conditions de travail qui se détérioreraient.
En 2012, la marque de distribution allemande a opéré un virage stratégique. « Une montée en gamme » pour se détacher du hard discount, comme nous l’expliquait le service communication le mois dernier.
Du changement dans les rayons, dans l’esthétique des enseignes, et dans la manière de travailler aussi.
Sous pression
« Depuis l’instauration du nouveau concept, nous avons vu les effectifs baisser en magasin, et la productivité et la croissance augmenter », explique Fabian Lecq, délégué syndical FO et responsable d’un magasin dans le bassin minier. L’homme parle d’une pression sans cesse exercée sur les salariés, au point que certains seraient en proie à des dépressions ou a minima des tensions. « Le ratio chiffre d’affaires pour les heures travaillées a augmenté de 20 % », souligne-t-il encore.
Une poignée d’employés auraient accepté des ruptures conventionnelles, d’autres seraient délibérément partis de l’entreprise. L’intersyndicale veut aussi contester les ouvertures « test » imposées certains dimanches, et aussi l’insécurité qui règne dans quelques magasins.
Pour rappel, le magasin houdinois avait été victime de deux braquages en moins d’un mois (entre avril et mai) et samedi, ce fut celui de Lillers.
Les salariés de la direction régionale de Lillers (une soixantaine de magasins, environ huit cents salariés) se retrouveront vendredi matin dès 9 heures au siège de l’enseigne, dans la zone du Plantin.
actionnetwork.org
Walmart Associates across the country and in Milwaukee are going on strike to protest Walmart illegal retaliation against them for speaking out about inequality and for standing up for their rights. This is an opportunity for all of us to have our voices heard and to contribute to making Walmart a b…
Dia France : Carrefour et Casino auraient fait des offres, Montebourg en embuscade
Source : (Boursier.com)
Le ministre de l'Economie pourrait se mêler du dossier Dia, le spécialiste français du “hard-discount”, mis en vente par son actionnaire espagnol. Selon 'Le Figaro' du jour, Arnaud Montebourg et Valérie Fourneyron, la secrétaire d'Etat au Commerce, envisagent de convoquer les dirigeants de tous les groupes de distribution français à Bercy pour leur demander de sauver Dia.
Reprise globale
En attendant, les deux géants du secteur, Carrefour et Casino, auraient chacun remis une offre non engageante la semaine passée, en vue d'une reprise globale de Dia France, ajoute le quotidien. Ils auraient manifesté leur intention de reprendre tous les salariés, quitte à mettre deux ou trois ans pour les reclasser dans d'autres magasins, entrepôts et bureaux. Carrefour et Casino auraient jusqu'à la fin de la semaine prochaine pour déposer formellement leurs offres, ajoute 'Le Figaro'.
Dia France compte environ 850 magasins, emploie 7.500 personnes, mais le groupe est déficitaire et son chiffre d'affaires annuel (2,2 milliards d'euros) est en perte de vitesse.
Le magazine spécialisé 'LSA' affirmait début mai que Casino et Carrefour (qui avait vendu Dia en 2011) auraient tous deux proposé entre 150 et 200 millions d'euros pour reprendre le groupe, alors que Dia espère en tirer jusqu'à 400 ME. Cependant, les candidats à la reprise rechigneraient à reprendre la totalité des salariés : une centaine de magasins semblent destinés à être fermés en raison de leurs mauvaises performances et de plus, un rachat entraînerait beaucoup de doublons avec le repreneur dans les structures de direction et la logistique de Dia...
Les syndicats veillent
Face à ces risques pesant sur l'emploi, les syndicats sont en alerte.
La FGTA-FO, syndicat majoritaire a estimé en mai que “le repreneur doit s'engager à reprendre tous les salariés de Dia France, où qu'ils se trouvent sur le territoire et quelle que soit leur provenance (format magasins, sièges ou entrepôts)”.
Le syndicat exigeait que le contrat de vente comporte une clause sociale d'engagement du repreneur à reprendre tous les salariés de Dia France.
Le ministère de l'Economie entendrait donc peser pour que ce volet emploi soit respecté. Selon des sources citées par 'Le Figaro', Bercy envisagerait même d'encourager un partage amiable des magasins Dia France entre tous les groupes de distribution : Carrefour et Casino, mais aussi Leclerc, Auchan, Leclerc, Système U et Intermarché, à condition que tous les emplois soient préservés.
En pratique, ce démantèlement paraît très complexe à mettre en oeuvre, explique cependant au 'Figaro' un expert du secteur, qui juge impossible la sauvegarde de tous les postes de Dia France, quels que soient les plans d'intégration...
Source: UD FO 38, Grenoble, Isère, France
Dia France sacrifié au nom de la rentabilité.
Photo: Grève à l'initiative de FO en 2009 sous l'enseigne ED à cette époque.
Le groupe Dia Espagne est le 3° leader mondial du hard discount. Il cède toutes ses activités en France car pas assez rentables. Deux repreneurs sont sur les rangs, mais quelle garantie pour les emplois, à ce jour aucune.
La FGTA FO, Fédération FO de l’alimentation et agriculture a envoyé une lettre ouverte au gouvernement et aux éventuels repreneurs de la société.
Voici quelques extraits de cette lettre : « Si la valeur marchande du parc de magasins français fait un peu partout l’objet de nombreuses évaluations et spéculations, qui se préoccupe du sort des salariés des magasins qui vont fermer ? La possibilité d’une vente à la découpe sera la plus probable et les « meilleurs morceaux du gâteau » seront l’enjeu de toutes les spéculations financières et commerciales, au détriment du maintien du statut des salariés et de leur emploi. » ../.. « FO, le syndicat majoritaire de la grande distribution, en appelle à la responsabilité sociale de tous les acteurs de ce dossier : l’actionnaire principal, les repreneurs potentiels mais aussi l’État. »
Pour FO il faut « que le repreneur s’engage à reprendre tous les salariés de DIA France où qu’ils se trouvent sur le territoire et quelle que soit leur provenance (format magasins, sièges ou entrepôts)» et souhaite « qu’aucune transaction du parc des magasins français de DIA ne soit validée sans que ne figure dans le contrat de vente une clause sociale d’engagement du repreneur à reprendre tous les salariés. »
FO n’entend pas brader les emplois et se mobilisera juridiquement et syndicalement avec les salariés de l’entreprise pour lutter contre le démantèlement programmé de DIA et s’opposer à toute opération de restructuration qui ferait l’impasse sur la sauvegarde de l’emploi.
Carrefour et Casino en lice pour racheter Dia France
Le Figaro confirme, ce mardi 3 juin, l'essentiel des informations révélées par LSA début mai au sujet de la vente de Dia.
A savoir que deux offres de reprise totale ont été faites auprès du groupe espagnol de la part de casino et carrefour et qu'elles devraient se situer dans une fourchette de 250 à 300 millions d'euros même si le distributeur ibère en espèrerait, selon le Figaro, 400 millions.
Les ventes de Dia plongent en France, relançant l'hypothèse d'une cession
Autre confirmation : la vente risque de se traduire par de la casse sociale.
Dia France exploite à ce jour 840 magasins (LSA Expert) et emploie 7 500 salariés. Une centaine de magasins dans le rouge et mal placés semblent condamnés à la fermeture alors que le process d’intégration à un autre distributeur pourrait se révéler périlleux pour une partie des entrepôts et le siège de Dia France.
LE SIÈGE, LES ENTREPÔTS ET LES DIRECTIONS RÉGIONALES SUR LA SELLETTE
Dia France emploie, selon le Figaro, 360 salariés à VITRyY S/SEINE, plus de 300 dans ses six directions départementales et 550 dans ses neufs entrepôts logistiques répartis dans l’hexagone.
Bercy, qui a reçu les dirigeants de Dia le 8 mai et les syndicats, le 23, voudrait que la vente soit assortie de garanties pour l'emploi de la part des repreneurs. A défaut, selon les informations du Figaro, le ministère du redressement productif, souhaiterait que le parc de Dia France soit partagé entre tous les groupes de distribution français. Un dépeçage au profit des concurrents français de Dia, assorti de deux conditions, le maintien du parc en l'état, y compris pour les 230 magasins franchisés que compte l'enseigne en France, et des garanties de reclassement pour tous les salariés impliqués.
DES NÉGOCIATIONS PLUS COMPLEXES
Même si cette solution semble peu réaliste, elle vient compliquer à loisir un processus de vente engagé depuis de nombreux mois. L'intervention de l'Etat pourrait d’ailleurs faire le jeu de Casino qui souffrirait sans doute beaucoup plus du passage du dossier en l’état devant les autorités de la concurrence que Carrefour. Notamment à Paris et dans le Sud Est (Marseille), où le groupe présidé par Jean-Charles Naouri est dominant et a déjà beaucoup profité de l’apport du réseau de Monoprix, dernière fusion en date.
On imagine mal en effet les sages de l’Autorité de la Concurrence casser une solution voulue par Bercy et garantissant au moins pour quelques temps une certaine paix sociale, oh combien précieuse politiquement.
Une certitude : le casse-tête se complique sérieusement pour les négociateurs...