Le Tribunal correctionnel de la Seine prononce la dissolution de la CGT, accusée par le gouvernement de poursuivre d’autres objets que l’étude et la défense d’intérêts économiques et industriels.
En vérité, on reprochait à la CGT d’avoir demandé la cessation de la guerre, l’amnistie, le retour aux libertés et qu’elle avait soutenu la grève des cheminots en mai 1920.
Jouhaux disait devant les juges : « La dissolution n’empêchera pas les transformations que nous demandons de se réaliser et la Confédération Générale du Travail de vivre quand même ».
La CGT gagnera en appel.
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