- Une page syndicale se tourne, la FGTA FO quitte l'Avenue du Maine
A partir du 1er juillet 2019, nouvelle adresse, nouveaux locaux, nouveau décor, nouveau lieu de travail, nouvel environnement, la FGTA FO quitte l'Avenue du Maine, une page syndicale se tourne......
La personnalité du jour
Nicolas Copernic
Nicolas Copernic
polonais :
Mikołaj Kopernik [miˈkɔwaj kɔˈpɜrnik],
allemand : Nikolaus Kopernikus,
latin : Nicolaus Copernicus
Torinensis/Thorunensis/Torunensis est un astronome polonais, également chanoine, médecin et mathématicien, né le 19 février 1473 à Thorn (Toruń), Prusse royale (royaume de Pologne) et mort le 24 mai 1543 à Frauenburg (également en Prusse royale, royaume de Pologne, aujourd'hui Frombork).
Il est célèbre pour avoir développé et défendu la théorie de l'héliocentrisme selon laquelle la Terre tourne autour du Soleil, supposé au centre de l'Univers, contre l'opinion alors admise, que la Terre était centrale et immobile.
- Les conséquences de cette théorie dans le changement profond des points de vue scientifique, philosophique et religieux qu'elle impose sont baptisées révolution copernicienne.
Naissance et études
Nicolas Copernic naît le 19 février 1473 dans une famille riche de la ville hanséatique de Toruń (Thorn), en Poméranie.
Son père, prénommé également Nicolas, riche négociant en cuivre, est un bourgeois de Cracovie venu s'établir à Toruń peu avant l'annexion de la région par le royaume de Pologne, et suffisamment intégré pour y devenir échevin. Il est investi dans les affaires politiques et, avec d'autres bourgeois de Toruń, finance Casimir IV dans sa guerre contre l'Ordre Teutonique qui se termine par la victoire du roi de Pologne en 1463.
Sa mère, Barbara Watzelrode (ou Watzenrode) est d'une ancienne famille de Toruń, probablement originaire de Silésie.
Le jeune Nicolas passe son enfance à Toruń d'abord au 17 de la rue Sainte Anne (aujourd'hui renommée rue Copernic). La famille déménage ensuite au 36 de la place du marché de la même ville alors qu'il est âgé de sept ans. Très tôt, le jeune Copernic est initié à l'art, à la musique et aux belles-lettres. Il fréquente l'école paroissiale de l'église Saint-Jean.
Toruń (en allemand : « Thorn »), la ville où est né Nicolas Copernic
Il est pris en charge par son oncle maternel, futur évêque de Varmie, Lukas Watzelrode (ou Lucas Watzenrode) à la suite du décès de son père (vers 1483). Celui-ci veille sur son neveu et s'assure qu'il fréquente les meilleures écoles et universités ; en 1491, il devient étudiant à l'Université de Cracovie (actuellement l'université jagellonne de Cracovie) où il étudie les mathématiques et l'astronomie (quadrivium), mais aussi la médecine et le droit, tout en suivant probablement le trivium, cours habituel de la Faculté des arts (centré sur la dialectique et la philosophie).
Il quitte cette université après trois ou quatre ans, trop tôt pour obtenir un diplôme.
Il retourne alors chez son oncle, qui tente de le faire élire chanoine au chapitre de la cathédrale de Frauenburg. Sans attendre la confirmation de son élection (en 1479), il se rend en 1496 en Italie où il étudie à l'université de Bologne le droit canonique puis le droit civil1, mais aussi la médecine et la philosophie.
Il y apprend le grec, qui lui servira grandement pour étudier les sources de la science antique. À Bologne, il loge chez l'astronome Domenico Maria Novara, qui est l'un des premiers à remettre en cause l'autorité de Ptolémée.
Selon Rheticus, « il fut moins le disciple que l'assistant et le témoin des observations du très savant Dominicus Maria ». C'est ainsi que Copernic fit la première observation dont nous ayons connaissance de l'occultation de l'étoile Aldébaran par la Lune;
En 1500, il donne, d'après Rheticus, une conférence sur l'astronomie à Rome, et y observe une éclipse partielle de lune. Le chanoine Copernic se rend l'année suivante au chapitre de la cathédrale de Frauenburg, où on lui accorde une absence supplémentaire de deux ans pour étudier la médecine.
Il poursuit donc ses études en médecine et droit à l'université de Padoue, réputée pour son enseignement de médecine. Mais c'est à Ferrare, le 31 mai 1503, qu'il obtient le titre de docteur en droit canon (le doctorat de médecine aurait nécessité trois années d'études).
À la fin de ses études, en 1503, il quitte définitivement l'Italie et réintègre son diocèse.
(wikisource)
24 mai - Journée Mondiale du Bricolage
Le 24 mai, c’est la journée du bricolage.
Le bricolage n'est pas seulement une activité manuelle utilitaire. Pratiqué par 80% des Français, 62% le considèrent comme un loisir à part entière. Même si bricoler demande des efforts, c'est également un moyen de se maintenir en forme, de participer au développement durable en réparant ou recyclant, et d'améliorer son quotidien.
Amateurs ou confirmés, tous les bricoleurs doivent être fiers de leurs réalisations.
Cette journée est donc faite pour célébrer cette communauté qui contribue, via ses créations, à faire découvrir cette passion du bricolage et ses valeurs d'entraide, de bonne humeur et de partage.
Si le bricolage est d’abord un loisir pour les 88 % de Français qui s’y adonnent, faire des travaux soi-même permet de réaliser une économie de 20 à 30 % en comparaison de ce qu’il en aurait coûté en recourant à un professionnel.
Et la crise économique amplifie cette volonté de faire soi-même...
2006 :
1670, France : Louis XIV crée par ordonnance royale l'hôtel des Invalides.
1671, France : Les « Fourberies de Scapin », de Molière, au Théâtre du Palais-Royal.
1676, France : émeutes antifiscales à Guingamp.
1793, Révolution française :
1871, Commune de Paris :
1873, France : le monarchiste légitimiste Mac-Mahon devient président de la République.
1885, France :
1923, France : Raymond Poincaré veut traduire en justice les députés communistes à cause de leur opposition à l’occupation de la Ruhr.
1924, Italie :
1936, France : défilé de soutien au Front populaire pour commémorer la Commune de Paris.
Article initial du 24 mai 2011, régulièrement mis à jour tous les 24 mai,
Le 24 mai 2019, 18H30
La Semaine sanglante, du dimanche 21 au dimanche suivant 28 mai 1871, est l'épisode final de la Commune de Paris, où elle est écrasée et ses membres exécutés en masse
Le 21 mai 1871 débutait la Semaine sanglante
Retour de l’ordre bourgeois dans le sang, la Semaine sanglante reste l’un des évènements les plus sombres du mouvement révolutionnaire français.
Pas moins de 30 000 communard·e·s seront tué·e·s dans les combats et 46 835 seront fait prisonnier·e·s.
En une semaine Adolphe Thiers et ses sabre-peuple décapitent Paris la Rouge. Mais si la Commune tombe, sa mémoire perdure.
Se souvenir c'est déjà lutter
24 mai 1871 J4
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