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BM
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L'Uberisation du travail est En Marche
(2018) - Vu dans la presse
Bigre ! Les pandores du coin ne rigolent pas....Faut faire gaffe
2018, France, Assemblée Nationale, une majorité de députés de la majorité présidentielle (LREM) a refusé de se déterminer sur un seuil de consentement..........Les victimes et leurs parents apprécieront !
De nombreux pays, de l'Allemagne au Canada présument l'absence de consentement des enfants en-dessous de 13 à 16 ans aux actes sexuels de la part d'un majeur.
Une telle présomption était attendue en France par les associations de défense des droits des femmes et des enfants après deux affaires récentes où des fillettes de 11 ans avaient été considérées par la justice comme consentantes.
Il ne peut y avoir de notions floues ou d'à peu près
« Toute relation sexuelle entre un adulte et un enfant est un crime »
et doit être traitée comme telle.
Ne cousons pas la bouche des mineurs, des victimes de prédateurs criminels, par des Lois qui ne les protègeraient pas, mais qui au contraires pourraient donner des arguments à leurs agresseurs.
BM
La personnalité du jour
Abû al-`Abbâs al-Ma'mûn
Abû al-`Abbâs al-Ma'mûn `Abd Allah ben Hârûn ar-Rachîd1 surnommé al-Mamûn ou Almamon (Celui en qui on a confiance), né le 13 septembre 786 à Bagdad et mort à Tarse le 9 août 833, à l'âge de quarante-sept ans, était un calife abbasside pratiquant du mutazilisme qui régna de 813 à 833.
Selon la tradition musulmane, il est né le jour de l'intronisation de son père Hârûn ar-Rachîd et fut appelé `Abd Allah. Sa mère était une esclave perse nommée Marajil. Quelque temps plus tard, Hârûn ar-Rachîd eut un second fils Mohammed, de son épouse Zubayda petite fille du calife Al-Mansûr. Il fut surnommé Al-Amîn.
Dans un premier temps, Hârûn voulut reconnaître `Abd Allah, comme héritier présomptif lui donnant le surnom de Al-Mâ'mûn. Il dut affronter la colère de Zubayda et de ses partisans qui estimaient qu'Al-Amîn était le plus légitime. Hârûn ar-Rachîd céda et fit reconnaître en 802 son fils Al-Amîn comme héritier présomptif alors qu'il n'avait que cinq ans.
Au cours d'un pèlerinage à La Mecque, Hârûn ar-Rachîd décréta un arrangement entre ses deux fils : Al-Amîn était l'héritier présomptif et gouvernerait l'ouest de l'empire (Irak Syrie) et Al-Ma'mûn deviendrait le second dans l'ordre de succession et dirigerait l'est de l'empire (Khorasan) et résiderait à Merv.
Dès la mort de Hârûn ar-Rachîd, les relations entre les deux frères se détériorèrent. En violation de l'accord de La Mecque, Al-Amîn désigna son fils comme successeur présomptif. Chacun des deux accusait l'autre d'avoir rompu le pacte.
Les armées d'Al-Amîn venues d'Irak et de Syrie et celles de Al-Ma'mûn venues du Khorasan et conduites par Tâhir s'affrontèrent une première fois près de Ray. La bataille commença par un combat singulier entre les deux généraux, mais l'armée du Khorasan livra une charge qui mit en déroute l'armée de Bagdad. Al-Ma'mûn fut alors acclamé comme calife dans le Khorasan et le Tabaristan.
Al-Amîn se replia sur Bagdad où il dut faire face à des mutineries dans l'armée.
En 813, après une nouvelle série de défaites des armées de Bagdad, à Bassora et aux portes de Bagdad, de nouvelles mutineries dans la troupe et une révolte de la population de Bagdad, Al-Amîn fut contraint de se replier dans son palais.
Le 1er septembre 813, le palais fut pris d'assaut par les troupes de Al-Ma’mûn. Al-Amîn fut décapité, sa tête, le sceptre et le manteau de Mahomet ainsi que l'anneau du califat furent envoyés à Al-Ma’mûn.
À titre posthume, Al-Amîn a été surnommé Al-Makhlû` (Le déchu). Deux des fils de Al-Ma’mûn et leur mère qui étaient détenus par Al-Amîn sont partis rejoindre leur père. Les fils de Al-Amîn ont été faits captifs et envoyés à Al-Ma’mûn.
Al-Ma'mûn sembla changer de politique. Il pensait que les Perses étaient favorables aux Hachémites et demanda le soutien d'Alî ar-Ridhâ. Il l'invita à venir se joindre à lui à Merv. En 818, `Ali ar-Ridhâ rejoignait Al-Ma`mûn, ne laissant à Médine que son fils Muhammad at-Taqî et son épouse. Al-Ma'mûn désigna `Alî ar-Ridhâ comme successeur.
Cette succession ne devait avoir lieu que si `Alî ar-Ridhâ survivait à Al-Ma'mûn. Ce dernier changea la couleur du drapeau, abandonnant le noir, couleur des abbassides, pour le vert, couleur des Alides. Des troubles se produisirent dans tout l'Irak en opposition à Al-Ma'mûn et à sa politique. `Ali ar-Ridhâ mit en garde Al-Ma'mûn sur le choix de son gouverneur d'Irak qui menait ces troubles.
En 816, Bâbak Khurramdîn prit la tête du mouvement des Khurramites. Ce mouvement anti-arabe et anti-musulman menait une guerre d'indépendance localisée sur le territoire azéri (partie iranienne et partie azerbaïdjanaise).
Bâbak fut exécuté le 4 janvier 838 à Samarra pendant le règne d'Al-Mu`tasim.
En 817, à Bagdad, Ibrâhîm ben al-Mahdî10, fils du calife Al-Mahdî et frère aîné de Hârûn ar-Rachîd, se révolta contre l'arrangement avec `Ali ar-Ridhâ, qu'il voyait comme une tentative de déposséder du pouvoir la famille abbasside.
Le vendredi 24 juillet 817, Ibrâhîm monta en chaire à Bagdad ; il déclara Al-Ma’mûn déchu et se proclama calife. Sous ses ordres, une armée partie de Bagdad s’empara de Koufa, une autre de Madayn aux portes de Bagdad.
Dans le même temps, un groupe de kharidjites mena une révolte dans le Sawâd. Ibrâhîm voulut attaquer ces nouveaux adversaires, mais ses généraux sympathisèrent avec eux et la troupe réclamait sa solde. Après avoir payé ses soldats sur les trésors de Bagdad, Ibrâhîm se dirigea vers Wâsit qu'il prit. La révolte kharidjite était contenue.
Al-Ma'mûn, instruit de ces événements, sortit de Merv le 22 janvier 818 pour aller vers Tus où son père était enterré. Il fit halte à Sarakhs, y fit assassiner son vizir Fadhl et repartit vers Tus à la fin de ramadan.
C'est peu après ce séjour à Tus que `Alî ar-Ridhâ mourut. Al-Ma'mûn poursuivit sa route vers l'Irak en passant par Ray. À chaque étape, il diminuait les impôts pour obtenir le soutien de la population. Apprenant l'arrivée de Al-Ma'mûn, les généraux de Bagdad trahirent Ibrâhîm pour se rallier.
Ibrâhîm s'enfuit et Bagdad reçut Al-Ma'mûn le 12 août 819, ses habitants portant à nouveau le costume noir des abbassides.
(... / ...)
(wikisource)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Al-Ma%E2%80%99m%C5%ABn?fbclid=IwAR19092N4EDCQK0YcwBwrbJIeTBc65H3CZGhJHoR5i3AJdFIRsuz2ddak6M
Le 10 août 1920
Le traité de Sèvres dépèce la Turquie ottomane
Fin 1918, les troupes alliées occupent Constantinople, la capitale de l’Empire, ainsi que de nombreux territoires ottomans :
les forces britanniques contrôlent la Mésopotamie et une bonne partie de la Syrie,
la France occupe la Cilicie,
les Italiens le sud-ouest de l’Anatolie
et l’armée grecque se déploie en Thrace orientale et à Smyrne.
L’avenir de la région est dorénavant largement entre les mains des puissances occidentales. Après plusieurs rencontres et conférences, les Alliés finissent par s’entendre sur les conditions de paix avec l’Empire lors de la conférence de San Remo, en Italie, en avril 1920.
Un traité de paix est signé à Sèvres, en France, par le Sultan Mehmet VI (1861-1926), dernier sultan ottoman, qui choisit de coopérer avec les Alliés. Les conditions du traité sont pourtant humiliantes pour un des plus grands empires de l’histoire moderne :
Si le sultan se résigne, après deux mois de discussion, à signer le traité de Sèvres, il est considéré comme inadmissible par les nationalistes, dirigés par Mustafa Kemal.
Ce héros de la guerre, qui mène, à partir de l’Anatolie, une lutte acharnée contre le gouvernement de Constantinople et contre les puissances occupantes depuis juin 1919, le rejette immédiatement.
La sévérité des clauses du traité de Sèvres l’aide alors à rallier une bonne partie de la population au mouvement…
1792, Révolution française :
La famille royale se réfugie à l'Assemblée qui se déclare en séance permanente et se fait délivrer le sceaux de l'État pour marquer sa prise de pouvoir; le soir, l'Assemblée législative, qui assume tous les pouvoirs, désigne par acclamation un conseil exécutif provisoire, composé de six ministres (Étienne Clavière, Roland, Joseph Servan, Danton, Monge et Lebrun).
Elle envoie aux armées 12 députés disposant de pouvoirs étendus (dont la suspension des généraux); le principe de la création d'une nouvelle assemblée, la Convention nationale, est acquis.
Création de la Commune insurrectionnelle de Paris ; Santerre est nommé à la tête de la Garde Nationale.
Article initial du 10 aout 2011, régulièrement mis à jour tous les 10 aout,
Le 10 aout 2019, 16H20