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  • : FO Retail Distribution
  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

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Dans ce blog nous sommes amenés fréquemment à diffuser des images, des vidéos, des photos, voire des articles de presse, d'insérer des liens vers des documents,   ceci afin d'étoffer et d'éclairer nos posts, en leur donnant plus de contenus, pour une meilleure compréhension.

Nos sources sont toujours citées.

Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.

Néanmoins rien n'empêche les personnes ne désirant pas voir leur image diffusée de nous le signaler lors de la prise de vue.

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25 août 2017 5 25 /08 /août /2017 17:42

Dernière mise à jour le 25/08 2017

 

L'information à géographie variable:

 

Dix journalistes ont été assassinés en 2017 dans un pays d'Amérique Latine. Mais comme il s'agit du Mexique et non du Vénézuéla, l'info ne mérite pas qu'on s'y arrête.

Venezuela: CQFS
Venezuela,

 

Nicolas Maduro a été élu démocratiquement, il ne s'agit pas d'un dictateur, ni le Venezuela d'une dictature. C'est un pays avec une très forte inflation,  la vie y est dure, les gens sont pauvres. Les tensions au sein de la population sont vives et exacerbées.

 

C’est entendu : dans le chaos et la violence qui règnent aujourd’hui au Venezuela, il y a la (très) grosse patte de l’oncle Sam et de ses officines ; il y a l’esprit de revanche des nantis ; il y a les groupes d’extrême-droite et sans doute aussi un vieux fond de racisme des blancs face aux « indiens ».

 

C’est tout aussi entendu : une bonne partie de la presse et des politiques qui dénoncent à longueur de temps le néo-dictateur Maduro est bien placée. On ne les entend pas souvent quand il s’agit de la Turquie ou de leurs amis du Golfe, tous à la tête comme on le sait de démocraties irréprochables… Il est non moins clair qu’il faut s’opposer à toute intervention étrangère au Venezuela et que c’est au peuple de ce pays de régler lui-même ses problèmes.

 

Instabilité politique, situation insurrectionnelle, l'horreur des morts chaque jour, et de (trop) nombreux blessés, témoignent  des fortes tensions que traverse le pays actuellement.

Il faut savoir que la présentation médiatique, journaux, TV, radio, agences de presse, des évènements actuels est extrêmement manipulatrice.

 

D'où s'exercent ces tensions? Quelles en sont les origines?

Très certainement de ceux, qui habitués des ingérences ont pris l'habitude de croire que l'Amérique du sud est un terrain de jeu qui leur est acquis, et qu'ils peuvent y exercer toutes sortes et toutes formes d'exactions, dans leur logique de défense de leurs interêts bien compris. Les mêmes et leurs descendants qui ont mis en place le sinistre Pinochet, et "aidés" d'autres brillants démocrates à asservir leur peuple, preserver et faire fructifier leurs avoirs.

Les States considèrent que l'Amérique du sud leur "appartient", leur ingérence est partout, ne serait-ce qu'au niveau agricole, toutes les grosses compagnie de l'industrie alimentaire y sont; DEL MONTE le plus puissant nous envoie ici, en France, des produits très peu bios, résultant d'une agriculture fort peu solidaire les oranges, les bananes, les ananas, les avocats et les jus comme Joker, ceux qui travaillent pour eux sont payés une misère, ils font travailler des enfants, alors pas de vague dans ces pays producteurs, d'ailleurs lors du putsch militaire chilien, qui se cachait dans l'ombre de ce carnage?

Maduro n'est certainement pas le plus vertueux des hommes politiques, est-il le seul dans ce cas? Certes non...

Ses effets sont douloureux, la violence exacerbe la violence qui la nourrit, la démocratie tangue sur ses bases, ses fondements sont menacés, mais que cache réellement une telle situation, et qui se cache derrière, commanditaires, finances, grands groupes et officines sont à la manoeuvre. 

Qui trinque et paie le prix, à coup sûr les ouvriers, les jeunes, les étudiants et les classes populaires. C'est à dire celles et ceux qui sont toujours en première ligne des difficultés, et les paient au prix le plus fort, parfois celui de leur vie.

La presse choisit ses cibles et ses sujets, ce n'est point un secret.

Regardons ce qu'il en est du traitement des grandes démocraties actuelles dans notre presse, dont on nous vante sa liberté de choix, de ton,  et éditoriale: 

Outre le feuilleton ridicule du sieur Neymard* qui s'étale partout, la presse internationale et en général les "gens qui se préoccupent des droits de l'Homme", invitent l'armée turque à renverser Erdogan et préconisent une intervention militaire étrangère pour mettre fin à ce régime...

Les mêmes suggèrent qu'il soit fait pression par les mêmes moyens sur l'Arabie saoudite et le Qatar pour qu'ils acceptent le pluralisme, les élections libres, la démocratie parlementaire et reconnaissent les droits élémentaires pour les femmes...
Hein? Quoi? Qu'est-ce que vous dites? 
Il ne s'agissait pas de la Turquie? Ni de l'Arabie saoudite? Ni du Qatar?
En fait, il s'agit du Venezuela...!

On l'aura bien compris les interêts et la liberté d'imprimer et de diffuser sont à géométrie très variable, et épousent très directement les interêts particuliers et généraux des financiers, groupes de pression et investisseurs. 

Comment pourrait on se fâcher avec Erdogan à qui on a confié le parcage des migrands, et le flicage des frontières avec ses voisins?

Comment pourrait-on se fâcher avec la Qatar et l'Arabie saoudite, bailleurs de notre économie, à qui l'on déroule le tapis rouge et accroche en nos palais de la république, qu'ils possèdent déjà, des breloques en chaque occasion, et qui peuvent ainsi en toute impunité médiatique et diplomatique contraindre, emprisonner, financer le terrorisme de leur choix, lapider, et décapiter tout à leur aise sans aucun bruissement réprobateur qui puisse faire désordre?

De quoi s'alimente ce buzz médiatique? Presse, groupes de télévisons et médias sont dirigés par la finance aux mains pour la plupart de marchands de canons, qui ne voit pas d'un bon oeil le gouvernement Maduro en place, et dont la désinformation leur sert de ligne éditoriale.

Concernant le vote sur la Constituante, source des désordres constatés dûment relatés et abondamment commentés, "Le Monde" daté de mardi souligne que la participation à l'élection à la Constituante vénézuélienne a été forte dans les quartiers populaires et nulle dans les quartiers riches, car là l'opposition bloquait l'accès aux bureaux de vote... Cela en dit long, en effet !

Remettons un peu de vérité dans ce concert de désinformation médiatique dont on voit trop bien la finalité,

Ce n’est pas au Venezuela que 45 étudiants ont été assassinés sans aucune suite judiciaire, que les fosses communes débordent d’hommes et de femmes martyrisés, que la misère et l’analphabétisme sévit dans tout le pays, mais au Mexique.

Ce n’est pas au Venezuela que le rapport 2017 d’Amnesty relève la multiplication de violences contre les femmes et les populations indigènes, que l’armée et la police s’illustrent par des opérations répressives dans le villages éloignés de la capitale, mais au Pérou.

 

Ce n’est pas au Venezuela que la finance internationale camoufle ses méfaits, mais au Panama.

 

Ce n’est pas au Venezuela que le pouvoir s’attaque aux grands mères des disparus durant la dictature, que la répression s’abat sur le mouvement ouvrier mais en Argentine.

 

Ce n’est pas au Venezuela que des centaines d’opposants politique restent toujours emprisonnés malgré des « accords de paix », que des militants de gauche sont assassinés mais en Colombie.

 

Ce n'est pas au Venezuela, mais au  Sri-Lanka, après le tsunami de 2004, que l'on a interdit aux pêcheurs de revenir s'installer sur leurs plages, pour vendre les terrains à des hôtels de luxe...

 

Ouragan Katrina,

Les morts, les disparus, femmes et enfants, celles et ceux qui ont tout perdu, qui ont du abandonner leurs maisons, sans aucune indemnité après les très graves inondations, ce n'était pas au Venezuela, mais bien chez l'oncle Sam, à La Nouvelle Orléans, sous la mandature de G. W Bush

 

Le 15 octobre 1987,  dans ce nouvel état du Burkina Faso, qui a armé le bras qui tua Thomas Sankara, homme et leader épris de justice et de liberté, dont la dépouille éparpillée ne fut jamais retrouvée? Avant la Grèce, et d'autres, muselés depuis,  il avait osé dire qu'il ne paierait pas la dette dont les puissances occidentales accablaient son pays.

 

(BM)

*Nous n'avons aucune animosité envers ce joueur de football, et lui souhaitons une belle carrière et une belle vie, là ou il le décidera. Nous faisons simplement ressortir le battage médiatique sur-exposé de son transfert, à l'échelle des moyens exorbitants mis en oeuvre pour s'attacher ses services, provenant de fonds souverains..... avec de forts relents de tensions  diplomatiques exacerbées avec un autre gros bailleur,  les émirats arabes unis...La aussi la guerre des médias et de l'influence fait rage!

Il n'est pas jusqu'à la mairie de Paris qui dépassant toute forme de décence n'a pas hésité d'inscrire le nom du joueur sur la tour Eiffel. Jusqu'à présent cet édifice, représentant notre pays dans le monde n'était pas associé à des effets de communication publicitaires, fussent-ils au bénéfice de nos trés chers amis du Qatar. (BM)

Le journalisme de propagande fait son office par servitude ou par ignorance feinte

Le journalisme de propagande fait son office par servitude ou par ignorance feinte

Non le Venezuela n’est pas une dictature, ni Maduro un vil dictateur
Le journalisme de propagande fait son office par servitude ou par ignorance feinte
Alors comment qualifier un pays qui a connu plus d’une quinzaine d’élections depuis moins de 20 ans, y compris un referendum révocatoire du chef de l’Etat, ou l’opposition détient 90% des médias et manifeste chaque jour et où elle avait la majorité dans une Assemblée Nationale élue mais qui perd aujourd’hui ce contre-pouvoir au profit d’une Assemblée Constituante, toute aussi constitutionnelle.
La presse poursuit impunément sa désinformation. Les manifestations continuent, manipulées par des groupes violents putschistes aux ordres de puissances étrangères.
Alors, si le Venezuela était vraiment une dictature, vous n’entendriez plus ces pseudo-informations visant à discréditer le régime , tout simplement parce que vous n’en entendriez plus parler du tout :

  • - Prise de contrôle de tous les médias
     
  • - Black out total
  • - Propagande quotidienne du régime
  • - Liquidation de l’opposition
  • - Emprisonnements, assassinats, tortures
     
  • - Suspension de toutes les libertés individuelles
  • - Etat de siège
  • - Couvre-feu
  • - Pleins pouvoirs à l’armée comme instrument de répression
Ces mesures radicales sont celles de toutes les dictatures depuis la nuit des temps même si les modalités sont fonction des époques.

Tout cela rappelle douloureusement le Chili, quand on qualifiait Allende de marxiste à la solde de l’URSS alors qu’il était simplement un socialiste patriote au service des plus démunis. Bien sûr, Pinochet, le sauveur, a su rétablir la situation en le mettant hors d’état de nuire avec l’aide de la CIA, et l'utilisation des méthodes ci dessus, et en vendant le pays aux Etats-Unis.
L’Histoire se répète, malheureusement. La situation du Venezuela est totalement comparable à celle du Chili en 1973.

Ce qui est inacceptable dans la situation actuelle au Venezuela n’est pas que l’on soit en désaccord avec certains aspects de la politique de Maduro.
 En revanche, aucune critique ne peut justifier le recours à un putsch néo-libéral dont l’unique but est la spoliation des ressources naturelles du pays par des puissances étrangères. Nous devons nous opposer à ce projet mortifère envers le peuple contre le néo-libéralisme, en toute occasion, ici ou là-bas. Nous serions alors coupables de passivité. Il en va, également, de notre avenir.


Voilà pourquoi le Venezuela d’aujourd’hui n’est pas une dictature et ne le sera pas sous le régime actuel mais pourrait le devenir si l’opposition putschiste parvenait à renverser le régime et accéder au pouvoir.

Sourcing, Christian Rodriguez

Interviewé par la chaîne latino-américaine Telesur, Joan Garcés, ancien conseiller du président Salvador Allende, souligne le parallèle existant entre la situation que traverse le Venezuela sous la révolution bolivarienne et le contexte de guerre de déstabilisation qui précéda le coup d’état du général Pinochet qui eu lieu le 11 septembre 1973 au Chili, avec le soutien de la CIA.

Presidente Maduro denunció que medios internacionales ocultan la violencia promovida por la derecha venezolana

CQFS, pour une meilleure compréhension de la situation

à dérouler......

 

1/ - Et sinon c'était comment avant Chavez le #Venezuela ?
Les ravages du libéralisme en quelques points.

 

2/ Président en 89: Carlos Andrés Pérez. Un social-démocrate, élu en 89. Dénonçant le FMI, il va pourtant appliquer son programme.
3/ Privatisations des entreprises publiques, dévaluation du Bolivar, dégel des prix, gel des salaires, coupes des dépenses publiques etc
4/ La manne pétrolière ne profitent qu'à quelques familles. Le modèle est de type Saoudien.
5/ En 1989 la population la + pauvre du Venezuela se révolte contre les réformes brutales du FMI. Le gvt réagit: 3000 morts en 3j
6/ Prenant conscience de la brutalité de ce pouvoir, 2 tentatives de coups d'état éclatent. Chavez se fait connaitre à ce moment là.
7/ En 1994, Carlos Andrés Pérez est destitué pour malversations, appropriations illégales dans le but de financer des campagnes politiques.
8/ En 97 voici l'état du pays: PIB 85Mds, ratio de pop. pauvre 55%, pauvreté extrême 25%, espérance 71,5 ans, revenu national brut 3340$.
9/ Comparatif après Chavez: 371Mds de PIB en 2013, Rnb: 11760$, ratio pop. pauvre 29,4%, esp. de vie 74 ans, % pauvreté extrême 2015 9,5%.

Nlle mise à jour 13/08/ 2017 – 18H25


"Le Venezuela, c'est loin, c'est exotique, et nous subissons la vision de notre presse hexagonale qui nous sert quotidiennement des infos dessus... Ne pouvant plus accorder de crédit aux infos frelatées présentées par les médias aux ordres, Le Blog s’efforce  de vous apporter un éclairage sans fard, ni parti pris, sur la base de sources fiables, étayées et vérifiées......

 

Donc ci-après une tentative de synthèse de la situation, pour voir les choses d'une autre perspective et surtout pour réfléchir à ce qu'est devenue notre presse...

L'opposition vénézuélienne a boycotté la Constituante du 30 juillet dernier, mais va participer aux élections régionales (avancées de décembre à octobre prochain), de gouverneurs, et aux présidentielles de 2018; Tout cela dans le cadre d'une Constitution de 1999 toujours en vigueur (jusqu'à l'approbation de la nouvelle dans un an ou deux), et d'institutions (Conseil National Electoral -qui, entre parenthèses, avait validé la victoire de l'opposition aux législatives de 2015, et la quelque vingtaine de processus électoraux depuis 18 ans, c'est dire son impartialité!-) qu'elle dénonçait quelques semaines plus tôt comme illégitimes, illégales et frauduleuses... Avant-hier, Maduro a remis son mandat entre les mains de l'Assemblée Constituante, expression légitime du peuple souverain dans une démocratie digne de ce nom, et a été reconduit dans ses fonctions; Il demande à discuter avec son homologue américain qui lui oppose une fin de non-recevoir "tant qu'il n'y aura pas de démocratie au Venezuela"... Allez comprendre!!!!! (Ou si: on comprend trop bien vers quoi on va...)

Une centaine de morts durant les mois qui ont précédé cette élection constituante;

Les victimes sont généralement des chavistes, ou des citoyens ordinaires qui se trouvaient au mauvais endroit, à 80% du fait des actes de l'"opposition pacifique" et on parle de "génocide" de "dictature"; les zones de protestation sont essentiellement celles dont les maires ou gouverneurs étaient d'opposition, ou à certains endroits de la frontière colombienne avec l'incursion d'escadrons de la mort colombiens en territoire vénézuélien; en comparaison, en 1989 le "caracazo", sous gouvernement social-démocrate (le président d'alors Carlos Andrés Perez, responsable de ces faits, fut un temps président de l'Internationale socialiste à laquelle appartient notre PS) a vu la répression sauvage de quelques 3 000 personnes (morts, disparus, torturés) en à peine quelques jours en raison des émeutes de la faim provoquées par les mesures d'austérité imposées par le FMI à un pays qui regorgeait de pétrole mais essoré par des élites corrompues qui alternaient au pouvoir depuis 40 ans: pas de menace d'intervention militaire US alors, ni de cris dénonçant "la dictature", le "génocide"...

Ces infos sont vérifiables, certaines filmées; comparez avec ce que vous en dit la presse française (jusqu'au Canard dont l'éditorialiste doit être en vacances tellement son avant-dernier billet est superficiel!).."

(Remerciements Jose Feliu)


 

"La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter" (Aldous Huxley)

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Non le Venezuela n’est pas une dictature, ni Maduro un vil dictateur

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