C’est la conclusion d’une étude scientifique américaine récente.
Perdre son emploi aurait autant d’effet délétère sur le cœur que l’hypertension, et le perdre quatre ou cinq fois augmenterait le risque d’infarctus dans la même proportion que le tabagisme de longue date.
Ceux qui gardent leur emploi ne sont pas forcément mieux lotis.
Une autre étude, française celle-là, avait démontré que plus d’un infarctus sur 30 est dû au stress au travail.
BM