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  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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26 juillet 2019 5 26 /07 /juillet /2019 14:09
 DECROISSANTE MONTANTE Lever - Coucher : 01:35 - 15:59 (Paris)

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26/07, c'est arrivé un certain 26 juillet de notre histoire....
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Le 26 juillet 1833

 L'Angleterre abolit l'esclavage

 

Le 26 juillet 1833, à Londres, la Chambre des Communes vote une loi d'émancipation qui abolit l'esclavage dans toutes les colonies britanniques en prévoyant de confortables indemnités pour les planteurs. Le Premier ministre whig (ou libéral) Charles Grey soutient l'initiative.

 

« Je rends grâce à Dieu d'avoir vécu un tel jour où l'Angleterre accepte de payer 20 millions de livres sterling pour l'abolition de l'esclavage », déclare William Wilberforce.
Celui-ci avait réussi à faire interdire la traite en 1807 et, en 1823, participé avec Thomas Fowell Buxton à la fondation de la « Société anti-esclavagiste » (« Anti-Slavery Society »), à l'origine de la nouvelle loi.

 

Quinze ans plus tard, la France, à son tour, abolira l'esclavage dans ses colonies.

26/07, c'est arrivé un certain 26 juillet de notre histoire....
Stanley Kubrick

Stanley Kubrick

 la personnalité du jour

 

Stanley Kubrick
 

Stanley Kubrick [ˈstænli ˈkuːbrɪk] est un réalisateur, photographe, scénariste et producteur américain né le 26 juillet 1928 à Manhattan (New York) et mort le 7 mars 1999 dans son manoir de Childwickbury, entre St Albans et Harpenden (Hertfordshire, nord de Londres).

 

Après des débuts dans la photographie, Kubrick, autodidacte, sera également son propre directeur de la photographie, producteur, scénariste ou encore monteur. Ses treize longs métrages en quarante-six ans de carrière l'imposent comme l'un des cinéastes majeurs du xxe siècle. Quatre de ses films sont classés dans le Top 100 de l'American Film Institute.


 

  • Jeunesse et parenté


Stanley Kubrick est issu d'une famille juive originaire d'Europe centrale habitant dans le quartier du Bronx. Il est le fils de Sadie Gertrude Perveler (1903-1985) et de Jacob Leonard Kubrick (1901-1985).

 

Son père, né aux États-Unis d'une mère roumaine et d'un père austro-hongrois, était cardiologue, pianiste et photographe amateur. Il apprend à son fils Stanley âgé de douze ans à jouer aux échecs cette passion suivra Stanley Kubrick toute sa vie. Sa mère Gertrude, née Perveler, chanteuse et danseuse, lui a donné le goût des livres et de la lecture. Il a une sœur cadette, Barbara, née le 21 mai 1934.

 

De 1940 à 1945, Kubrick ne trouve aucun intérêt à l'école. Mis à part la physique, rien ne l'intéresse, et il n'arrive pas à obtenir une moyenne suffisante pour s'inscrire à l'université. D'autant plus que la guerre terminée, nombre de soldats revenant du front tentent d'y entrer, mais les inscriptions sont limitées.

 

En 1947, à l'âge de 18 ans, il se marie avec Toba Metz, une camarade de classe du lycée (la William Howard Taft High School. Ils s'installent dans Greenwich Village deux ans plus tard et divorceront en 1951.

 

  • Débuts dans la photographie

 


Pour son treizième anniversaire, son père lui offre son premier appareil photo. Cette nouvelle activité le passionne et lui fait oublier sa passion de jeunesse, le jazz, et son rêve de devenir batteur de jazz professionne. Il prend de nombreuses photos et les développe avec un ami dans la chambre noire familiale. Il devient le photographe officiel de son collège et a pour idole le reporter-photographe Weegee.

 

En avril 1945, à l'âge de 16 ans, il réussit à vendre au magazine illustré Look une photographie d'un vendeur de journaux en larmes après la mort de Franklin D. Roosevelt, qu'il a prise alors qu'il se rendait au lycée. La rédactrice en chef l'engage comme photographe indépendant, « par pitié » dira-t-il plus tard.

 

Stanley Kubrick y travaille durant quatre ans et y apprend les ficelles du métier, la composition d'une image, les éclairages, l'usage des extérieurs et l'art de saisir le mouvement.

 

 

 

Plutôt perfectionniste, il lui arrive de prendre plusieurs centaines de clichés pour réaliser une seule photo. Grand amateur de boxe, son premier « photos-récit » intitulé Prizefighter (Le Professionnel) raconte une journée de la vie du boxeur Walter Cartier. C'est ce photo-récit qui sera à l'origine de son premier film : Day of the Fight.

 

  • Un destin de réalisateur

 

Pendant ses premières années de photographe de magazine, Kubrick fréquente assidûment les salles de cinéma, notamment les séances au Mom'Art (Museum of Modern Art).

 

Ses goûts sont éclectiques, avec une préférence, comme il le dit en 1963 dans la revue Cinéma, pour le cinéma d'auteur européen comme Ingmar Bergman, Michelangelo Antonioni, Federico Fellini. Les films de Max Ophüls comme Le Plaisir ou Madame de... — mouvement complexe et sans heurt de la caméra, travelling — influencent le jeune Stanley Kubrick.

 

En 1950, l'autodidacte Stanley Kubrick, âgé de 22 ans, se décide à sauter le pas et se lance dans le cinéma. Pour lui, sa meilleure formation, ce sont les longues séances cinématographiques qu'il s'impose, des meilleurs films au pire des navets. « Je ne peux pas faire pire » se dit-il.

 

 

 

 

  • Courts métrages et série TV

 


Dans ses premiers films, Kubrick fait tout lui-même : il est à la fois scénariste, cadreur, ingénieur du son, monteur et réalisateur.

 

Entre 1950 et 1951, Kubrick réalise deux documentaires, consacrés l'un à un boxeur, l'autre à un missionnaire. Il reprend l'idée de son photos-récit Prizefighter et réalise avec Alexander Singer, un camarade de classe, le court métrage Day of the Fight — une journée de la vie du boxeur Walter Cartier —, filmé comme un reportage.

 

Autofinancé avec un budget de 3 900 $, le documentaire est vendu à RKO Pictures avec seulement 100 $ de bénéfice. Pour Flying Padre, Stanley Kubrick reprend la même idée et suit durant deux jours Fred Stadtmueller, un missionnaire catholique. D'une durée de 9 minutes, ce film est en partie financé et distribué par RKO.

 

Les deux documentaires sont des succès mineurs, mais Kubrick se fait remarquer par le brillant de sa photographie. Lui-même dira : « Même si mes deux premiers films étaient mauvais, ils étaient bien photographiés. »

 

Clockwork orange

 

 

En 1952, à la demande de Richard de Rochemont, futur producteur de son premier film Fear and Desire, Kubrick est réalisateur d'une deuxième équipe sur une séquence d'un omnibus consacré à Abraham Lincoln.

 

Par la suite, il réalise plusieurs épisodes, toujours en qualité d'assistant réalisateur. C'est en 1953 qu'il réalise son premier documentaire en couleurs, The Seafarers. Dans ce film promotionnel sur la marine marchande, on retrouve les travellings à la Max Ophüls.

 

  • Premiers longs métrages



Pour réaliser son premier long métrage Fear and Desire, Kubrick emprunte à sa famille 9 000 $. Il persuade un ami poète de lui écrire un scénario original : l'histoire d'un groupe de soldats chargés d'éliminer une troupe ennemie dans une guerre fictive ; à la fin du film, les soldats voient leurs propres visages dans ceux de leurs ennemis.

 

Le réalisateur tourne son film en 35 mm noir et blanc près de Los Angeles. Une nouvelle fois, il fait tout. Il décide de ne pas enregistrer le son avec les images et son erreur lui coûte 30 000 $ de post-synchronisation.

Malgré tout, il est fier d'avoir réussi à terminer son film. Plus tard, il qualifiera son film de « tentative inepte et prétentieuse » et décidera de le retirer des circuits de distribution et d'en interdire toute projection.

 

 

 

 

Encouragé par une critique honorable, Stanley Kubrick quitte définitivement le magazine Look bien que le film soit un échec commercial. C'est lors du tournage du film qu'il rencontre sa future femme, Ruth Sobotka.

 

En 1954, Le Baiser du tueur (Killer's Kiss), son second long-métrage, film très court tourné dans les rues de New York, raconte l'histoire d'un boxeur minable obligé de fuir la mafia. L’histoire manque d'originalité — c'est le seul scénario original écrit par Kubrick — mais ce film démontre son talent à jouer avec l'ombre et la lumière31 et confirme sa maîtrise technique dans la scène de règlement de comptes dans un entrepôt de mannequins.

 

Sa réalisation est récompensée par un Léopard d'or au Festival international du film de Locarno.

 

Les débuts de la collaboration avec James Harris
 


Le Baiser du tueur attire l'attention de James B. Harris, producteur indépendant qui a de bonnes relations avec les majors de Hollywood. C'est Alexander Singer, qui a connu Harris quelques années auparavant, qui fait se rencontrer les deux hommes. Cette rencontre est décisive, et ensemble ils fondent la Harris-Kubrick Pictures alors qu'ils ne sont tous les deux âgés que de 26 ans.

 

 

Deux ans plus tard, en 1956, naît de leur association le troisième film de Kubrick, L'Ultime Razzia (The Killing), le premier grand film avec un budget de 320 000 $ financé en partie par Harris et les United Artists. Pour la première fois le réalisateur dispose d'acteurs professionnels et d'une équipe technique complète.

 

Encore une fois, l’histoire n'a rien d'exceptionnel : un tireur embusqué doit abattre le cheval de tête dans une course hippique pour créer une diversion et ainsi faciliter le braquage de la caisse des paris. Un film noir de braquage comme il en existe beaucoup à cette époque, mais Stanley Kubrick fragmente l'histoire que seule la voix off très influencée par Citizen Kane d'Orson Welles permet de reconstituer.

 

Plus d'une décennie plus tard, la critique Pauline Kael considérait que L'Ultime Razzia avait lancé la carrière de Kubrick. Elle ne s'était pas trompée. Leurs chemins vont souvent se croiser par la suite car elle va détester tous ses films : « une froide et distante atmosphère, des films qui n'ont pas d'âme. »

 

Au cours du tournage, Kubrick affirme son autorité : alors que le directeur de la photographie, Lucien Ballard, change l’objectif que Kubrick avait choisi pour une scène avec un travelling, ainsi que son emplacement en lui expliquant que cela n’aura aucune incidence sur les changements de perspective, calmement, le cinéaste lui intime l’ordre de remettre la caméra à son emplacement d’origine avec l’objectif initial, ou bien de quitter le plateau et de ne jamais y revenir. Ballard obéit et le tournage se termine tranquillement.

 

Malgré un budget important, Kubrick n’apparaît encore dans ce film que comme l’un des nouveaux maîtres de la série B.

 

Orson Welles, interrogé par André Bazin sur les autres cinéastes, déclare : « L'Ultime Razzia de Kubrick n'est pas trop mal ». Dans la revue Cahiers du cinéma, Jean-Luc Godard lui reconnaît quelques qualités tempérées : « C'est le film d'un bon élève sans plus.

 

Ce qui correspond chez Ophüls à une certaine vision du monde n'est chez Kubrick qu'esbroufe gratuite. Mais il faut louer l'ingéniosité de l'adaptation qui, adoptant systématiquement la déchronologie des actions, sait nous intéresser à une intrigue qui ne sort pas des sentiers battus. »



L'Ultime Razzia étant un succès, United Artists accepte de financer à hauteur d'un million de dollars le prochain film de Harris-Kubrick tiré d'un best-seller américain de 1935, The Paths of Glory, inspiré d'événements réels s'étant produits en 1915, l'affaire des caporaux de Souain, fusillés « pour l'exemple », et pas du tout des mutineries de 1917 comme on le dit couramment.

 

Les fusillés de Souain n'étaient aucunement des « mutins », ce qui rend leur condamnation encore plus insupportable. Harris ne disposant que d'un budget très modeste selon les critères hollywoodiens et d'un scénario de Kubrick, Calder Willingham et Jim Thompson, le projet ne suscite guère d'enthousiasme auprès des majors.

 

Tout bascule quand Harris envoie une copie du scénario à Kirk Douglas, lequel répond : « Stanley, je crois que ce film ne fera pas un rond, mais il faut absolument le tourner ».

 

En 1957, sept ans après son premier court-métrage, Kubrick dirige Kirk Douglas dans le film sur l’absurdité de la guerre, Les Sentiers de la gloire.

 

 

Le film se déroule durant la Première Guerre mondiale. Un général de l'armée française décide de lancer une de ses unités dans des attaques désespérées contre les lignes allemandes retranchées à Verdun.

 

Pour l’exemple, trois soldats innocents seront fusillés pour lâcheté. Le film est entièrement tourné en Allemagne avec 800 policiers allemands pour jouer les troupes françaises. Les scènes en intérieur sont tournées au studio Geiselgasteig à Munich. On y voit apparaître des séquences qui caractérisent Kubrick et qu'il ne cesse de perfectionner par la suite : travelling avant en caméra subjective et travelling arrière pour la marche du colonel dans la tranchée et travelling latéral pour la scène d'assaut du no man's land, utilisation de la musique et mouvements de caméra sans heurt filmés avec une Dolly pour la marche ininterrompue du colonel Dax dans les tranchées.

 

Cette scène est d'ailleurs similaire à celle du labyrinthe de Shining filmée en steadicam. La scène du chant de la jeune prisonnière, jouée par sa future épouse, l'actrice allemande et nièce de Veit Harlan Christiane Susanne Harlan, montre la capacité de Kubrick à filmer l'émotion sans tomber dans la sensiblerie. Il divorce de Ruth Sobotka en 1957 pour épouser en 1958 Christiane Harlan qu'il a rencontrée pendant le tournage. Son frère, Jan Harlan, deviendra le producteur délégué du réalisateur à partir de 1975.

 

Dans ce film apparaissent deux thèmes de prédilection de Kubrick : la double personnalité et un monde au bord de l'effondrement. Dans le livre et dans le film, les personnages sont clairement identifiés, avec le colonel Dax (Kirk Douglas), homme sobre, intelligent et courageux, et le général Mireau (George Macready), vaniteux, ambitieux et incompétent. Le personnage le plus machiavélique du film est le général Broulard (Adolphe Menjou).

 

Kubrick joue habilement avec la bonhomie du personnage rusé et raffiné mais s'avérant incroyablement amoral (il va détruire les dernières illusions du colonel et ruiner définitivement la carrière du général) et sans aucune pitié envers les hommes de troupe.

 

Le film est projeté à Munich le 18 septembre 1957. Il est perçu comme une critique directe de l'armée française, par la cruauté des scènes finales et la satire violente des états-majors français, même si le film souffre de nombreuses invraisemblances. Il reçoit plusieurs récompenses dont le prix Chevalier de la Barre.

 

Sous la pression d'associations d'anciens combattants français et belges, le gouvernement français proteste auprès de la United Artists, mais ne demande pas la censure du film. Devant l'ampleur du mouvement contestataire, les producteurs du film décident de ne pas le distribuer.

 

De nombreux pays en Europe, comme la Suisse, refusent également de le diffuser. C'est dix-huit ans plus tard, en 1975, que le film est finalement projeté en France.

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Stanley_Kubrick?fbclid=IwAR0nWwfX8g56-nCcwl3GST1Iq_CNNF_AGSeXueV0Z4EETRCTJfMOqRVa9PQ

 

 

 

 

1016 : Casimir Ier, roi de Pologne de 1039 à 1058 (Décédé le 28 novembre 1058).

 

1030 : Stanislas de Szczepanów, évêque et saint polonais (Décédé en 1071).

 

1791 : Franz Xaver Wolfgang Mozart, compositeur autrichien, fils de Wolfgang Amadeus Mozart (Décédé le 29 juillet 1844).

 

1829 : Auguste Beernaert, homme d'État belge, chef du gouvernement de 1884 à 1894 et prix Nobel de la paix en 1909 (Décédé le 6 octobre 1912).

 

1842 : Alfred Marshall, économiste britannique (Décédé le 13 juillet 1924).

 

1875 : Carl Gustav Jung, psychanalyste suisse, fondateur de la psychologie analytique (Décédé le 6 juin 1961).

 

André Maurois
1885 : André Maurois, écrivain français, membre de l'Académie française (Décédé le 9 octobre 1967).

 

 

 

1894 :
Aldous Huxley, écrivain britannique, connu surtout pour son roman « Le Meilleur des mondes » (Décédé le 22 novembre 1963).

 

 

 

 

 

 

 

 

1903 : Charles Marx, médecin, résistant et homme politique luxembourgeois, plusieurs fois ministre (Décédé le 13 juin 1946).

 

1922 : Gilberto Agustoni, cardinal suisse, préfet émérite du Tribunal suprême de la Signature apostolique (Décédé le 13 janvier 2017).

 

1922 : Blake Edwards, réalisateur, scénariste et producteur américain (Décédé le 15 décembre 2010).

 

1928 : Stanley Kubrick, réalisateur américain (Décédé le 7 mars 1999).
Le 26 juillet....

 

 

1896, Angleterre :

 

Le IVe Congrès de l’Internationale socialiste est ouvert à Londres.

 

L’essentiel des débats tourne autour de la participation des anarchistes. Leurs délégués se maintiennent. Sortie du premier numéro du journal The Alarm « For Your Liberty and Ours » (Pour votre liberté et la nôtre), hebdomadaire anarchiste auquel collabore entre autres Pierre Kropotkine et Emma Goldman.

 

1908, USA :

 

Création du Federal Bureau of Investigation (FBI) par Charles Bonaparte, ministre de Theodore Roosevelt.

 

1909, Catalogne :

 

Semaine tragique de Barcelone. Pour protester contre un décret du 11 juillet qui mobilise les réservistes, et contre l'envoi de troupes au Maroc, l'organisation Solidaridad Obrera lance un appel à la grève générale.

 

Le mouvement se transforme en émeutes, la loi martiale est proclamée, des barricades se dressent dans les rues et des affrontements ont lieu avec l'armée : 104 civils, 4 soldats et 4 membres de la Croix Rouge trouvent la mort. La monarchie réprime le mouvement.

 

Le pédagogue libertaire Francisco Ferrer est fusillé le 13 octobre, après avoir été désigné à tort comme le responsable de ces événements.

 

1915, Québec :

 

Des manifestants anti-conscription perturbent une assemblée de recrutement au Champ-de-Mars de Montréal.

 

 

26 juillet 1919

 

L Jouhaux

 

Congrès syndicaliste à Amsterdam

 

Pour la première fois depuis la guerre de 14-18, des délégués de syndicats du monde entier, représentant 18 millions de travailleurs, se sont réunies et ont décidé la reconstitution de la fédération internationale : Léon Jouhaux, élu vice-président, écrit alors à ce propos :
« l’action du mouvement syndical international s’orientera pour les conquêtes ouvrières généralisées vers la constitution de la véritable société des peuples ».

 

 

1830, France : publication de quatre Ordonnances de Saint-Cloud par Charles X, restreignant les libertés individuelles et de la presse et dissolvant la Chambre.

 

1844, France : loi d'établissement du chemin de fer de Paris à la frontière d'Espagne (entre Tours et Bordeaux).

 

1941, France : mort du socialiste Marx Dormoy. Il est assassiné par une bombe à retardement placée sous son lit par d'anciens cagoulards.

 

Marx Dormoy
1944, Angleterre : les premiers V-2 allemands tombent.

 

1944, France : Attaque du train de la Banque de France à Neuvic par la Résistance. Le butin s’élève à 2280000000 de francs, ce qui représente plus de 400 millions d’euros.

 

 

26 juillet 1945

 

En France, le journal Résistance Ouvrière, qui est sorti de la clandestinité mais n’a pas encore prise le nom de Force Ouvrière, annonce le rapport sur la Sécurité sociale dont est chargé Georges Buisson, un des dirigeants de la CGT.

 

 

26 juillet 1956

 

En Égypte, le colonel Nasser, président de la République, la nationalise la Compagnie du canal de Suez, qui avait obtenu une concession de 99 ans, devant expirer le 17 novembre 1968.

 

Une décision refusée par la France et la Grande-Bretagne, qui saisirent le Conseil de sécurité. Avant que celui-ci n’ait pris une décision, le 29 octobre, l’armée israélienne entrait en Égypte, précédant de quelques jours une intervention franco-britannique.

 

Devant les pressions internationales, en particulier celles des États-Unis et de l’URSS, les puissances attaquantes durent bientôt retirer leurs troupes.
carte canal de Suez
1963, France :

 

Instauration du préavis de grève de 5 jours francs dans les services publics.

 

2016, France :

 

Attaque terroriste islamiste commise le 26 juillet 2016. Deux islamistes radicaux, Adel Kermiche, sous contrôle judiciaire, muni d'un bracelet électronique, et Abdel Malik Nabil-Petitjean, assassinent en égorgeant et poignardant le Père Jacques Hamel, un prêtre de l'église Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen, et blessent grièvement un paroissien de 86 ans.

 

Les assaillants retiennent ensuite trois autres fidèles en otage avant d'être abattus par les forces de l'ordre.

 

L'acte est revendiqué le jour même par l'organisation terroriste État islamique.

Canal de Suez

Canal de Suez

Article publication, mise à jour, documentation, modification

 

   Article initial du 26 juillet 2011, régulièrement mis à jour tous les 26 juillet,

 

 

smiley   Le 26 juillet 2019, 15H13

 

 

 

 

 

 

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  Ce qui change

 

- Le contrat de sécurisation professionnelle (CSP), prévu pour s’arrêter au 1er juillet 2019, a été prolongé jusqu’au 30 juin 2021 par un avenant du 12 juin 2019 signé par les interlocuteurs sociaux.

Dispositif d’accompagnement renforcé de 12 mois, il est destiné aux salariés licenciés économiques des entreprises de moins de 1 000 salariés et des entreprises en redressement ou liquidation judiciaires.

 

- La durée du congé de paternité et d’accueil de l’enfant est allongée, depuis le 1er juillet 2019, de 30 jours consécutifs au maximum, en cas d’hospitalisation immédiate d’un enfant dans des unités de soins spécialisées juste après l’accouchement.

Ce en plus des 11 jours de congé paternité déjà existant (18 jours en cas de naissances multiples) et des 3 jours accordés à la naissance.

Concernant le père, le conjoint de la mère ou la personne liée à elle par un pacte civil de solidarité ou vivant maritalement avec elle, ce nouveau dispositif s’applique aux naissances intervenues depuis le 1er juillet 2019.

 

Publication du MERCREDI 24 JUILLET 2019

 

Sourcing: MICHEL POURCELOT, in fo.fr

 

 

 

 

 

Alphonse Ier, roi du Portugal

Alphonse Ier, roi du Portugal

25 juillet 1139

 

d'Alphonse Ier, roi du Portugal

Victoire portugaise sur les musulmans 

 

Naissance du Portugal

 

Le comte du Portugal Alphonse Enriquez remporte une victoire décisive sur les Maures à Ourique. Fort de cette victoire, il prend le titre d'Alphonse Ier, roi du Portugal et déclare son royaume indépendant de celui de Léon. Le premier souverain du Portugal poursuivra la reconquête chrétienne des terres portugaises vers le Sud.

 

En 1095, au plus fort de la Reconquista, le roi de León et Castille Alphonse VI donne le comté de Portugal à son gendre Henri de Bourgogne. Le fils de ce dernier vainc une coalition de roitelets musulmans à Ourique, dans l'actuelle province d'Alentejo, au sud du pays, le 25 juillet 1139.
C'est le «miracle d'Ourique», à l'origine du Portugal moderne.
L'heureux vainqueur se proclame roi sous le nom d'Alphonse 1er (Alfonso Enriques) et, pour assurer son indépendance face à son beau-père, se place sous la protection du Saint Siège.
Le 25 octobre 1147, avec l'aide de 13.000 croisés en partance pour la Terre Sainte, Alphonse 1er le Conquérant enlève Lisbonne aux musulmans qui occupaient la ville depuis plus de quatre siècles.
Lisbonne, à l'embouchure du Tage, devient la nouvelle capitale du royaume. Elle fait remonter son nom et sa fondation au héros grec Ulysse mais l'on suppose plus sérieusement qu'elle a été fondée par les Phéniciens sous le nom d'Olisipo.
Dès lors, le Portugal va préserver farouchement son indépendance.
Les cinq écus bleus au centre du drapeau national rappellent les cinq rois maures vaincus à Ourique.

Évolution du blason du Portugal à partir de la croix d'azur, d'origine bourguignonne, avec l'année théorique d'apparition.

 

Henri IV abjure le protestantisme

Henri IV abjure le protestantisme


Le 25 juillet 1593

 

 Henri IV abjure le protestantisme à Saint-Denis

 

  • Dans le désir de mettre fin aux guerres de religion et de réconcilier les Français, Henri IV abjure la foi protestante, devant monseigneur de Beaune, archevêque de Bourges, et demande à devenir catholique (c'est la sixième et dernière fois qu'il change de religion).

 

Le dimanche 25 juillet 1593, selon un cérémonial convenu, Henri IV se présente devant le portail de l'abbatiale de Saint-Denis, au nord de Paris.

 

« Qui êtes-vous ? » lui demande monseigneur de Beaune, archevêque de Bourges, en grand apparat.

 

- Je suis le roi, répond Henri.

- Que demandez-vous ?

- À être reçu dans le giron de l'Église catholique, apostolique et romaine ».

 

Puis, le roi s'agenouille et jure de mourir dans la religion catholique. L'archevêque lui donne l'absolution et le roi baise son anneau.

André Marie de Chénier, dit André Chénier, fils de Louis de Chénier et frère de Marie-Joseph Chénier, est un poète et journaliste français né le 30 octobre 1762 à Constantinople et mort guillotiné à Paris le 7 Thermidor de l'an II à 31 ans

André Marie de Chénier, dit André Chénier, fils de Louis de Chénier et frère de Marie-Joseph Chénier, est un poète et journaliste français né le 30 octobre 1762 à Constantinople et mort guillotiné à Paris le 7 Thermidor de l'an II à 31 ans

  La personnalité du jour

 

Nestor Ivanovitch Miknienko, dit Makhno

 

Nestor Ivanovitch Miknienko, dit Makhno (ukrainien : Нестор Іванович Махно), né le 26 octobre 1888 à Gouliaï-Polié (oblast de Zaporijia) et mort à Paris le 25 juillet 1934, est un communiste libertaire fondateur de l'Armée révolutionnaire insurrectionnelle ukrainienne qui, après la révolution d'Octobre et jusqu'en 1921, combat à la fois les Armées blanches tsaristes et l'Armée rouge bolchévique.

 

En 1910, il est condamné aux travaux forcés à perpétuité pour « activités terroristes ».

Libéré après la révolution de Février, il rentre à Gouliaï-Polié et participe à l'organisation des soviets de paysans et d'ouvriers.

 

En 1918, après la signature du Traité de Brest-Litovsk qui livre l'Ukraine à l'Allemagne, il organise un mouvement de résistance armée qui poursuit les combats contre l’Armée des volontaires du général blanc Anton Dénikine.

 

En 1919, les groupes de guérilla se transforment en une véritable armée, la Makhnovchtchina qui compte jusqu'à 50 000 hommes. Pour combattre les Armées blanches, il s'allie avec l'Armée rouge qui se retourne finalement contre lui en 1920.

 

En 1921, vaincu, il fuit la Russie. Expulsé de plusieurs pays européens, il s'installe finalement en 1925 à Paris, où pour survivre il est contraint de travailler comme ouvrier chez Renault à Boulogne-Billancourt.

 

En 1926, il est l'un des cinq auteurs de la « Plate-forme organisationnelle de l’union générale des anarchistes » d'inspiration communiste libertaire, qui s'oppose à la synthèse anarchiste défendue par Voline et Sébastien Faure.

 

Il meurt le 25 juillet 1934 et est incinéré au cimetière du Père-Lachaise en présence de centaines de personnes dont Voline qui prononce son éloge funèbre.


 

  • De l'enfance aux premiers combats

 


Né à Gouliaï-Polié, une bourgade de 30 000 habitants, Nestor Makhno est le cinquième fils d’une famille d'anciens serfs, paysans pauvres d'Ukraine orientale, berceau des cosaques zaporogues2. Son père meurt alors qu'il n'a que dix mois. Son enfance est marquée par une grande misère4. Dès l'âge de sept ans, il travaille comme berger.

 

À huit ans, il va à l'école l'hiver et travaille l'été. Il quitte définitivement l'école à douze ans et est ouvrier agricole à plein temps sur les terres de la noblesse et dans les fermes des koulaks, les paysans riches, souvent des colons allemands.

 

 

Nestor Makhno en 1906.


 

Il prend rapidement conscience de l'injustice dont les siens sont victimes. À l'âge de treize ans, il assiste à une correction musclée donnée par ses jeunes maîtres à un garçon d'écurie. Il court alors chercher de l'aide auprès du premier garçon d'écurie, Batko Ivan, qui se rue sur les deux hommes. Tous les employés demandent alors leur compte auprès du propriétaire qui prend peur. Cette première révolte marque profondément le jeune Makhno.

 

À l'âge de dix-sept ans, il travaille, d'abord comme apprenti peintre, puis comme ouvrier dans une fonderie.

 

  • Illégalisme révolutionnaire et condamnation à mort

 


Pendant la Révolution russe de 1905, il est actif localement à Gouliaï-Polié, où le régime envoie un détachement de gendarmes à cheval qui réprime les rassemblements populaires, fouette ceux qui sont pris dans les rues et bat les prisonniers à coups de crosse.

 

À 16 ans, il rejoint l'"Union des laboureurs pauvres", un groupe de jeunes révolutionnaires qui se réclame du communisme libertaire et s'oppose par l'action directe à la terreur gouvernementale, notamment aux moyens des « expropriations » et de la redistribution de biens confisqués aux riches.

 

Comme nombre d'anarchistes de l'Empire russe, ils veulent répondre à la répression tsariste par la « Terreur noire ». Ce groupe est animé par Waldemar Antoni, d'origine tchèque, qui apporte à ces jeunes faiblement cultivés les livres de Bakounine, Kropotkine, Proudhon et aussi de culture générale notamment sur l'astronomie qui les passionne.

 

En réaction aux succès de ce groupe, les propriétaires créent leur propre mouvement l'"Union des russes véritables". Ils se trouvent un bouc émissaire et guidés par leur slogan "tue le youpin, sauve la Russie" organisent des pogroms.

l'Union des laboureurs pauvres combat ce mouvement et le détruit, "ce fut notre première victoire" note Makhno dans ses mémoires.

 

À la fin 1906 et en 1907, la répression s'abat sur le groupe. Makhno est arrêté et accusé d'assassinats politiques, mais libéré faute de preuves. En 1908, à la suite de la dénonciation d'un informateur infiltré dans le groupe par la police, il est arrêté et incarcéré.

 

En mars 1910, Makhno et treize de ses camarades sont jugés par un tribunal militaire. Il est condamné à la peine de mort par pendaison. En raison de son jeune âge et des efforts de sa mère, la peine est commuée en réclusion à perpétuité assortie de travaux forcés.

 

Il est incarcéré à la prison de Boutyrka, qui est « à cette époque, une sorte d'université révolutionnaire ». Il y étudie notamment Bakounine, Kropotkine et son concept d'entraide. Il rencontre Piotr Archinov avec qui il parle beaucoup. En raison de son caractère peu conciliant, Makhno est régulièrement enchaîné et mis au cachot. Cette expérience explique sa haine des prisons et, plus tard, pendant la guerre civile, en entrant dans une ville nouvellement conquise, son premier geste est de libérer tous les prisonniers et de détruire la prison.

 

Grâce à la révolution de Février, le 2 mars 1917, après huit ans et huit mois de prison, Makhno est libéré en même temps que tous les autres prisonniers politiques.

 

  • Le soviet de Gouliaï-Polié et la socialisation des terres

 

Fin mars 1917, il retourne à Gouliaï-Polié où il est bien accueilli. Après ses années de prison, la souffrance, mais aussi l'étude, Makhno n'est plus un jeune militant inexpérimenté, mais un anarchiste qui a éprouvé sa volonté et forgé des idées précises sur la lutte révolutionnaire.

 

Témoin de l'attitude dominatrice des intellectuels, il ne croit pas en l'honnêteté des hommes politiques. Il retrouve ses anciens camarades et les convainc d'agir immédiatement en organisant les paysans et les ouvriers.

Favorisant la concertation et la conscientisation, au cours d'une multitudes de réunions et d'élections furent discutés : ce qu'est une coopérative, une commune, une union, un délégué, le rôle d'un soviet, et faut-il prendre les terres et que veut dire prendre les terres.

 

Le 29 mars 1917, une union professionnelle des ouvriers agricoles, l'Union des paysans, est fondée et les paysans refusent de payer le loyer aux propriétaires. Makhno intervient également dans la grève victorieuse d'une usine appartenant à son ancien patron et dans l'organisation du syndicat local des charpentiers et des ouvriers métallurgistes dont il est nommé président.

 

Du 5 au 7 août à Gouliaï-Polié, une assemblée régionale décide de réorganiser les syndicats paysans en un soviet des délégués, paysans et travailleurs. Makhno recrute une petite troupe de paysans armés et entreprend d’exproprier les aristocrates locaux et de distribuer les terres aux paysans pauvres.

 

Mais le projet est retardé par l'opposition des propriétaires fonciers et des koulaks qui s'organisent et font appel aux autorités provisoires de Moscou. Le 29 août, en urgence alors que le général Kornilov tente de prendre le pouvoir à Petrograd, le soviet de Gouliaï-Polié forme un Comité pour le salut de la révolution dont Makhno est nommé responsable.

 

Le lendemain, ce Comité décide l'abolition des privilèges et de désarmer les propriétaires afin de préparer les expropriations et d'appliquer le décret sur la terre tel qu'il avait été discuté à Gouliaï-Polié pendant des mois.

 

Le 25 septembre, le congrès des soviets et organisations paysannes convoque les grands propriétaires et les koulaks, munis de leurs titre de propriété (terre, élevage et équipement) qui sont saisis. Un inventaire est dressé et partagé de façon égalitaire, y compris avec les anciens propriétaires. La propriété foncière est transformée en propriété sociale. Le principe veut que personne ne possède plus de terre qu'il n'est capable de cultiver seul, sans recourir à des salariés. Cette action d'expropriation et de redistribution des terres, réalisée dans la concertation anticipe l'autre décret sur la terre promulgué le 26 octobre 1917 et que le parti bolchévique arrivé au pouvoir imposera de façon violente.

 

Makhno veut construire un nouvel ordre social « où il n'y aurait ni esclavage ni mensonge, ni honte, ni divinités méprisables, ni chaînes, où l'on ne pourrait acheter ni l'amour ni l'espace, où il n'y aurait que la vérité et la sincérité des hommes ».

 

Sur un territoire de deux millions et demi d'habitants affranchi de tout pouvoir étatique, les insurgés forment des communes agraires autonomes dotées des organes d'une démocratie directe : soviets libres et comités de base.

 

Les terres, les usines et les ateliers sont expropriés avant d'être collectivisés et pour certains autogérés. Des communes sont créées sur la base du volontarisme, de l'égalité et la solidarité.

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nestor_Makhno?fbclid=IwAR0vYREj-ig1pzsZXsME2bTb4IvPKVQ9reyZn6mp6H5DcE6nbj8E4Xv4wDw​​​​​​

 

 

Makhno

 

Personnalités décédées un 25 juillet

 

1564 : Ferdinand Ier, frère et successeur de Charles Quint comme empereur du Saint-Empire romain germanique de 1558 à 1564 (Né le 10 mars 1503).

 

1794 : André Chénier (André Marie de Chénier), poète français (Né le 30 octobre 1762).

 

1816 : Charles de Bernard de Marigny, officier de marine et aristocrate français. Il sert dans la Marine royale pendant la guerre de Sept Ans et la guerre d'indépendance des États-Unis (Né le 1er février 1740).

 

Dominique-Jean Larrey

1842 : Dominique-Jean Larrey, médecin et chirurgien militaire, père de la médecine d'urgence (Né le 7 juillet 1766).

 

 

1843 : Charles Macintosh, inventeur et chimiste écossais (Né le 29 décembre 1766).

 

1934 : Joseph Marie François Spoturno dit François Coty, industriel et parfurmeur français (Né le 3 mai 1874).

 

1934 : Engelbert Dollfuss, 14e chancelier fédéral d’Autriche (Né le 14 octobre 1892).

 

1945 : Kurt Gerstein, ingénieur allemand et militant chrétien anti-nazi (Né le 11 août 1905).

Léon Jouhaux

Léon Jouhaux

Le 25 juillet....

 

1120, France : dans la série « les grands miracles de l’histoire du christianisme », un incendie, au cours duquel sont tuées 1 200 personnes, détruit la nef carolingienne de l'abbaye bénédictine Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay.

 

1622, France : François de Lesdiguières abjure le protestantisme en échange de son élévation à la dignité de connétable.

 

1670, France : répression de la révolte des paysans du Vivarais contre les impôts royaux. Un centaine de paysans est massacrée.

 

1792, Révolution française :
Manifeste de Brunswick, lancé de Coblence et signé par le commandant en chef des armées prussiennes et autrichiennes, Charles Guillaume de Brunswick. Destiné à intimider Paris, ce manifeste, qui promettait que si la famille royale française était épargnée, les civils français ne seraient pas atteints, ne servit au contraire qu’à radicaliser un peu plus la Révolution française. Inspiré par Axel de Fersen, il eut pour conséquences la prise des Tuileries et l'emprisonnement de la famille royale.
Proclamé à Coblence, le manifeste est publié le 3 août dans le Moniteur.

 

 

25 juillet 1830

 

En France, le roi signe quatre ordonnances qui suspendent la liberté de la presse, dispersent la Chambre à peine élue, réforment la loi électorale et fixent à septembre la date des nouvelles élections.

Les 27, 28 et 29 juillet (lesTrois Glorieuses), Paris s’insurge et renverse les Bourbons.

 

 

1851, Equateur : José María Urbina signe un décret d’affranchissement des esclaves.

 

1857, France : Léon Edouard Scott dépose un pli à l’Académie contenant les plans de son invention, le phonotographe, une machine à reproduire les sons.

 

 

1869, France : 25 juin-29 juillet : grève des ouvrières ovalistes et des ouvriers mouliniers de Lyon.

 

 

25 juillet 1914

 

En Belgique, à l’occasion du congrès des syndicats, Léon Jouhaux, dirigeant de la CGT rencontre son homologue allemand. Il est alors convaincu que les réformistes allemands vont soutenir l’effort de guerre du Kaiser du Reich.

 

1931, France :
La plus longue grève du textile qu’ait connu la région de Roubaix (112 000 grévistes sur 128 000 ouvriers) se clôt par un accord entre les syndicats et le patronat.
Ce dernier demandait aux ouvriers de s'adapter à la concurrence internationale en renonçant à des avantages que d'autres n'avaient même pas dans leur branche en France et en acceptant une baisse des salaires de 10%. Les salaires seront tout de même baissés de 3%.

 

25 juillet 1933

 

En Autriche, assassinat du chancelier Dolfuss.

 

 

1979, France :

 

Patrons et syndicats de la sidérurgie sont réunis pour discuter d'une proposition patronale de convention sociale portant sur des « mesures de cessation anticipées d'activités ». 21 000 emplois doivent être supprimés d'ici 1981.

La commission parlementaire chargée de trouver les causes au déficit de la Sécurité sociale, estime qu'il y a plusieurs raisons : les salariés « qui jouent aux malades imaginaires », le « gaspillage médical », les dépenses hospitalières (44 % des prestations), l'extension des droits à pratiquement tous les Français (64 % en 1955) et enfin le chômage.

 

Raymond Barre annonce l'augmentation des cotisations sociales des assurés pour une durée de dix-huit mois, un blocage des honoraires médicaux et une diète budgétaire pour les hôpitaux.

 

1983 :

 

Mort de René Fallet, écrivain et scénariste français (°1927).

 

Son père, Paul, était un cheminot (Villeneuve est un grand nœud ferroviaire de la région Parisienne) originaire du Bourbonnais. Il commence à travailler à Paris dès l'âge de quinze ans.

 

De manutentionnaire chez un éditeur, à coursier en pharmacie, en passant par apprenti foudrier, il alterne ces « petits boulots » qui marqueront parfois l'inspiration de l'écrivain. En 1944, alors qu'il a moins de dix-sept ans, il s'engage volontairement. Son père est incarcéré pendant la guerre pour avoir chanté L'Internationale dans les rues de Villeneuve.

 

René écrit lui-même au maréchal Pétain pour obtenir sa libération. Il l'obtient et c'est un pas décisif dans sa prise de conscience du pouvoir des mots. Alors qu'il est démobilisé en 1945, Blaise Cendrars repère ses premiers poèmes et le fait entrer à Libération. Dès 1946, il publie son premier recueil de poésies, Le Périscope, tiré à seulement cinquante exemplaires. Mais dès l'année suivante, « la vie en rose accourt sur lui » pour reprendre ses propres mots, puisque son premier roman Banlieue sud-est est l'événement de la rentrée littéraire. Il entre au Canard enchaîné en 1952. En 1953, il rencontre Georges Brassens.

 

En 1964, la date de la publication de « Paris au mois d'août », roman qui obtient le prix Interallié, ancre définitivement René Fallet dans le paysage littéraire français. Il consacre le reste de sa vie à la littérature bien sûr, mais aussi à la pêche, à la pétanque et au cyclisme (il suit de nombreuses courses…). Il recevra au cours de sa carrière de nombreux prix, littéraires ou non.

 

1995, France :
 Paris, un attentat à la bombe dans une rame du RER B à la station Saint-Michel fait 8 morts et plus de soixante blessés.

 

2002 :
La lenteur de la procédure pénale française est une nouvelle fois condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme dans l'affaire Papon. La France consacre moins de 0,2 % de son PIB à la justice.
25/07, c'est arrivé un certain 25 juillet de notre histoire.....
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Rose garden (I never promise You...)

Rose garden (I never promise You...)

Lynn Anderson - I Beg Your Pardon, I Never Promised You A Rose ...


https://www.youtube.com/watch?v=2-eclUz-RYI


Paroles


I beg your pardon
I never promised you a rose garden
Along with the sunshine
There's gotta be a little rain some time


When you take you gotta give so live and let live
Or let go oh-whoa-whoa-whoa
I beg your pardon
I never promised you a rose garden

 


I could promise you things like big diamond rings
But you don't find roses growin' on stalks of clover
So you better think it over
Well if sweet-talkin' you could make it come true

 


I would give you the world right now on a silver platter
But what would it matter
So smile for a while and let's be jolly
Love shouldn't be so melancholy


Come along and share the good times while we can
I beg your pardon
I never promised you a rose garden
Along with the sunshine

 


There's gotta be a little rain some time
I beg your pardon
I never promised you a rose garden
I could sing you a tune and promise you the moon


But if that's what it takes to hold you
I'd just as soon let you go
But there's one thing I want you to know
You better look before you leap, still waters run deep

 


And there won't always be someone there to pull you out
And you know what I'm talkin' about
So smile for a while and let's be jolly
Love shouldn't be so melancholy

 


Come along and share the good times while we can
I beg your pardon
I never promised you a rose garden
Along with the sunshineThere's gotta be a little rain some time

 

Paroliers : Joe South


Paroles de Rose Garden © Sony/ATV Music Publishing LLC
Artiste : Lynn Anderson
Album : Rose Garden
Date de sortie : 1970


Récompenses : Grammy Award de la meilleure prestation country d'une chanteuse
Genres : Jazz, R&B/Soul, Pop contemporaine pour adultes, Dance, Rock, Country, Folk, Blues, Pop, Country alternative

 

Article publication, mise à jour, documentation, modification

 

   Article initial du 25 juillet 2011, régulièrement mis à jour tous les 25 juillet

 

smiley   Le 25 juillet 2019, 14H32

 

 

 

 

 

 

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Il y a plus de 130 ans, le 23 juillet 1888, dans un estaminet de Lille, la chorale de la "Lyre des Travailleurs" chante un superbe poème du communard Pottier, mis en musique par Degeyter.

 

Les premières mesures de "L'Internationale" feront vite le tour du monde. Ce chant d'espoir formidable sera présent dans toutes les luttes des travailleurs.

 

Le poème d'Eugène Pottier est écrit juste après l'écrasement de la Commune en juin 1871 et sera dédié à un autre communard anarchiste comme lui et autre personnalité de la Commune.

 


 

 

 

La personnalité du jour

 

Simon Bolivar

 

Simón José Antonio de la Santísima Trinidad Bolívar y Palacios, plus connu sous le nom de Simón Bolívar [siˈmon boˈliβaɾ]a Écouter et surnommé le Libertador, né le 24 juillet 17831 à Caracas au Venezuela, et mort le 17 décembre 1830 à Santa Marta en Colombie, est un général et homme d'État vénézuélien. Il est une figure emblématique, avec l'Argentin José de San Martín et le Chilien Bernardo O'Higgins, de l'émancipation des colonies espagnoles d'Amérique du Sud dès 1813.

 

Il participa de manière décisive à l'indépendance des actuels Bolivie, Colombie, Équateur, Panama, Pérou et Venezuela. Bolívar participa également à la création de la Grande Colombie, dont il souhaitait qu'elle devînt une grande confédération politique et militaire regroupant l'ensemble de l'Amérique latine, et dont il fut le premier président.

 

Le titre honorifique de « Libertador » lui fut d'abord accordé par le Cabildo de Mérida (Venezuela), puis ratifié à Caracas (1813), et reste aujourd'hui encore associé à son nom. Bolívar rencontra tant d'obstacles pour mener à bien ses projets qu'il en arriva à s'appeler lui-même « l'homme des difficultés », dans une lettre adressée au général Francisco de Paula Santander en 1825.

 

En tant que figure majeure de l'histoire universelle, Bolívar est aujourd'hui une icône politique et militaire dans de nombreux pays d'Amérique latine et dans le monde, qui ont donné son nom à un très grand nombre de places, de rues ou de parcs.

Son nom est aussi celui d’un État du Venezuela, de la monnaie du même pays, d’un département de la Colombie et surtout d’un pays, la Bolivie.

 

On retrouve des statues à son effigie dans la plupart des grandes villes d'Amérique hispanophone, mais aussi à New York, Paris, Londres, Lisbonne, Bruxelles, Le Caire, Tokyo, Québec, Ottawa, Alger, Madrid, Téhéran, Barcelone, Moscou, Prague, Bucarest et Sofia.



La famille Bolívar est originaire de la petite localité de Ziortza-Bolibar, en Biscaye (Pays basque espagnol). Elle est présente au Venezuela dès les premiers temps de la colonisation espagnole de l'Amérique du Sud et, à la naissance du futur Libertador, fait partie de l'élite créole de la colonie.

 

L'ancêtre familial est Simón Bolíbarb (dit « le Procureur ») qui en 1559 quitte le Pays basque pour l'île de Saint-Domingue, où il exerce la profession de greffier de l'une des chambres de l'audiencia. En 1587, Simón Bolíbar quitte Saint-Domingue avec son père le gouverneur don Diego de Osorio pour s'installer en Tierra Firme en qualité de trésorier-comptable.

 

Promu procureur par le cabildo de Caracas, il réalise en 1590 une mission à Madrid auprès de Philippe II pour solliciter des privilèges commerciaux en faveur de la colonie. Il meurt en 1612.

 

La génération suivante est représentée par un prêtre, chargé du tribunal de l'Inquisition et qui se distingue en participant à l'expédition contre Lope de Aguirre, conquistador particulièrement cruel qui s'est rebellé contre l'autorité du roi. Pour ces services, ce prêtre se voit offrir une encomienda sur les terres de San Mateo.

 

À la troisième génération figure don Juan de Bolívar y Villegas, grand-père du Libertador, lequel aurait du sang indigène.

 

Avec le temps, la famille Bolívar, alliée par le mariage avec d'autres familles des premiers colons du Venezuela, a obtenu diverses fonctions et distinctions comme celles de régisseur, sous-lieutenant du roi, ainsi que des titres de noblesse comme celui de marquis de San Luis et vicomte de Cocorote, ce dernier étant associé à la cession des riches mines de cuivre de Cocorote et de la seigneurie d'Aroa.

 

La mère de Simón Bolívar, María de la Concepción Palacios y Blanco, tout comme son père Juan Vicente Bolívar y Ponte faisaient partie de l'aristocratie de Caracas, et en dépit d'une grande différence d'âge, ils se marièrent en 1773 : Juan Vicente avait quarante-sept ans tandis que Concepción n'en avait que quinze. Ils eurent cinq enfants.

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sim%C3%B3n_Bol%C3%ADvar?fbclid=IwAR03onZEnqLvbcCm30ug1N_9dvv7BoTYUkehXoI_Uo99wzhEj93EPiPuP_k​​​​​​

 

Simon Bolivar

 

24 juillet 1922      L'Acte de Londres confirme la tutelle française sur le Liban

24 juillet 1922  L'Acte de Londres confirme la tutelle française sur le Liban


24 juillet 1922

 

 L'Acte de Londres confirme la tutelle française sur le Liban


Suite au Traité de Sèvres du 10 août 1920 qui a démantelé l’Empire Ottoman, le Liban espère acquérir son indépendance.

 

Toutefois, le mandat français établi par ce même traité est confirmé par l’Acte de Londres le lundi 24 juillet 1922. Ce mandat, qui concerne également la Syrie, entre en vigueur formellement le 29 septembre 1923, en même temps que le mandat britannique sur la Palestine.


 

Après s’être mobilisé pour que la France établisse les frontières d’un Grand Liban, les Libanais, et notamment les Maronites, militeront pour une indépendance qu’ils n’obtiendront plus de vingt ans plus tard.

 

Toutefois, le Liban est immédiatement doté d'un conseil représentatif puis d'une constitution en 1926.

 

24/07, c'est arrivé un certain 24 juillet de notre histoire....
24/07, c'est arrivé un certain 24 juillet de notre histoire....

 

 

Etat de situation, à la table de nos élites !

 

 

 

 

Une info du canard !

 

Le 24 juillet....

 

1702, France :

 

Une soixantaine de Protestants délivrent des prisonniers dans un bourg cévenol, sur le bord du Tarn, le Pont-de-Montvert et tuent leur geôlier, un prêtre, l’abbé du Chayla, grand vicaire de l’évêque de Mende.

 

Les Protestants des Cévennes prennent les armes ; c'est le début de la guerre des Camisards, dirigée par Gédéon Laporte, puis à sa mort par son neveu Pierre Laporte, dit Roland, secondé par Jean Cavalier, qui ne sera maîtrisée par le pouvoir royal qu'en janvier 1705.

 

1705, France :
Aigues-Mortes, le chef camisard Abraham Mazel, s’évade de la tour de Constance où il était enfermé.

 

1731 : naissance de Louis Claude Cadet de Gassicourt (mort en 1799), chimiste et pharmacien français.

 

1749, France :
Diderot est emprisonné quelques semaines à Vincennes pour « délit d’athéisme », après la publication de ses « Pensées philosophiques » et de sa « Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient».

 

 

1783 :

 

Naissance de Simón Bolívar à Caracas au Venezuela.

 

Général et homme d'État vénézuélien. II est une figure emblématique, avec l'Argentin José de San Martín et le Chilien Bernardo O'Higgins, de l'émancipation des colonies espagnoles d'Amérique du Sud dès 1813.

 

 

Simon Bolivar

 

Il participa de manière décisive à l'indépendance des actuels Bolivie, Colombie, Équateur, Panama, Pérou et Venezuela. Bolívar participa également à la création de la Grande Colombie, dont il souhaitait qu'elle devînt une grande confédération politique et militaire regroupant l'ensemble de l'Amérique latine, et dont il fut le premier Président.

 

Le titre honorifique de « Libertador » lui fut d'abord accordé par le Cabildo de Mérida (Venezuela), puis ratifié à Caracas (1813), et reste aujourd'hui encore associé à son nom.

 

Bolívar rencontra tant d'obstacles pour mener à bien ses projets qu'il en arriva à s'appeler lui-même « l'homme des difficultés », dans une lettre adressée au général Francisco de Paula Santander en 1825.

 

En tant que figure majeure de l'histoire universelle, Bolívar est aujourd'hui une icône politique et militaire dans de nombreux pays d'Amérique latine et dans le monde, qui ont donné son nom à un très grand nombre de places, de rues ou de parcs.

 

Son nom est aussi celui d’un État du Venezuela, de la monnaie du même pays, d’un département de la Colombie et surtout d’un pays, la Bolivie.

On retrouve des statues à son effigie dans la plupart des grandes villes d'Amérique hispanophone, mais aussi à New York, Lisbonne, Paris, Londres, Bruxelles, Le Caire, Tokyo, Québec, Ottawa, Alger, Madrid, Téhéran, Barcelone, Moscou, Prague et Bucarest. (mort en 1830).

 

1795, France : à la Convention, Marie-Joseph Chénier dénonce la Terreur blanche qui ravage Lyon et le Midi.

 

1802 :

 

A Dumas

Naissance d’Alexandre Dumas, écrivain français, proche des romantiques et tourné vers le théâtre, Alexandre Dumas écrit d'abord un vaudeville à succès et des drames historiques comme « Henri III et sa cour » (1829), « La Tour de Nesle » (1832), « Kean » (1836).

 

Auteur prolifique, il s'oriente ensuite vers le roman historique telles que la trilogie « Les Trois Mousquetaires » (1844), « Vingt ans après » (1845) et « Le Vicomte de Bragelonne » (1847), ou encore « Le Comte de Monte-Cristo » (1844-1846), « La dame de Monsoreau » (1846) et « La Reine Margot » (1845, (mort en 1870).

 

 

A. Mucha

 

1860 :

 

Naissance d’Alfons Mucha, affichiste, illustrateur, graphiste, peintre, architecte d'intérieur et décorateur tchèque, fer-de-lance du style Art nouveau (mort en 1939).​​​​​​

 

 

Une toile de Mucha

 

 

24 juillet 1870

Mort de Pierre Dupont

 

Dupont exalte le travail, la solidarité et la fraternité. En 1851, il fut condamné pour ses chansons révolutionnaires à sept ans de déportation à Lambessa, mais gracié peu de temps après. Chant des ouvriers, le Tisserand, la Chanson du pain, Chansonnier français, célèbre sous le règne de Napoléon par ses chansons républicaines et socialistes dont l’originalité et la saveur populaire étaient très appréciées.

 

 

Dans le Chant des ouvriers, le Tisserand, la Chanson du pain, Dupont exalte le travail, la solidarité et la fraternité. En 1851, il fut condamné pour ses chansons révolutionnaires à sept ans de déportation à Lambessa, mais gracié peu de temps après.

 

1873, France :

L’Assemblée Nationale à majorité royaliste autorise l’expropriation de terrains situés à Montmartre pour y élever une église consacrée au « Sacré-Cœur ».

 

Cette mesure s’inscrit dans le cadre de la politique de réaction contre le républicanisme et le socialisme incarnés par la Commune de Paris. Le choix d'ériger la basilique sur la colline de Montmartre était hautement symbolique, car c'est là que débuta l'insurrection le 18 mars lorsque les troupes d'Adolphe Thiers viennent enlever à Paris les canons qui y étaient entreposés.

 

Après la cérémonie de pose de la première pierre, Hubert Rohault de Fleury fit explicitement le lien:

 

« Oui, c'est là où la Commune a commencé, là où ont été assassinés les généraux Clément-Thomas et Lecomte, que s'élèvera l'église du Sacré-Cœur ! Malgré nous, cette pensée ne pouvait nous quitter pendant la cérémonie dont on vient de lire les détails. Nous nous rappelions cette butte garnie de canons, sillonnée par des énergumènes avinés, habitée par une population qui paraissait hostile à toute idée religieuse et que la haine de l'Église semblait surtout animer. »

 

 

 

1941, France : déclaration d'allégeance au régime de Vichy des cardinaux et évêques de France.

 

 

24 juillet 1941

 

  • En France, création par les cardinaux et archevêques de France de la Mission de France, institution interdiocésaine.

 

24 juillet 1947

 

En France, Léon Jouhaux, dirigeant de la CGT, écrit que« le plan Marshall peut offrir une base positive à la reconstruction d’une Europe unie ».

 

Léon Jouhaux

 

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Article initial du 24 juillet 2011, régulièrement mis à jour tous les 24 juillet,

 

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23/07, c'est arrivé un certain 23 juillet de notre histoire....

 

Eté - La rédaction du Blog dénonce avec la plus grande fermeté, les abandons intolérables des animaux familiers de compagnie, lors des départs en vacances.

Petit rappel, le Benala n'est pas une espèce protégée.

 

  La personnalité du jour

 

Domenico Scarlatti

 

Domenico Scarlatti est un compositeur baroque et claveciniste virtuose italien, né à Naples le 26 octobre 1685 et mort à Madrid le 23 juillet 1757.

 

Né la même année que Georg Friedrich Haendel et Jean-Sébastien Bach, Domenico Scarlatti passe la première partie de sa vie dans le sillage et à l'ombre de son père Alessandro Scarlatti, musicien très renommé et principal promoteur de l'opéra napolitain.

 

Claveciniste virtuose, compositeur d'opéras, musicien de cour ou d'église, il ne parvient pas, cependant, à se fixer durablement et à faire carrière dans une des cités italiennes, férues de musique, où le mènent ses pérégrinations : Naples, Rome, Florence, Venise…

 

Quelques années avant la mort de son père, il s'installe au Portugal pour y devenir le maître de clavecin de Marie Barbara de Bragance, princesse royale, fille aînée du roi Jean V de Portugal, qui devait épouser en 1729 l'héritier de la couronne d'Espagne, futur Ferdinand VI. Il la suit à Séville, puis à Madrid et à Aranjuez.

 

C'est à Madrid, au service privé de la maison de Marie-Barbara, qu'il termine sa vie, ayant composé plus de 550 sonates pour clavecin d'une originalité exceptionnelle et pour la plupart inédites de son vivant, qui le posent comme l'un des compositeurs majeurs à la fois de l'époque baroque et de la musique pour clavier.


 


Domenico Scarlatti, sixième des dix enfants d'Alessandro Scarlatti et de son épouse Antonia Anzalone, naît à Naples le 26 octobre 1685. Ses parents sont issus de familles de musiciens, et Alessandro1, alors âgé de 25 ans, était déjà suffisamment réputé pour avoir été nommé directeur de la musique de la Chapelle royale.

 

On ne sait rien de sa formation initiale à la musique mais il semble que ce soit son père, ou peut-être son oncle Francesco ou Gaetano Greco, qui ait été l'un de ses premiers professeurs. Il est possible — mais il n'y en a pas de preuve — qu'il ait fréquenté l'un des quatre conservatoires de Naples, où Alessandro enseigna quelques semaines.

 

 

Très doué et précoce au clavier, il fut nommé, à peine âgé de 16 ans, organiste de la Chapelle royale. Aucune trace ne reste de ce premier poste, qu'il ne conserva d'ailleurs pas longtemps. Par la suite, Alessandro prit contact à Rome et à Florence afin d'obtenir, que ce fût pour lui ou pour l'un de ses enfants, une place au service du grand-prince Ferdinand III, un des mécènes de la musique les plus influents de cette époque.

 

 

En 1704, il adapte, pour la représenter à Naples, l’Irène de Pollarolo. Peu après, son père l'envoie à Venise pour étudier avec Francesco Gasparini. Il y rencontre Thomas Roseingrave, un musicien anglais qui devait plus tard participer à la diffusion de ses œuvres à Londres.

Scarlatti est dès cette époque un claveciniste hors pair, et l'on raconte que lors d'une joute musicale avec Haendel organisée à Rome au palais du cardinal Ottoboni pendant son séjour italien, il lui fut jugé supérieur au clavecin, alors que son rival l'emporta à l'orgue. Les deux musiciens restèrent d'ailleurs très amis.

 

En 1709, il entre au service de Marie-Casimire, reine de Pologne qui vit alors à Rome, et il compose plusieurs opéras pour sa scène privée. Il est maître de chapelle à la basilique Saint-Pierre de 1715 à 1719, et se rend peut-être l'année suivante à Londres pour y diriger un de ses opéras au King's Theatre.

 

En 1720 ou 1721, il réside à Lisbonne, enseignant la musique à la princesse Marie-Barbara. Il retourne à Naples en 1725, passe quelques années à Séville à partir de 1729 pour y étudier le flamenco, puis en 1733 s'installe de façon définitive à Madrid où il redevient maître de musique de la princesse, qui a entre-temps épousé l'héritier du royaume d'Espagne. Le reste de sa vie se déroule donc en Espagne.

 

Marie Barbara devient reine d'Espagne et lui conservera toujours sa confiance et sa protection. C'est pendant cette dernière période qu'il compose l’essentiel de son œuvre monumentale pour le clavecin.

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Domenico_Scarlatti?fbclid=IwAR0nMljehYlqo-JkB-aXlr9-4YOXDmqRf7Xm1KI7EBzBVTa3qrsxD-Ds3U4

 

Domenico Scarlatti

 

Gamal Abdel Nasser Hussein, né le 15 janvier 1918 à Alexandrie et mort le 28 septembre 1970 au Caire, est un homme d'État égyptien. Il fut le second président de la République d'Égypte de 1956 à sa mort.

Gamal Abdel Nasser Hussein, né le 15 janvier 1918 à Alexandrie et mort le 28 septembre 1970 au Caire, est un homme d'État égyptien. Il fut le second président de la République d'Égypte de 1956 à sa mort.

Dans la nuit du 22 au 23 juillet 1952, l'organisation clandestine « les officiers libres » prend le pouvoir en Égypte, renverse le roi Farouk 1er et restaure la pleine indépendance du pays après 70 ans de tutelle britannique.

 

La République est proclamée et le général Mohamed Neguib est porté à la tête du pouvoir.

 

 

L'Égypte vit une crise importante depuis la fin de la première guerre israélo-arabe (1948-1949) : le roi est tenu pour responsable de la défaite face à Israël et sa soumission aux Britanniques, installés sur le canal de Suez, choque les différents courants politiques du pays.

 

Le mouvement progressiste qui l'évince est fondé par le jeune colonel Gamal Abdel Nasser qui deviendra bientôt Premier ministre adjoint. Le roi Farouk abdiquera le 26 juillet et s'exilera à Monaco.

 

Le général Mohamed Néguib sera alors choisi comme président de la République.

 

 

Général Mohamed Neguib

Le 23 juillet...

 

848 : sur la demande de l'abbé Didon, Charles le Chauve fait donation au monastère du Mont-Glonne d'une «villa située dans le pagus d'Angers, non loin du lit de la Loire, et appelée la « villa de Jean», avec son église et…Ses esclaves des deux sexes…

 

1839, France : Alexis de Tocqueville dépose son rapport fait au nom de la « commission chargée d'examiner la proposition de M. de Tracy, relative aux esclaves des colonies françaises». Le rapport concluait à l'émancipation immédiate de tous les esclaves… Mais il ne vint jamais en discussion.

 

23 juillet 1933

 

En Allemagne, Hitler interdit le Parti social-démocrate d’Allemagne (SPD) et annule ses mandats au Reichstag.

 

1942, France :
Laval accepte de livrer aux nazis les milliers de Juifs étrangers réfugiés en zone libre, à condition que les Juifs français de zone occupée soient déportés seulement si les «quotas » fixés par l’Allemagne nazie ne sont pas atteints.

 

 

1942, Pologne : entrée en activité du Camp d'extermination de Treblinka.

 

1944, France :

 

Le maquis du Vercors a vécu. L’euphorie soulevée par l’annonce du débarquement en Normandie a laissé la place à la tragédie. La sauvage équipée des SS dans le village de Vassieux, deux jours plus tôt, aura scellé le destin du maquis. La cause est l’absence de soutien par les forces alliés et de parachutage d’armes légères et de munitions.

 

1945, France : 23 juillet au 15 août :
Procès du maréchal Pétain, condamné à mort, il eut sa peine commuée en détention perpétuelle le 23 août par De Gaulle.

 

1948 : mort de D. W. Griffith, réalisateur américain (°1875).

 

1974, Grèce : effondrement du régime des colonels et abolition de la monarchie.

 

1976, Portugal : premier gouvernement constitutionnel de Mário Soares.

 

1979 : mort de Joseph Kessel, écrivain français, membre de l'Académie française (°1898).

 

1988, France : décision de construire un monument à Lille pour célébrer le centenaire de la musique de «L’Internationale».

 

2011 :

 

Décès d'Amy Winehouse, chanteuse, auteur, compositeur et interprète britannique (Née le 14 septembre 1983).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Amy Jade Winehouse, née le  et morte le  à Londres, est une chanteuse et auteur-compositrice-interprète britannique, connue pour sa voix caractéristique rappelant celles d'Ella FitzgeraldSarah Vaughan ou encore Dinah Washington.

 

D'une manière générale, sa musique est un mélange de styles comme le jazz, le blues ou encore la soul.

 

En 2003, Amy Winehouse publie son premier album, Frank. Il rencontre le succès commercial et un bon accueil critique au Royaume-Uni, et en 2006, son second album intitulé Back to Blackno 1 des ventes dans plusieurs pays, la propulse au rang de star planétaire.
Elle remporte ainsi trois des quatre prix les plus importants aux Grammy Awards en 2007 : Meilleure nouvelle artisteAlbum de l'année et Chanson de l'année pour Rehab. La même année, elle remporte le Brit Award de la meilleure artiste féminine britannique.
Elle reçoit également le prix Ivor Novello à trois reprises : en 2004, pour la meilleure chanson contemporaine (musique et textes) pour Stronger Than Me, en 2007, pour la meilleure chanson contemporaine pour Rehab et en 2008 pour la meilleure chanson (musique et textes) pour Love Is A Losing Game.

 

Amy Winehouse a également attiré l'attention des médias pour son look, notamment sa coiffure, ses tatouages et son eye-liner, et a inspiré plusieurs stylistes.
La chanteuse connaît des problèmes de dépression, de toxicomanie, d'alcoolisme, et de boulimie largement relayés par les tabloïds à partir de 2007. Le , elle est retrouvée morte dans son appartement londonien, a priori en raison d'un fort abus d'alcool après une période d'abstinence.

 

Elle rejoint d'autres figures de la musique mortes à l'âge de 27 ans comme Jimi HendrixJanis JoplinJim MorrisonKurt Cobain ou encore Brian Jones mais également le bluesman Robert Johnson, intégrant ainsi ce que l'on nomme le Club des 27.
23  juillet1979 : mort de Joseph Kessel, écrivain français, membre de l'Académie française (°1898).

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Article publication, mise à jour, documentation, modification

 

 

   Article initial du 23 juillet 2011, régulièrement mis à jour tous les 23 juillet,

 

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Le 22 juillet 1209, la population de Béziers est massacrée suite à la prise de la ville par des croisés en guerre contre l'hérésie cathare.
C'est le premier des nombreux drames de la croisade contre les Albigeois, destinée à éradiquer l'hérésie cathare dans le Midi.

 

 

 

L'armée des croisés chargée d'éradiquer les cathares à la demande du pape Innocent III s'empare de Béziers.
Sous la direction du légat du pape Arnaud Amaury (ou Arnaud Amalric) et du chef Simon de Monfort, la ville est mise à sac et la population massacrée. Bien qu'en majorité catholique, Béziers ne voulait pas livrer les cathares qu'elle protégeait.

 

 

Pendant vingt ans, les combats feront rage dans la région.

 

 

Les albigeois, dans un premier temps dépassés, organiseront une reconquête avant de se heurter à l’armée royale française. Bien que glorieuse pour les catholiques, la croisade des albigeois n’élimine pas complètement le catharisme. C’est une des raisons de la création de l’Inquisition quelques années plus tard.

 

L'Histoire retient de ce drame la formule prêtée à Arnaud-Amaury…

 

Avant de donner l'assaut, les croisés demandent au légat du pape comment reconnaître les hérétiques des vrais chrétiens.
Celui-ci leur aurait répondu : « Tuez-les tous ! Dieu reconnaîtra les siens ! ».
Sir Sandford Fleming

Sir Sandford Fleming

Le 22 juillet.....

 

1666, France : conflit ministériel :

 

Colbert présente au roi un mémoire où il critique les dépenses militaires qu’il juge excessive et l’action de son collègue Louvois.

 

1709 : naissance de Jacques-Germain Soufflot, architecte français (mort en 1780).

 

1755 : naissance de Gaspard de Prony (mort en 1839), ingénieur, hydraulicien et encyclopédiste français.

 

1789, Révolution française : le peintre Louis David présente son tableau « Les licteurs portant à Brutus le corps de ses fils » au Salon. Exécution de Foulon, un financier détesté et Bertier, intendants de Paris.

 

1789, Révolution française : à Falaise, pris par la peur, le marquis de Ségrie renonce par actes notariés à ses droits féodaux dans cinq paroisses. A Montauban, une assemblée de citoyens oblige l’ancienne municipalité à partager le pouvoir avec un comité patriotique.

 

1790, Révolution française : la constitution civile du clergé est approuvée par le roi Louis XVI.

 

1795, Révolution française : Hoche rejette à la mer les émigrés débarqués par la flotte anglaise depuis le 5 messidor dans la presqu’île de Quiberon.

 

1802 : mort de Marie François Xavier Bichat, biologiste français (°1771).

 

1804 : naissance de Victor Schœlcher, homme d’État français, un des initiateurs de l'abolition définitive de l'esclavage en France (mort en 1893).

 

1915 : Décès de Sandford Fleming, ingénieur et inventeur canadien d’origine écossaise (Né le 7 janvier 1827).
1917, France :
Georges Clémenceau accuse de faiblesse le ministre de l’Intérieur Louis Malvy. Lors des grèves du printemps 1917, qui consume le consensus autour de l'Union sacrée, il fait pression sur les entrepreneurs afin qu'ils accordent des augmentations à leurs employés pour que ces derniers puissent faire face à la vie chère (grève des ouvrières, à Paris, en juin).

 

Il est attaqué par l’extrême-droite qui cherche à déstabiliser la République. Elle l’accuse d’être responsable de l'échec de la bataille du Chemin des Dames et d'être l'amant de Mata-Hari.
Il est en particulier la cible de Léon Daudet, rédacteur en chef de « L'Action française », qui envoie une lettre au Président de la République, Raymond Poincaré, dans laquelle il l'accuse d'avoir fourni des renseignements militaires à l'Allemagne et d'avoir fomenté les mutineries (ce qui était bien entendu, entièrement faux).

 

22 juillet 1912    


La loi du 22 juillet 1912 fixe les règles du jugement des mineurs délinquants de 13 à 16 ans, devant le tribunal des enfants et adolescents.  

 

 

1938, Allemagne: création d'une carte d'identité spéciale pour les Juifs.

 

1940, France : un décret du gouvernement de l’Etat français retire la nationalité française aux Juifs immigrés installés en France et naturalisés après 1927.

 

1941, France : une nouvelle loi raciale met en œuvre «l’aryanisation » des entreprises et des biens juifs.

 

1942, Pologne : déportation de 300 000 Juifs du ghetto de Varsovie vers les camps de la mort de Belzec et Treblinka.

 

1944 : accords de Bretton Woods. Création du FMI et de la Banque mondiale (BIRD). Les États-Unis imposent leur monnaie, seule capable de convertibilité en or.

 

Les accords de Bretton Woods sont des accords économiques ayant dessiné les grandes lignes du système financier international en 1944.

 

22 juillet 1969

 

En Espagne, Franco fait voter une loi désignant comme son successeur présomptif le prince Juan Carlos de Bourbon.

 

1993, France :

 

Loi sur les retraites du privé : la durée de cotisation passe à 40 ans pour une retraite à taux plein et le montant des pensions est calculé sur les 25 meilleures années. Cette réforme dont l'application s'étale sur près de 10 ans est votée au cœur de l’été.

 

 

2009, France :

 

Selon l'organisme UFC-Que Choisir, le projet de Contribution climat énergie présente des «carences rédhibitoires », est un « hold-up fiscal sur le mode de la vignette automobile des années 1960-1970 » et constitue « le pire des scénarios pour le pouvoir d'achat des consommateurs ».

 

2010, Niger :

 

l'ONG Médecins sans frontières (MSF) alerte sur la grave crise alimentaire qui frappe depuis le début de l'année huit millions de personnes, en particulier de jeunes enfants : « Tous les ans, il y a une crise nutritionnelle récurrente au Niger. Mais cette année la situation est particulièrement grave. C'était malheureusement prévisible dès la fin 2009 à la suite des mauvaises récoltes dues à la sécheresse ».

 

2011, Norvège :

 

Attentats néonazis à Oslo (8 morts) et sur l'île d'Utøya. Un camp de jeunes organisé par la Ligue des jeunes travaillistes (AUF) du Parti travailliste norvégien (AP), sur l'île d'Utøya est attaqué par un tireur armé déguisé en policier, tuant soixante-neuf jeunes et en blessant par balle trente-trois autres. La police a arrêté l’auteur, Anders Behring Breivik, un militant d’extrême-droite de 32 ans.

 

L'idéologie de Breivik est décrite dans un document texte distribué électroniquement par lui-même le jour des attaques. Dans celui-ci, il développe son soutien au «conservatisme culturel », à l'ultranationalisme, au populisme de droite, à l'islamophobie, au sionisme, à l'antiféminisme et au nationalisme blanc.

 

Il considère l'islam, le « marxisme culturel » et la plupart des partis politiques européens comme des ennemis et exige l'annihilation violente de «l'Eurabia » et du multiculturalisme, ainsi que la déportation de tous les musulmans hors d'Europe pour l'année 2083 pour « préserver la chrétienté ».

 

Breivik a écrit que le motif principal de ses attentats était de faire de la publicité pour son manifeste.

Gen Franco

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 La personnalité du jour

 

Victor Schœlcher

 

 

Victor Schœlcher (/ʃœlʃεr/) est un journaliste et homme politique français, né à Paris le 22 juillet 18043 et mort à Houilles le 25 décembre 18933. Il est connu pour avoir agi en faveur de l'abolition définitive de l'esclavage en France, via le décret d'abolition, signé par le gouvernement provisoire de la deuxième République4 le 27 avril 1848.



Victor Schœlcher né le 22 juillet 1804 à Paris (5e arrondissement ancien, aujourd'hui 10e arrondissement) au 60 rue du Faubourg-Saint-Denis, dans une famille catholique bourgeoise. Son père, Marc Schœlcher (1766-1832), originaire de Fessenheim (Haut-Rhin) en Alsace, est propriétaire d'une usine de fabrication de porcelaine. Sa mère, Victoire Jacob (1767-1839), originaire de Meaux (Seine-et-Marne), est marchande lingère à Paris au moment de son mariage.

 

Victor Schœlcher est baptisé à l'église Saint-Laurent de Paris le 9 septembre 1804.

 

Il fait de courtes études au lycée Condorcet, côtoyant les milieux littéraires et artistiques parisiens, faisant connaissance avec George Sand, Hector Berlioz et Franz Liszt.

Son père l'envoie au Mexique, aux États-Unis et à Cuba en 1828-1830 en tant que représentant commercial de l'entreprise familiale. Lorsqu'il est à Cuba, il est révolté par l'esclavage.

 

Le vouloir faire


 

Caricature de Victor Schœlcher par André Gill

 

 

De retour en France, il devient journaliste et critique artistique, publiant des articles, des ouvrages, multipliant ses déplacements d'information. Il adhère à la franc-maçonnerie, étant initié dans la loge parisienne « Les Amis de la Vérité » (Grand Orient de France), qui est à l'époque un atelier très fortement politisé, pour ne pas dire ouvertement révolutionnaire.

 

Il passe ensuite à une autre loge parisienne, « La Clémente Amitié ». Il cesse toute activité maçonnique en 1844, lorsqu'il est radié par la chambre symbolique du Grand Orient de France, en compagnie de dix-sept autres frères de la loge « La Clémente Amitié », pour s'être opposé à la révision des statuts généraux de l'obédience et avoir soutenu le vénérable Bègue-Clavel.

 

Il revend rapidement la manufacture dont il hérite de son père en 1832 pour se consacrer à son métier de journaliste et ses activités philanthropiques.

 

Le discours abolitionniste de Schœlcher évolue au cours de sa vie.

 

En 1830, dans un article de la Revue de Paris, « Des Noirs », après avoir fait une description terrible de la situation des esclaves, et montré comment l'esclavage transforme ces hommes en brutes, il se prononce contre l'abolition immédiate, car pour lui, « les nègres, sortis des mains de leurs maîtres avec l'ignorance et tous les vices de l'esclavage, ne seraient bons à rien, ni pour la société ni pour eux-mêmes » ; « je ne vois pas plus que personne la nécessité d'infecter la société active (déjà assez mauvaise) de plusieurs millions de brutes décorés du titre de citoyens, qui ne seraient en définitive qu'une vaste pépinière de mendiants et de prolétaires » ; « la seule chose dont on doive s'occuper aujourd'hui, c'est d'en tarir la source, en mettant fin à la traite ».

 

 

En 1833, il publie un premier ouvrage : De l'esclavage des Noirs et de la législation coloniale. Ce livre est un réquisitoire contre l'esclavage et pour son abolition, mais il renvoie celle-ci à un « futur incident révolutionnaire que j'appelle du reste de mes vœux », car, écrit-il « Les révolutions se font pour rétablir dans l'ordre social l'équilibre que les envahissements de la richesse tendent toujours à détruire ».

 

Il estime, dans la préface de l'ouvrage, que la Révolution de 1830 a ouvert une période longue dans laquelle les libertés ouvrières sont confisquées, bien que les ouvriers en aient été le moteur.

 

Mais tous les éléments de son combat sont en place, et ses idées sont claires, car il considère que « l'homme noir n'est pas moins digne de la liberté que l'homme blanc » (Chapitre X) ; « l'esclavage des nègres est une injure à la dignité humaine, parce que l'intelligence de l'homme noir est parfaitement égale à celle de l'homme blanc » (Chapitre XI).

 

Statue en Martinique dans la commune de Schoelcher

 

 

Mais il ne propose en conclusion de son ouvrage qu'un texte de loi ne visant qu'à humaniser autant que faire se peut l'esclavage, et non pas à l'abolir immédiatement. Car à cette époque il pense que dans le cadre du régime issu de la révolution de 1830, il ne sera pas possible d'aller plus loin.

 

Cette loi encadrerait l'esclavage dans des limites, donnerait des droits aux esclaves, limiterait donc les droits des maîtres, mais tolérerait malgré tout le maintien de la peine du fouet, « toute révoltante qu'elle soit », sans laquelle « les maîtres ne pourraient plus faire travailler dans les plantations ».

 

Il est complètement lucide sur la portée de sa proposition, et surtout sur ses limites, car il confesse : « dès que vous acceptez un mode d'existence contraire à toutes les lois de la nature, il faut vous résigner à sortir des bornes de l'humanité » ; or, pour lui, l'esclavage sort des bornes de l'humanité.

 

Mais après un nouveau voyage aux Antilles15 en 1840, il se prononce pour une abolition immédiate et complète, et se consacre désormais entièrement à cette cause. Ses voyages en Grèce, en Égypte et au Sénégal le confortèrent dans cette conviction. En 1845, à l'occasion du débat parlementaire sur des lois d’humanisation de l’esclavage, il publie des articles nombreux dans des journaux et revues comme Le Courrier Français, le Siècle, Le Journal des Économistes, L’Atelier, L'Abolitionniste français, La Revue Indépendante et surtout la Réforme.



 

Place Victor Schœlcher à Cayenne

En 1847 il regroupe ces articles dans un ouvrage intitulé Histoire de l’esclavage pendant ces deux dernières années.

 

Après avoir écrit que « tout le monde est d’accord sur la sainteté du principe de l'abolition », et « que le sort des esclaves n'a pas cessé d'être horrible, atroce, dégradant, infâme, malgré les lois, les ordonnances, les règlements faits pour l'alléger », il conclut le préambule de son ouvrage par : « Le seul, l'unique remède aux maux incalculables de la servitude c'est la liberté. Il est impossible d'introduire l'humanité dans l'esclavage. Il n'existe qu'un moyen d'améliorer réellement le sort des nègres, c'est de prononcer l'émancipation complète et immédiate ».

 

Nommé sous-secrétaire d'État à la Marine et aux colonies dans le gouvernement provisoire de 1848 par le ministre François Arago, il contribue à faire adopter le décret sur l'abolition de l'esclavage dans les Colonies. Le décret signé par tous les membres du gouvernement paraît au Moniteur le 5 mars.

 

Sa notoriété le conduit à être élu député, à la fois par la Martinique (le 9 août 1848, 3e et dernier par 19 117 voix sur 20 698 exprimés) et par la Guadeloupe (le 22 août 1848, 2e sur 3, par 16 038 voix sur 33 734 votants).

Il opte pour la Martinique. Il fut élu en juin 1849, comme représentant de la Guadeloupe à l'Assemblée législative.

 

D'août 1848 à décembre 1851, il siège à gauche, en tant que vice-président du groupe La Montagne. Il intervient en faveur des noirs, demande l'élection des officiers de l'armée jusqu'au grade de capitaine, dépose un amendement demandant que les compagnies de chemins de fer équipent les 3e classes de wagons fermés, réclame l'abolition de la peine de mort. Il vote pour le droit au travail, pour l'ensemble de la Constitution, contre l'expédition de Rome, etc.

 

  •  Décret d'abolition de l'esclavage du 27 avril 1848.

 

L'esclavage avait déjà été aboli en France, pendant la Révolution française le 16 pluviôse an II, puis rétabli par Napoléon Ier par la loi du 20 mai 1802. Victor Schœlcher, nommé par Lamartine président de la commission d'abolition de l'esclavage, est l'initiateur du décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement l'esclavage en France.

 

Lors du coup d'État du 2 décembre 1851, il fut un des députés présents aux côtés de Jean-Baptiste Baudin sur la barricade où celui-ci sera tué. Républicain, il est proscrit durant le Second Empire par le coup d'État de Louis Napoléon Bonaparte. Il s'exile en Angleterre et y devient un spécialiste de l'œuvre du compositeur de musique sacrée Georg Friedrich Haendel, rassemble une collection très importante de ses manuscrits et partitions18 et rédige une de ses premières biographies, mais celle-ci n'est éditée que dans sa traduction anglaise.

 

En 1870, il revient en France à la suite de la défaite de Sedan. Il est alors nommé colonel d'état-major de la garde nationale et obtient le commandement de la légion d'artillerie.

 

Après l'abdication de Napoléon III, il est réélu député de la Martinique à l'Assemblée nationale de mars 1871 à décembre 1875. En avril 1871, en pleine crise communaliste, il publie un appel pour que l'assemblée de Versailles choisisse la conciliation plutôt que l'affrontement avec la Commune : « L'Assemblée, bien qu'elle ait le droit de son côté, ne peut avoir la criminelle pensée, pour le faire prévaloir, d'assiéger la Commune ». Le 16 décembre 1875, il est élu sénateur inamovible par l'Assemblée nationale.

 

 

En 1877, Victor Schœlcher dépose une proposition de loi pour interdire la bastonnade dans les bagnes. La commission d'initiatives refuse la proposition, mais les peines corporelles seront abolies en 1880.

 

Sous la Troisième République, le gouvernement Ferry promulgua la loi du 30 juillet 1881, dite de « réparation nationale », qui allouait une pension ou rente viagère aux citoyens français victimes du coup d'État du 2 décembre 1851 et de la Loi de sûreté générale.

 

La Commission générale chargée d'examiner les dossiers, présidée par le Ministre de l'Intérieur, était composée de représentants du ministère, de conseillers d'État, et comprenait huit parlementaires, tous d'anciennes victimes : quatre sénateurs (Victor Hugo, Jean Macé, Elzéar Pin, Victor Schœlcher) et quatre députés (Louis Greppo, Noël Madier de Montjau, Martin Nadaud et Alexandre Dethou)21.

 

En 1884 et 1885 il tente de s'opposer, sans succès, à l'institution de la relégation des forçats récidivistes en Guyane.

 

Abolitionniste mais colonialiste, il continue de défendre la colonisation par le bulletin de vote et la scolarisation.

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_Sch%C5%93lcher?fbclid=IwAR0n0cBbSg1EBj46b6PLutKvihXZgcz9jXjr72sFP2ZQG8fuV5nIJvZFNSc

 

 

Victor Schoelcher

 

 

Article publication, mise à jour, documentation, modification

 

 

   Article initial du 22 juillet 2011, régulièrement mis à jour tous les 22 juillet,

 

smiley   Le 22 juillet 2019, 14H51

 

 

 

 

 

 

 

Sandrine nous offre ces quelques framboises du jardin, accompagnées d'une délicieuse mousse au chocolat au lait croustillanteSandrine nous offre ces quelques framboises du jardin, accompagnées d'une délicieuse mousse au chocolat au lait croustillante

Sandrine nous offre ces quelques framboises du jardin, accompagnées d'une délicieuse mousse au chocolat au lait croustillante

22/07, c'est arrivé un certain 22 juillet de notre histoire....
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20 juillet 2019 6 20 /07 /juillet /2019 14:00

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20/07, c'est arrivé un certain 20 juillet de notre histoire.....
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A la table des banquets sur les répartitions budgétaires

 

La question de la répartition des budgets de l'Etat

 

 

 

 

Et voilà comment la presse nous présente cette réforme que nous combattons de toute notre force

 

 

  La personnalité du jour

 

Johann Gregor Mendel

 

 

Johann Gregor Mendel (né le 20 juillet 1822 et décédé le 6 janvier 1884) est un moine catholique au monastère Saint-Thomas de Brno (en Moravie) et un botaniste germanophone de nationalité autrichienne, communément reconnu comme le père fondateur de la génétique.

 

Il est à l'origine de ce qui est actuellement appelé les lois de Mendel, qui définissent la manière dont les gènes se transmettent de génération en génération.



Johann Mendel naît le 20 juillet 18222 à Heinzendorf (Hynčice, district de Nový Jičín), petit village de Silésie, alors territoire de l'Empire d'Autriche (maintenant la République tchèque). Il est le seul fils d'Anton et Rosina Mendel, qui sont également les parents de deux filles, Veronica et Theresia. La famille, paysanne, est de langue allemande.

 

À son retour de l'armée, Anton, détenteur d'une ferme qui est dans la famille Mendel depuis 130 ans, a mis en place un verger amélioré par greffage grâce aux scions issus du domaine de la comtesse Maria Truchsess-Ziel (propriétaire des terres sur lesquelles était la ferme des Mendel) ; son fils Johann l'aide dans cette tâche minutieuse. Rosina Mendel était la fille de Martin Schwirtlich, un jardinier professionnel intervenant chez les grands propriétaires des alentours.

 

Johann Mendel reçoit un enseignement primaire à l'école du village qui avait été créée par un de ses oncles. L'instituteur et le curé du village remarquent ses dons pour les études et encouragent ses parents à l'engager dans cette voie : Johann, âgé de onze ans, est d'abord envoyé à Lipnik, dans un établissement offrant un enseignement professionnel d'ordre pratique ; l'année suivante, en 1834, il va au lycée de Troppau (aujourd'hui Opava).

 

En 1838, le père de Johann subit un grave accident qui lui interdit tout travail de force et tarit l'aide financière apportée à son fils. Johann arrive toutefois à finir ses études au lycée de Troppau (le 7 août 1840) avec les honneurs. En 1840, il rejoint l’Institut de philosophie d’Olomouc afin d’y suivre deux années préparatoires à l’entrée à l’Université qu'il achève avec les honneurs.

 

Faute des ressources suffisantes, et malgré l'aide de son beau-frère qui a repris la ferme de son père Anton, Johann doit renoncer aux études universitaires. Son professeur de physique, le Dr Friedrich Frantz, un moine augustinien (donc issu d'un ordre orienté vers l'enseignement), entretient des relations avec le monastère de Brno. Mendel décide d'entrer à Saint-Thomas dans l’espoir qu’à l’instar d’autres moines il serait envoyé à l’université de Vienne aux frais du monastère, pour y acquérir les diplômes nécessaires à sa qualification d’enseignant. Sa candidature est acceptée à condition que Mendel apprenne le tchèque, langue utilisée pour les offices.

 

Le 3 octobre 1843, Mendel est reçu au noviciat du monastère Saint Thomas de Brünn où il prendra le prénom de Gregor. Brünn est à l'époque une des principales villes commerciales de l'empire ; divers cercles et institutions y développent une vie intellectuelle. C'est aussi un des principaux centres de manufacture lainière de l'empire, où s'élabore une réflexion sur la sélection animale et l'hérédité.

 

Le monastère lui-même est également un lieu de recherche et d'enseignement réputé.

Dirigé par l'abbé Cyrill Franz Napp, qui avait un intérêt intellectuel et matériel (le monastère vit des ressources de son domaine où l'élevage ovin est important) pour l’hérédité et sa transmission à travers les deux sexes7, le monastère comporte, outre une bibliothèque fournie, un jardin botanique.

 

La formation religieuse d'une durée de quatre ans prévoit l'apprentissage du grec, du latin, de l’hébreu et de la théologie. À l'issue de la deuxième année, Mendel prononce ses vœux monastiques.

 

Dès son arrivée au monastère, Mendel sent tout ce qu’un milieu culturel particulièrement stimulant peut apporter à ses aspirations. Il consacre tout son temps libre à l’étude des sciences naturelles. Parallèlement, il assure des enseignements scientifiques dans les collèges et lycées des environs mais rechigne aux tâches pastorales.

 

En 1846, il suit un cursus en agriculture et en viticulture. Le 6 août 1847 il est ordonné prêtre. Poursuivant sa formation religieuse, il compte toujours entrer à l'Université, une espérance réduite à néant à la suite de sa nomination comme curé d’Alt-Brünn le 22 juillet 18488. Dans le contexte de Révolution autrichienne de 1848, et peu après l'ouverture de l’Assemblée Impériale Constituante Mendel, avec d'autres moines, signe une pétition demandant l'octroi aux moines de la pleine citoyenneté. Cette pétition ne devint publique et officiellement connue de l’évêque de Brünn que début 18498.

 

En janvier 1849, il tombe gravement malade probablement à la suite d'une infection contractée soit au chevet des malades, soit lors des autopsies auxquelles il participait.

 

En septembre 1849, il est nommé professeur adjoint à Znojmo. En 1849, il accepte un poste d'enseignant dans une ville voisine mais échoue à deux reprises aux épreuves de l'examen d'aptitude à l'enseignement. Andreas Baumgartner fait en sorte que Mendel puisse suivre une formation à Vienne.

En 1851 Mendel part à Vienne pour suivre les cours, en tant qu'auditeur libre, de l’Institut de physique de Christian Doppler ; il y étudie, en plus des matières obligatoires - les mathématiques et la physique-, la botanique, la physiologie végétale, l’entomologie, la paléontologie. Durant deux années, il acquiert toutes les bases méthodologiques qui lui permettront de réaliser plus tard ses expériences. Son intérêt pour le problème de la fécondation naît à Vienne.

 

Au cours de son séjour il est amené à s’intéresser aux théories de Franz Unger, professeur de physiologie végétale. Celui-ci préconise l’étude expérimentale pour comprendre l’apparition des caractères nouveaux chez les végétaux au cours de générations successives. Il espère ainsi résoudre le problème que pose l’hybridation chez les végétaux.

 

Il suit les séminaires de Franz Diebl à Brno. Mendel retourne à son monastère de Brno en 1854 où il restera tout le restant de sa vie. En 1854 il devient professeur de physique et de sciences naturelles au lycée de Brno. Dès l'été 1854, il installe un jardin expérimental dans la cour et dans la serre, en accord avec son abbé, et met sur pied un plan d’expériences visant à comprendre les lois de l’origine et de la formation des hybrides. Il choisit pour cela le pois qui a l'avantage d'être facilement cultivé avec de nombreuses variétés décrites.

 

 

Statue G. Mendel

 

 

En 1854, à la demande de l'évêque - qui tente par ailleurs une reprise en main de l'abbé -, Mendel doit cesser l'étude de l'hybridation chez les souris : il menait en effet un élevage dans sa propre chambre. Cinquante ans plus tard, la redécouverte de l'intérêt de Mendel pour les souris par Clarence C. Little incitera celui-ci à élever des souris pour ses propres recherches. En 1856, il commence ses expériences d'hybridation avec les pois. En 1861 est créée la Société des sciences naturelles de Brünn ; Mendel en est un des cofondateurs ; Franz Unger en est membre d'honneur.

 

En 1863, il publie son premier article de météorologie. En 1863, une épidémie dévaste ses cultures et Mendel se tourne alors vers d'autres espèces. En 1865, il présente deux conférences (le 8 février et le 8 mars) à la Société des sciences naturelles de Brünn (Naturforschenden Vereins) et publie en 1866 les résultats de ses études15 dans un article intitulé : Versuche über Pflanzenhybriden / Recherches sur des hybrides végétaux.

Après dix années de travaux minutieux, Mendel a ainsi posé dans ce mémoire princeps les bases théoriques de la génétique et de l’hérédité moderne.

 

En 1866, il entame une correspondance avec Nägeli. En 1868, Mendel est élu supérieur de son couvent à la mort de l'abbé Napp et est libéré de ses fonctions d'enseignement17.

 

En juin 1869 lors d'une séance de la Société des sciences naturelles de Brno, il rapporte les expériences conduites sur l'épervière/Hieracium qu'il a entreprises à la suite d'une correspondance avec Karl Wilhelm von Nägeli ; ces expériences ne donnèrent pas les résultats obtenus par celles conduites avec les pois ; ce travail sera publié l'année suivante. Il ne poursuivra plus ensuite de recherches sur l'hybridation. Pour expliquer ce fait, les biographes avancent généralement le manque de temps consécutif aux nouvelles responsabilités incombant à Mendel du fait de sa fonction de supérieur du couvent ; ainsi à compter de 1875, il doit développer une opposition farouche à un projet gouvernemental de taxation des biens monastiques.

 

Jean Deutsch avance l'hypothèse que les résultats décevants des expériences faites avec le Hieracium ont également pu causer l'abandon de ces recherches sur l'hérédité.

 

Mendel s’investit alors dans d’autres domaines plus compatibles avec ses obligations, notamment l’horticulture et l’apiculture. Il se passionne également pour la météorologie qui sera le domaine qu’il aura le plus longtemps étudié, de 1856 jusqu’à sa mort en 1884, faisant des relevés systématiques sur une longue durée et colligeant l'ensemble des résultats des stations météorologiques de son pays. Il sera d'ailleurs plus connu par ses contemporains pour son apport à cette matière que pour sa contribution à la génétique naissante.

 

En 1883, il commence à souffrir d'une probable insuffisance rénale qui va l'emporter un an plus tard, le 6 janvier 1884 au matin. Il est enterré trois jours plus tard au cimetière central de Brno ; une longue procession lui fait honneur.

 

L'ensemble des archives de Mendel est brûlé par l’abbé Anselm Rambousek, le successeur de Mendel au monastère, quelques jours à peine après sa mort.

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gregor_Mendel?fbclid=IwAR1v6eHjNOgna7rRUmdxGYZwlzVCk_yv67_IMo1x4yiXZx23AC0frVpN7eM​​​​​​

 

 

 

Johann Gregor Mendel

 

Décédé-es un 20 juillet

 

1031 : Robert II, roi de France de 996 à 1031 (Né en 972).

 

1524 : Claude, reine de France, épouse François Ier (Née le 13 octobre 1499).

 

1870 : Jules de Goncourt, écrivain français, frère d'Edmond de Goncourt, son aîné, avec lequel il collabora pour une partie de son œuvre (Né le 17 décembre 1830).

 

1903 : Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Raffaele Luigi Pecci, dit), 256e pape, exerçant de 1878 à 1903 (Né le 2 mars 1810).

 

1923 : Pancho Villa, (José Doroteo Arango Arámbula) révolutionnaire mexicain (Né le 5 juin 1878).

 

 

1932 : René Bazin, écrivain français (Né le 26 décembre 1853).

 

René Bazin, né à Angers le 26 décembre 1853 et mort à Paris le 20 juillet 1932, est un écrivain français, à la fois juriste et professeur de droit, romancier, journaliste, historien, essayiste et auteur de récits de voyages.

 

1937 :

 

Guglielmo Marconi, physicien, inventeur et homme d’affaires italien, considéré comme l’un des inventeurs de la radio et de la télégraphie sans fil (Né le 25 avril 1874).

 

1942 :

 

Germaine Dulac

 

Germaine Dulac, née Charlotte Elisabeth Germaine Saisset-Schneider, réalisatrice, productrice et scénariste  française (Née le 17 novembre 1882).

 

 

1944 : Mildred Harris, actrice américaine, première épouse de Charlie Chaplin (Né le 29 novembre 1901).

 

1945 : Paul Valéry, écrivain français, membre de l'Académie française (Né le 30 octobre 1871).

20/07, c'est arrivé un certain 20 juillet de notre histoire.....

1304 : Pétrarque, poète italien (Décédé le 19 juillet 1374).

 

1700 : Henri Louis Duhamel du Monceau, homme politique et scientifique français (Décédé le 22 août 1782).

 

1822 : Gregor Mendel, moine et botaniste tchèque. Reconnu comme le père fondateur de la génétique, il est à l'origine de ce qui est actuellement appelé les lois de Mendel, qui définissent la manière dont les gènes se transmettent de génération en génération. (Décédé le 6 janvier 1884).

 

 

1847 : Max Liebermann, peintre allemand (Décédé le 8 février 1935).

 

1921 : Francis Blanche, acteur et humoriste français (Décédé le 6 juillet 1974).

20/07, c'est arrivé un certain 20 juillet de notre histoire.....
Buste de Léon Cladel

Buste de Léon Cladel

Le 20 juillet....

 

1183, France :

 

Une bande de 7 000 Cotereaux ou Brabançons sont décimées par la Confrérie des Capuchons aidés par les troupes de Philippe Auguste près de Châteaudun.

 

La confrérie se forme après une victoire remportée par des non-combattants sur des mercenaires qui écumaient le pays (des routiers que l’on appelait alors des Brabançons), près de Dun-le-Roi. Cette confrérie se forme dans la région du Puy, en Auvergne, à l’été 1182, autour d’un dénommé Durand, qui prêche et guide le mouvement.

 

Ses membres sont réunis par le désir de paix, d’ordre ; ils se recrutent dans toute la société, d’abord la paysannerie aisée et les habitants non-miséreux des villes : ses membres achètent un manteau blanc et une image de la Vierge à l’Enfant en étain, et cotisent. Ils exigent de tous les membres de la société qu’ils se rallient, et qu’il soit mis fin aux violences.

L’évêque du Puy, d’abord méfiant, se rallie et prêche en leur faveur à la fin de 1182, d’où l’extension que prend le mouvement.

 

De cinq cent vers Noël 1182, l’effectif des Capuchonnés passe à 5 000 peu de temps après, puis bien plus au printemps suivant. Ils enrôlent des membres de toutes les couches et de tous les ordres de la société, hommes et femmes.

 

Tous combattent les routiers, sauf les moines qui ne quittent pas leur monastère, astreints par leur règle, mais prient pour leur victoire. Le mouvement aurait entraîné une paix entre le comte de Toulouse et le roi d’Aragon. Il se répand début 1183 dans les régions voisines : Aquitaine, Gascogne, Berry, Nivernais, Bourgogne, Provence, régions qui n’étaient pas touchées par le phénomène qui suscita la confrérie, c’est-à-dire les exactions des routiers.

Elle revendiqua alors la fin des taxes excessives et injustes, l‘égalité naturelle, ce qui provoqua une réaction armée de la part du clergé et de la noblesse, qui extermina le mouvement. À Auxerre, c’est l’évêque qui conduit la répression.

Le mouvement, à ses débuts, est bien vu des moines, qui y voient une entreprise de pacification de la société.

Les membres privilégiés de la société le dépeignent au contraire comme une « hérésie charnelle » remettant en cause l’ordre « nécessaire » de la société.

 

1789, Révolution française :

 

Des émeutes paysannes secouent les campagnes. A Caen, la population chasse la garnison du château. A Paris, Robespierre défend les insurgés : « Qu’est-il donc arrivé de cette émeute de Paris ? La liberté publique, peu de sang répandu, quelques têtes ont été abattues, mais des têtes coupables, Messieurs, c’est à cette émeute que la Nation doit sa liberté. »

 

 

1790, Révolution française : le tribunal du Châtelet rejette les accusations de complot contre le roi portées contre Philippe d’Orléans.
20 juillet 1892
Mort de Léon Cladel, romancier et conteur
 

Léon Cladel mit son talent et sa ferveur au service de l’émancipation ouvrière. Cladel était un révolté contre la misère du peuple, les injustices sociales, l’ignorance et la bêtise humaines.

 

Avec virtuosité, il attaque les profiteurs insatiables, les bourgeois repus et la puissance omnipotente de l’argent.

 

Parmi ses romans réalistes les plus caractéristiques, nous rappellerons Boucassé, Ompdrailles, le tombeau des lutteurs, Va-nu-pieds, N’a qu’un œil, Fête votive de Saint Bartholomé porte glaive, et un roman posthume sur la Commune de Paris qui révèle son style rustique et sa tendresse envers les paysans pauvres et les ouvriers déshérités qu’il défendait avec force et courage.

 

 

 

On sent dans sa poésie, ses romans et ses contes, de valeur inégale, le tremblement de la colère contre un monde hypocrite en décrépitude qu’il voudrait voir disparaître et en même temps l’espérance d’une société nouvelle.

 

 

Son imagination romanesque s’unit à la vérité de la vie avec une sensibilité profonde et une simplicité d’expression qui confèrent à ses œuvres un intérêt humain et social à la fois.

 

 

 

 

 

 

 

20 juillet 1933

 

Signature d’un concordat entre le Vatican et le IIIe Reich allemand.

1940, France :
La CGT réunit à Toulouse les représentants de vingt-quatre fédérations et de vingt-huit unions départementales afin de reconstituer son Comité confédéral national.

 

20 juillet 1954

 

Signature à Genève des accords sur la cessation des hostilités en Indochine.

 

Le Vietnam est partagé au niveau du 17eparallèle. L’indépendance du Vietnam de Hô Chi Minh apparaît comme une défaite du camp de l’Ouest.
Article publication, mise à jour, documentation, modification

 

 

   Article initial du 20 juillet 2011, régulièrement mis à jour tous les 20 juillet,

 

smiley   Le 20 juillet 2019, 15H05

 

 

 

 

 

 

 

20/07, c'est arrivé un certain 20 juillet de notre histoire.....
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19 juillet 2019 5 19 /07 /juillet /2019 16:38

Lever de lune    23h26
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Ascension    Lune montante
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Age de la Lune    17,14 jour(s)


Distance Lune-Terre    404 857 km
Distance Lune-Soleil    152 023 379 km

19/07, c'est arrivé un certain 19 juillet de notre histoire...
19/07, c'est arrivé un certain 19 juillet de notre histoire...
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  La personnalité du jour

 

Pétrarque

 

Francesco Petrarca, en français Pétrarque (Arezzo, 20 juillet 1304 - Arquà, 19 juillet 1374), est un érudit, poète et humaniste florentin.

 

Avec Dante Alighieri et Boccace, il compte parmi les premiers grands auteurs de la littérature italienne, et en demeure l’un des plus éminents.

 

Plus que Dante avec Béatrice, Pétrarque est passé à la postérité pour la perfection de sa poésie qui met en vers son amour pour Laure de Sade. Pour beaucoup, l'ensemble de sa gloire, l'essentiel de sa renommée, la portée de son influence, tant stylistique que linguistique, tiennent uniquement à un volume, son immortel Canzoniere dans lequel il rénova la manière des écrivains du « dolce stil novo »

.

C'est dans cette œuvre majeure qu'il « se présente comme une sorte de Janus regardant à la fois vers le passé et l'avenir, l'antiquité et la chrétienté, la frivolité et le recueillement, le lyrisme et l'érudition, l'intérieur et l'extérieur ».

 

Il est également l'homme qui, durant ses nombreux voyages, a retrouvé les Correspondances de Cicéron jusqu'alors perdues. Ces dernières sont à l'origine de la volonté de Pétrarque de publier ses propres lettres.



« Le lundi 22 juillet de l’an 1304, au lever de l’aurore, dans un faubourg d’Arezzo appelé l’Horto, je naquis, en exil, de parents honnêtes, Florentins de naissance et d’une fortune qui touchait à la pauvreté. »

 

Fils du notaire ser Pietro (Petrarco (it)) di Ser Parenzo, il passa son enfance dans le village de Incisa in Val d'Arno, proche de Florence car son père avait été banni de la cité florentine par les Guelfes noirs en 1302 en raison de ses liens politiques avec Dante. Le notaire et sa famille rejoignirent ensuite Pise puis Marseille et le Comtat Venaissin.

 

Pétrarque

 

 

  • Études à Carpentras

 

Les exilés arrivèrent à Avignon en 1312 puis François s’installa à Carpentras où « il fit ses humanités sous la férule de l’excellent maître toscan Convenole de la Prata ».

 

La tradition veut que celui-ci ait reçu de son élève un livre de Cicéron contenant, entre autres, le De Gloria aujourd’hui perdu. Toujours gêné pécuniairement, le maître avait engagé ce livre et, malgré les offres de Pétrarque pour le lui racheter, il refusa toujours par fierté. À sa mort, le poète gémit d’avoir « perdu à la fois son livre et son maître ».

 

Ce fut pourtant de lui que le jeune homme acquit le goût des belles lettres. Dans une lettre à son ami d’enfance, Guido Settimo, archevêque de Gênes, qui étudia avec lui chez le maître toscan, il rappelle :

 

« Je séjournai quatre ans à Carpentras, petite ville voisine d’Avignon, du côté du levant, et dans cette ville j’appris un peu de grammaire, de dialectique et de rhétorique, autant que l’on peut en apprendre à cet âge et qu’on peut en enseigner à l’école. »

 

Pour payer ses études, son père donnait chaque année au recteur du collège quatorze éminées de blé et le futur poète devait apporter son vase à vin et son gobelet pour boire au cours des repas.

 

À Carpentras, le jeune Pétrarque vécut un moment important. Il assista, le 1er mai 1314, à l’arrivée du Sacré Collège venu élire un nouveau pape. Les vingt-trois cardinaux – dont quinze Français et huit Italiens – entrèrent en conclave puis durent se disperser face à l’attaque armée des Gascons de la famille de Clément V, le pape défunt.

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9trarque?fbclid=IwAR3dszi1-Oui_sHjt3sBj5KQJKl9z2aWI6JVnniFuhPOkNgmuJp3Ft5L-5A

 

Pétrarque

 

Le 19 juillet 64      Grand incendie de Rome

Le 19 juillet 64  Grand incendie de Rome


Le 19 juillet 64

 

 Grand incendie de Rome

 

  • Le 19 juillet de l'an 64, à Rome, un incendie prend naissance dans une boutique située près du Circus Maximus, au pied du mont Palatin où se trouve le palais impérial.


 

La Ville éternelle, qui compte alors près de 800.000 habitants concentrés sur 13 kilomètres carrés, va être ravagée pendant six jours par les flammes.

Trois des quatorze régions (quartiers) qui constituaient la ville furent complètement détruites. Dans sept autres les dommages furent plus limités. Seules quatre régions étaient intactes. Les morts se comptèrent par milliers et on dénombra environ deux cent mille sans-abri.

 

L'empereur Néron, après avoir supervisé les secours, se hâte d'engager les travaux de reconstruction avec l'objectif d'embellir la ville... et de se doter d'un palais encore plus grandiose que le précédent.

 

La rumeur le soupçonne d'avoir lui-même provoqué l'incendie dans cette intention. Pour s'en défendre, il laisse accuser les chrétiens d'en être à l'origine. C'est ainsi que débute la première persécution de l'ère chrétienne.

 

Environ 200 chrétiens sont livrés aux bêtes dans les arènes et mis à mort. Certains sont transformés en torches vivantes ! L'apôtre Pierre, qui côtoya le Christ, est au nombre de ces premiers martyrs, de même que Paul.

 

 

Lien :     Néron a-t-il brûlé Rome ?

http://www.lhistoire.fr/n%C3%A9ron-t-il-br%C3%BBl%C3%A9-rome

Néron devant l"incendie de Rome

Néron devant l"incendie de Rome

514 : Symmaque, 51e pape de 498 à 514. Durant son pontificat, il s'oppose à l'antipape Laurent élu au même moment que lui par une partie dissidente du clergé qui souhaitait un rapprochement avec l'Église de Constantinople (Né vers 450).

 

1374 : Pétrarque (Francesco Petrarca, dit), poète et humaniste italien (Né le 20 juillet 1304).

 

1974 : Joe Flynn, acteur américain (Né le 8 novembre 1924).

 

1982 : Hugh Everett, physicien et mathématicien américain. Il a été rendu célèbre par son hypothèse des mondes multiples en physique, également nommée interprétation d'Everett (Né le 11 novembre 1930).

 

1997 : Maurice Roche, musicien, écrivain et dessinateur français (Né le 4 novembre 1924).

 

2010 : Cécile Aubry, écrivaine, scénariste, réalisatrice et actrice française (Née le 3 août 1928).
19/07, c'est arrivé un certain 19 juillet de notre histoire...
19/07, c'est arrivé un certain 19 juillet de notre histoire...

 

Le 19 juillet...

 

1696, France : déclaration que nul ne peut exercer la médecine s’il n’a pas été reçu docteur en quelque université.

 

1764, France :
Edit du contrôleur général L’Averdy supprimant toute entrave au commerce des grains à l’exception de la capitale et de son arrière-pays. L’exportation hors des frontières reste réglementée.
La déréglementation provoque de nombreuses émeutes frumentaires dans la population inquiète entre 1764 et 1770, et n’empêche pas la hausse des prix.

 

1774, France : Turgot est nommé secrétaire d’Etat à la Marine.

 

1789, Révolution française :
La révolte s’étend dans les campagnes, la population pille les châteaux et les monastères. Les villages s’arment. Au Mans la population révoltée oblige les autorités à relâcher tous les pauvres emprisonnés pour vol pendant l’hiver.
La Révolution n’est pas que « bourgeoise », elle est aussi populaire.

 

 

19 juillet 1862
Exposition universelle de Londres 

 

19 juillet au 15 octobre

 

 Napoléon III autorise une délégation ouvrière (Henri Louis Tolain) à se rendre à Londres durant l’exposition universelle, afin de découvrir le syndicalisme britannique.

A l’occasion de l’Exposition universelle, cent quatre-vingt-trois délégués parisiens de diverses corporations partent pour Londres. Ils s’aperçoivent que les travailleurs anglais ont la liberté de l’association, et qu’il existe une législation protectrice du travail.

 

Ils constatent également que le logement du travailleur anglais est plus salubre que le celui de l’ouvrier français et que le salaire est de 30% plus élevé à Londres qu’à Paris.
19 juillet 1870

 

En France, l’empereur Napoléon III déclare la guerre à la Prusse.

 

 

19 juillet 1900
Inauguration à Paris de la première ligne de métro.
1936, Espagne :
Défaite des militaires factieux battus par le peuple en armes et naissance d’une révolution sociale et libertaire. Cette journée fut historique car la force et la confiance collective furent telles que spontanément des masses d’hommes et de femmes descendirent dans la rue pour s’opposer au coup d’État.
Mais c’était sans compter sur les erreurs du mouvement anarchiste (participation au gouvernement de Front Populaire, qui lui lie les mains, notamment), sur l’attitude de Moscou hostile à la révolution et sur la politique de « non-intervention » des « démocraties » qui laisse les mains libres aux soutiens militaires accordés aux franquistes par Hitler et Mussolini.

 

 

1937, Allemagne :
Les nazis purgent la culture allemande des artistes « étrangers à l’espèce ». Ils détruisent les œuvres d’art qu’ils jugent « dégénérées » : de Paul Klee, O. Kokoschka, O. Dix, W. Kandinsky, etc.
Deux ou trois milles œuvres sont brûlées ou vendues aux enchères à l’étranger.

 

1942, France :
La rafle de Nancy du 19 juillet faisait partie d'une opération plus vaste organisée par l'Allemagne nazie, visant à déporter les Juifs des territoires occupés de l'Ouest de l'Europe (France, Pays-Bas et Belgique). L'opération « Vent printanier », ou « Vent de printemps », prévoyait, à l'origine, l'arrestation de tous les Juifs d'Amsterdam, Bruxelles et Paris, le même jour.
La France devant livrer 110 000 Juifs dans l'année 1942.
L'opération comprit, en France occupée, la rafle du Vélodrome d'Hiver à Paris, les 16-17 juillet 1942, ainsi que la rafle de la Marne, le 20 juillet 1942.
Elle visait les Juifs étrangers ou apatrides émigrés pour la plupart de Pologne, de Lituanie, de Roumanie, et de Hongrie.
Édouard Vigneron, chef du service des étrangers au commissariat central de Nancy, son adjoint Pierre Marie et leurs cinq hommes ont lancé une vaste opération permettant le sauvetage de plus de 350 des 385 Juifs menacés; 32 sont arrêtés.
19/07, c'est arrivé un certain 19 juillet de notre histoire...
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Article publication, mise à jour, documentation, modification

 

   Article initial du 19 juillet 2011, régulièrement mis à  jour tous les 19 juillet,

smiley   Le 19 juillet 2019, 17H40

 

 

 

 

 

 

 

2017, FO sur le TDF, tout comme chaque année

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18 juillet 2019 4 18 /07 /juillet /2019 17:47
DECROISSANTE MONTANTE Lever - Coucher : 22:58 - 07:23 (Paris)

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Au cirque avec vos marionnettes préférées

 

Poutinesque ! Trumpissime !

 

 

 

  La personnalité du jour

 

Robert Hooke

 

Robert Hooke est un scientifique pluridisciplinaire anglais né le 18 juillet 1635 à Freshwater (Île de Wight) et mort le 3 mars 1703 à Londres.

 

Il est considéré comme l'un des plus grands scientifiques expérimentaux du xviie siècle et l'une des figures clés de la Révolution scientifique de l'époque moderne.

L'historien britannique des sciences Allan Chapman  l'a appelé le « Léonard d'Angleterre1».



Robert Hooke naît le 18 juillet 1635 à Freshwater (Île de Wight, Royaume-Uni). Fils du révérend John Hooke (1648), curé de la paroisse de Freshwater, et de Cecily Gyles (1665), il est le dernier de quatre enfants.

Robert Hooke ne s'est jamais marié, mais son journal montre qu'il n'a pas vécu sans affection.



En 1653, Hooke étudie au Wadham College de l'université d'Oxford, pendant le Protectorat ; il y rencontre Thomas Willis et Robert Boyle, dont il devient l'assistant. Il devient membre d'un groupe dense de fervents royalistes dirigés par John Wilkins, l'« Invisible College » (ou « collège philosophique »), qui va donner naissance en 1660 à la Royal Society.

 

En 1660, il découvre la loi de Hooke. En 1662, il est nommé démonstrateur à la Royal Society, et responsable des expériences (« Curator of Experiments ») exécutées lors des réunions. Le 3 juin 1663, il est élu fellow à la Royal Society. En septembre 1665, il publie son livre, Micrographia, qui contient de nombreuses observations réalisées à l'aide de microscopes et de télescopes.

 

En 1665, il est nommé professeur de géométrie au Gresham College. En 1676, il publie ses travaux dans A Description of Helioscopes, and Some Other Instruments. De 1677 à 1683, il est le premier secrétaire de la Royal Society. En 1678, il publie ses travaux dans De Potentia RestitutivaNote. En 1705, est publié à titre posthume Discourse of Earthquakes (The Posthumous Works of Dr. Robert Hooke).

 

Robert Hooke meurt le 3 mars 1703 au Gresham College à Londres et son corps est inhumé à l'église St Helen's Bishopsgate à Londres.

 

L'emplacement de sa tombe est inconnu. Il existait dans cette église un vitrail commémoratif, mais il a été détruit le 24 avril 1993 quand l'Armée républicaine irlandaise provisoire a fait exploser une bombe dans le quartier de Bishopsgate. Une plaque commémorative, dite « blue plaque », est apposée près de l'angle sud-ouest de l'église St Helen.

 

En 2003, pour le tricentenaire de sa mort, un mémorial est érigé sur le mur de la crypte de la cathédrale Saint-Paul de Londres, à côté de la tombe de « son ami et collègue, Sir Christopher Wren ». Une citation de Micrographia entoure complètement le mémorial.

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Hooke?fbclid=IwAR2LRGAqcnIR-UmH9hCTXelogiRP128xGjh3JsV1a4Escz24DVux4rglbQI​​​​​​

 

 

blason papal

blason papal

Le lundi 18 juillet 1870, le concile Vatican I réunit à l'initiative du pape Pie IX (Giovanni-Maria Ferretti) définit le dogme de l'infaillibilité pontificale. Les cardinaux reconnaissent comme vraies et irrévocables les interprétations du dogme prononcées par le souverain pontife.

 

 

Pour l'Église catholique romaine, l'infaillibilité pontificale est un dogme selon lequel le pape ne peut se tromper lorsqu'il s'exprime ex cathedra (c'est-à-dire en tant que Docteur suprême de l'Église et en engageant sa pleine autorité apostolique), et ce, en matière de foi et de morale.

 

Le premier concile du Vatican, vingtième concile œcuménique, se déroule du 8 décembre 1869 au 18 juillet 1870.

 

 

Le 24 avril 1870, la Constitution dogmatique Dei Filius sur la foi catholique (§III, De la Foi) formule « qu'on doit croire d'une foi divine et catholique tout ce qui est contenu dans les saintes Écritures et dans la tradition, et tout ce qui est proposé par l'Église comme vérité divinement révélée, soit par un jugement solennel, soit par son magistère ordinaire et universel ».

 

Le 13 juillet 1870, sur 601 membres présents, 451 votent pour (placet), 88 votent contre (non placet), et 62 émettent un vote conditionnel (placet juxta modum).
Le 18 juillet, à la veille de la guerre franco-prussienne, lors d’un nouveau vote en session publique, par 533 voix contre 2 (le reste des opposants ayant fait acte d’adhésion ou s’étant abstenu), le dogme de l’infaillibilité du pape est adopté.

 

Des évêques opposants (dont Mgr Dupanloup évêque d’Orléans) ont quitté Rome pour ne pas voter (les deux Pères qui ont voté non et ceux qui se sont abstenus finissent par se rallier, après la ratification par le pape du vote du concile).

 

La constitution dogmatique Pastor aeternus proclame le dogme de l’infaillibilité pontificale par lequel le magistère du pape est infaillible quand il définit solennellement (ex-cathedra) une doctrine sur un sujet touchant la foi et les mœurs :

 

« (...) avec l’approbation du saint concile, nous (pape) enseignons et définissons comme un dogme révélé de Dieu : le Pontife romain, lorsqu’il parle ex cathedra, c’est-à-dire lorsque, remplissant sa charge de pasteur et de docteur de tous les chrétiens, il définit, en vertu de sa suprême autorité apostolique, qu’une doctrine sur la foi ou les mœurs doit être tenue par toute l’Église, jouit, par l’assistance divine à lui promise en la personne de saint Pierre, de cette infaillibilité dont le divin Rédempteur a voulu que fût pourvue son Église, lorsqu’elle définit la doctrine sur la foi et les mœurs.

 

Par conséquent, ces définitions du Pontife romain sont irréformables par elles-mêmes et non en vertu du consentement de l’Église. Si quelqu’un, ce qu’à Dieu ne plaise, avait la présomption de contredire notre définition, qu’il soit anathème. »

 

Ce dogme, combattu comme inopportun par une minorité de prélats allemands et français, provoque le schisme des Vieux-catholiques 5 et offre un prétexte à différents États pour rompre leurs engagements concordataires ; le chancelier du IIe Reich, Otto von Bismarck (1815-1898) inaugure bientôt sa politique de combat (Kulturkampf) contre le catholicisme pour en annihiler la force au sein du nouvel empire allemand.

 

 

Après que les Piémontais et les Garibaldiens se sont emparés de Rome en forçant la Porta Pia, le 20 septembre 1870, Pie IX ordonne de cesser le feu et d’arborer le drapeau parlementaire : c’est la fin du pouvoir temporel des papes.
drapeau de la cité du vatican

drapeau de la cité du vatican

18/07, c'est arrivé un certain 18 juillet de notre histoire...
Menés par l'ancien chef d'état-major de l'armée, le général Francisco Franco Bahamonde, les militaires de la garnison de Melilla (enclave espagnole en territoire marocain) se soulèvent contre le gouvernement du Front Populaire.

 

Grâce à l'appui des généraux Mola et Sanjurjo, le mouvement d'insurrection des militaires s'étend bientôt à toute l'Espagne. La guerre civile éclate, et se terminera trente-trois mois plus tard, avec la chute de Madrid.

 

 

Intervention internationale

 

Cette guerre est une « guerre oubliée » ; on ne la considère pas comme faisant partie de la seconde guerre mondiale, mais comme une guerre civile purement espagnole. Pourtant, dès le 30 juillet, Mussolini envoie 30 bombardiers à Franco qui est dans une position difficile. Les Anglais ont des intérêts financiers en Espagne, ils voient d’un mauvais oeil le Front Populaire.

 

Ils demandent à la France de ne pas intervenir en Espagne, mettant en balance leur accord d’aide en cas d’attaque de L’Allemagne. Le 8 août la France propose une convention de non-intervention. Les Russes, favorables aux républicains, la signent tout en déclarant leur scepticisme à son application.

 

 

Les Allemands ne se gênent pas, pour eux l’Espagne devient un camp d’entraînement dans la perspective de la guerre mondiale. Hitler envoie la légion Condor, escadrille qui expérimentera le bombardement massif sur les villes (Guernica).

 

La dictature franquiste (1939-1975)

 

Le régime franquiste s’installe dans un pays ruiné et décimé par la guerre. Pendant toute la dictature de Franco, de 1939 à 1975, une idéologie totalitaire, sur le modèle de Mussolini et Hitler, est instaurée. L’Espagne va, dans la première partie du régime fasciste, s’isoler progressivement du reste de l’Europe, n’ayant d’ailleurs aucun rôle dans la Seconde Guerre Mondiale. 

 

 

Franco avant la guerre civile
Francisco Franco est né en 1892 en Galice. Il est le fils d’un receveur des postes dans la marine. Franco suit des études militaires et reçoit notamment un diplôme de l’académie militaire de Toledo, en 1910. Malgré sa petite taille, Franco est très vite remarqué pour son courage avant de devenir général.

 

 

Durant toute la IIe République, il se trouve aux îles Canaries.

 

 

Son rôle dans la répression de l’insurrection révolutionnaire des Asturies, en octobre 1934, lui vaut le titre de commandant en chef des forces armées au Maroc, en 1935.
Thomas Cook

Thomas Cook


Décédé-es un 18 juillet

 

1300 : Gherardo Segarelli, prédicateur italien, brûlé vif à Parme (Né en 1240).

 

1639 : Bernard de Saxe-Weimar, général  allemand qui s’est rendu célèbre pendant la guerre de Trente Ans (Né le 16 août 1604).

 

1721 : Antoine Watteau, peintre français (Né le 10 octobre 1684).

 

 

Jean Antoine Watteau

 

Jean-Antoine Watteau, plus connu sous le nom d’Antoine Watteau, né à Valenciennes le 10 octobre 1684 et mort à Nogent-sur-Marne le 18 juillet 1721, est un peintre français. Il est un des créateurs représentants du mouvement rocaille

 

1797 : Jean-Bernard Restout, peintre français (Né le 22 février 1732).

 

1826 :

 

Józef Zajączek, militaire polonais qui a servi dans l'armée française durant la Révolution et sous l'Empire, atteignant le grade de général de division ; après la chute de Napoléon, il est nommé vice-roi de Pologne par le tsar Alexandre (Né le 1er novembre 1752).

 

1872 :

 

Benito Juárez, homme politique mexicain, président du Mexique de 1858 à 1872 (Né le 21 mars 1806).

 

1892 :

 

Thomas Cook, homme d’affaires britannique, pionnier des voyages organisés (Né le 22 novembre 1808).

 

 

 

scène de la guerre civile: fusillade

scène de la guerre civile: fusillade

18 juillet 1863  Naissance de Georges Yvetot

18 juillet 1863 Naissance de Georges Yvetot

Le 18 juillet ....

 

1789, Révolution française :
Les grands du royaume (Le prince de Condé et le comte d'Artois) quittent la France : c'est le début de l'émigration et le commencement de la Grande Peur (autour du Mans le 15 juillet, en Franche-Comté le 19, à Nantes et à Estrées le 20, à Ruffec le 28), marquée par des émeutes en Province et la formation de milices bourgeoises par les électeurs qui s’emparent du pouvoir dans les principales villes avant la fin du mois (Rennes le 16 juillet, Saint-Malo le 17, à Grenoble le 16, à Nîmes le 20, etc.).

 

1789, Révolution française :

 

Camille Dumoulins publie le premier manifeste républicain : « La France libre ».

 

1794, Révolution française :

 

Gracchus Babeuf, injustement mis en cause pour faux et usage de faux, est rejugé et enfin innocenté définitivement.

 

1831, France :
Victor Hugo termine l'Hymne aux morts de juillet, commandé par le gouvernement et que Herold doit mettre en musique.

 

 

1845, France :
Loi Mackau qui apporte règlement et adoucissement dans le régime de l'esclavage aux colonies. Elle prévoit l'abolition de l'esclavage mais ne précise ni l'échéance ni les modalités.

 

18 juillet 1863
Naissance de Georges Yvetot

 

Yvetot préconisa la grève générale et l’action directe pour une révolution sociale qui abolit radicalement la propriété individuelle et le système capitaliste de la production.

 

Au Congrès de Bourges de 1904, il défendit l’indépendance syndicale et combattit la collaboration avec les partis politiques.

 

Pour sa propagande antimilitariste acharnée et irréductible, il fut souvent poursuivi par les gouvernements et emprisonné à la Santé et à Clairvaux. (... / ...)
Lire l'article complet sur notre Blog, suivre le lien:
http://foed.over-blog.com/18-juillet-1863-naissance-de-georges-yvetot.html

 

1925, Allemagne :

 

Adolf Hitler publie « Mein kampf (Mon combat). Il y développe l’ « Ordre nouveau » qu’il entend imposer par la force et sa conception d’un Monde débarrassé des Juifs et des communistes.
18 juillet 1936

 

En Espagne, soulèvement militaire dirigé par Franco et début de la guerre civile.
 
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Article publication, mise à jour, documentation, modification

 

 

   Article initial du 18 juillet 2011, régulièrement mis à jour tous les 18 juillet,

 

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17 juillet 2019 3 17 /07 /juillet /2019 17:06
 DECROISSANTE MONTANTE Lever - Coucher : 22:25 - 06:22 (Paris)

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(2018)

 

 

 

 

C'était il y a un an, un an déjà..........

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Nicolas II et sa famille

Nicolas II et sa famille


17 juillet 1918

 

 Exécution du tsar Nicolas II et de la famille impériale russe

 

  • Nicolas II fut tsar de Russie du 1er novembre 1894 au 15 mars 1917. Appartenant à la dynastie des Romanov, il est le dernier à avoir occupé cette place.


Lorsque les bolcheviks prennent le pouvoir, Nicolas II est emprisonné ainsi que sa femme et ses cinq enfants à Ekaterinbourg, dans l'Oural. Mais pour Lénine et le gouvernement bolchevik, le tsar représente encore un risque : ils redoutent une insurrection monarchiste.

 

Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918, ses geôliers tirent la famille impériale du sommeil. Prétextant que des troubles ont éclaté en ville, ils la conduisent à la cave « pour sa propre sécurité ». C'est là qu'a été scellé le sort tragique d'une dynastie qui avait régné plus de 300 ans sur la Russie.

 

Un peloton d’une douzaine d’hommes apparaît… Les tirs ont lieu à bout portant !

 

Les corps furent achevés à coup de hache et de baïonnette, brûlés puis aspergés de barils d'essence et d'acide pour empêcher leur identification s’ils étaient retrouvés !

  La personnalité du jour

 

Adam Smith

 

 

Adam Smith (5 juin 1723 - 17 juillet 1790) est un philosophe et économiste écossais des Lumières. Il reste dans l’histoire comme le père des sciences économiques modernes, dont l'œuvre principale, publiée en 1776, La Richesse des nations, est un des textes fondateurs du libéralisme économique.

 

Professeur de philosophie morale à l'université de Glasgow, il consacre dix années de sa vie à ce texte qui inspire les grands économistes suivants, ceux que Karl Marx appellera les « classiques » et qui poseront les grands principes du libéralisme économique.

 

La plupart des économistes le considèrent comme « le père de l’économie politique » ; pourtant, certains, comme Joseph Schumpeter ou Murray Rothbard, l’ont défini comme un auteur mineur, considérant que son œuvre comportait peu d’idées originales et que ces dernières étaient pour beaucoup fausses.



Jeunesse


Adam Smith est né le 5 juin 1723 à Kirkcaldy. Dès sa naissance, Adam Smith est orphelin de père. Ce dernier, contrôleur des douanes, meurt deux mois avant la naissance de son fils. À l’âge de quatre ans, Adam Smith est enlevé par des bohémiens, qui, prenant peur en voyant l’oncle du jeune garçon les poursuivre, l’abandonnent sur la route où il sera retrouvé.

 

Élève particulièrement doué dès son enfance, bien que distrait, Adam Smith part étudier à Glasgow à l’âge de quatorze ans et y reste de 1737 à 1740. Il y reçoit, entre autres, l’enseignement de Francis Hutcheson, le prédécesseur d’Adam Smith à la chaire de philosophie morale.

 

Smith sera très influencé par Hutcheson. Ayant obtenu une bourse, destinée en partie à former le clergé anglican écossais (le statut de cette bourse à l'époque de Smith n'est pas très établi), il part étudier à l’université d’Oxford. Il ne se plait guère dans cette université.

 

Plus tard dans son livre la Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations, il écrit : « Il y a plusieurs années qu'à l'université d'Oxford la plus grande partie des professeurs publics ont abandonné totalement jusqu'à l'apparence même d'enseigner ».

 

Il choisit lui-même ses lectures, un choix qui lui vaut d’être menacé d’expulsion de l’université lorsqu’on découvre dans sa chambre le Traité de la nature humaine du philosophe David Hume, lecture jugée inconvenante à l’époque.

 

 

  • Enseignement de la logique et de la morale

 

Choisissant une carrière universitaire, Smith obtient à l’âge de vingt-sept ans la chaire de logique à l’université de Glasgow et plus tard celle de philosophie morale. Le corps enseignant apprécie peu ce nouveau venu qui sourit pendant les services religieux et qui est de plus un ami déclaré de David Hume. Pourtant Smith devient relativement connu à Glasgow, où il participe à des cercles intellectuels, joue au whist le soir… Il est apprécié de ses étudiants : ses manières et son allure peu commune lui valent d’être imité, et on voit même de petits bustes de lui dans certaines librairies de la ville.

 

Ses fréquents hochements de tête et sa diction maladroite dérivaient d’une maladie nerveuse dont il souffrit tout au long de sa vie.

 

Au-delà de son excentricité, la célébrité d’Adam Smith provient aussi de son travail et de la parution en 1759 de la Théorie des sentiments moraux, œuvre de philosophie qui le fait connaître en Grande-Bretagne et même en Europe. Dans ce livre, il énonce les causes de l'immédiateté et de l'universalité des jugements moraux.

 

Smith affirme que l’individu partage les sentiments d'autrui par un mécanisme de sympathie. Smith étend ce point de vue en évoquant un hypothétique spectateur impartial avec lequel nous serions en permanence en situation de sympathie. On discute vite des thèses de ce livre un peu partout, et plus particulièrement en Allemagne.

 

Adam Smith, alors qu’il était professeur de logique, a écrit d’autres ouvrages qui ne seront publiés qu’après sa mort. Un des plus connus est son Histoire de l’astronomie. L’histoire de l’astronomie à proprement parler ne représente qu’une petite partie de l’ouvrage, et s’arrête à Descartes, car en fait Smith s’intéresse davantage aux origines de la philosophie.

 

Selon Smith, l’esprit prend plaisir à découvrir les ressemblances entre les objets et les observations, et c’est par ce procédé qu’il parvient à combiner des idées et à les classifier.

 

 

 

 

Dans la succession des phénomènes constatés, l’esprit recherche des explications plausibles. Lorsque les sens constatent une succession qui rompt avec l’accoutumance de l’imagination, l’esprit est surpris, et c’est cette surprise qui l’excite et le pousse vers la recherche de nouvelles explications.

 

 

« La philosophie, en exposant les chaînes invisibles qui lient tous ces objets isolés, s’efforce de mettre l’ordre dans ce chaos d’apparences discordantes, d’apaiser le tumulte de l’imagination, et de lui rendre, en s’occupant des grandes révolutions de l’univers, ce calme et cette tranquillité qui lui plaisent et qui sont assortis à sa nature. » 
 

 

Les convictions religieuses d’Adam Smith ne sont pas connues avec précision, et il est souvent considéré comme un déiste à l’image de Voltaire qu’il admirait.

 

Ronald Coase a critiqué cette thèse et note que, bien que Smith fasse référence à un « grand architecte de l’univers », à la Nature, ou encore à la fameuse « main invisible », il ne parle que très rarement de Dieu, et surtout il explique que les merveilles de la nature attisent la curiosité des hommes, et que la superstition est la façon la plus immédiate de satisfaire cette curiosité, mais qu’à terme, elle laisse la place à des explications plus usuelles et donc plus satisfaisantes que celles de l’intervention des dieux.


(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Adam_Smith?fbclid=IwAR1XAVdS8VKJyKgG4XeGtpFri22Cuv6TxaNT-TgoW6hq2fZw6DLaMr_GC6Q​​​​​​

 

Adam Smith

 

 

John Coltrane

John Coltrane

Le 17 juillet......
17 juillet 1789


En France, le roi vient en personne recevoir les clés de la ville de Paris de la main de Bailly, son maire désigné, et il accepte la cocarde tric
olore.
1720, France :

 

Emeute de la rue Vivienne à Paris, provoquant la mort de 15 personnes. Le système de Law s'effondre.

 

1789, Révolution française :
La Fayette fait adopter la cocarde tricolore par la Garde Nationale; à dix heures du matin, Louis XVI, accompagné de cent membres de l'Assemblée nationale, se rend à Paris, recevoir « l'hommage de ses sujets ». Il est reçu à l'hôtel de ville de Paris par le maire Jean Sylvain Bailly.

 

À cette occasion, il arbore la cocarde de la garde parisienne. Début de l’insurrection du bocage. Les paysans pillent les châteaux et brûlent les titres de propriété des seigneurs. À Rouen, les patriotes installent une nouvelle municipalité.

 

1790 :

 

Mort d’Adam Smith, philosophe et économiste écossais des Lumières.

 

Il reste dans l’histoire comme le père des sciences économiques modernes, dont l'œuvre principale, publiée en 1776, « La Richesse des nations », est un des textes fondateurs du libéralisme économique.

 

Professeur de philosophie morale à l'université de Glasgow, il consacre dix années de sa vie à ce texte qui inspire les grands économistes suivants, ceux que Karl Marx appellera les «classiques » et qui poseront les grands principes du libéralisme économique (°1723).

 

1791, Révolution française :
Fusillade du Champ-de-Mars, qui marque la rupture entre la Constituante (La Fayette, Bailly) et les Sans-Culottes.

 

Le club des Cordeliers appelle le peuple à se réunir au Champ de Mars pour signer une pétition rédigée contre le décret de l’Assemblée qui disculpe le roi de toute responsabilité dans sa fuite.

 

L’Assemblée prend prétexte d’un meurtre dans le quartier voisin du Gros-Caillou pour ordonner la dispersion manu militari du rassemblement. Les gardes nationaux tirent sans sommation.
Des dizaines de pétitionnaires restent au sol. Ce fut un véritable massacre.

 

 

1793, Révolution française :
Les droits féodaux sont définitivement abolis et sans indemnités. La Convention décide le siège de Lyon, aux mains de la réaction et condamne Charlotte Corday, qui a assassiné Marat, à mort.

 

Jean-Baptiste Camille Corot
1796 : naissance de Jean-Baptiste Corot, peintre français (mort en 1875).

 

 

1815, France :
La Terreur blanche commence à frapper tous ceux qui ont accueilli avec enthousiasme le retour de Napoléon.
1917 :
Naissance de Christiane Rochefort, femme de lettres française (morte en 1998).
Elle a travaillé avec Henri Langlois à la Cinémathèque de Paris. Artiste passionnée et aux talents variés, elle consacra une grande part de son temps à la musique, au dessin, à la peinture, à la sculpture ainsi qu'à l'écriture.
Militante, elle participe activement au premier MLF et, en 1971, contribuera avec Simone de Beauvoir, Jean Rostand et quelques autres, à créer le mouvement féministe «Choisir la cause des femmes ».

 

A Nîmes, une partie de la garnison est massacrée par les royalistes.
Des bandes catholiques et royalistes molestent bonapartistes, républicains et protestants.

 

17 juillet 1936: En France, vote de la loi de nationalisation des industries de guerre.

 

1940, France : loi pour l'épuration discrétionnaire et immédiate des agents de l'État, dite loi sur les "relèvements de fonction".

 

1941, France : suite aux manifestations du 14 juillet, une décision du commandement militaire allemand interdit de jouer et de chanter La Marseillaise en zone occupée.

1942, France :
Raflés chez eux, dès l’aube, arrêtés dans les rues, arrachés à leur travail, 10 000 Juifs ont été violemment regroupés par la police française, dans les locaux du Vel’d’Hiv à Paris.
La tâche de la police a été facilitée par le port de l’étoile jaune.

 

Le 17 juillet 1909 :   Léon Jouhaux est élu secrétaire général de la CGT.
Léon Jouhaux

 

17 juillet 1945

 

En France, ouverture du procès du maréchal Pétain. Il sera condamné à mort et sa peine sera commuée en détention à vie.

 

 

1959 :

Mort de Billie Holiday, chanteuse

américaine (°1915).

 

 

1967 : Décès de John Coltrane, musicien américain (°1926).
John Coltrane
1975 : Arrimage des capsules soviétique "Soyouz 19" et américaine "Apollo".

 

 

 

1981, France :

 

Un accord entre les syndicats et le patronat prévoit la semaine de 39 heures et la cinquième semaine de congés payés.

Billie Holiday

Billie Holiday

Article publication, mise à jour, documentation, modification

 

  Article initial du 17 juillet 2011, régulièrement mis à jour tous les 17 juillet,

 

smiley   Le 17 juillet 2019, 18H10

 

 

 

 

 

 

 

Décor floral pour un jour d'été......

Décor floral pour un jour d'été......

17/07, c'est arrivé un certain 17 juillet de notre histoire.....
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16 juillet 2019 2 16 /07 /juillet /2019 16:50
PLEINE LUNE MONTANTE Lever - Coucher : 21:45 - 05:27 (Paris)

PLEINE LUNE MONTANTE Lever - Coucher : 21:45 - 05:27 (Paris)

 

Ce mardi 16, une éclipse assombrira partiellement la Lune au-dessus de la France. Le phénomène sera visible pendant une heure dans la plupart des régions.

 

Une éclipse lunaire partielle aura lieu ce mardi 16 juillet 2019 et sera visible dans une grande partie de l'Europe. Hasard du calendrier stellaire, cette date marque aussi le cinquantième anniversaire du lancement de la mission Apollo 11, avec à son bord un certain Neil Armstrong.

 

L'éclipse de Lune est un phénomène bien moins rare que l'éclipse de Soleil mais peut tout de même être spectaculaire. Contrairement à une croyance répandue, la Lune ne disparaît pas mais elle prend, partiellement ou totalement, une teinte rougeâtre.

16/07, c'est arrivé un certain 16 juillet de notre histoire....
Weather forecast

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Les étapes du régime minceur........

 

16 juillet 1942

 

En France, début de la« rafle du Vél’d’Hiv’ »au cours de laquelle furent arrêtés au moins 12 884 hommes, femmes et enfants juifs.

 

La journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l'État français et d'hommage aux « Justes » de France répond au souhait exprimé par la communauté juive et par de nombreuses personnalités françaises, de voir reconnaître officiellement la responsabilité du régime de Vichy dans les persécutions et les crimes contre les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

 

 

 

Instituée par le décret n° 93-150 du 3 février 1993 cette journée est fixée au 16 juillet, si c'est un dimanche, ou au dimanche suivant.
La loi n° 2000-644 du 10 juillet 2000 reprend et modifie le décret de 1993, afin d'y insérer notamment un hommage aux "Justes" de France.

 

Cette commémoration légale devient ainsi l'occasion pour la Nation de témoigner sa reconnaissance à tous ceux « qui ont recueilli, protégé ou défendu, au péril de leur propre vie et sans aucune contrepartie, une ou plusieurs personnes menacées de génocide ».

 

Cette journée correspond à la date anniversaire des rafles des 16 et 17 juillet 1942, au cours desquelles près de 13.000 personnes furent arrêtées dans Paris et sa banlieue dont plus de 8.000 furent regroupées au Vélodrome d'Hiver (le Vél' d'Hiv) avant d'être déportées.
16/07, c'est arrivé un certain 16 juillet de notre histoire....

Il y a 70 ans les 16 et 17 juillet 1942, plus de 13.000 juifs parisiens, étaient arrêtés par la police française au cours d'une opération baptisée cyniquement « vent printanier ».

 

Le 13 juillet 1942 une circulaire de la Préfecture de Police ordonne l'arrestation et le rassemblement de 27.391 juifs étrangers habitant en France. Mais étant trop proche du 14 juillet les autorités décidèrent de repousser de quelques jours.

 

 

rafle du Vel' d'Hiv'

Sur ordre de René Bousquet, secrétaire général de la police au ministère de l'Intérieur, 13.152 juifs, dont 4.115 enfants, de Paris et la région parisienne sont arrêtés dans la nuit par la police française.

 

Ils sont parqués dans la salle de sports du Vélodrome d'Hiver où ils resteront plusieurs jours. Acheminés à Drancy, les prisonniers seront ensuite conduits dans les camps d'extermination d'Auschwitz à partir du 19 juillet.

 

La rafle du Vel' d'Hiv' est organisée par le gouvernement de Vichy de manière spontanée : jamais les autorités allemandes n'ont donné l'ordre de mettre en œuvre une telle opération !

 

 

 

16/07, c'est arrivé un certain 16 juillet de notre histoire....

 

 

Devant la formidable poussée montante du prolétariat, la bourgeoisie capitaliste s'organise fortement et défend pied à pied ses privilèges. Actuellement, les plus modestes et les plus légitimes de nos revendications sont discutées par un patronat avide jusque dans leurs plus petits détails, [...]

 

La Voix du Peuple n°1, 13 janvier 1906 123

La personnalité du jour

 

Ida Bell Wells-Barnett

 

Ida Bell Wells-Barnett, plus connue sous le nom Ida B. Wells (née à Holly Springs, Mississippi 16 juillet 1862 - morte à Chicago, Illinois 25 mars 1931), est une journaliste afro-américaine, rédactrice en chef et avec son mari propriétaire d'un journal.

 

Elle est un chef de file au début du mouvement des droits civiques ; elle a documenté l'ampleur du lynchage aux États-Unis. Elle a également été active dans le mouvement des droits des femmes et le mouvement pour le suffrage des femmes.


Ida Bell Wells est née le 16 juillet 1862 à Holly Springs, dans le Mississippi, en condition d'esclavage pendant la Guerre de Sécession, elle est l'aînée de huit enfants, son père, James Wells, est le fils de son maître et d'Elizabeth, une de ses esclaves.

 

Menuisier et maçon de formation, il est devenu actif dans la politique et l’éducation après la guerre de Sécession. Il a siégé au premier conseil d’administration du Rust College qui a été renommé ultérieurement Université Shaw, le premier établissement pour affranchis.

 

Ses parents lui ayant inculqué ont inculqué l'importance de l'instruction, Ida s'inscrit au Rust College, mais a été expulsée à cause d'un litige avec le président de l'université.

 

En 1878, une épidémie de fièvre jaune emporte ses deux parents et son petit frère. Elle reste seule pour élever ses frères et sa soeur, elle devient institutrice pour assurer les besoins de sa famille.

 

L'événement qui conduit Ida B. Wells à avoir une existence publique se produit le 4 mai 1884 sur une ligne de chemin de fer de la Chesapeake and Ohio Railroad Company.

 

Ce jour-là, le conducteur du train lui ordonne d’abandonner sa place dans le compartiment non fumeur pour s’installer dans un de ceux qui étaient réservés aux fumeurs, dans lesquels sont confinés les passagers afro-américains.

 

Profitant des Civil Rights Cases , par lesquels la Cour Suprême s’est prononcée contre le Civil Rights Act de 1875, qui garantissait l'égalité civile, plusieurs compagnies ferroviaires du Sud maintenaient ainsi la ségrégation raciale de leurs passagers.

 

Wells protesta et refusa de quitter son siège, mordant au passage le conducteur qui tentait de la déloger. En ce sens, son refus est antérieur à celui, plus notoire, de Rosa Park.

 

De retour à Memphis, sa ville de résidence, elle engage immédiatement une procédure judiciaire contre la compagnie ferroviaire. À l’issue du procès, la compagnie fut condamnée à lui verser 500 dollars. La cour suprême du Tennessee cassa cependant ce premier jugement en 1885, condamnant Wells à payer les frais de justice.

 

L’épisode, largement relayé dans la presse, lui assure une notoriété locale, et lui permet de faire ses premiers pas de journaliste. Immédiatement après l’incident, elle écrit un article pour The Living Way, un hebdomadaire publié par une église fréquentée par la majorité par la communauté noire.

 

Cette première collaboration avec le journal, qui avait rencontré un large écho, devient une chronique hebdomadaire, signée du nom de plume Iola. Peu de temps après, elle se voit offrir une position dans un journal local, l’Evening Star. Sa réputation nationale grandit doucement. En 1889, elle devint copropriétaire et éditrice de Free Speech and Headlight, un journal anti-ségrégationniste abrité par l'Église méthodiste de Beale Street à Memphis.

 

En mars 1892, dans un contexte de tensions raciales attisées par le Ku Klux Klan, une émeute nocturne visa la People's Grocery Company, une épicerie prospère, tenue par des Noirs, accusée de faire de l'ombre à un commerce similaire, mais tenu par des Blancs.

 

Trois hommes sont blessés par balle et les trois propriétaires du commerce - Thomas Moss, Calvin McDowell et Henry Stewart sont emprisonnés. Dans la nuit, la foule prend d’assaut la prison et les tue.

 

Wells, qui connaissait bien les trois hommes, était absente cette nuit-là, occupée à vendre des souscriptions pour son journal dans le comté de Natchez. Apprenant la nouvelle, elle exprime sa colère dans le Free Speech sous la forme d'un article dans lequel elle presse ses concitoyens noirs de quitter la ville :

 

« Il n’y a qu’une seule chose à faire ; prendre notre argent et quitter une ville qui ne protégera jamais nos vies et nos biens, ne nous rendra pas justice devant les tribunaux, mais nous prend et nous tue de sang froid quand nous sommes accusés par des personnes blanches. ».


 

Couverture de son ouvrage, Southern Horrors : Lynch Law in all its phases (1892).


 

 

L'assassinat de ses amis pousse Wells à mener un travail d'investigation sur le lynchage pratiqué à l'encontre des Afro-Américains dans le Sud des États-Unis. Après trois mois de recherches, son premier article sur le sujet conclut que l'accusation de viol, souvent avancée comme justification du lynchage, n'est en réalité qu'un prétexte utilisé pour punir les Noirs surpris à avoir des relations sexuelles consenties avec des Blanches.

 

La réaction à la publication son article est immédiate : le 27 mai 1892, alors que Wells est à Philadelphie, son journal est détruit et son assistant chassé de la ville.

Effrayée, elle refuse de retourner à Memphis et s'installe à New York, où le New York Age de Timothy Thomas Fortune  accepte de publier ses articles consacrés au lynchage. Elle peut à cette période mesurer ses qualités d'oratrice lorsqu'on lui demande d'intervenir publiquement dans un meeting contre le lynchage.

 

Elle s'affirme dès lors comme l'une des principales protagonistes de la croisade contre le lynchage. Elle organise notamment en compagnie du vétéran de la lutte contre l'esclavage Frederick Douglass un boycott de l'exposition universelle de 1893 à Chicago qui nulle part ne mentionnait l'histoire des Afro-Américains dans les pavillons officiels.

 

Wells, Douglass, Irvine Garland Peen et Ferdinand L. Barnett rédigent à cette occasion un pamphlet distribué à l'entrée de l'exposition : « Les raisons pour lesquelles l'américain de couleur n'est pas à l'exposition universelle. »

 

(Reasons Why the Colored American Is Not in the World's Columbian Exposition) détaille le parcours des Noirs depuis leur arrivée en Amérique. Elle confia plus tard à Albion W. Tourgée que 20 000 copies du pamphlet avait été distribuées.

 

À l'issue de l'exposition, Wells décide de rester à Chicago et trouve une place dans la rédaction du Chicago Conservator, le plus vieux journal afro-américain de la ville.

 

  • Travaux sur le lynchage

 


Ida B. Wells a publié deux ouvrages sur le lynchage. Southern Horrors : Lynch Law in all its phases est un long pamphlet qui reprend et développe un article paru le 25 juin 1892 dans le New York Age. The Red Record (1892-1894) est d'une autre nature puisqu'il s'appuie sur un travail de compilation statistique.

 

L'analyse développée par Wells se présente plus largement comme une critique de la masculinité des hommes blancs du Sud. Wells conçoit en effet leur focalisation sur la question du viol des Blanches comme une manifestation de leur insécurité face à l'union consentie des Noirs et des Blanches.

 

Cette obsession est à la fois le produit de leur volonté de contrôler les femmes blanches, dans tous les domaines et plus particulièrement celui de la sexualité, et de leur impuissance à exercer ce contrôle.

Mais ses pamphlets s'en prennent également aux femmes blanches, qui préfèrent laisser leurs amants noirs être accusés de viol, et même parfois tués, plutôt que de révéler leur désir pour un homme noir.

 

Hommage


Elle est inscrite au National Women's Hall of Fame.

 

(... / ...)

 

(wikisource)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ida_B._Wells?fbclid=IwAR0tRa6StAXP0Vxve7iJ09oQbxAw6ft2icqLVO4zg2kX6c3IbVPO0rGhb_E​​​​​​

 

 

Ida B. Wells

 

 

 

 

16 juillet 1945 - Trinity -

première explosion atomique à Los Alamos

 

  • Le lundi 16 juillet 1945,  la première explosion atomique  a lieu à Alamogordo, près de Los Alamos, dans le désert américain du Nouveau-Mexique.

 

Cet essai en grandeur nature précède de trois semaines le largage meurtrier et sans précédent d'une bombe atomique au-dessus de la ville japonaise d'Hiroshima (6 août 1945).

 


Le programme Manhattan

 

Le 16 décembre 1941, le président Roosevelt lance officiellement le projet Manhattan.

 

La motivation initiale du programme Manhattan était de ne pas laisser à Hitler le monopole d’une bombe nucléaire, justifiant à partir de 1942 un immense effort scientifique, technique et industriel.

Quand il apparut progressivement que l’Allemagne était en réalité très en retard sur les États-Unis, les scientifiques se divisèrent sur l’opportunité de poursuivre le programme et surtout sur la nécessité d’utiliser la bombe.

 

  • La première phase du programme demeure cantonnée aux laboratoires institutionnels et universitaires.

 

Début 1943, le projet Manhattan entre dans une nouvelle phase. La grande firme chimique américaine Du Pont de Nemours est associée au projet.

 

À Oak Ridge (Tennessee) sont montées deux usines de séparation de l'uranium fissile, ainsi que la première pile atomique au graphite refroidie par air.

 

À Hanford (Washington), de grands réacteurs nucléaires au graphite sont construits, et produisent du plutonium. Un troisième pôle se forme vers mars 1943 : une équipe de savants hors pair est réunie sous la direction du physicien américain Robert Oppenheimer, dans le désert du Nouveau Mexique, à Los Alamos, lieu qui deviendra emblématique du projet Manhattan.

 

Un millier de chercheurs s'installent là durablement, parfois avec leur famille. Et ils travaillent, d'arrache-pied, dans le plus grand secret. L'un des défis scientifiques à relever est celui du dimensionnement des bombes. Celles-ci doivent être suffisamment peu volumineuses pour être larguées depuis un avion.

 

  • Trinity

 

Trinity est le nom de code du premier essai d'arme nucléaire réalisé le 16 juillet 1945 dans le cadre du projet Manhattan. Le nom de code Trinity fut proposé par le physicien Robert Oppenheimer dirigeant le laboratoire de Los Alamos en référence à un poème de John Donne sur la Trinité.

 

La détonation devait initialement avoir lieu à 4 h mais elle fut repoussée en raison d'orages. Les scientifiques craignaient que les retombées radioactives ne soient accrues par la pluie et qu'un éclair ne déclenche une explosion prématurée. Un rapport météorologique favorable fut publié à 4 h 40.

 

À 5 h 29 min, la détonation dégagea une énergie d'environ 21 kilotonnes de TNT et fut considérée comme un succès par les observateurs scientifiques. Bien que l'explosion ait été vue et entendue à des dizaines de kilomètres, le public ne fut informé de l'essai que le 12 août à la publication du rapport Smyth.

 

Le sable, composé en grande partie de silice, fondit et se transforma en un verre légèrement radioactif et verdâtre qui fut appelé « trinitite ».

 

L'explosion laissa un cratère de 1,5 mètre de profondeur sur 9,1 mètres de diamètre. Les observateurs rapportèrent que les montagnes alentours furent éclairées « plus brillamment qu'en plein jour » pendant une ou deux secondes tandis que les personnes présentes au camp de base indiquèrent que la chaleur « était aussi forte que dans un four ».

 

Le son de l'explosion fut entendu à plus de 160 kilomètres et le nuage en champignon s'éleva jusqu'à une altitude de 12.100 mètres.

 

La veille, le 15 juillet, la bombe à fission « Little Boy », semblable à celle testée à Alamogordo, avait été embarquée à bord du croiseur Indianapolis à destination de l’île de Tinian, dans le Pacifique.

 

Le 6 août, elle était larguée sur la ville japonaise d’Hiroshima.

 

Le roi de France Charles VI, dit « le Fou », décrète l'expulsion de tous les juifs « sans exception ni privilège ».

Le roi de France Charles VI, dit « le Fou », décrète l'expulsion de tous les juifs « sans exception ni privilège ».

Le roi de France Charles VI, dit « le Fou », décrète l'expulsion de tous les juifs « sans exception ni privilège ».

 

C'est la troisième fois que les juifs sont expulsés de France depuis le début du siècle (1306 et 1322).

 

Ils sont rendus responsables de la famine, de la misère et même de la folie du roi... Les Parisiens les flagellent en place publique. Le roi et la reine de France leur donnent jusqu'au 3 novembre pour regagner les frontières du royaume.

 

Au rythme des réadmissions et des exils, les communautés juives de France ne connaissent plus au XIVe siècle la vie religieuse et intellectuelle intense qui avait été la leur jusqu’au XIIIe siècle.

Il n'existera plus de communautés juives en France jusqu'au XVIème siècle.

 

Il n’y avait pas de limitations professionnelles aux activités économiques des Juifs à Rome, à Byzance ou dans les pays musulmans. Mais celles-ci apparaissent dans l’Occident médiéval.

 

Les Juifs ne pouvaient ainsi pas posséder de terres ni devenir membres d’une guilde de marchands ou d’artisans chrétiens. Un certain nombre, quand ils le pourront, se feront donc prêteurs.

 

Lorsque Charles VI expulse les juifs le 17 septembre 1394, ceux-ci n'étaient plus que quelques centaines en France.

 

En effet, depuis deux siècles, ils n'avaient cessé d'être expulsés puis rappelés par les souverains. Au gré des besoins financiers du Trésor royal, qui prélevait au passage taxes, biens ou amendes.

 

 

Motifs réels de l’expulsion des juifs de France :

 

 

Alors que Charles V est en train de mourir, il passe l'ordre d'augmenter les impôts car la France connaît une grave crise économique. Les bourgeois viennent se plaindre et affirment ne plus avoir l'argent. Le seul argent qu'ils ont, ce sont l'argent des préteurs juifs.

 

Un argent qu'ils doivent rembourser. Le seul moyen de remettre les comptes à zéro selon eux, fut de réclamer l'expulsion des juifs. Ainsi, ils n'auront jamais à rembourser qui que ce soit. Une demande accueillie favorablement par le roi qui voulait satisfaire la bourgeoisie.

 

 

Dès le lendemain, à l'aube, des pillards commencèrent par se répandre dans les maisons des receveurs publics, ils brisèrent les caisses, prirent l'argent qu'elles contenaient et en répandirent par les rues ; les tarifs et les registres furent déchirés ; puis, ce premier exploit accompli, ils se portèrent vers le quartier des juifs et pillèrent une quarantaine de maisons remplies de meubles précieux et de toute espèce de marchandises, de vaisselle d'argent, de pierreries et d'autres objets de valeur mis en gage par des emprunteurs.
Quelques-uns de ceux-ci profitèrent même de l'occasion pour retirer les promesses ou reconnaissances qu'ils avaient souscrites.

 

Plusieurs de ces juifs furent massacrés chez eux, d'autres parvinrent à se sauver et à gagner le Châtelet, où ils demandèrent à être enfermés pour se trouver en sûreté. On leur enleva leurs enfants qu'on fit baptiser de force à Notre-Dame. Le jeune roi, tout effrayé de ce désordre, exigea du régent qu'il prit des mesures pour que les juifs fussent rétablis dans leur demeure.

 

Quelques jours plus tard, certains juifs allèrent se cacher dans l'Abbaye de Saint-Germain des Prés. Ils prirent avec eux tout leur or et les objets précieux. Cette nouvelle attisa les haines. Et il n'en fallut pas plus pour des assaillants viennent attaquer les juifs dans l'Abbaye.
Chacun s'arma comme il put, et on parvint à enfoncer les portes. Après avoir massacré quelques serviteurs de l'abbaye et pillé les objets les plus précieux qu'ils purent découvrir, les envahisseurs se retirèrent et se portèrent vers la rue des Juifs, qui était alors à peu près exclusivement habitée par des Israélites.
Ceux qui purent se sauver se hâtèrent de fuir ; quant aux autres, ils furent fort maltraités, et, pendant trois ou quatre jours, leurs maisons furent livrées au pillage.

 

Enhardis par le succès, les émeutiers, dont le nombre grossissait toujours, continuèrent à se porter à tous les excès, et ils résolurent d'aller rompre le pont de Charenton, afin d'empêcher les troupes royales de pénétrer dans Paris ; mais la crainte de s'éloigner du centre de la ville où ils se trouvaient soutenus, les empêcha d'exécuter ce projet, et ils se contentèrent de se répandre dans les divers quartiers et de continuer la chasse aux juifs.

 

L'expulsion des juifs est alors décrétée pour calmer la population parisienne ainsi que les bourgeois.

 

Et, ajoute le Roi : « comme les juifs sont responsables de la famine, avec leurs départs nous ne souffrirons plus jamais. »
Carte de France sous Charles VI, aux alentours de 1422

Carte de France sous Charles VI, aux alentours de 1422

1465 : Pierre de Brézé, militaire français ayant aidé Charles VII à chasser les Anglais de France, à la fin de la guerre de Cent Ans (Né en 1412).

 

1546 : Anne Askew, poétesse anglaise, brûlée vive à Londres pour hérésie (Née vers 1520-1521).

 

1557 : Anne de Clèves, reine d'Angleterre, quatrième épouse du roi Henri VIII (Née le 22 septembre 1515).

 

1691 : François Michel Le Tellier de Louvois, ministre d'État français (Né le 18 janvier 1641).

 

1764 : Ivan VI, tsar de Russie de 1740 à 1741 (Né le 23 août 1740).

 

1857 : Pierre-Jean de Béranger, chansonnier français (Né le 19 août 1780).

 

1896 : Edmond de Goncourt, écrivain français, fondateur de l'Académie Goncourt qui décerne chaque année le prix du même nom (Né le 26 mai 1822).

 

1907 : Eugène Poubelle, haut fonctionnaire français, préfet de la Seine et initiateur de la poubelle (Né le 15 avril 1831).

 

1908 : René Panhard, ingénieur en mécanique, cofondateur de l'industrie automobile Panhard (Né le 27 mai 1841).

 

1981 : Antoine de Lévis Mirepoix, historien français, doyen d'âge de l'Académie française (Né le 1er août 1884).

 

1982 : Patrick Dewaere, acteur français (Né le 26 janvier 1947).

 

1983 : Michel Micombero, ancien président du Burundi de 1966 à 1976 (Né le 26 août 1940).

 

1989 : Herbert von Karajan, chef d'orchestre autrichien (Né le 5 avril 1908).

Johnny Clegg

 

16 juillet 2019

 

Johnny Clegg, chanteur sud-africain d’«Asimbonanga», est mort. L’artiste est décédé des suites d’un cancer à l’âge de 66 ans.
 

Le chanteur sud-africain Johnny Clegg est mort. Décédé à l'âge de 66 ans, il était connu pour avoir écrit et interprété « Asimbonanga » ou encore « Scatterlings of Africa».

 

« Johnny est décédé paisiblement aujourd'hui, entouré de sa famille à Johannesburg (...), après une bataille de quatre ans et demi contre le cancer», a déclaré son manager, Rodd Quinn, sur la chaîne de télévision publique SABC.

 

« Il a joué un rôle majeur en Afrique du Sud en faisant découvrir aux gens différentes cultures et en les rapprochant, a-t-il ajouté dans un communiqué. Il nous a montré ce que cela signifiait d'embrasser d'autres cultures sans perdre son identité. »

 

  • Opposant à l'apartheid


Surnommé «le Zoulou Blanc», Johnny Clegg était un farouche opposant à l'apartheid, aboli en 1994. Nelson Mandela était d'ailleurs monté sur scène à Francfort en 1997 pour interpréter la chanson « Asimbonanga », dédiée au leader politique quand il était emprisonné, avec son chanteur.

 

Johnny Clegg a puisé dans la culture zoulou son inspiration pour concevoir une musique révolutionnaire où les rythmes africains endiablés cohabitent avec guitare, clavier électrique et accordéon.

 

Son album "Scatterlings of Africa" en 1982 l'avait propulsé en tête des hit-parades en Grande-Bretagne et en France.

 

Le chanteur et danseur, qui souffrait d'un cancer du pancréas, avait récemment fait une tournée mondiale d'adieu.

 

Sourcing: Le Parisien

 

Le 16 juillet 2019 à 19h57, modifié le 16 juillet 2019 à 20h40​​​​​​

Johnny Clegg

Johnny Clegg

16/07, c'est arrivé un certain 16 juillet de notre histoire....

16 juillet 1969

Apollo 11 - objectif Lune

Le 16 juillet 1969 a capsule spatiale Apollo 11 décolle de Cap Kennedy en Floride (Cap Canaveral) avec à son bord un équipage de trois astronautes : Neil Armstrong, Edwin Aldrin et Michael Collins.

 

La mission a pour objectif de conduire les trois hommes à la surface de la lune.

 

 

 

La fusée Saturn V décolla du complexe 39A de Cap Kennedy le 16 juillet 1969 à 13 h 32 UTC (8 h 32 à Houston). Douze minutes plus tard, elle naviguait sur une orbite terrestre à 190 km d'altitude.

 

La 1ère étape du voyage était réussie.

 

 

 

Le 21 juillet à 2 h 56 min UTC (3 h 56 min heure française ; le 20 juillet 21 h 56 min à Houston), Neil Armstrong sera le premier à réaliser le rêve de nombreux terriens en foulant le sol lunaire.

Le 16 juillet.....

 

1787, France : le Parlement de Paris exige de vérifier les comptes royaux et en appelle aux Etats-Généraux.

 

1788, France : l’Archevêque de Vienne, dans le Dauphiné, publie une lettre pastorale dans laquelle il condamne la prochaine réunion de Vizille.

 

1789, Révolution française : rappel de Necker, qui tente de s’opposer à la confiscation des biens du clergé. Premiers départs en émigration : le comte d'Artois, frère de Louis XVI, le prince de Condé, affolés par la tournure que prennent les événements s'exilent. Début de soulèvement des campagnes.

1789, Révolution française : rupture politique entre Barnave et Mounier, le premier reprochant au second de ne pas saisir qu’une révolution a lieu et de vouloir reconstruire un Etat avec les matériaux du passé. L’assemblée décide la démolition de La Bastille.

 

1789, Révolution française : à Saint-Germain-en-Laye, une émeute se termine par l’exécution du meunier Sauvage, accusé de recel de blé. A Rennes, en quelques heures, jeunes gens et citoyens s’emparent de la ville, la garnison passant sans résistance du côté de la Révolution.

 

1793, Révolution française : funérailles de Marat. A Lyon, le dirigeant jacobin Marie-Joseph Chalier est assassiné par la réaction fédéraliste.

 

1935, France : décrets-lois de Pierre Laval mettant en œuvre la déflation avec une réduction de 10 % des dépenses publiques, des traitements des fonctionnaires et une baisse des prix de 10 %.

 

1935, Canada : 35 des 200 marcheurs de la faim, partis de Montréal et se dirigeant vers Ottawa, sont arrêtés en cours de route par la police. Ils allaient manifester devant le Parlement contre la dureté du chômage.

 

1936, Allemagne : création par les nazis du premier camp de concentration pour les Tziganes à Marzahn.

 

1939, Vatican : le cardinal Villeneuve de Québec est à Rome où il a un entretien privé avec le pape Pie XII. Il retourne à Québec et se dit persuadé qu' « il n'y aura pas de guerre dans un avenir prochain ».

 

1940, France : les Juifs naturalisés sont déchus de la nationalité française. Les nazis expulsent les Juifs d'Alsace vers la zone libre ; 18 000 personnes sont déplacées de force.

 

1942 : début de la rafle du Vélodrome d'Hiver organisée par l’Etat français et réalisée par la police française, la plus grande arrestation massive de Juifs réalisée en France pendant la Seconde Guerre mondiale (13 000).(voir articles plus avant)

 

1945, USA : premier test d'une bombe au plutonium.

 

1947, France : la CGT et le CNPF signent un accord sur une hausse des salaires de 11%.
Article publication, mise à jour, documentation, modification

 

 

  Article initial du 16 juillet 2011, régulièrement mis à jour tous les 16 juillet,

 

smiley   Le 16 juillet 2019, 17H55

 

 

 

 

 

 

 

Merci Sandrine pour cette petite fleur de jardin...

Merci Sandrine pour cette petite fleur de jardin...

16/07, c'est arrivé un certain 16 juillet de notre histoire....
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