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  • : FO Retail Distribution
  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, 
répondit le renard."    
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

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Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.

Néanmoins rien n'empêche les personnes ne désirant pas voir leur image diffusée de nous le signaler lors de la prise de vue.

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19 août 2018 7 19 /08 /août /2018 12:31
La location AirBnB en copropriété et ses limites

INFO CONSO / AirBnB


La location AirBnB en copropriété et ses limites

 


Les locations saisonnières de type AirBnB sont souvent un moyen pour certains propriétaires d’arrondir les fins de mois.

 

Les médias rappellent souvent l’interdiction pour le locataire de sous-louer son logement sans l’autorisation de son propriétaire.

 

Or, les propriétaires peuvent aussi se voir interdire la location saisonnière de leur logement principal, et plus particulièrement en copropriété.

 

En effet, l’activité de location saisonnière peut être interdite par le règlement de copropriété.

 

Cette interdiction a néanmoins des limites importantes puisque l’article 8 de la loi du 10 juillet 1965 prévoit que le règlement de copropriété ne peut imposer aucune restriction aux droits des copropriétaires en dehors de celles qui seraient justifiées par la destination de l’immeuble, telle qu’elle est définie aux actes, par ses caractères ou sa situation.

 

De même, l’article 9 de la même loi impose aussi que chaque copropriétaire dispose des parties privatives comprises dans son lot ; il use et jouit librement des parties privatives et des parties communes sous la condition de ne porter atteinte ni aux droits des autres copropriétaires ni à la destination de l’immeuble.

 

Aucune juridiction ne semble pas avoir été saisie d’un cas d’interdiction de location AirBnB en copropriété mais la Cour de cassation a eu à se prononcer le 8 juin 2011 (arrêt n°10-15891) sur une demande d’interdiction d’une location meublée suivant une clause du règlement de copropriété.

 

La justice a réputé non écrite la clause du règlement de copropriété soumettant la possibilité de louer son lot en meublé à l’autorisation de l’assemblée générale.

 

En l’espère, la Cour de cassation a considéré qu’à partir du moment où la copropriété avait accepté l’installation d’une profession libérale dans l’immeuble, entraînant des nuisances identiques, une telle restriction à la location meublée n’était pas justifiée par la destination de l’immeuble (référence au motif possible d’interdiction de l’article 8 de la loi du 10 juillet 1965).

 

Rappel néanmoins, les locations et le paiement des loyers perçus sont à déclarer au Fisc. Par ailleurs, dans certaines villes, la location de courte durée, saisonnière ou temporaire, nécessite une autorisation municipale.

 

Les plateformes sont également désormais tenues de signaler les locations réalisées par leur intermédiaire.

 

 

 

AFOC communication 

 

Blog publication, 19 aout 2018, 13H33

 

Airbnb est une plateforme communautaire payante de location et de réservation de logements de particuliers fondée en 2007 par les Américains Brian Chesky et Joe Gebbia

 

 

 

 

Machines à précarité

Machines à précarité

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17 août 2018 5 17 /08 /août /2018 10:16

INFO CONSO

 

La réduction des normes d’accessibilité des logements neufs
 

Après l’adoption début juin, par l’Assemblée Nationale d’une disposition de la loi Elan réduisant l’obligation d’accessibilité des logements neufs aux personnes handicapées à 10% contre 100% auparavant, le gouvernement s’attaque au droit au maintien dans les lieux des locataires HLM.

 

L’AFOC condamne cette remise en cause du droit universel à l’accès au logement que portait la loi de 2005, pour les personnes âgées ou personnes à mobilité réduite ainsi que la réduction de la protection du locataire.

 

Pour l’AFOC, les luttes sociales pour faire reconnaître le droit au logement comme un droit fondamental et la légitimité universelle de l’aspiration au bien-être et à la préservation du pouvoir d’achat a permis la constitution d’un patrimoine collectif de logements sociaux, édifié grâce aux ressources de l’argent public et du livret A, de la redistribution et de la solidarité.

 

 

Le caractère collectif du patrimoine du parc HLM fait que la durée du bail est prévue à durée indéterminée en application du principe du droit au maintien dans les lieux, contrairement au parc privé où domine le droit du propriétaire.

 

Le désengagement financier de l’État du logement social se confirme avec la loi ELAN, et l’existence même, de certains organismes HLM est menacée à terme.

 

Il est à craindre qu’une mesure, telle que le réexamen de la situation des locataires tous les 3 ans, prélude à la notion d’un bail HLM en CDD et non plus en CDI, inaugure une réduction du statut protecteur du locataire HLM sur fond de déstabilisation de tout le secteur.

 

L’AFOC condamne cette fragilisation du statut du locataire qui se traduit par la remise en cause du maintien dans les lieux et dénonce la déstabilisation programmée d’un secteur pourtant clé de la cohésion sociale et pilier du modèle social.

 

 

Communication AFOC

 

Blog publication, le 17 aout 2018, 11H21

 

Home sweet home for all and every one of us

Home sweet home for all and every one of us

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16 août 2018 4 16 /08 /août /2018 11:59
La modernisation des ascenseurs en copropriété    dernière phase des travaux obligatoires (CQFS avec l'AFOC)

INFO CONSO


La modernisation des ascenseurs en copropriété

 

dernière phase des travaux obligatoires

 

Suite aux nombreux accidents d’ascenseur, la loi Urbanisme et Habitat du 2 juillet 2003 a rendu obligatoires certains travaux de modernisation des ascenseurs tels que l’intégration d’un système de téléalarme, l’éclairage de secours ou encore le verrouillage des portes palières.

 

A savoir que le calendrier de mise en conformité prévoit trois dates d’échéances de travaux pour les ascenseurs installés avant le 27 août 2000 : le 31 décembre 2010, le 3 juillet 2013 et le 3 juillet 2018.

 

Dans chacune de ces phases, le gouvernement a listé les travaux de sécurité obligatoires.

 

En 2012, Cécile Duflot, ministre du logement, a repoussé la date butoir de la deuxième tranche des travaux au 31 juillet 2014, et ouvert un moratoire en juillet 2013 afin de trouver des solutions alternatives moins coûteuses, à la demande des copropriétaires.

 

Le moratoire n’a pas abouti à des solutions alternatives moins onéreuses mais a supprimé l’obligation d’installation d’un système de précision d’arrêt des ascenseurs.

Quant au décret n° 2014-1230 [1], il a supprimé l’obligation d’installation d’un système rendant impossible la dérive de l’ascenseur en montée, prévue initialement dans la dernière phase des travaux.

 

Toutes ces dispenses de travaux n’ont pas pour autant supprimé la troisième phase de travaux obligatoires.

Ainsi, depuis le 3 juillet dernier, les logements équipés d’un ascenseur doivent obligatoirement respecter les normes de sécurité suivantes :

 

  • 1. Dans les ascenseurs installés après le 31 décembre 1982, un système de contrôle de l’arrêt et du maintien à niveau de la cabine pour assurer, à tous les niveaux desservis, un accès sans danger ainsi que l’accessibilité des personnes handicapées ou à mobilité réduite ;
  • 2. Dans les ascenseurs électriques à adhérence, un système de protection contre la vitesse excessive de la cabine en montée.

 

Notes
[1] décret n° 2013-664 du 23.7.13

 

Communication AFOC

 

 

Blog publication, 16 aout 2018, 13H08

 

La modernisation des ascenseurs en copropriété    dernière phase des travaux obligatoires (CQFS avec l'AFOC)
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15 août 2018 3 15 /08 /août /2018 17:17
Les punaises de lit, que faire en cas d'infestation de votre logement ? CQFS, avec l'AFOC

INFO CONSO


Les punaises de lit

 

Punaises de lit

 

Cimex Lectularius
 

Les punaises de lit comptent parmi les plus anciens parasites de l’homme.

 

Ces dernières années, on recense de plus en plus de cas d’infestations de logement et d’hôtels mais également d’hôpitaux, d’écoles, de maisons de retraite...

 

Les voyages internationaux et l’apparition des résistances aux insecticides contribuent probablement à la propagation des infestations.

 

Si les manifestations cutanées liées aux piqûres peuvent constituer une réelle gêne pour les personnes atteintes, heureusement en l’état des connaissances actuelles, il apparaît que les piqûres de punaises de lit ne présentent pas de risque de transmission vectorielle d’agents infectieux. C’est toujours ça !

 

Que faire en cas d’infestation du logement ?

 

Il est nécessaire de procéder, le plus précocement possible, à des mesures strictes pour limiter leur prolifération jusqu’à élimination.

 

La lutte mécanique est primordiale dans un premier temps pour diminuer la population de punaises en évitant de les disperser.

 

La lutte chimique par l’application de produits insecticides par des personnes inexpérimentées doit être limitée en raison des risques liés à l’exposition à ces produits.

En cas de persistance de l’infestation, le recours à un spécialiste de la lutte antiparasitaire ou les services communaux d’hygiène est conseillé.

 

Le ministère des solidarités et de la santé met à disposition du public ces éléments d’informations et de sensibilisation sur une page internet dédiée (http://solidarites-sante.gouv.fr).

 

Le site de la caisse d’assurance maladie également (www.ameli.fr).

 

La prévention de l’infestation par les punaises de lits nécessite notamment une vigilance lors de séjour dans des hôtels et autre lieux d’hébergement et l’inspection minutieuse des meubles achetés d’occasion avant leur installation au domicile.

 

Communication AFOC

 

 

Blog publication, le 15 aout 2018, 18H34

 

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15 août 2018 3 15 /08 /août /2018 13:41
La réfection d’une peinture qui a vieillit n’est pas à la charge du locataire

INFO CONSO / JURINFO


Location

 

La réfection d’une peinture qui a vieillit n’est pas à la charge du locataire
 

 

Dans une décision du 21 décembre 2017, la Cour de cassation rappelle que le jaunissement d’une peinture uniquement dû à l’usage normal du bien ne relève pas des réparations locatives.

 

Dans les faits, le propriétaire avait retenu, en fin de bail, après l’état des lieux de sortie, l’intégralité du dépôt de garantie et sollicité la prise en charge d’une partie des travaux de peinture.

 

La comparaison des états des lieux d’entrée et de sortie montrait en effet que les murs de l’appartement étaient jaunis lors de la restitution des lieux, alors qu’ils ne l’étaient pas lors de la prise de possession par le locataire.

 

 

Le locataire demandait en justice la restitution de la somme déposée en garantie lors de la signature du bail.

 

Pour la Cour de cassation, le locataire n’est tenu de prendre en charge que les réparations locatives rendues nécessaires par les dégradations intervenues de son fait durant la location.

 

À ce titre, le jaunissement d’une peinture uniquement dû à l’usage normal ne justifie pas qu’une réfection des peintures soit mise à la charge du locataire.

 

Textes de référence : Cour de cassation, Chambre civile 3, 21 décembre 2017, 16-26565

 

 

La réfection d’une peinture qui a vieillit n’est pas à la charge du locataire
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14 août 2018 2 14 /08 /août /2018 11:03
Peut-on ne pas payer son loyer si le bailleur ne fait pas les réparations nécessaires ?

INFO CONSO / LOYER

Peut-on ne pas payer son loyer si le bailleur ne fait pas les réparations nécessaires ?

 

Sans autorisation du juge, un locataire n’a pas le droit de suspendre le paiement du loyer, même si des désordres affectent son logement.

 

C’est ce que rappelle la Cour de cassation dans un arrêt du 5 octobre 2017.

 

Des locataires qui se plaignaient de l’existence de désordres affectant leur logement et les empêchant d’en profiter pleinement avaient interrompu tout paiement des loyers.

 

De ce fait le propriétaire avait saisi la justice pour obtenir le paiement des loyers et l’expulsion des locataires. La cour d’appel avait condamné les locataires à payer une certaine somme au titre de l’arriéré des loyers. La décision est confirmée par la Cour de cassation.

 

Un locataire ne peut pas suspendre le paiement du loyer, même si des désordres affectent son logement sans obtenir au préalable une autorisation d’un juge. À défaut il pourrait voir son bail résilié.

 

Ce n’est en effet, que dans le cas où le locataire est dans l’impossibilité totale d’utiliser les lieux loués, que la jurisprudence admet que le locataire puisse suspendre de lui-même le paiement du loyer.

 

Source : Cour de cassation, Chambre civile 3, 5 octobre 2017, 16-19.614

 

 

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10 août 2018 5 10 /08 /août /2018 11:58
La plateforme de règlement des litiges du e-commerce : comment ça marche ? 

La plateforme de règlement des litiges du e-commerce : comment ça marche ? avec l'AFOC FO

SOCIETE / INFO CONSO


La plateforme de règlement des litiges du e-commerce : comment ça marche ? 

 

Mise à disposition par la Commission européenne, cette plateforme permet aux consommateurs et aux professionnels dans l’Union européenne, en Norvège, en Islande et au Liechtenstein, de régler leurs litiges relatifs à l’achat en ligne de biens et de services sans aller en justice et de manière gratuite.

 

Elle est particulièrement adaptée aux litiges transfrontières.

 

Cette plateforme n’est liée à aucun professionnel et vous pouvez l’utiliser pour soumettre votre plainte à un organisme référencé de règlement amiable des litiges.

 

Quelques points à vérifier avant d’introduire votre demande :

 

Vous devez résider dans un pays de l’UE, en Norvège, en Islande ou au Liechtenstein ;
Le professionnel doit être établi dans un pays de l’UE, en Norvège, en Islande ou au Liechtenstein ;
Votre demande doit concerner un bien ou service que vous avez acheté en ligne.
Préalablement à votre saisine, il faut que vous ayez déjà contacté le professionnel à propos du litige et que cela n’ait rien donné.

 

Pour enregistrer votre demande sur la plateforme, vous devez :

 

 

  • Avoir l’adresse électronique exacte du professionnel qui doit être mentionnée sur son site internet ;
  • Que ce soit la première fois que vous tentez de parvenir à un règlement extrajudiciaire avec le professionnel ;
  • Qu’il n’y ait pas de poursuites judiciaires avec ce dernier concernant votre demande.

 

La plateforme fournit des traductions dans toutes les langues de l’UE et prévoit des dates limites pour le règlement des litiges.

 

La plateforme de règlement en ligne des litiges guide les utilisateurs dans chacune des étapes de la procédure de règlement des litiges.

L’organisme de règlement des litiges vous transmettra via la plateforme l’issue qu’il aura trouvée.

Vous devrez vous connecter à votre compte pour prendre connaissance de cette issue.

 

AFOC communication

 

 

Publication le 10 aout 2018, 13H00

 

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8 août 2018 3 08 /08 /août /2018 09:48
Le médiateur du tourisme

SOCIETE / Tourisme / VOYAGES

 


Le médiateur du tourisme


Pour résoudre un litige avec une agence de voyages, une compagnie aérienne ou un hôtel, il est possible de saisir gratuitement le médiateur du tourisme et des voyages.

Dans près de 95 % des cas, son avis est suivi.

 

En cas de problème avec un tour-opérateur ou une compagnie aérienne, les voyageurs peuvent saisir gratuitement les services du médiateur du tourisme et des voyages (MTV) pour tenter de résoudre leur litige à l’amiable.

 

En 2017, les demandes de médiation enregistrées ont augmenté de près de 60 % par rapport à l’année précédente, et plus de 94 % des avis émis ont été acceptés par les parties en cause.

 

Avant de saisir le médiateur du tourisme, le client doit vérifier que sa réclamation porte sur une prestation de transport aérien, urbain, routier ou maritime, un hébergement, une prise en charge aéroportuaire, un forfait touristique, de la restauration ou des loisirs.

 

Il doit également s’assurer que l’entreprise avec laquelle il est en litige est bien membre d’une des organisations signataires de la Charte de Médiation (consultable sur www.mtv-travel).

 

 

 

Pour que le médiateur intervienne, le client doit, au préalable, avoir tenté de résoudre son litige auprès du service interne de l’enseigne concernée et être insatisfait de sa réponse.

 

Si ces conditions sont respectées, le voyageur peut alors le saisir dans un délai d’un an après sa date de retour en France, en utilisant le formulaire dédié accompagné de la copie des documents concernant le litige (courriers échangés avec le service Clients du professionnel mis en cause, copie du contrat/bulletin d’inscription...).

 

Le document peut être rempli directement en ligne sur le site Internet du médiateur du tourisme ou être imprimé et renvoyé à cette adresse : MTV Médiation Tourisme Voyage - BP 80 303 - 75 823 Paris Cedex 17.

 

Après réception du dossier, le médiateur l’instruit et rend un avis dans un délai maximum de 90 jours. En 2016, le délai moyen de traitement a été de 45 jours, contre 44 en 2015.

 

Chaque partie est ensuite libre de suivre ou non l’avis rendu par le médiateur. 

 

 

AFOC Communication

 

Publication MERCREDI 8 AOÛT 2018 , 10H52

 

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7 août 2018 2 07 /08 /août /2018 13:53
Ben Larcey (CC BY-NC 2.0)

Ben Larcey (CC BY-NC 2.0)

SOCIETE / CIRCULATION

 

ENGINS DE DÉPLACEMENT PERSONNEL DOTÉS D’UN MOTEUR


Gyropodes, gyroroues, trottinettes électriques, hoverboards....

 

 Où circuler ?



Les gyropodes, gyroroues, trottinettes électriques et hoverboards sont des engins de déplacement personnel dotés d’un moteur.

 

 

Ils ne doivent pas être utilisés sur la route, ni sur les pistes cyclables puisqu’elles sont réservées aux vélos ayant au moins deux roues (pédales, manivelles, assistance électrique notamment interrompue lorsque le vélo atteint une vitesse de 25 km/h), et ni sur les trottoirs et dans les zones piétonnes.

 

 

Néanmoins, l’utilisation de ces engins peut être tolérée sur les trottoirs et dans les zones piétonnes à condition de ne pas gêner les piétons et de circuler à l’allure du pas (environ 6 km/h), ainsi que sur les pistes cyclables.

 

Un maire peut interdire l’utilisation des engins de déplacement personnel sur les trottoirs. 

 

 

 

Communication AFOC

 

Publication mardi 07 aout 2018, 14H55

ENGINS DE DÉPLACEMENT PERSONNEL DOTÉS D’UN MOTEUR
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31 juillet 2018 2 31 /07 /juillet /2018 13:31

INFO CONSO


La ventilation du logement

 un nouveau critère de décence obligatoire

 

Depuis le 1er juillet, un nouveau critère de décence est obligatoire : l’aération correcte du logement.

 

Cette obligation est la seconde étape de la mise en conformité des logements après la norme d’étanchéité à l’air rendue obligatoire depuis le 1er janvier 2018.

 

L’article 6 du décret décence du 30 janvier 2002 oblige donc tout propriétaire à s’assurer que son logement dispose bien de dispositifs d’ouverture et les éventuels dispositifs de ventilation en bon état et permettant un renouvellement de l’air et une évacuation de l’humidité adaptés aux besoins d’une occupation normale du logement et au fonctionnement des équipements.

 

Ventilation générale du logement

 

Etant donné qu’une des causes principales d’indécence des logements est l’absence ou l’insuffisance de ventilation, l’AFOC ose espérer que ces nouveaux critères auront un impact positif sur la qualité du bâti et par conséquent, sur la santé et le cadre de vie de ses habitants.

 

En cas d’irrespect, le propriétaire peut être contraint d’effectuer des travaux de mise aux normes après mise en demeure de son locataire. Dans un délai de deux mois après la mise en demeure, le locataire peut saisir le tribunal compétent.

 

En cas de manquement aux critères de décence, le juge peut contraindre le propriétaire d’effectuer des travaux de mise aux normes, ainsi que l’obliger à réduire le montant du loyer du locataire et éventuellement fixer des dommages et intérêts.

 

 Publication AFOC

 

 

 

 

Date de la publication

Article du MARDI 31 JUILLET 2018, 14H32

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