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La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
Que signifie communiquer ? demanda le petit prince.
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Un lanceur d'alerte est toute personne, groupe ou institution qui, voyant venir un danger, un risque ou un scandale, adresse un signal d'alarme et, ce faisant, enclenche un processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective
Libres, Indépendants, Déterminés et Solidaires Ensemble. Communication, Information et Expression directe de l'actualité sociale, économique et syndicale de FO CPF et des salariés du commerce et de la Grande distribution.
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Dernière minute !!
Selon article LSA du 26 septembre, Dia serait en train de se séparer de 150 magasins. Aucune instance représentative du personnel n'a été saisie, et la direction Dia France reste totalement muette sur le sujet.
LAPEYRE ne cache plus son mépris pour ses salariés Le 05 septembre dernier en Comité Central d'Entreprise, nous traitions du passage des magasins Distrilap en mandat, sujet au combien sensible! Nous échangions du prévisionnel établi pour ces futurs mandats qui, pour 2014, devront réaliser +3,6% de CA par rapport à 2013. Ce chiffre nous semblant complètement irréaliste ou issu d'une boule de cristal, nous le signifions alors à Olivier DAMBRINE (directeur financier du groupe LAPEYRE et numéro 2 après Patrick BERTRAND). Quelle idée nous avons eu d'émettre des doutes sur le réalisme de ses prévisions… Pour Olivier DAMBRINE s’en est trop:
Nous sommes, pour ce monsieur, au niveau du caniveau, il nous conseille de lire les journaux pour se rendre compte que tout le monde prévoit une relance économique, ajoutant que même dans les caniveaux on peut trouver des journaux !!! Un peu plus et il nous demandait si on sait lire et compter !!!
FORCE OUVRIERE CONDAMNE cette attitude irrespectueuse de la direction générale et exige des excuses officielles de sa part. Nous ne pouvons pas accepter qu'une personne de la direction générale puisse tenir de tels propos vis à vis d'une instance représentative du personnel.
Désormais vous savez précisément quelles sont les considérations de la direction envers ses salariés ! ALLIANCE n'a visiblement pas été efficace pour tout le monde! Nous proposons d'ailleurs qu’Olivier DAMBRINE prenne des cours de rattrapage...
Nouveau barème de l’indemnité forfaitaire en cas de conciliation prud’homale
La loi de sécurisation de l’emploi du 14 juin 2013, s’inspirant de l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013, a prévu une réforme du barème de l’indemnité forfaitaire en cas de conciliation prud’homale.
Un décret du 2 août (n°2013-721, JO du 7 août 2013) est venu préciser les nouveaux montants.
27 Août 2013 La loi de sécurisation de l’emploi du 14 juin 2013, s’inspirant de l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013, a prévu une réforme du barème de l’indemnité forfaitaire en cas de conciliation prud’homale. Un décret du 2 août (n°2013-721, JO du 7 août 2013) est venu préciser les nouveaux montants.
Pendant la phase de conciliation devant le conseil des prud’hommes, dans le cadre des contentieux relatifs aux licenciements, les parties ont la possibilité de décider de mettre un terme au litige, en contrepartie du versement par l’employeur au salarié d’une indemnité forfaitaire (article L 1235-1 du code du travail).
Cette indemnité est calculée en référence à un barème qui tient compte de l’ancienneté du salarié. Ce barème a changé depuis la loi de sécurisation de l’emploi du 14 juin et surtout le décret du 2 août qui est venu préciser les montants du nouveau barème.
Ainsi, le salarié pourra toucher : - deux mois de salaire s’il justifie d’une ancienneté inférieure à deux ans chez l’employeur,
- quatre mois de salaire s’il justifie d’une ancienneté comprise entre 2 ans et moins de 8 ans chez l’employeur,
- huit mois de salaire s’il justifie d’une ancienneté comprise entre 8 ans et moins de 15 ans chez l’employeur,
- dix mois de salaire s’il justifie d’une ancienneté comprise entre 15 ans et 25 ans chez l’employeur,
- quatorze mois de salaire s’il justifie d’une ancienneté supérieure à 25 ans chez l’employeur.
Pour rappel, cette indemnité n’est pas imposable, et est exonérée de cotisations de sécurité sociale dès lors que son montant (cumulé avec celui de l’indemnité de licenciement) ne dépasse pas deux plafonds annuels de sécurité sociale (soit 37 032€ * 2 = 74 064€). Attention cependant, cette exonération disparait si le total des indemnités versées dépasse dix fois le plafond de la sécurité sociale (soit 370 320€).
Cora : des drives livrent aussi à domicile [B. Merlaud] 29 Juillet 2013
Certains sites Coradrive se lancent dans la livraison à domicile des commandes passées sur internet.
Arcueil (94) propose ce nouveau service depuis mars dernier. Villers-Semeuse (08) lui a emboîté le pas en mai. Sarrebourg (57) vient de s'y mettre fin juillet. Et Alès (30) l'annonce déjà pour la fin de l'année 2013.
Alors que la préparation des commandes par les drives de Cora est gratuite, la livraison à domicile, elle, est logiquement payante. A Arcueil, le tarif est dégressif, de 9 € à 5 €, selon le montant du panier. La livraison est toutefois offerte pour les paniers de plus de 250 €. A Sarrebourg et Villers-Semeuse, les clients du drive bénéficient d'une offre de lancement à 5 ou 6 € la livraison.
Un virage étonnant Cette prestation supplémentaire peut permettre aux hypers concernés de capter de nouveaux clients. Mais ce virage n'en est pas moins étonnant.
Le modèle économique des sites de e-commerce, dans l'alimentaire, a toujours été plombé par les livraisons à domicile. Le coût réel du "dernier kilomètre", rédhibitoire pour le consommateur, n'étant jamais facturé en totalité.
Avec le drive, les enseignes alimentaires ont justement trouvé une solution viable pour se lancer enfin dans le commerce en ligne. Il est dont surprenant de voir un distributeur se frotter délibérément aux problèmes de la livraison à domicile.
Cela dit, Cora a opté pour un développement peu coûteux de ses drives, accolés aux hypers et alimentés par des ramasses ou du picking en magasin. Ce qui lui laisse sans doute une marge de manœuvre pour des investissements supplémentaires dans le e-commerce. Certains magasins U, de même, proposent déjà de livrer à domicile des commandes passées sur les drives.
Ce nouveau service, s'il est lancé à grande échelle par Cora, fera peser une menace directe sur l'organisation actuelle de houra.fr, le cyber-marché du groupe. Sur la région de Sarrebourg, le site marchand annonce, pour des commandes occasionnelles, des frais de livraison de 16,95 €.
Depuis le 15 juillet dernier, le magasin Dia voit défiler les clients dans ses allées le dimanche matin.
Une situation que dénoncent des salariés des autres enseignes fougeraises, estimant que le hard-discount enfreint ainsi l'accord verbal passé avec la mairie, comme l'explique David Morel, responsable CFDT de l'union du pays de Fougères. « L'enseigne ne respecte pas l'accord qui stipule que les discounts en centre-ville ne doivent pas ouvrir le dimanche matin. »
« Plus de week-end » Les manifestants, soutenus par le maire de la ville qui a effectué le déplacement, ont alerté les clients quant aux éventuelles répercussions de cette ouverture dominicale. « Il faut que les clients comprennent que venir un dimanche matin dans ce magasin, c'est inciter les autres enseignes à en faire de même. Le risque c'est que le dimanche devienne une journée ouvrable. » Le responsable syndical ne manque pas de rappeler les incidences sur les conditions de travail. « Certes, ils sont payés 20 % supplémentaires. Mais ce n'est pas suffisant. Les employés n'ont plus de week-end et cela empiète sur la vie de famille. »
« Des répercussions sur le petit commerce » L'autre problème soulevé, c'est l'ombre faite aux petits commerces. « Il ne faut pas que cela se répercute sur le commerce de proximité. Il faut garantir cette richesse. » Le dialogue social, instauré avec la direction, ne semble pas aboutir sur des compromis. « On a essayé de les contacter, mais ils se défendent en déclarant qu'ils n'enfreignent pas la loi. Ils déclarent que le magasin n'est pas situé en centre-ville car il est nécessaire de prendre la voiture pour s'y rendre. » En espérant accélérer les négociations, les manifestants reconduiront l'action dimanche prochain. Pas joignable, la direction du magasin n'a pu s'exprimer à ce sujet.
Un mois après sa fermeture, qui reprendra l'ex magasin DIA à Messac (35) ?
Trois questions à Thierry Beaujouan, maire, et Ernest Giffard, premier adjoint.
Les deux élus font le point sur l'avenir de l'ex magasin DIA.
Où en sont les démarches ?
Un peu plus d'un mois après la réunion publique qui a précédé la fermeture du magasin discount alimentaire DIA le 20 juillet dernier, nous avons contacté un certain nombre d'enseignes. A ce jour, trois ont répondu positivement : Casino, Diapar (groupe G20) et Système U.
Les services immobiliers sont venus sur place. Des plans de magasins, étude de marché et prévisionnel sont en cours.
Avant une reprise, il y aura certainement des modifications à apporter ?
L'investissement pour réaménager le local s'élève à environ 300 000 € (gondoles, caisses, groupe frigorifique, etc.). Lors de la fermeture du magasin, le prédécesseur l'a fait vider par une entreprise de tout son contenu matériel broyé sur place.
Par ailleurs, la surface du local (890 m2) reste un handicap au regard des nouveaux aménagements du magasin, présentés par les différents groupes.
Et le propriétaire du local (la société Klépierre) doit donner son accord sur le nouveau loyer.
Que devient le personnel ?
Toutes les solutions envisagées tiennent compte de la reprise du personnel licencié. D'autres contacts ont été pris pour éventuellement compléter le magasin en centre commercial.
La commune n'est pas propriétaire du local, ni du terrain sur lequel il est implanté. Le maire est seulement intermédiaire, nous sommes médiateurs. Notre souhait est de retrouver le plus rapidement possible un magasin. Nous avons eu des contacts avec la Chambre de commerce de Rennes et les Pays de Vilaine.
Nous mettons tout en oeuvre pour que ce projet aboutisse et que la population retrouve le service de proximité. Même pendant les vacances du maire, le téléphone a beaucoup sonné !
Les supermarchés de Haute-Garonne interdit d’ouverture dominicale
Publié le 23 août 2013 par Margot Ziegler
Après une longue bataille opposant le préfet de Haute-Garonne, les salariés, les élus et les syndicats, Henri-Michel Comet, le préfet, a pris la décision d’interdire l’ouverture dominicale des commerces alimentaires de la grande distribution de plus de 400 m².
L’ouverture des boutiques le dimanche n’en finit plus de faire débat. Le préfet de Haute-Garonne, lui, a tranché. Les magasins d’alimentation générale, tels que les supermarchés et les hypermarchés, de plus de 400 m², devront fermer leurs portes le dimanche à compter du 1er octobre.
En février 2008, le préfet avait décidé une première fois de fermer ses commerces le dimanche. Mais en 2012, le tribunal administratif de Toulouse autorisait à nouveau les ouvertures.
Face aux nombreuses protestations émanant notamment de la profession, Henri-Michel Comet a décidé d’interdire à nouveau l’ouverture dominicale.
“Cet arrêté est une bonne décision qui répond au consensus de la profession“ déclare Michel Roux, le président du conseil départemental du commerce et président de la section commerce de la CCI, sur ladepeche.fr. “Nous sommes revenus à une pratique historique en Haute Garonne qui interdit l’ouverture dominicale. C’est une offre pour le commerce de proximité et notamment des métiers de bouche. Cela permet aussi de rééquilibrer l’activité des nombreux marchés de plein-vent.“
Dans la nuit de samedi à dimanche, le propriétaire du magasin Dia de Saint Etienne du Rouvray, situé rue Pierre de Coubertin, est alerté du déclenchement de l'alarme dans son magasin. Il prévient la police qui dépêche plusieurs équipages de la BAC. Ces derniers se placent au niveau de la réserve du magasin, dans laquelle les caméras du magasin montrent que l'homme fait des allers-retours.
Les policiers ne patientent pas longtemps, puisque l'intrus se dirige directement vers eux après être ressorti de l'établissement en passant par dessus le mur d'enceinte.
Interpellé, l'homme, âgé de 22 ans et résident aux Mureaux (Yvelines), est trouvé en possession de 500 euros en liquide. Un vélo est également découvert au pied du mur, "prêt à partir" selon l'expression de l'officier de communication de la Direction départementale de la sécurité publique. Le muriautin prétend qu'il ne lui appartient pas mais, dans le doute, il a été embarqué à l'hôtel de police, tout comme le suspect, qui a été placé en garde à vue.
Le propriétaire du Dia n'a constaté aucun vol dans son magasin mais des traces d'effraction ont été retrouvées sur la porte d'accès à la réserve.
Le titre DIA pourrait dépasser prochainement le seuil symbolique des 6.33 EUR, déjà testé à cinq reprises.
Fondamentalement, le groupe espagnol spécialisé dans la distribution alimentaire est très bien évalué par le système de notation Surperformance. Parmi ses bonnes caractéristiques, nous citerons tout d'abord la faiblesse de son niveau de valorisation, le ratio "Valeur d'entreprise/chiffres d'affaires" s'établissant à 0.47x pour cette année. Les analystes constituant le consensus Thomson Reuters ont régulièrement revu à la hausse leurs prévisions de bénéfice net par action. Par conséquent, cela témoigne d’une progression attendue de la rentabilité et démontre également la bonne santé financière du groupe DIA.
Graphiquement, le titre s'apprécie de plus de 30% depuis le 1er janvier. Il semble en mesure de poursuivre ce mouvement de hausse et devrait prochainement tester, une nouvelle fois, la résistance court terme des 6.33 EUR. Nous anticipons ainsi un franchissement de ce niveau, étant donné l'orientation des moyennes mobiles et les solides fondamentaux du groupe. Au dessus des 6.33 EUR, un signal haussier sera donné et permettra de se positionner acheteur.
Compte tenu de ces éléments, les investisseurs les plus actifs pourront se positionner à l'achat en cas de franchissement des 6.33 EUR. L'objectif sera la zone des 7 EUR. Un stop de protection sera placé sous les 6.33 EUR, seuil qui invaliderait la stratégie haussière.
Grève des travailleurs d’Amazon en Allemagne contre l’antisyndicalisme – Ils ont besoin de toute urgence de votre soutien !
Les travailleurs d’Amazon en Allemagne mènent la dernière d’une série de grèves contre les mauvaises conditions de travail et le refus de la société de reconnaître le mouvement syndical.
L’affilié allemand d’UNI Commerce accuse Amazon d’essayer d’importer les pratiques commerciales « bas de gamme » en Allemagne et de ne pas tenir ses promesses concernant des salaires et prestations équitables. Amazon emploie près de 9000 travailleurs en Allemagne, dont beaucoup ont des contrats à court terme mais l’entreprise refuse de reconnaître les droits des travailleurs à négocier collectivement – une attitude qui ne correspond pas à celle des autres détaillants en ligne actifs dans le pays.
Le syndicat allemand du commerce, ver.di, affirme que le personnel d’Amazon en Allemagne devrait être classé dans la catégorie des employés du commerce de détail et devraient être payés au tarif négocié dans les conventions collectives pour les sociétés de commerce de détail et de vente pas correspondance. Contrairement à Amazon, la 2e plus grande société de vente par correspondance d’Europe et d’Allemagne, OTTO, applique ces conditions depuis de nombreuses années.
UNI Commerce demande à tous les affiliés de soutenir ver.di et les travailleurs d’Amazon en Allemagne dans leur lutte en faveur de la reconnaissance syndicale et de meilleurs salaires.
Nous avons préparé un message e-mail “click & go” au PDG d’Amazon, Jeffrey Bezos, lui demandant de respecter les droits des travailleurs et les droits syndicaux et d’entamer un dialogue constructif avec ver.di (vous trouverez ci-après la traduction complète du message).
Veuillez cliquer ici, ajouter votre nom et votre syndicat, et envoyer votre message.
Ver.di a aussi créé une page web spécifique où figurent toutes les informations sur le conflit chez Amazon. La plupart des infos sont en allemand mais il y a aussi quelques photos et vidéos qui vous donneront un bon aperçu des actions https://www.verdi.de/themen/geld-tarif/amazon
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