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La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, répondit le renard." Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry
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Le 30 juin 1643 Molière fonde « L'Illustre-Théâtre
Jean-Baptiste Poquelin crée, avec quelques amis dont la célèbre comédienne Madeleine Béjart, une troupe de théâtre baptisée « L'Illustre-Théâtre ».
Le jeune homme, alors âgé de 21 ans, prend rapidement la tête de celle-ci et adopte en 1644 le pseudonyme de Molière.
« L’Illustre-Théâtre » s’établit d’abord au tripot de la Perle (rue de la Perle à Paris) avant de partir pour Rouen.
Ayant obtenu la protection du Duc d’Orléans, elle s’installe dans une salle du jeu de paume dite « des Métayers » puis dans celle de « la Croix-Noire ».
Mais le succès se fait attendre et la faillite survient deux ans plus tard, en mai 1645. Molière, qui a été dans l’obligation d’emprunter, connaît la prison pour dettes.
L'entreprise de « L'Illustre-Théâtre » échoue mais elle marque l'histoire du théâtre.
Le 18 novembre 1659, Molière triomphe enfin à Paris avec « Les Précieuses Ridicules ».
U.S. Steel Corporation today announced it is permanently closing... Jones and Laughlin Steel plant is shutting down... 200 American steel mills shut down... One thousand workers... When you as an economy get rid of your manufacturing base, the results are very cataclysmic. You have a domino effect.
On this day in 1928 Sylvia Beach hosted a dinner party in order that F. Scott Fitzgerald, who "worshipped James Joyce, but was afraid to approach him," might do so.
In her Shakespeare and Company Bookshop memoir Beach delicately avoids describing what happened, although she perhaps suggests an explanation...
"Poor Scott was earning so much from his books that he and Zelda had to drink a great deal of champagne in Montmartre in an effort to get rid of it."
According to Herbert Gorman, another guest and Joyce's first biographer, Fitzgerald sank down on one knee before Joyce, kissed his hand, and declared: "How does it feel to be a great genius, Sir? I am so excited at seeing you, Sir, that I could weep."
As the evening progressed, Fitzgerald "enlarged upon Nora Joyce's beauty, and, finally, darted through an open window to the stone balcony outside, jumped on to the eighteen-inch-wide parapet and threatened to fling himself to the cobbled thoroughfare below unless Nora declared that she loved him."
Source & more here: http://ow.ly/yxebm
À propos
James Joyce (1882-1941) is an Irish author whose books include Dubliners (1914), A Portrait of the Artist as a Young Man (1916), Ulysses (1922), Poems Penyeach (1927), and Finnegans Wake (1939).
Biographie
James Joyce was born on 2 February 1882, the eldest of ten surviving children. He was educated by Jesuits at Clogowes Wood College and at Belvedere College (just up the road from the Centre) before going on to University College, then located on St Stephen’s Green, where he studied modern languages.
After he graduated from university, Joyce went to Paris, ostensibly to study medicine, and was rec... Afficher la suite
Description
James Joyce, the twentieth century’s most influential novelist, was born in Dublin on February 2, 1882. The oldest of ten children, he grew up in a family that went from prosperity to penury because of his father’s wastrel behavior. After receiving a rigorous Jesuit education, twenty-year-old Joyce renounced his Catholicism and left Dublin in 1902 to spend most of his life as a writer in exile ...
Livres préférés Bibliography
Chamber Music (poems, 1907)
Dubliners (short-story collection, 1914)
A Portrait of the Artist as a Young Man (novel, 1916)
Exiles (play, 1918)
Ulysses (novel, 1922)
Pomes Penyeach (poems, 1927)
Collected Poems (poems, 1936)
Finnegans Wake (novel, 1939)
The Cat and the Devil (a children's book, 1936)
Posthumous publications
Stephen Hero (precursor to A Portrait; written 1904–06, published 1944)
Giacomo Joyce (written 1907, published 1968)
Letters of James Joyce Vol. 1 (Ed. Stuart Gilbert, 1957)
The Critical Writings of James Joyce (Eds. Ellsworth Mason and Richard Ellman, 1959)
The Cat and the Devil (London: Faber and Faber, 1965)
Letters of James Joyce Vol. 2 (Ed. Richard Ellman, 1966)
Letters of James Joyce Vol. 3 (Ed. Richard Ellman, 1966)
Selected Letters of James Joyce (Ed. Richard Ellman, 1975)
Démarrage sur les chapeaux de roue pour ce roman magnifique dont des phrases entières sont entrées dans la langue française de la rue. Une ode vibrante à la littérature populaire qui rendit enfin célèbre son merveilleux auteur !
« Doukipudonktan, se demanda Gabriel excédé. Pas possible, ils se nettoient jamais. Dans le journal, on dit qu’il y a pas onze pour cent des appartements à Paris qui ont des salles de bain, ça m’étonne pas, mais on peut se laver sans. Tous ceux-là qui m’entourent, ils doivent pas faire de grands efforts. D’un autre côté, c’est tout de même pas un choix parmi les plus crasseux de Paris. Y a pas de raison. C’est le hasard qui les a réunis. On peut pas supposer que les gens qui attendent à la gare d’Austerlitz sentent plus mauvais que ceux qu’attendent à la gare de Lyon. Non vraiment, y a pas de raison. Tout de même quelle odeur.
Gabriel extirpa de sa manche une pochette de soie couleur mauve et s’en tamponna le tarin.
« Qu’est-ce qui pue comme ça ? » dit une bonne femme à haute voix. »
Des centaines de salariés des grands magasins disent "non" au travail le dimanche
Plusieurs centaines de salariés des grands magasins parisiens se sont rassemblés mardi pour manifester leur opposition au travail du dimanche, après des déclarations de Laurent Fabius en faveur de l'ouverture dominicale des commerces du boulevard Haussmann, a constaté une journaliste de l'AFP.
"Travailler le dimanche, c'est non ! Il ne faut pas compter sur nous", ont scandé les manifestants rassemblés rue de Caumartin, à l'appel des syndicats du Printemps et des Galeries Lafayette -- deux grands magasins du boulevard Haussmann -- ainsi que de l'intersyndicale du commerce parisien Clic-P (CGT, SUD, CFDT, CFE-CGC et Seci-Unsa).
A l'occasion des Assises du tourisme, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius a indiqué jeudi que le gouvernement souhaitait que "certaines zones, comme le boulevard Haussmann", au centre de la capitale, "puissent être classées "zone touristique d'affluence exceptionnelle", afin d'y permettre l'ouverture de commerces le dimanche".
"J'ai 55 ans, trois enfants, 28 ans de maison au Printemps, je ne gagne même pas 1 350 euros nets et on voudrait en plus que je travaille le dimanche ? C'est honteux ! On veut bien travailler, mais que l'on nous laisse les dimanches", a lancé Eva, une manifestante.
Plusieurs cadres de la Fnac Italie (place d'Italie, dans le sud de Paris) étaient venus manifester leur soutien. "On ouvre déjà cinq dimanches par an et la direction a tenté tout récemment de nous faire travailler huit dimanches. Nous leur avons dit que ce n'était pas possible. On en a assez", assure Hervé. "C'est une superbe mobilisation ! Cela montre au gouvernement l'opposition totale de tous sur cette question", a commenté Céline Carlen (CGT) des Galeries Lafayette, qui estime à près de 500 les salariés ayant débrayé -- "300 salariés du Printemps et 200 des Galeries".
Karl Ghazi du Clic-P, qui multiplie les actions en justice contre le travail de nuit et le travail dominical, a cité au mégaphone les procès menés et gagnés par l'intersyndicale contre les Galeries Lafayette, le BHV, Apple, Uniqlo, des supérettes des enseignes Monoprix, Franprix, Carrefour City, G20, Super U ou plus récemment Sephora.
"Regardez aussi ce qu'on a réussi en quelques jours de mobilisation seulement. Il faut faire reculer le gouvernement", a-t-il conclu sous les "vivas" des manifestants.
Les salariés ont également défilé jusqu'au boulevard Haussmann et bloqué la circulation pendant 15 minutes, au grand dam des automobilistes.
(Boursier.com) - Dans un marché qui pique du nez, Carrefour fait figure de grand gagnant en milieu d'après-midi, sur un gain de 2% à 26,87 euros. Morgan Stanley a réitéré son avis positif à "surpondérer" sur le dossier, car le rapport risque potentiel apparaît intéressant au courtier avant la publication du chiffre d'affaires du second trimestre.
Depuis l'annonce du rachat de Dia France par Carrefour, les analystes se succèdent pour livrer leur vision du deal en cours de négociation. Pour l'instant, c'est surtout la valorisation de Dia, jugée plutôt élevée, qui soulève des interrogations. D'après Morgan Stanley, le montant de 600 millions d'euros est près de deux fois supérieur aux attentes du marché.
Dia, qui se revendique 10ème franchiseur mondial par le nombre de collaborateurs franchisés appartenant à son réseau, laisse un goût amer à plusieurs locataires-gérants. A quelques semaines ou mois de la vente des magasins français du hard discounter espagnol à Carrefour, ces entrepreneurs ont interpelés les Echos de la franchise.
Le 8 mai dernier, les dirigeants de Dia monde annonçaient la vente de l'ensemble du parc de magasins français. C'est Carrefour qui, au terme de plusieurs semaines de flou, remporte la totalité du parc Dia, soit environ 800 magasins, dont 200 franchisés, pour la somme de 600 millions d'euros (sous réserve de validation de l'Autorité de la concurrence).
Une annonce qui ne semble pas avoir surpris les franchisés et locataires-gérants du réseau, dont certains ont profité de l'occasion pour dénoncer les pratiques du franchiseur en France.
« Nous avons été abusés »
Anciens et actuels locataires-gérants, ils sont plusieurs dizaines à s'être réunis autour du syndicat professionnel Sefag pour interpeler les médias, dont les Echos de la franchise , quant à leur mésaventure avec la tête de réseau Dia. Tous pointent des écarts entre ce qui leur a été promis à la signature de leur contrat de franchise ou de location-gérance et la réalité du terrain. En particulier, les marges évoquées par le franchiseur et celles réellement payées par les locataires-gérants à la sortie entrepôt. « Dans un prévisionnel fourni avant la signature de mon contrat de location-gérance, Dia mettait en avant des marges "sortie entrepôt" sur les produits de l'ordre de 20 % en moyenne, totalement en décalage avec la réalité à laquelle j'ai été confronté », témoigne Julien*, ancien locataire-gérant Dia en région parisienne. Même constat pour Frédéric*, locataire-gérant toujours engagé auprès de l'enseigne pendant encore plusieurs mois : « Avec mon épouse, nous nous sommes rendus compte que l'entrepôt de Dia était en fait un véritable centre de profit. » Pour pallier ces déséquilibres, cet entrepreneur a choisi de s'approvisionner en direct sur une majorité de produits plutôt que de continuer à se faire livrer par l'enseigne. « Aujourd'hui, cela représente 60 % de mes sorties de caisse, ce qui m'oblige à passer un temps considérable chez des grossistes. Mais si je ne l'avais pas fait, nous aurions dû déposer le bilan », analyse-t-il.
Rachid Hamdaoui, ex-franchisé à Drancy (93) est même allé jusqu'à relever des prix chez la concurrence pour s'assurer des décalages entre les tarifs du marché et ceux qu'il payait aux entrepôts Dia. « J'ai relevé des prix notamment chez un Carrefour Market situé près de mon fonds de commerce et j'ai pu constater que sur plusieurs produits de base, j'étais plus cher. Complètement illogique pour un hard discounter. »
Idem en ce qui concerne l' emplacement des magasins : les locataires-gérants interviewés ont tous repris des points de vente qui étaient exploités en propre par l'enseigne et tous soupçonnent le franchiseur d'avoir voulu se « débarrasser des unités les moins rentables », précise le Sefag.
« La tête de réseau a essayé de nous imposer certains magasins en nous expliquant que les zones de chalandise étaient intéressantes ou encore qu'il n'y avait pas de concurrence. Or, en tant qu'ancien salarié du réseau, je connaissais le manque de rentabilité structurel de ces points de vente », témoigne Eric*, locataire-gérant Dia jusque début 2013.
En résumé, ce sont d'importantes informations pré-contractuelles que ces franchisés dénoncent comme manquant de sincérité. « Nous avons été abusés, la plupart des locataires-gérants ne sont pas aguerris pour lire entre les lignes d'un contrat de franchise », conclut Julien.
Des pratiques pointées du doigt
Ces entrepreneurs en colère dénoncent plusieurs pratiques du franchiseur Dia. La libre fixation des prix, notamment, est mise en cause : « De 2009 à 2012, nous ne pouvions pas fixer librement les prix dans notre propre magasin à cause du système informatique mis en place par l'enseigne », explique Frédéric, qui affirme que ce contrôle de la part de la tête de réseau s'est poursuivi sur les promotions, depuis 2013.
Une pratique qui, si elle s'avère vraie, irait à l'encontre de l' article 442-5 du Code de commerce selon lequel « est puni d'une amende de 15 000 euros le fait par toute personne d'imposer, directement ou indirectement, un caractère minimal de prix de revente d'un bien, au prix d'une prestation de service ou à une marge commerciale. » Jennifer Juvénal, avocate spécialisée en droit des affaires, explique : « Il faut reprendre la logique même du contrat de franchise ou de location-gérance : nous parlons de personnes indépendantes, qui possèdent leur société. Cela implique que des clauses doivent exister pour certifier cette indépendance, et cela passe aussi par la libre fixation des prix. Au mieux, l'enseigne peut proposer une grille de prix, mais pas l'imposer aux franchisés. »
La fixation des prix n'est pas la seule mise en cause.
Dans un courrier adressé à Bruno Pertriaux, directeur exécutif ED/Dia le 3 octobre 2012, le Sefag interpelle le dirigeant sur « d'importants problèmes de logistique, d'approvisionnements, de gestion et de suivi des avoirs. » Après avoir réuni plusieurs témoignages et éléments, le syndicat de l'épicerie française et de l'alimentation générale a aussi relevé des écarts entre la réalité du terrain et les charges prévisionnelles (salariales et d'exploitation) présentées par la tête de réseau au franchisé repreneur .
Peu de recours possibles
Plusieurs locataires-gérants ont souhaité porter au juridique les contentieux qu'ils avaient avec le franchiseur, et se sont heurtés à la clause compromissoire de leur contrat.
Celle-ci stipule que les parties contractantes doivent recourir à un tribunal arbitral privé en cas de litige, et non à un tribunal de commerce.
« Ce type de recours est fréquent et plusieurs enseignes l'incluent dans leur contrat de franchise », assure Jennifer Juvénal. « Or, cette alternative est onéreuse et prend du temps. Pour des franchisés au bord du dépôt de bilan, ce n'est pas supportable. » Certains locataires-gérants, comme Eric, ont donc préféré signer un accord à l'amiable et quitter le réseau Dia sans remous.
Pour d'autres, les fins de contrats ont été plus compliquées, comme pour Rachid : « A la fin, il n'était même plus question de gagner de l'argent », explique-t-il. « Je souhaitais simplement revenir au point mort pour ne pas m'endetter, maintenir l'emploi de mes collaborateurs, et peut-être négocier ma sortie du réseau. »
Mais l'entrepreneur dit avoir subi des pressions pour rendre les clés de son magasin avant de pouvoir redresser son commerce.
Un rôle de franchiseur remis en cause
Si aujourd'hui certains entrepreneurs préfèrent tourner la page, d'autres ne décolèrent pas et pointent du doigt le rôle de franchiseur de Dia. « Pour l'enseigne, nous ne sommes que des super-salariés et pas des entrepreneurs indépendants », regrette Frédéric, qui a entendu dire que la tête de réseau continuait de signer des contrats de location-gérance alors même que l'enseigne a annoncé son désengagement du marché français prochainement.
« Dia essaie de limiter la casse sociale en passant ses magasins sous statut indépendant », soupçonne-t-il.
« Il faut vraiment le vivre de l'intérieur pour se rendre compte de la façon dont la société a dérivé [ndlr : depuis le passage de l'enseigne ED à Dia] », confie Eric. « Nous nous sommes beaucoup investis pendant 5 ans mais n'avons rien capitalisé. Aujourd'hui, il nous faut repartir de zéro. »
Contactée à plusieurs reprises, la franchise Dia n'a pas souhaité s'exprimer.
*Les prénoms ont été changés pour protéger l'anonymat des personnes.
La cession à Carrefour
Après plusieurs semaines de négociations, c'est finalement le distributeur Carrefour (ancien propriétaire de l'enseigne ED) qui reprend la totalité des magasins Dia en France, contre la somme de 600 millions d'euros.
En effet, les deux enseignes sont entrées en négociations exclusives le 20 juin dernier, évinçant ainsi la candidature de Casino.
Cette proposition de rachat reste encore soumise à validation de l'Autorité de la concurrence.
Dia en quelques chiffres
Présent dans 6 pays (l'Espagne, le Portugal, la France, la Chine, l'Argentine et le Brésil), le distributeur Dia se positionne, depuis son origine en 1979, sur le marché du hard discount.
Fin 2013, l'enseigne espagnole comptait dans son réseau 2 991 franchisés pour 7 328 magasins. En France, le réseau comptait fin décembre 865 points de vente et 230 franchisés, soit 25 membres de moins qu'en 2012.
En savoir plus sur http://business.lesechos.fr/entrepreneurs/franchise-commerce/efra-00040467-dia-des-franchises-racontent-l-envers-du-decor-101034.php?bSxLVZtSSJA0xV8z.99