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  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, 
répondit le renard."    
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 18:29
Pierre MERIMEE/REA

Pierre MERIMEE/REA

Coronavirus / Emploi / Tourisme / Revue de presse

 

L’Etat annonce une aide au secteur du tourisme

 

  • Le gouvernement va débloquer des crédits pour une activité qui emploie près de deux millions de personnes, souvent des précaires, saisonniers, intérimaires… Cela sera-t-il suffisant ?

 

 

Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

 Le Figaro

 

État des lieux : Jeudi [14 mai], à l’issue du comité interministériel du tourisme (CIT), Édouard Philippe a annoncé un effort “massif“ pour le secteur, avec un engagement public de 18 milliards. “Le tourisme fait probablement face à la pire épreuve de son histoire moderne, alors que c’est un des fleurons de l’économie française. Son sauvetage est donc une priorité nationale “, insiste le Premier ministre. Et le quotidien de préciser : Il fait vivre deux millions de personnes, représente 220.000 établissements (hôtels, cafés, restaurants, campings…),….

 

 Pour les aider à passer l’orage, leurs professionnels bénéficieront de mesures exceptionnelles : ils pourront continuer de recourir à l’activité partielle jusqu’à la fin septembre ; le fonds de solidarité restera ouvert jusqu’à la fin de l’année et son accès sera élargi aux entreprises de plus grande taille (jusqu’à 20 salariés et 2 millions d’euros de chiffre d’affaires). Un plan d’investissement de 1,3 milliard d’euros sera par ailleurs porté par la Caisse des dépôts et Bpifrance.

 

Autre avantage : une exonération de cotisation sociale pendant la période de fermeture ou de très faible activité, au moins de mars à juin. Et pour les consommateurs-clients : Pour soutenir la demande quand les restaurants rouvriront, le plafond journalier des tickets-restaurants sera doublé (de 19 à 38 euros) jusqu’à la fin de l’année, et leur utilisation autorisée les week-ends et jours fériés.

 

 

La Tribune

 

 

Hôtels, restaurants, voyagistes : toute la filière française est à l’arrêt depuis mi-mars, avec 90% des établissements fermés. Plus de 62.000 de ses entreprises ont d’ores et déjà bénéficié de 6,2 milliards d’euros de prêts garantis par l’État.

 

 

 

Europe 1

 

 

 

Et la radio de préciser : Parmi les annonces faites par Emmanuel Macron lundi soir [11 mai] : un plan d’aide au secteur du tourisme. Complètement à l’arrêt depuis le début du confinement, les agences de voyages ont déjà reçu des aides du gouvernement, notamment le report des remboursements des voyages annulés. Mais la reprise du tourisme va être lente et il va falloir accompagner la filière, tâche dont le président de la République a chargé son gouvernement. ̎

C’est tout à fait ce que nous attendions ̎, se réjouit Jean-Pierre Mas, le président des Entreprises du Voyage. Et ce dernier d’ajouter : Mais plus les semaines passent et plus l’hypothèse d’un rebond rapide du tourisme s’éloigne. ̎ Ce qui est clair à présent, c’est qu’il n’y aura pas de saison d’été ou qu’elle sera extrêmement faible et surtout limitée ̎.

 

AFP

 

En sauvant ce secteur, il ne faudrait pas oublier ses employés. FO s’en inquiète à juste titre : Les fédérations FO couvrant les secteurs du transport et de l’hôtellerie-restauration ont réclamé vendredi [15 mai] au gouvernement une ̎sécurisation financière ̎ pour les  ̎saisonniers sacrifiés  ̎, qui se retrouveront sans emploi l’été prochain à cause de l’épidémie du coronavirus. ̎ Il est inadmissible que malgré nos interrogations répétées, nos multiples échanges avec le ministère du Travail, nous n’ayons obtenu à ce jour, pour la saison d’été, aucune garantie de sécurisation financière des travailleurs privés d’emploi, déplore FO Transport et Logistique avec FO-FGTA dans un communiqué commun.

 

En outre, certains saisonniers, ̎du fait de l’application depuis le 1er novembre 2019 de la nouvelle règle d’attribution de l’allocation chômage n’auront pas de quoi survivre sur une durée à ce jour indéterminée ̎, ajoutent les deux fédérations syndicales.

 

 

 

 

Sourcing:   CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

  • JOURNALISTE L’INFO MILITANTE

 

Libre & Indépendante

 

 

 

smiley   Blog publication, 30 mai 2020, 19H29

yes  Modification 31 mai 2020,  sad  13H44

 

 

 

L’Etat annonce une aide au secteur du tourisme

 

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16 mai 2020 6 16 /05 /mai /2020 15:47
Lydie LECARPENTIER/REA

Lydie LECARPENTIER/REA

Société / Coronavirus - Covid19 / Crise sanitaire / Confinement / Déconfinement

 

REVUE DE PRESSE  / Coronavirus

 

Un déconfinement au compte-gouttes

 

  • Si le déconfinement par petites étapes s’est pour l’instant relativement bien passé, les craintes pour l’avenir sont bel et bien présentes.

 

Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

 Le Parisien


Retour aux affaires au petit trot à la Défense.

Comme prévu, le déconfinement se fait en douceur dans le plus grand quartier d’affaires d’Europe, qui, hier [11 mai], a accueilli à peine 20% de ses habituels 180.000 salariés. Pas de raz de marée donc. Ni au pied des tours ni dans les couloirs du métro et du RER A où, en temps normal, transitent chaque jour 80% des fidèles du quartier. Dans les quelque 3.600 entreprises du quartier le télétravail, même après ce très attendu 11 mai, est resté la règle.

 

 

 L’Humanité


 

Le chaos redouté n’a pas eu lieu. En dépit des cafouillages et changements de cap de l’exécutif, malgré un manque de moyens criant sur le terrain, la première étape du déconfinement s’est globalement bien déroulée. Des centaines de milliers de Français ont repris le chemin du travail ce lundi [11 mai], dans le calme et le respect des consignes de sécurité. Mais la vigilance reste de mise : les jours qui viennent seront décisifs.

 

 

 Libération


 

Rames bondées tôt le matin sur les lignes desservant les quartiers populaires, puis plus calmes, commerces peu fréquentés : la ̎ reprise ̎ s’est faite de façon très diverse à Paris. À FO, la vigilance reste de mise : Et du côté de FO, on appelle à la clémence : J’ai demandé au ministère du Travail qu’on ne verbalise pas les salariés parce qu’ils seraient en irrégularité vis-à-vis de leurs attestations.

Qu’on gère les flux OK, mais de là à verbaliser à 135 euros… indique Yves Veyrier, secrétaire général de la centrale interrogé par Libération.

 

 Sud Ouest


Même vigilance syndicale au sein des entreprises. Mais dans les entreprises, c’est bien le règlement intérieur, édicté par la direction après consultation des salariés et des instances (CSE, CSSCT), qui régule l’ensemble des mesures sanitaires dont le port du masque. Certaines ont pris le parti de l’imposer à tous les salariés. D’autres choisissent de l’adapter selon les situations, les sites et les services.

 

 Les Échos


 

L’activité risque d’être ralentie pendant encore quelques semaines en raison des différents problèmes comme les gardes d’enfants dont les écoles sont fermées, la situation de certains salariés médicalement fragiles ou encore une demande qui pourrait rester en berne encore quelques temp, selon Pierre Madec, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).

 

 

 

 

 

 

Sourcing:  CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

  • JOURNALISTE L’INFO MILITANTE

 

 

 

Un déconfinement au compte-gouttes

 

 

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1 mai 2020 5 01 /05 /mai /2020 10:47
Un 1er mai confiné, mais toujours revendicatif
Un 1er mai confiné, mais toujours revendicatif

Histoire / Covid19 / Confinement

 

Un 1er mai confiné, mais toujours revendicatif

 


REVUE DE PRESSE 


 

 

  • FO a placé ce 1er mai de crise sanitaire sous le signe de la santé au travail qui doit être considérée comme un droit fondamental.

 

  • Aperçu dans la presse.

 

 

 

Le Parisien


Du côté des syndicats, on est très clair. On n’a pas réfléchi à la possibilité de manifester dans la rue dans l’immédiat. On est plutôt inquiets de la pression exercée sur les salariés pour la reprise d’activité, explique Yves Veyrier, secrétaire général de FO.

 

On ne peut pas être en contradiction avec notre politique de défense des conditions sanitaires des travailleurs et appeler à manifester dans la rue tout de suite, ajoute le représentant syndical. Le moment venu on verra bien, tout dépendra de l’environnement et du contexte. Si on peut voyager à plusieurs milliers dans les transports en commun, ce sera de l’ordre de l’envisageable, avance le leader syndical.

Lors des dernières manifestations contre l’usage du 49.3 pour la réforme des retraites, nous avions déjà respecté les gestes barrières, évité de se serrer la main ou de se faire la bise ̎, rappelle le dirigeant de FO.

Et de conclure : Mais les revendications ne cesseront pas avec le déconfinement , tient à préciser Yves Veyrier.

 

 

 

 

Le Dauphiné


Dans l’Isère, FO fait partie de l’Intersyndicale : Même confinés, manifestons toutes et tous le 1er mai avec des pancartes, banderoles ou en envahissant les réseaux sociaux, et donnons à cette journée une véritable force collective ̎, ont ainsi écrit plusieurs syndicats.

 

 

 

 

Labourstrat.org


Ce site d’information sur le syndicalisme international* précise les démarches pour un 1er mai de revendications dans un contexte inédit :

 

En coopération avec la Confédération syndicale internationale et toutes les fédérations syndicales mondiales, nous organiserons une diffusion de 12 heures de vidéo et d’événements en direct produits par des syndicats du monde entier. Nous avons rassemblé des vidéos réalisées spécialement pour le 1er mai par des syndicats de tous les continents.

 

 

 

 

AFP


L’agence d’information précise les modalités en France : Plusieurs syndicats et organisations de jeunesse ont appelé lundi [20 avril] à la mobilisation le 1er mai lors de la journée internationale des travailleurs, sans cortèges en raison du confinement mais en arborant des pancartes depuis son balcon ou en inondant les réseaux sociaux de slogans revendicatifs.

 

Précisant à propos de FO : FO porte ses revendications d’une « augmentation générale des salaires et du Smic », de « l’égalité femmes-hommes » et du « renforcement des systèmes de protection sociale collective (santé, assurance chômage, retraite) », selon la déclaration de sa commission exécutive adoptée lundi [20 avril].

 

 

 

 

Ouest France


En province, à quoi va ressembler la manifestation du 1er mai à Rennes s’interroge le grand quotidien de l’ouest évoquant le communiqué commun de plusieurs syndicats dont FO daté du 27 avril. Ces syndicats proposent leur solution : Ils appellent « à manifester à 10 heures dans tout le département : en postant sur les réseaux sociaux des messages de revendication ; en affichant à nos balcons et fenêtres des banderoles revendicatives, des drapeaux de nos syndicats, des écharpes rouges…Et en y scandant nos slogans ».

 

Dans leur texte commun, les syndicats affirment : « Depuis le début de la crise sanitaire, de nombreux pays vivent grâce aux oublié(e)s, aux invisibles de nos sociétés, qui continuent à travailler, le plus souvent au risque de leur propre vie. Les paroles de reconnaissance des gouvernements n’ont pas été suivies d’actes forts ». Raison pour laquelle ils demandent, notamment, « des revalorisations salariales », l’abandon de « politiques destructives qui mettent à mal la protection sociale » et « développement des services publics »

 

 

 

 

*   Traduit de l'anglais-LabourStart est le site d'information et de campagne du mouvement syndical international. Il diffuse des informations à la fois via son propre site Web et également via un service de syndication d'informations utilisé par les sites Web des syndicats du monde entier.

 

Sourcing:   CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

  • JOURNALISTE L’INFO MILITANTE

 

 

Libre & Indépendante

 

 

 

smiley   Blog publication, 1er mai 2020, sad  12H14

 

 

 

 

 

 

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23 avril 2020 4 23 /04 /avril /2020 16:28
(revue de presse)  - Vers un nouveau choc pétrolier ?

Confinement / Coronavirus / Pétrole

 

Vers un nouveau choc pétrolier ?
 

 

REVUE DE PRESSE

 

  • Si la part des taxes nationales en relativise la baisse, le prix de l’essence à la pompe est en recul depuis huit semaines. Aujourd’hui, croit-on constater à l’échelon international, le pétrole ne vaudrait plus rien, bradé à l’encan. 

 

  •  À voir.......

 

  • Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

 Les Échos

 


L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a publié les prévisions les plus pessimistes de son histoire. La demande quotidienne de pétrole va chuter de 29 millions de barils [par jour] ce mois-ci, a-t-elle annoncé, soit environ 30 % de moins que l’an dernier à la même époque. Un avril noir du pétrole, selon Fatih Birol, directeur général de l’agence, qui marquera un retour au niveau de 1995 .

 

L’Hexagone est bien sûr touché : En France, par exemple, les ventes d’essence et de gazole sont inférieures de 75 % à 80 % à la normale depuis le début du confinement. 

 

 

 Le Parisien

 


Le grand quotidien de la capitale a interviewé Matthieu Auzanneau, directeur du Shift Project, un groupe de réflexion sur la transition énergétique :


[Question] :   Les prix à la pompe en France vont donc baisser ?


[Réponse] : Ils ont déjà baissé. Il faut tout de même rappeler que le prix du brut ne représente qu’un petit tiers du tarif payé à la pompe, le reste correspondant au coût du raffinage et aux taxes, qui ne sont revues qu’annuellement. Tant que le confinement se poursuivra, on peut penser que les prix à la pompe resteront bas…

 

Lorsque le confinement va prendre fin, la demande repartira à la hausse et les prix pourraient repartir très rapidement aussi. On peut anticiper un effet yo-yo des prix dans les prochains mois et une très forte volatilité du prix du baril.

 

Ce qui pose des questions : que se passera-t-il si les prix s’envolent et que la crise sanitaire repart ?

En effet !

 

 

Le Monde

 


Un séisme mondial : C’est tout simplement du jamais vu dans l’histoire pourtant tumultueuse du marché du pétrole. Le prix du baril de brut texan, le WTI, référence du marché américain, s’est littéralement effondré lundi [20 avril]. Sa valeur s’est volatilisée, annihilée même.

En début de soirée à Paris, il cotait moins de 1 dollar. Puis il a basculé en territoire inconnu, en dessous de zéro ! Une chute de 95 % dans la journée, atteignant finalement 100 %, qui défie le sens commun. Cette incongruité est bel et bien une conséquence de la pandémie de Covid-19 et du Grand confinement, comme le désigne le Fonds monétaire international.

 

N’oublions pas que le pétrole américain est essentiellement consommé aux États-Unis ! Le baril de Brent, produit en mer du Nord, la principale référence du marché mondial, a certes dévissé, mais d’à peine 6 % et oscillait autour de 26 dollars. 

 

 L’Humanité

 


Cette crise va aussi toucher des populations précaires : En attendant, pour de nombreux pays dont les hydrocarbures restent la principale ressource comme le Venezuela, l’Iran, l’Irak, le Nigeria, l’Angola ou encore l’Algérie, il s’agit d’une catastrophe économique et sociale.

 

 

Sourcing:   CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

  •  
  • JOURNALISTE L’INFO MILITANTE

 

 

Libre & Indépendante

 

 

 

smiley   Blog publication, 23 avril 2020, sad 17H56

 

 

 

 

(revue de presse)  - Vers un nouveau choc pétrolier ?
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18 avril 2020 6 18 /04 /avril /2020 16:25
Geoffroy Roux  de Bézieux - (Gilles ROLLE/REA)

Geoffroy Roux de Bézieux - (Gilles ROLLE/REA)

Coronavirus - Covid19 / Medef / Syndicat

 

Les espoirs déçus du Medef


 

REVUE DE PRESSE

 

  • Dans le contexte actuel, le patron des patrons aurait voulu que les Français travaillent plus. Devant le tollé général, il a dû faire rapidement machine arrière.

 

 

Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

Sud Ouest


Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir !

 

Plusieurs responsables économiques ont incité samedi [11 avril] les travailleurs français à mettre « les bouchées doubles » pour permettre un sursaut économique à la sortie du confinement.

Pour le patron des patrons, Geoffroy Roux de Bézieux, "il faudra bien se poser tôt ou tard la question du temps de travail, des jours fériés et des congés payés pour accompagner la reprise économique et faciliter, en travaillant un peu plus, la création de croissance supplémentaire ".

 

 

 

 

 L’Humanité


 

Alors que les hôpitaux, qui comptent les morts, n’entrevoient toujours pas la fin de la pandémie et que les Français n’ont toujours aucune perspective de sortie du confinement, Geoffroy Roux de Bézieux a clairement annoncé, dans les colonnes du Figaro, samedi [11 avril], les contours que prendrait son jour d’après.

 

Et il ressemble aux jours d’avant les 35 heures et le Front populaire. Les réactions ne se feront pas attendre : Alors que le Medef plaide pour augmenter le temps de travail et diminuer les jours fériés et les congés payés, il faut au contraire répondre à la crise du Covid-19 par la justice fiscale.

 

 

 

 

 Le Parisien


La réponse claire de la CGT-FO :

 

On parle d’économies alors que les questions de santé ne sont pas résolues, critique le secrétaire général de Force Ouvrière, Yves Veyrier, soulignant que les salariés n’ont pas choisi d’être en chômage partiel et n’ont qu’une envie, reprendre le travail.

 

Et puis, insiste-t-il, les entreprises ont déjà fait preuve d’intelligence en négociant des accords adaptés, comme celui signé chez PSA le 8 avril : les ouvriers – et les cadres par solidarité – ont renoncé à certains jours de RTT pour maintenir leur salaire à 100 % en chômage partiel.

 

Le même accord sanctuarise deux semaines de congés cet été. Un repos nécessaire, selon Yves Veyrier : Entre l’angoisse de la maladie et le confinement, ne croyez pas que les gens vont sortir de cette période en pleine forme. »

 

 

 

 

France info


 Pour le secrétaire général de Force Ouvrière, deux sujets priment : Comment on sort de cette épidémie, et ensuite comment on revoit complètement l’échelle des valeurs, la redistribution des richesses en particulier.

 

Le secrétaire général de Force Ouvrière, Yves Veyrier, dit trouver choquant et déplacé que le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, propose de reporter des congés payés ou de supprimer des RTT pour relancer l’économie après la fin du confinement en raison de l’épidémie de Coronavirus.

 

Le syndicaliste estime plutôt, lundi 13 avril sur France info, qu’il serait bienvenu que l’ensemble de ces réformes qui ont fait problème […] soient mises de côté, comme la réforme des retraites ou la loi Santé 2022.

 

 

 

 Le Figaro


  Marche arrière toute !

 

Il a réussi à énerver tous les syndicats, l’heure est maintenant à l’apaisement. Le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, a refermé ce mardi [14 avril] le débat qu’il avait ouvert dans les colonnes du Figaro en évoquant un allongement du temps de travail après le confinement.

 

Une explication, celle de « […] Yves Veyrier, le secrétaire général de la centrale : J’ai le sentiment que Geoffroy Roux de Bézieux a voulu exercer une pression sur le président de la République avant son allocution télévisée de lundi soir.

Raté.

 

 

 

 

Sourcing: CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

  • JOURNALISTE L’INFO MILITANTE

 

 

Libre & Indépendante

 

Les vieilles lunes du Medef

 

 Pour Roux de Bézieux, le jour d'après ressemble furieusement au jour d'avant, d'avant le front populaire, d'avant le CNR, d'avant la Libération, d'avant l'interdiction du travail des enfants, d'avant les 35H.

(BM)

 

 

smiley   Blog publication, 18 avril 2020, sad   17H41

 

 

 

Les espoirs déçus du Medef
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9 avril 2020 4 09 /04 /avril /2020 15:42
Ministère de l'économie, quartier Bercy

Ministère de l'économie, quartier Bercy

Société / Coronavirus - Covid19 / Economie / Récession

 

REVUE DE PRESSE 

​​​​​​

Nous sommes désormais en récession

 

  • Le gouvernement a officiellement annoncé que le pays était entré en récession, ce qui fait redouter une casse sociale.

 

 

Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

Les Échos


Le quotidien économique a été un des premiers à rapporter la situation alarmante : Après trois semaines de confinement, l’économie française est à l’arrêt ou presque. Difficile pour les économistes d’évaluer l’impact de la pandémie de coronavirus sur l’activité. Et de détailler la situation en faisant appel à l’histoire : Le chiffre de croissance le plus mauvais qui ait été fait par la France depuis 1945, c’est en 2009, après la crise financière de 2008 : -2,9%. Nous serons vraisemblablement très au-delà des -2,9% cette année.

 

Auditionné ce lundi [6 avril] par les Sénateurs, le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, n’a pas caché le cataclysme économique que constituent l’épidémie de coronavirus et le confinement de la population pour tenter de l’enrayer. Il n’est pas le seul à broyer du noir. Les semaines passent et les économistes revoient sensiblement leurs prévisions à la baisse…

 

La plupart des experts anticipent désormais une chute de la richesse nationale comprise entre 5% et 10%, voire au-delà pour les plus pessimistes. Déjà il y a dix jours [27 mars], l’Insee estimait que deux mois de confinement amputait le PIB de six points, ce qui représente un coût de 75 milliards d’euros pour la France.

 

 

 

AFP

 


Deux jours plus tard, le couperet tombait : Un effondrement historique de 6% du PIB de janvier à mars, soit la pire performance trimestrielle depuis 1945 : le chiffre publié mercredi [8 avril] par la Banque de France témoigne de brutales pertes de revenus notamment dans les secteurs de la construction, du commerce, des transports, de l’hébergement et de la restauration.

 

L’activité générale a notamment été inférieure d’environ un tiers (-32%) à la normale dans les quinze derniers jours de mars.

 

 

 

 

Le Monde


Le quotidien du soir précise : Eu égard au recul de 0,1% du PIB au quatrième trimestre de 2019, la France est donc entrée en récession, laquelle se caractérise par deux trimestres consécutifs de recul de la production intérieure brute…

Par rapport à la crise financière de 2008, la baisse de l’activité induite par le confinement est bien plus forte. Dans l’industrie, les soldes de l’enquête de conjoncture relative à l’activité baissent environ 1,5 fois plus au premier trimestre 2020 qu’au quatrième trimestre 2008. Dans les services marchands, la décrue est quatre fois plus importante.

 

 

 

 

La Croix

 


Même son de cloche pessimiste : Il faut remonter au deuxième trimestre de 1968 marqué par les événements de mai, pour retrouver une baisse d’activité d’un même ordre de grandeur souligne la note de conjoncture [de la Banque de France]

 

Cette fois le scénario qui se dessine est plus inquiétant.

 

Le mois d’avril sera au moins aussi mauvais que la dernière quinzaine de mars. La croissance sera fortement négative en 2020, a déjà prévenu le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau.

 

Prudente face à l’incertitude de la durée et l’ampleur du choc économique, la banque centrale française ne se risque pas à une prévision annuelle, mais prévient que chaque quinzaine de confinement pourrait amputer le niveau du PIB annuel de près de 1,5%. Sachant que nous sommes dans la deuxième quinzaine et qu’on nous en prévoit au moins encore deux, le calcul est simple à faire !

 

 

 

 

Sud Ouest


Le grand quotidien aquitain pose les questions : Récession, dépression, quelles conséquences pour nous ? On parle de récession, quand un pays enregistre une baisse technique de l’activité durant deux trimestres consécutifs. Mais si la récession s’inscrit dans la durée, s’auto-entretient, entraînant une diminution de l’activité, puis des revenus et donc de la demande, elle peut conduire à des faillites d’entreprises, bancaires : l’économie s’installe alors dans la dépression.

 

C’est une forme grave de la crise économique qui a des conséquences sociales plus importantes : hausse du chômage de longue durée, baisse des revenus qui concerne surtout les plus bas salaires et les populations les plus défavorisées. Pour mémoire, entre 2007 et 2010 le revenu des 10% les moins aisés a baissé de 1,3% alors qu’il avait augmenté de 7,3% entre 2003 et 2007. Outre la montée du chômage, corrélée aux défaillances d’entreprises, on note généralement une hausse des prix à la consommation.

 

  • Dès aujourd’hui, la vigilance s’impose !

​​​​​​​

 

 

 

Sourcing:  CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

 

  • JOURNALISTE L’INFO MILITANTE

 

 

Libre & Indépendante

 

(REVUE DE PRESSE)   -  ​​​  Nous sommes désormais en récession


Nul doute qu'une fois de plus, l'histoire se répétant, (la dernière n'étant pas si lointaine), les entreprises, les banques, le système financier, les gouvernements, enfermés dans leur doctrine libérale, n'ayant toujours rien compris, feront payer aux salariés invoquant la sacro-sainte union nationale chère à nos dirigeants, tous les coûts de l'épidémie.

 

Après la recession économique que nous paierons plein pot, s'instaurera une récession sociale dont on ne comptera pas les morts tous les matins, et pour lesquels il n'est pas prévu de sytème de réanimation

 

(BM)

 

 

smiley   Blog publication, 09 avril 2020, wink 17H25

 

 

 

(REVUE DE PRESSE)   -  ​​​  Nous sommes désormais en récession
(REVUE DE PRESSE)   -  ​​​  Nous sommes désormais en récession
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4 avril 2020 6 04 /04 /avril /2020 13:39
Assemblée nationale le 21 mars 2020.  (© Ludovic Marin/POOL/REA)

Assemblée nationale le 21 mars 2020. (© Ludovic Marin/POOL/REA)

Accord collectif / Code du travail / Congés Payés / Dialogue social / Droit du travail / Jours ouvrables / RTT
 

 Coronavirus / Covid19

 

REVUE DE PRESSE ​​​​​​

 

Vers des congés payés obligatoires !

 

  • Le gouvernement vient de prendre une série d’ordonnances pour lutter contre la pandémie. Mais certaines d’entre elles s’attaquent au droit du travail.

 

Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

AFP


L’agence d’information fait état des résistances syndicales à la volonté gouvernementale de passer en force sur le droit aux congés payés : Un accord d’entreprise ou de branche sera finalement nécessaire pour permettre à un employeur d’imposer une semaine de congés payés à un salarié pendant le confinement dû à la crise du Coronavirus, a voté l’Assemblée nationale samedi soir [21 mars], sur proposition du gouvernement.

 

Mais, car il y a toujours des mais : Le texte laisse en revanche aux entreprises la possibilité unilatérale d’imposer ou de modifier les dates de RTT ou de jours du compte épargne-temps, en dérogeant au délai fixé par le Code du travail.

 

 

 

 

Les Échos


Quand le Sénat modère les ardeurs du gouvernement : Lors du passage du texte jeudi [19 mars] au palais du Luxembourg, les sénateurs ont, en outre, limité le champ d’application de la disposition à six jours ouvrables, ce qui correspond à la cinquième semaine de congés payés. Le gouvernement n’est pas revenu sur cette disposition lors de la première lecture au palais Bourbon, qui s’est achevée samedi [21 mars].

 

Et le quotidien économique de préciser : L’obligation de conclure un accord collectif ne porte que sur le délai de prévenance, qui pourra être ramené à 24 heures seulement, mais de fait, l’obligation pour l’employeur d’obtenir sa validation par des syndicats représentant une majorité de salariés permettra à ces derniers d’élargir les discussions.

 

 

 

Le Figaro


Pourtant : […] Un tel accord n’est pas obligatoire pour imposer la prise de RTT ou de jours de compte épargne-temps, et leur nombre n’est pas plafonné. Certaines entreprises, comme Décathlon, avaient déjà annoncé vouloir mettre leurs salariés en vacances forcées.

 

 

 

 

Le Parisien


La résistance syndicale s’organise : Dans leur ensemble, les porte-parole des syndicats estimaient qu’il aurait été préférable de privilégier le dialogue social au sein des entreprises […]. Pour Yves Veyrier, le numéro un de Force Ouvrière (FO), cette mesure est bien la preuve du manque de considération que ce gouvernement accorde au dialogue social.

 

 

 

 

Le Monde


Le gouvernement résiste à la négociation collective, déplore Yves Veyrier, le numéro un de FO, tout en disant ne pas bien comprendre le sens de toutes ces mesures d’exception : à ses yeux, il vaudrait mieux se concentrer sur le redéploiement temporaire de notre économie, en ne faisant tourner que les activités essentielles à la vie du pays et en mettant en sommeil les autres, le temps que l’épidémie reflue.

 

 

 

 

La Tribune


Michel Beaugas, secrétaire confédéral de Force Ouvrière (FO) en charge de l’emploi et des retraites, a fait part de ses craintes : Pour les RTT, les crédits d’heures, l’employeur pourra de manière unilatérale imposer aux salariés de les prendre avant de démarrer une activité partielle par exemple.

 

 

 

  • Bref, des milliers de salariés craignent de devoir prendre leurs congés payés confinés chez eux, dans le stress, au lieu d’en bénéficier paisiblement en vacances, comme l’ont voulu les travailleurs et travailleuses de 1936 !

 

 

 

 

Sourcing: CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

  •  JOURNALISTE L’INFO MILITANTE
  •  

 

 

Libre & Indépendante

 

 

smiley   Blog publication, 04  avril 2020, 15H06

 

 

 

Tout le monde savait, nul ne pouvait l'ignorer, les politiques d'austérité de ces trente dernières années ont tué le service public, les urgences, les services de santé et d'urgence, l'APHP. L'improvisation et l'incurie de nos dirigeants nous ont conduit dans les impasses auxquelles nous devons tous faire face aujourd'hui: manque de matériels, salaires des soignants parmi les plus bas d'Europe, Ehpads en danger d'asphyxie...

(REVUE DE PRESSE)   -  ​​​ Vers des congés payés obligatoires !

 InFO

 

Un Bruxellois de 32 ans, employé chez Colruyt, tué par le coronavirus: "On lui a refusé le port du masque, cela aurait fait peur aux clients", soutient sa famille.



 

 


Un employé de Colruyt est décédé du Covid-19. Son chef lui avait refusé le droit de porter le masque.


La petite Lina, 17 mois à peine, et son frère Seyf, bientôt 7 ans, auraient-ils toujours leur papa auprès d’eux si son responsable, dans un Colruyt de Forest, ne lui avait pas refusé l’autorisation de porter masque et gants au motif que "ça fait trop peur à la clientèle", comme le soutient sa famille ? C’est la question qui a été posée à l’enseigne de grande distribution, vendredi, par Mes Abdelhadi Amrani et Carine Liekendael, qui défendent les proches de Mohamed Nahi.

 

 

 

(REVUE DE PRESSE)   -  ​​​ Vers des congés payés obligatoires !
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28 février 2020 5 28 /02 /février /2020 16:03
© Rodrigo Reyes Marin/ZUMA Press/ZUMA/REA

© Rodrigo Reyes Marin/ZUMA Press/ZUMA/REA

Société / Chine / Coronavirus / Epidémie / Economie / Coronavirus / Emploi

 

REVUE DE PRESSE

 

Les conséquences économiques et sociales du coronavirus
 

 

 

  • Le Coronavirus, ou sous son nom de baptème Covid-19

 

 


 

  • La presse en parle, ce qu'elle en dit.......

 

 

 

La Tribune


C’est toute l’économie mondiale qui est aujourd’hui touchée  

 

L’épidémie du nouveau coronavirus pourrait avoir un effet négatif sur la croissance mondiale en 2020 en fonction de la capacité de la Chine à contenir sa propagation, a prévenu dimanche [16 février] la directrice du Fonds monétaire international.

 

 

 

 

Le Monde


Les conséquences sociales s’abattent déjà sur les travailleurs chinois  

 

Conséquence de cette quarantaine généralisée : des dizaines de millions, et sans doute bien davantage, d’ouvriers, livreurs, femmes de ménage, employés de commerce vivent actuellement une situation kafkaïenne. Non seulement ils ne sont pas payés, mais leurs employeurs risquent bien de mettre prochainement la clé sous la porte. Plusieurs entreprises ont déjà annoncé des réductions d’effectifs ou, dans le meilleur des cas, des baisses de salaire.

Selon le China Labour Bulletin, une association basée à Hongkong qui tente d’aider les travailleurs chinois à faire valoir leurs droits, la moitié des entreprises de restauration de la province du Guangdong, dans le sud du pays, prévoit de réduire ses effectifs.

 

 

 

 

Les Échos

 


La France est aussi touchée  

 

L’arrêt quasi-total de l’économie chinoise depuis quatre semaines porte un coup dur aux entreprises françaises établies dans le pays (2 100 entreprises, hors Hong Kong, employant 480 000 personnes).

 

Malgré le manque de visibilité sur l’évolution de l’épidémie de coronavirus (qui a déjà fait plus de 2 000 morts en Chine, à la date de parution de cet article), l’impact économique s’annonce important, notamment pour les PME : 61% des entreprises hexagonales en Chine estiment que leur chiffre d’affaires pourrait chuter de 50% au premier semestre, selon une enquête menée par les conseillers du commerce extérieur (CCE).


En France même : Pour le ministre des Finances français, Bruno Le Maire, l’épidémie pourrait, à ce stade, amputer la croissance française de 0,1 point en 2020. Si jamais ça persiste et que l’épidémie prend de l’ampleur, bien entendu que l’impact sera plus important, avait-il prévenu mi-février.

 

 

 

 

Le Figaro


 

En France, certaines entreprises subissent déjà la crise, telles les firmes alimentaires exportant en Chine ; hôtels et grands magasins ont pris de plein fouet l’arrêt brutal du tourisme chinois. Les griffes de luxe sont touchées, les clients chinois réalisant un tiers du marché, [...] , beaucoup d’autres filières redoutent un impact dans les semaines et les mois à venir, à commencer par les enseignes de prêt-à-porter made in china. Les opérateurs de téléphonie et les distributeurs de smartphones, eux, risquent de manquer de marchandise dans leurs boutiques.

Un autre type de pénurie menace les industriels de l’automobile et de l’électronique, qui achètent en Chine des composants essentiels à leurs produits.

 

 

 

Libération


Le virus aux frontières du pays. [...] Gilles Pialoux, chef du service de maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital parisien Tenon. Jamais un coronavirus n’avait été à l’origine d’autant de contaminations, soit 79 000 dans le monde selon les derniers relevés. Surtout, on ne s’explique pas le développement et la progression saisissante du virus en Italie, avec plus de 200 cas recensés en quelques jours. L’Italie, c’est tout proche de chez nous : beaucoup plus de gens que ce que l’on envisageait jusqu’à présent pourraient être touchés....

 

  • Toutefois, il ne faudrait pas que cette pandémie soit utilisée pour quelques coups-bas sociaux !

 

 

 

 

 

Sourcing:   CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

 

 

Libre & Indépendante

 

 

Le coronavirus se trouvait déjà dans un album d'Astérix

Le coronavirus est sur toutes les bouches depuis deux mois.

 

En 2017, l'album "Astérix et la Transitalique" mettait en scène un Romain portant le nom du virus qui affole la planète.

 

 

smiley   Blog publication, 28 février 2020, 15H29

 

 

 

(Revue de presse)  -  Les conséquences économiques et sociales du coronavirus
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11 février 2020 2 11 /02 /février /2020 16:36
9e manifestation contre la réforme des retraites voulant instaurer un régime de retraite à points. Paris le 6 février 2020. Photos : F. Blanc

9e manifestation contre la réforme des retraites voulant instaurer un régime de retraite à points. Paris le 6 février 2020. Photos : F. Blanc

Société / Retraite par points / Réforme / Grève / Manif / Mobilisation / Syndicat

 

Retraite

 

 

 

 

La mobilisation continue
 

REVUE DE PRESSE 

 

 

  • Contrairement aux espoirs du gouvernement, la mobilisation contre la réforme des retraites ne faiblit pas, voire s’accentue dans certaines régions et professions.

 

Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

AFP


L’agence dresse un état des lieux : De son côté, Force Ouvrière a écrit aux parlementaires pour qu’ils n’approuvent pas le projet de loi et qu’ils demandent au gouvernement d’y renoncer. Dans la rue, des actions se sont poursuivies cette semaine [3-6 février], organisées notamment par des fonctionnaires (police scientifique, éboueurs, égoutiers…), ports morts… Les salariés du secteur de l’énergie restent aussi mobilisés, notamment dans le traitement de déchets et le nucléaire.

 

 

 

 

Le Figaro


Dans toute la France : Tramway bloqué par des pompiers allongés sur les rails à Nice, chaîne humaine d’avocats à Tours, intrusion d’enseignants-chercheurs dans les locaux du Medef de Lille… Les opposants à la réforme des retraites ont poursuivi leurs actions et sont redescendus dans la rue pour la neuvième fois, jeudi [6 février], contre un projet décrit comme injuste et dangereux.

 

 

 

 

L’Humanité


De nombreux agents des secteurs publics, de la santé, de l’éducation nationale… et des salariés du privé ont ainsi défilé de la gare de l’Est jusqu’à la place de la Nation. C’est une question de survie, on se souvient que des textes de loi comme le CPE ont été annulés après avoir été adoptés, explique Julien Allayaud, égoutier dans le Val-de-Marne, bombe de peinture à la main.

 

À ses pieds, il a dessiné la forme d’un corps sur le bitume avec l’inscription Égoutier mort au travail.

 

 

 

Sud Ouest


Le grand quotidien aquitain n’hésite pas à titrer son article La mobilisation sociale repart à la hausse. Il décrit la manifestation : Hier [6 janvier], les enseignants se sont levés à l’aube pour édifier un mur de parpaings devant l’entrée du rectorat avant l’arrivée des personnels. La construction a été rebaptisée mur du mépris.

D’après les syndicats, ils étaient plus de 8 000 manifestants dans les rues de Bordeaux : Les cheminots, toujours équipés de fumigènes, sont nettement moins nombreux qu’au début mais, cette fois, universitaires et étudiants sont entrés dans la danse. Le nouveau sujet qui fâche est en effet la LPPR, la future loi recherche, dont les enseignants redoutent qu’elle accentue la précarité. L’Université Bordeaux-Montaigne est d’ailleurs restée fermée toute la journée.

 

 

 

 

Sourcing: CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

  • Journaliste l'InFO militante 

 

 

Libre et independante

 

 

 

smiley   Blog publication, 11 février 2020, 16H56

 

 

 

Retraite par points, la mobilisation continue - (revue de presse)
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19 octobre 2019 6 19 /10 /octobre /2019 15:28

Economie / FMI

 

REVUE DE PRESSE 

 

FMI / Croissance éco

 

 

Coup de froid sur la croissance économique mondiale
 

 

  • Le Fonds monétaire international (FMI) vient d’annoncer un ralentissement conséquent de la croissance économique sur l’ensemble de la planète. Il y a fort à parier que ce sont encore les travailleurs qui vont payer les pots cassés.

 

Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

Les Échos


 Mois après mois, la croissance se grippe.

 

De nouveau, le Fonds monétaire international (FMI) a revu, mardi [15 octobre], ses prévisions à la baisse. En 2019, la croissance mondiale devrait s’établir à 3%, soit deux dixièmes de point de moins qu’attendu en juillet dernier. Lors de sa conférence de presse, Gita Gopinah, l’économiste en chef du Fonds, a souligné que l’économie mondiale est entrée dans une phase de ralentissement synchronisé.

Le quotidien économique de préciser : En cause, l’apparition de barrières commerciales et la montée des tensions géopolitiques.

Le relèvement des droits de douane et l’absence de visibilité sur la politique commerciale internationale ont pesé sur l’investissement et la demande de biens d’équipement, souligne le Fonds.

 

 

 

 

La Tribune


Les nouvelles tribulations du maître de la Maison blanche n’arrangent pas les choses. Le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la baisse mardi ses prévisions de croissance pour la Chine, avertissant des conséquences néfastes de la guerre commerciale sino-américaine sur l’économie.

La seconde économie mondiale devrait voir son PIB progresser de 6,1% cette année et de 5,8% l’an prochain.

 

 

 

 

 

Sud-Ouest


Le grand quotidien girondin pointe aussi du doigt l’Allemagne. En Allemagne, le secteur automobile, pilier de l’industrie, fait de plus en plus figure de talon d’Achille. Particulièrement vulnérable aux conflits commerciaux, il apparaît également mal préparé pour la révolution électrique.

 

 

 

 

 

Le Monde


 

Et comme toujours c’est le secteur industriel, donc les ouvriers qui sont les premiers touchés. Trou d’air du commerce, inquiétude du commerce. La décélération de la croissance mondiale s’est traduite par un ralentissement de la production industrielle, dont l’indice a été divisé par deux depuis le début de l’année 2018.

 

 

 

 

Le Figaro


Quels remèdes.

 

  • Comment redresser la barre ?

 

Une fois de plus, le FMI en appelle à un coup de pouce – une relance par la dépense - de la part des pays aux finances saines, comme l’Allemagne ou les Pays-Bas, explicitement désignés. Et si le moteur économique mondial devait avoir des ratés, une réponse budgétaire internationale coordonnée, serait nécessaire, suggère Gita Gopinah.

 

  • Le FMI comprendrait-il que la politique d’austérité est dramatique et suicidaire ?

 

On peut en douter !

 

 

 

 

 

 

 

Libre & independante

 

 

   Sourcing: CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

La revue de presse hebdo:  (FMI) - Coup de froid sur la croissance économique mondiale

smiley   Blog publication, 19 octobre 2019, 16H53

 

La revue de presse hebdo:  (FMI) - Coup de froid sur la croissance économique mondiale
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