Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : FO Retail Distribution
  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
  • Contact

Profil

  • @FO RD system publication
  • (BM) - Le Blog-note InFOrmatif
  • (BM) - Le Blog-note InFOrmatif

Que signifie communiquer ? demanda le petit prince.

"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, 
répondit le renard."    
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

​​​​​​FOCPFEXDIA,  la chaine TV FO CPF : lien: https://www.youtube.com/channel/UCfWq-DLz258o2BG9m7Z6HDg

 

Le Blog-master (BM) se réserve le droit de suspendre, d'interrompre, ou de rejeter  la diffusion de tout commentaire dont le contenu serait susceptible de porter atteinte aux tiers, d'enfreindre les lois et règlements en vigueur, ou serait de nature ou à caractère diffamatoire, et décline toute responsabilité quant aux opinions émises, qui n'engagent que leurs auteurs.

Archives

FO, Libre Independant Déterminé

 


Lanceur d'alerte

Un lanceur d'alerte est toute personne, groupe ou institution qui, voyant venir un danger, un risque ou un scandale, adresse un signal d'alarme et, ce faisant, enclenche un processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective

 Libres, Indépendants, Déterminés et Solidaires Ensemble. Communication, Information et Expression directe de l'actualité sociale, économique et syndicale de FO CPF et des salariés du commerce et de la Grande distribution.

Pages Du Blog-Note Informatif

 
Pour le  REPOS DOMINICAL pour tous en même temps

DROIT A L'IMAGE

Droit À L'image

Dans ce blog nous sommes amenés fréquemment à diffuser des images, des vidéos, des photos, voire des articles de presse, d'insérer des liens vers des documents,   ceci afin d'étoffer et d'éclairer nos posts, en leur donnant plus de contenus, pour une meilleure compréhension.

Nos sources sont toujours citées.

Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.

Néanmoins rien n'empêche les personnes ne désirant pas voir leur image diffusée de nous le signaler lors de la prise de vue.

Sans manifestation de leur part, nous considérerons leur consentement présumé.

Merci

BM

Militons ensemble - adhérez à FO

 
Adhésion à Force-Ouvrière, suivre le lien
http://www.force-ouvriere.fr/adherer

FO CONTACT REGION

Eric   Centre    06 85 15 20 73
François   Nord    07 50 49 09 04

Fréderic   DSN FO CPF   06 87 21 72 94
Sofiane   Est & RA    06 61 50 67 96
Faiçal   Sud    06 22 57 50 64
Nadine   Paris Centre   06 36 97 10 40
Nathalie  UD FO 62   06 30 60 74 70

 udfo62@force-ouvriere.fr

Reda Sud 06 29 38 30 49

Philippe RS au chsct  06 28 75 01 36

Sandrine Sec CE Paris   06 98 43 61 93
Bruno, coordinateur des IRP FO CPF
06 73 59 98 28
Cyril DSC FO CPF   06 25 56 84 86

 

11 février 2017 6 11 /02 /février /2017 17:01
+25% pour ma tante à Limoges 
La crise et ma tante

La crise et ma tante

+25% pour ma tante à Limoges 

Le Crédit municipal de Limoges (Haute-Vienne) a vu sa clientèle augmenté de 25% en 2016 par rapport à 2015. Celle-ci est de plus en plus composée de personnes âgées ou qui travaillent ont recours à cette forme de prêt, selon une chargée de clientèle de cet établissement.
La crise et ma tante
Surnommés « ma tante », les caisses de crédit municipal, anciennement mont-de-piété, sont des établissements publics communaux de crédit et d’aide sociale qui disposent d’un monopole du prêt sur gage (bijoux en or, le plus souvent, argenterie, etc.).
Elles sont une trentaine en France, sans compter les antennes locales et connaissent un certain essor depuis le début de la crise : l’activité du Crédit municipal de Nantes et de ses agences d’Angers et de Tours, a progressé de 30 % entre 2008 et 2013.
La fréquentation de celui de Paris connu une augmentation de 40 %, passant de 400 visiteurs par jour en 2007 à 650 en 2010.

 

Sourcing:  MICHEL POURCELOT/ FO Hebdo

 

+25% pour ma tante à Limoges 
Partager cet article
Repost0
11 février 2017 6 11 /02 /février /2017 16:50
L’ascenseur social est-il en panne ? Non, il...
L’ascenseur social est-il en panne ? Non, il...
L’ascenseur social est-il en panne ? Non, il...
Partager cet article
Repost0
10 février 2017 5 10 /02 /février /2017 16:51
C’est au salarié qui invoque l’usage d’apporter la preuve de son existence.

C’est au salarié qui invoque l’usage d’apporter la preuve de son existence.

L’usage doit présenter les caractères de constance, de généralité et de fixité.

L’usage doit présenter les caractères de constance, de généralité et de fixité.

L’usage en droit du travail
L’usage est une pratique répétée de l’employeur marquant sa volonté de reconnaître ou d’attribuer certains avantages aux salariés de l’entreprise.

 

Un usage ne prévaut sur les règles légales, ou sur les dispositions d’une convention collective, que s’il est plus favorable.
L’usage doit présenter les caractères de constance, de généralité et de fixité.

 

 

Par généralité, il convient d’entendre un avantage non individuel. Il doit bénéficier à l’ensemble du personnel, ou à un groupe, ou une catégorie déterminée de salariés.

 

Par constance, il faut entendre un avantage qui a été accordé à plusieurs reprises (donc au moins deux fois, même si globalement, la jurisprudence exige une répétition plus importante).

 

L’avantage doit présenter un caractère de fixité, dans son montant ou dans son mode de calcul.

 

Ainsi une prime de fin d’année, versée tous les ans, mais dont le montant varie d’une année sur l’autre, ne constitue pas un usage, mais une prime discrétionnaire, faute de répondre aux critères de constance, de généralité ou de fixité, que ce soit dans le montant ou dans le mode de calcul (Cass. soc., 11-1-17, n°15-15819).

 

C’est au salarié qui invoque l’usage d’apporter la preuve de son existence.

 

L’usage s’applique tant qu’il n’est pas dénoncé. La dénonciation ou la modification de l’usage nécessite :
Une information préalable des représentants du personnel.
En présence d’un comité d’entreprise, l’information doit se faire en réunion de CE après inscription à l’ordre du jour.
En présence de délégués du personnel uniquement, l’employeur doit tous les en informer. Pour les DP absents, il lui est conseillé de leur adresser une dénonciation écrite. En l’absence d’IRP, l’employeur doit justifier d’un PV de carence, faute de quoi il ne pourra pas dénoncer l’usage ;

L’information individuelle par écrit des salariés bénéficiant de l’usage ou susceptibles d’en bénéficier.
La diffusion d’une note interne, l’affichage d’un communiqué, ou une mention sur le bulletin de paie, ne constituent pas une information régulière des salariés ;

Un délai de prévenance suffisant doit s’écouler entre la dénonciation de l’usage et la fin de son application. Ce délai peut être mis à profit pour négocier les conséquences de la dénonciation, mais l’employeur n’est pas tenu d’engager de telles négociations. Le délai de prévenance suffisant dépend de la taille de l’entreprise, de l’importance du changement, de l’importance de l’usage et de sa durée d’application.

Si l’employeur n’a pas à motiver la dénonciation de l’usage, il ne faut pas que cette dénonciation repose sur un motif illicite (ex : lorsqu’elle constitue une mesure de rétorsion suite à un mouvement de grève).

 

Les salariés ne peuvent s’opposer à la suppression ou à la modification d’un usage qui a été régulièrement dénoncé.

 

Quelle que soit la durée de l’application de l’usage, celui-ci ne s’incorpore pas au contrat de travail.
Le fait de remettre au salarié, lors de l’embauche, un document listant l’ensemble des usages de l’entreprise, n’a pas pour effet de contractualiser ces usages.

 

Également, le fait de demander l’accord au salarié pour la dénonciation de l’usage n’a pas pour effet de l’incorporer au contrat de travail.

 

Enfin, lorsqu’un accord collectif, ayant le même objet qu’un usage, est conclu dans l’entreprise, cet accord met fin à l’usage sans qu’il y ait lieu de respecter la procédure de dénonciation.
Dans une telle hypothèse, l’usage cesse d’être applicable, même s’il était plus favorable.

 

SECTEUR JURIDIQUE

 

Documents joints

Veille Juridique du 6 au 10 février 2017
10 FÉVRIER PDF855.4 KO

Documents joints Veille Juridique du 6 au 10 février 2017 10 FÉVRIER PDF855.4 KO

L’usage est une pratique répétée de l’employeur marquant sa volonté de reconnaître ou d’attribuer certains avantages aux salariés de l’entreprise.

L’usage est une pratique répétée de l’employeur marquant sa volonté de reconnaître ou d’attribuer certains avantages aux salariés de l’entreprise.

Partager cet article
Repost0
10 février 2017 5 10 /02 /février /2017 09:32
Le salarié doit se connecter sur un site internet spécifique:  (http://www.moncompteactivite.gouv.fr)

Le salarié doit se connecter sur un site internet spécifique: (http://www.moncompteactivite.gouv.fr)

MONCOMPTEACTIVITE.GOUV.FR

MONCOMPTEACTIVITE.GOUV.FR

Le 12 janvier 2017, le gouvernement a procédé au lancement du portail d’accès au compte personnel d’activité (CPA) présenté comme une des mesures phares de ce quinquennat.
Il a fallu deux lois et un décret pour le mettre en place : la loi Rebsamen (qui en a posé le principe) et la loi Travail qui a concrétisé un dispositif ensuite mis en œuvre par décret.
Le salarié doit se connecter sur un site internet spécifique,

(http://www.moncompteactivite.gouv.fr)

pour consulter ses droits et les utiliser le moment venu (c.trav.art.L. 5151-6).
Le salarié pourra aussi y obtenir des suggestions personnalisées en termes de métiers et de formations s’il remplit son profil.

 

 

Les trois comptes du CPA

 

Le CPA regroupe trois comptes en un seul.
On distingue ainsi :
Le compte personnel de formation (CPF)
Le CPF permet aux personnes actives d’acquérir des droits à la formation tout au long de leur vie professionnelle jusqu’à leur départ en retraite.
Ce compte individuel et rechargeable en heures permet d’accumuler jusqu’à 150 heures pour :

 


  • Obtenir une qualification ou certification ;

  • Valider des acquis de l’expérience (    VAE) ;

  • Effectuer un bilan de compétence ;

  • Acquérir le socle de connaissances professionnelles du certificat CLE A ;
  • Bénéficier d’un accompagnement à la création ou reprise d’entreprise.

Le CPF est ouvert à toute personne d’au moins 16 ans (ou 15 ans dans le cadre d’un contrat d’apprentissage).
Pour acquérir des heures, il faut être ou avoir été salarié du secteur privé ou agricole.

 

 

L’utilisation des droits acquis relève de l’initiative de la personne concernée.

    
 

Rappelons que ce compte ne peut être mobilisé qu’avec l’accord exprès de son titulaire, le refus de mobiliser son compte ne constituant pas une faute (c.trav.art.L.5151-4).

 

CPA | Mon Compte Personnel d’Activité

Le Compte Personnel d'Activité permet de connaître ses droits et offre des services personnalisés pour construire son projet professionnel

 

EN SAVOIR PLUS


moncompteactivite.gouv.fr
Compte Personnel d’Activité – Dossier du Ministère du Travail et de l’Emploi
CPA : fiche pratique - Ministère du Travail et de l’Emploi

 


MONCOMPTEACTIVITE.GOUV.FR
L’utilisation des droits acquis relève de l’initiative de la personne concernée.
L’utilisation des droits acquis relève de l’initiative de la personne concernée.

L’utilisation des droits acquis relève de l’initiative de la personne concernée.

Partager cet article
Repost0
10 février 2017 5 10 /02 /février /2017 09:10
20% des adultes aux États-Unis vivent aujourd’hui près ou au-dessous du seuil de pauvreté.

20% des adultes aux États-Unis vivent aujourd’hui près ou au-dessous du seuil de pauvreté.

L’emploi aux Etats-Unis : le dessous des chiffres

Tout irait-il bien dans le meilleur des mondes ?
Le taux de chômage officiel a été divisé par deux en cinq ans aux États-Unis, repassant en deçà des 5% en 2016, au point que la Banque centrale américaine (FED) commence à parler de retour au plein emploi…

 

Le rapport mensuel du Bureau of Labor Statistic (Bureau des statistiques du travail) fait état de 227 000 créations d’emplois non agricoles en janvier alors que les analystes misaient sur 170 000 embauches.
Le taux de chômage est très légèrement remonté de 4,7% à 4,8% (soit 7,6 millions de chômeurs, tout de même), mais cela reflète une augmentation du nombre d’entrants sur le marché du travail et non du nombre de chômeurs.

 

 

La confédération syndicale AFL-CIO souligne que, contrairement à ce que s’est empressé de clamer Donald Trump, ces derniers chiffres ne sont pas le résultat de son arrivée, mais celui de la politique de l’administration Obama.

 

Au-delà de ce constat, d’autres chiffres relativisent fortement la vigueur de la reprise américaine.

 

Le taux de chômage est deux fois plus important

 

Le taux de chômage double quasiment, à 9,4% si l’on tient compte du nombre de personnes découragées de chercher un emploi après des années d’errance sur le marché du travail sans succès (532 000 de source officielle), ainsi que des personnes -contraintes- de travailler à temps partiel, et souvent très partiel, parce qu’elles n’ont rien trouvé d’autre (5,8 millions de source officielle).

 

Si le Bureau des statistiques indique ces chiffres dans son rapport, il ne les convertit pas en pourcentage et au final le taux de chômage officiel retenu et mis en avant par les autorités est celui qui ne les inclut pas.
On peut noter au passage que durant sa campagne, Donald Trump n’a eu de cesse de critiquer cette méthode qui lui rend bien service aujourd’hui.
Certaines sources indépendantes chiffrent ce qu’elles appellent le taux de chômage « réel » à 13%.

 

Catherine Sauviat, chercheuse à l’Ires (Institut de recherches économiques et sociales), expliquait aussi en décembre dernier que la part des travailleurs en marge du salariat classique - indépendants, intérimaires, travailleurs sur appel, ou en sous-traitance - s’est beaucoup accrue depuis 10 ans.
Certains, indique la chercheuse, l’évaluent aujourd’hui à près de 16 % de l’emploi total, contre 10 % il y a dix ans, et lui attribuent l’essentiel des créations nettes d’emploi durant cette période.
Or, soulignait-elle, le recours étendu à ces formes non standard d’emploi concerne surtout des personnes d’âge médian ou des seniors, dont les emplois sont peu rémunérateurs et souvent dépourvus de couverture sociale.
Une étude récente du McKinsey Global Institute estime la catégorie des travailleurs indépendants entre 54 et 68 millions de personnes, soit entre 22 et 27 % de la population d’âge actif.

 

L’emploi industriel loin de son niveau de 2006

 

D’autres données, si elles figurent dans le rapport officiel, n’en sont pas moins peu mises en lumière, alors qu’elles se révèlent pourtant particulièrement significatives.
Le chômage de longue durée concerne ainsi toujours près d’un quart des chômeurs. Le taux de chômage officiel est nettement supérieur pour les jeunes (15%), la population hispanique (5,9%) et surtout noire (7,7%).

 

Si le secteur des services reste moteur avec 192 000 nouvelles embauches à lui seul, les emplois du secteur public ont en revanche diminué pour le quatrième mois d’affilée. Quant au secteur manufacturier sorti du rouge en décembre, il est certes resté positif, mais n’a créé que 5 000 emplois. Et si l’industrie américaine a connu une reprise après la crise de 2008, avec 900 000 emplois créés entre 2010 et 2015, il n’en manque pas moins encore près de deux millions pour retrouver le niveau de 2006, puisque, de source officielle, l’on compte 12,4 millions d’emplois industriels en 2016 contre 14,3 millions il y a dix ans.

 

Les salaires toujours en berne

 

De plus, le rapport mensuel du Bureau des statistiques du travail fait ressortir la faible augmentation des salaires : le coût moyen du salaire horaire n’a augmenté que de 0,1% sur un mois et la hausse de décembre a été revue à la baisse (0,2% au lieu de 0,4%).
Ces chiffres ne sont pas de bon augure dans un contexte où le revenu médian aux États-Unis reste inférieur de 1,6% à ce qu’il était en 2007.

 

Autant d’éléments qui nous rappellent que 20% des adultes aux États-Unis vivent aujourd’hui près ou au-dessous du seuil de pauvreté.

 

Sourcing:   FO Hebdo / EVELYNE SALAMERO

L’emploi aux Etats-Unis : le dessous des chiffres
Partager cet article
Repost0
9 février 2017 4 09 /02 /février /2017 16:47
Vue d'ensemble des participants à l'AG annuelle, qui s'est déroulée à la fédération FO des métaux à Paris 13ème

Vue d'ensemble des participants à l'AG annuelle, qui s'est déroulée à la fédération FO des métaux à Paris 13ème

AG FO Carrefour Proximité France, région Centre -  Paris IDF
AG FO Carrefour Proximité France, région Centre -  Paris IDF
AG FO Carrefour Proximité France, région Centre -  Paris IDF
AG FO Carrefour Proximité France, région Centre -  Paris IDF
AG FO Carrefour Proximité France, région Centre-Paris IDF

 

Le 7 février, les élus du syndicat FO Carrefour Proximité France (ex-ED, Dia, Erteco) d’Île-de-France faisaient leur assemblée générale en présence de Carole Desiano, Secrétaire fédérale en charge de la grande distribution.

 

 

Dejan Terglav, Secrétaire général de la FGTA-FO, est intervenu le matin à l’invitation du syndicat.
Au programme :
Dénonciation des programmes anti syndicaux des candidats à la présidentielle, succession du PDG de Carrefour, investissement de la FGTA sur la formation, notamment sur la loi Travail, développement du service juridique, communication au service des syndicats pour leurs élections, modernisation du système d’adhésion, nouvelles technologies, etc....

 

Cyril Boulay, Délégué syndical central, a abordé la représentativité syndicale, les orientations pour 2017, le changement de dénomination (passage d’Erteco à Carrefour Proximité), débats avec les militants, point juridique sur les dossiers en cours, etc.

 

Le point sur l’actualité a donné lieu à une information sur l’impact de la loi Travail dans l’entreprise, notamment au niveau des négociations qui vont s’ouvrir.
Le DSC a ensuite évoqué les orientations stratégiques de l’entreprise pour 2017/2018.

 

Le déjeuner convivial a réuni les participants autour d'un savoureux  couscous préparé par Dalila, qui a recueilli tous les suffrages.

 

Reconduction des mandats, élection et désignation du conseil syndical, et de la commission de contrôle, adoption d'une modification statutaire, furent abordés l'après midi, avec en clôture l'adoption à l'unanimité de la résolution finale.

 

L'AG  soutient  les revendications des travailleurs du textile qui vivent sous le poids des commandes des grandes marques du textile et qui meurent sous les décombres de leur usine, dont les syndicats subissent la repression policière et l'emprisonnement.

 

C. Boulay relaie le soutien aux Bourses du travail - (UD) - menacées de démantèlement et de fermeture

 

Le conseil syndical devant se réunir ce vendredi pour l'adoption du PV d'AG et l'élection du bureau syndical
Les travaux se sont tout tranquillement clôturés par le pot de l'amitié, permettant de continuer les échanges.
Merci DALILA pour ton excellent couscous; SO FOOD  SO GOOD !
Merci DALILA pour ton excellent couscous;   SO FOOD  SO GOOD !
Merci DALILA pour ton excellent couscous;   SO FOOD  SO GOOD !
Merci DALILA pour ton excellent couscous;   SO FOOD  SO GOOD !
Merci DALILA pour ton excellent couscous;   SO FOOD  SO GOOD !

Merci DALILA pour ton excellent couscous; SO FOOD SO GOOD !

AG FO Carrefour Proximité France, région Centre -  Paris IDF
Les comptes de trésorerie du syndicat sont publiés sur ce blog.
Suivre le lien:

 

http://foed.over-blog.com/2017/02/syndicat-fo-comptes-de-tresorerie.html
Vue générale de la salle
Vue générale de la salle
Vue générale de la salle

Vue générale de la salle

AG FO Carrefour Proximité France, région Centre -  Paris IDF
Partager cet article
Repost0
9 février 2017 4 09 /02 /février /2017 11:20
Loi Travail : FO s’oppose au premier accord-type sur le temps de travail
Loi Travail : FO s’oppose au premier accord-type sur le temps de travail
Loi Travail : FO s’oppose au premier accord-type sur le temps de travail

Un premier accord-type (minoritaire) sur le temps de travail a été signé dans la branche de l’industrie pharmaceutique.
FO refuse que les salariés des petites entreprises soient livrés pieds et poings liés aux employeurs, en application de la la loi Travail.

 

 

La loi Travail commence à faire des dégâts en matière de temps de travail.
Le premier accord-type sur ce thème a été signé par des syndicats minoritaires dans la branche de l’industrie pharmaceutique. Il est destiné aux entreprises de moins de 50 salariés dépourvues de délégué syndical. En application de l’inversion de la hiérarchie des normes, il permettrait aux employeurs, unilatéralement, d’imposer aux salariés l’annualisation du temps de travail ou la mise en place de forfaits-jours.

 

L’accord a été paraphé en novembre dernier par trois syndicats minoritaires de la branche (CFE-CGC, CFTC et UNSA), qui représentent 41% des voix.
Pour s’appliquer automatiquement, il aurait dû recueillir 50 % des voix. FO a fait valoir son droit d’opposition le 6 février, de même que la CGT. Reste à savoir ce que fera la CFDT, qui réfléchit encore. Son opposition permettrait de rendre l’accord caduc.

 

Un blanc-seing donné aux employeurs

 

Cet accord-type, c’est un blanc-seing donné à l’employeur qui aura juste à remplir des cases pour faire travailler les salariés au forfait-jour, dénonce Jacques Técher, secrétaire général de la fédération FO Pharmacie.
On va livrer les salariés pieds et mains liées aux entreprises.

 

L’accord précise que seuls les salariés dits « autonomes », et notamment les cadres, pourront passer au forfait jour, avec 218 jours travaillés maximum par an. Pour les salariés « non autonomes » dans leur organisation, le temps de travail pourra être décompté en heures sur l’année, et non plus sur le mois ou la semaine comme c’est le cas actuellement.

 

Les employeurs ne seront pas nombreux à respecter les règles, il pourront faire ce qu’ils veulent, cet accord est plus que scélérat, estime Jacques Técher.
Pour Brahim Aniba, secrétaire fédéral de la banche de l’industrie pharmaceutique, il est inadmissible que des salariés non cadres comme les techniciens ou les visiteurs médicaux (statuts 4 de la convention collective), puissent passer au forfait jour et perdent ainsi le bénéfice des heures supplémentaires ou de la prime d’ancienneté.

 

Dans un communiqué, la fédération FO Pharmacie rappelle aussi que cet accord et son mécanisme porte atteinte à la liberté syndicale et au droit à la négociation.

 

Sourcing:  FO Hebdo / CLARISSE JOSSELIN

Loi Travail : FO s’oppose au premier accord-type sur le temps de travail
Partager cet article
Repost0
8 février 2017 3 08 /02 /février /2017 16:32
Bangladesh : défense des droits syndicaux

Bangladesh : défense des droits syndicaux

Bangladesh : défense des droits syndicaux
Bangladesh : défense des droits syndicaux

Au moins 26 Bangladais ont été emprisonnés à cause de leurs activités syndicales, et j’encourage fortement les affiliés à travers le monde à se mobiliser et à agir au plus vite pour demander leur libération.

 

 

La plupart des travailleurs et des syndicalistes ont été emprisonnés pour avoir participé à une grève fin 2016.
Le gouvernement du Bangladesh utilise cette grève pour attaquer massivement les droits des travailleurs, en arrêtant d’autres syndicalistes non impliqués dans la grève. Beaucoup de syndicalistes sont partis se cacher par peur d’être arrêtés et les bureaux des syndicats ont été fermés.
Nous devons nous battre pour défendre ces travailleurs emprisonnés et pour les droits syndicaux fondamentaux au Bangladesh. UNI coordonne une campagne avec IndustriALL et CSI pour exiger leur libération immédiate et mettre fin à la répression envers les syndicats.

 

 

Il y a plusieurs façon d’y participer :

 

 

Mener une action à l’ambassade du Bangladesh ou au consulat de votre pays. Assurez-vous d’envoyer des photos et des vidéos de cette action à communications@uniglobalunion.org.
Dans certaines villes, des efforts sont déjà en cours pour organiser des visites des ambassades. Si vous êtes intéressés à participer ou à organiser une visite dans votre ville, veuillez-contacter alee@industriall-union.org, qui peut vous aider à vous mettre en relation avec d’autres syndicats intéressés dans ce domaine.

Vous pouvez soit délivrer la lettre de protestation ci-jointe à l’ambassade du Bangladesh ou l’envoyer directement au gouvernement (en anglais seulement).
Mettez l’en-tête de votre organisation, insérez letter to Bangladesh govt UNI GLOBAL UNIONletter to own government uni global union dans la première phrase, ajoutez une signature et envoyer là à l’adresse émail mentionnée au haut de la lettre.

Envoyez la lettre ci-jointe à votre gouvernement leur demandant d’exiger du gouvernement du Bangladesh, la libération des syndicalistes emprisonnés et de respecter les droits des travailleurs.
(La version française et espagnol  de cette lettre vous sera envoyée mardi)

Prenez des photos avec le signe de solidarité ci-joint et postez les en ligne avec le hashtag #EveryDayCounts (Chaque jour compte) et envoyez les a communications@uniglobalunion.org.

Nous avons aussi lancé une campagne avec LabourStart sur https://www.labourstartcampaigns.net/show_campaign.cgi?c=3310.

Martine Saint-Cricq – Secrétaire fédérale FGTA-FO

letter to own government uni global union

letter to Bangladesh govt UNI GLOBAL UNION

Bangladesh : défense des droits syndicaux
Partager cet article
Repost0
6 février 2017 1 06 /02 /février /2017 18:48
 Photographie : Jimmy Baikovicius (CC BY-SA 2.0)

Photographie : Jimmy Baikovicius (CC BY-SA 2.0)

Collaborateurs parlementaires : pas de Pénélope chez eux

Leurs salaires et leurs conditions d’emplois sont bien éloignés de ceux évoqués dans le cadre de l’affaire Pénélope Fillon.
Les collaborateurs parlementaires FO vivent une réalité moins fastueuse et rappellent leur combat pour améliorer leur statut et leurs droits de salariés.

 

 

Ils ont des revendications mais pas celle d’être sous les projecteurs de l’actualité, eux qui d’habitude restent dans l’ombre des élus (députés ou sénateurs) pour lesquels ils travaillent. Depuis une quinzaine de jours toutefois, l’affaire de Pénélope Fillon place les collaborateurs parlementaires (2 018 salariés) dans la lumière. Bien à leur insu.

 

Nous ne sommes pas Pénélope a ainsi rappelé façon cri du cœur le 31 janvier le syndicat FO des collaborateurs parlementaires, le SNCP-FO.
Les salaires mirobolants, eux, ils ne connaissent pas. Ces salariés en sont même très loin. Le salaire moyen d’un collaborateur à temps plein se situe autour de 2 400 euros nets mais 40% des collaborateurs gagnent un salaire inférieur à 2 000 euros nets indique le SNCP-FO.

 

Et de préciser encore le cadre réel de ces emplois. 60% des collaborateurs parlementaires sont des femmes et l’écart de salaires entre hommes et femmes est de 11%. A la faveur des hommes bien sûr. Beaucoup d’entre nous travaillent à temps partiel et pour plusieurs employeurs indique encore le SNCP-FO.

 

Quel travail effectuent ces collaborateurs ?
Ils sont en charge des discours d’un parlementaire (ou d’un groupe, d’un président de commission…), de sa communication, de travaux sur des textes de loi. Parfois ils se muent en assistants de direction, assument des tâches administratives… Bref, pour ces salariés en général hyper diplômés, les tâches sont très diverses, très lourdes et les journées sont très longues.

 

Stop aux emplois familiaux

 

 

Ils se sentent ainsi d’autant plus blessés par cette affaire que les media ont désormais baptisé le « Pénélopegate ».
Chaque affaire de ce type nuit à l’image de notre profession s’irrite le SNCP-FO notant que l’interdiction des emplois familiaux à l’Assemblée et au Sénat est une des pistes de travail pour notre Parlement afin d’éviter ce type d’affaire.
Pour FO cette mesure de transparence serait bénéfique pour tous : députés, collaborateurs mais aussi pour les institutions. On en est loin.

 

Actuellement, l’emploi par un parlementaire d’un ou plusieurs membres de sa famille n’est pas « anecdotique » souligne le SNCP-FO notant que ces emplois familiaux représentent 20% des emplois de collaborateurs à l’Assemblée.
Concrètement, un député sur cinq use de cette pratique.

 

Avant que n’éclate l’affaire Fillon, les collaborateurs parlementaires de l’Assemblée sortaient eux tout juste d’une longue et âpre négociation avec leurs employeurs, les députés. Le 24 novembre en effet, les syndicats de collaborateurs dont le SNCP-FO et l’association des députés-employeurs (créée en mai dernier) avaient signé –enfin- un accord collectif marquant un premier pas vers la reconnaissance d’un statut pour ces salariés.

 

Cet accord est toutefois restreint commentait d’emblée le syndicat FO qui annonçait simultanément diverses actions, y compris en justice, visant à faire respecter les droits de ces salariés contractuels de droit privé (sous CDI ou CDD) et assimilés à des salariés de TPE.

 

Ces collaborateurs, autrement nommés aussi « assistants » ou « attachés » parlementaires sont rémunérés par le député-employeur sur la base d’une enveloppe nommée « crédit collaborateur ». La gestion administrative des contrats ainsi que l’édition des fiches de paye sont gérées par les services administratifs de l’Assemblée.

 

La crainte du mode de licenciement

 

Ces salariés qui se battent toujours pour améliorer leur statut et qui ne cessent de demander à leurs employeurs un cadre de dialogue social pérenne, visent résument-ils à avoir les mêmes droits que n’importe quel salarié de n’importe quelle entreprise. Cela est loin d’être acquis pour l’instant.

 

Alors que les élections législatives qui se dérouleront au printemps prochain entraineront inévitablement la non-réélection de députés, les collaborateurs parlementaires s’inquiètent de la manière dont ils seront licenciés. Un millier de collaborateurs, quels que soient les groupes politiques, seraient concernés par un licenciement.

 

Cette inquiétude est récurrente rappelle le SNCP-FO. Elle refait surface à chaque fin de législature depuis quarante ans, date de la création du métier de collaborateur. Jusqu’à présent, ces salariés sont licenciés en général pour motif personnel mais jamais pour motif économique, ce qu’ils demandent à obtenir.

 

Quand les Députés restent sourds aux droits

 

Si 346 collaborateurs ont signé un courrier adressé au Président de l’Assemblée pour demander à bénéficier des conditions d’un licenciement économique et que 200 députés leur ont apporté leur soutien, malgré cela nous n’avons toujours pas obtenu satisfaction indique le SNCP-FO.

 

Or, pour les collaborateurs parlementaires, obtenir les conditions d’un licenciement économique est essentiel.
Nous n’avons pas à porter la responsabilité du licenciement et nos indemnités chômage n’ont pas à être amputées.

 

Dans le cadre d’un licenciement pour motif personnel, les indemnités équivalent à 57% du salaire brut. Dans le cadre d’un licenciement économique, les indemnités sont portées à 75% de ce salaire. Cela fait toute la différence.

 

Pour l’avocat expert en droit du travail auquel le syndicat FO a fait appel le licenciement pour motif personnel est sans cause réelle et sérieuse et le licenciement pour motif économique pleinement justifié puisque la cessation du mandat des députés-employeurs entraine la suppression du crédit affecté à la rémunération des collaborateurs et que ceux-ci ont pour mission d’assister les députés-employeurs dans l’exercice de leurs fonctions.

 

Le SNCP-FO fait remarquer par ailleurs malicieusement que depuis l’entrée en vigueur de la Loi Travail (article 67), la cessation d’activité de l’entreprise constitue un motif de licenciement économique pouvant très exactement s’appliquer à la situation des collaborateurs en juin 2017.

 

Sourcing:    FO Hebdo / VALÉRIE FORGERONT

Dans la mythologie grecque, Pénélope, fille d'Icarios, est l'épouse fidèle d'Ulysse dont elle a un fils, Télémaque.

Dans la mythologie grecque, Pénélope, fille d'Icarios, est l'épouse fidèle d'Ulysse dont elle a un fils, Télémaque.

Collaborateurs parlementaires : pas de Pénélope chez eux
Pénélope, depuis l'antiquité grecque, son nom incarnait le travail.
Le labeur accompli le jour et défait la nuit des années durant, a fait entrer l'épouse d'Ulysse dans la légende. Mais depuis deux semaines, la seule évocation de Pénélope renvoie à un travail accompli des années durant sans même s'en rendre compte.

 

Pénélope Fillon pourtant grassement rétribuée sur les deniers de la République a bel et bien assuré devant une caméra n'avoir jamais eu aucun rôle d'assistante parlementaire auprès de son époux. Pour paraphraser un célèbre coureur cycliste, elle aurait ainsi été salariée « à l'insu de son plein gré ».

 

Le « Penelopegate » qui secoue la vie politique ces dernières semaines n'a pas fini d'écœurer.
La revendication de FO sur la requalification des licenciements en licenciements économiques en fin de mandat, est une bonne demande, particulièrement légitime.
Il n'est pas sûr que cette garantie aurait rendu le "labeur"  de Pénélope Fillon plus palpable et plus concret aux yeux de tous, mais puisque les projecteurs sont braqués sur cette profession, il serait inconcevable de ne pas entendre les  revendications portées par les représentants de la profession.

BM

Collaborateurs parlementaires : pas de Pénélope chez eux
Collaborateurs parlementaires : pas de Pénélope chez eux
Collaborateurs parlementaires : pas de Pénélope chez eux
Partager cet article
Repost0
6 février 2017 1 06 /02 /février /2017 14:15
Les demandeurs d’emploi invités à se vendre aux enchères

Les demandeurs d’emploi invités à se vendre aux enchères

Les demandeurs d’emploi invités à se vendre aux enchères
Une plate-forme sur Internet applique le principe des enchères à la recherche d’emploi. Elle propose aux candidats de fixer eux-mêmes le niveau de rémunération qu’ils souhaitent percevoir pour un poste. Libre à eux de se positionner vers le bas en fonction de la concurrence.

 

Un job chez Airbus, Valeo ? Ladiv.fr, en ligne depuis novembre, ressemble à un site de recherche d’emploi classique, à une exception près. Il ne propose pas de niveau de salaire, au mieux une fourchette. Le candidat doit fixer la rémunération qu’il estime mériter, selon ses compétences, son expérience, et on imagine aussi, selon l’urgence de sa situation.
Dans l’esprit, s’applique ensuite un système d’enchères inversées : un candidat peut revoir ses prétentions à la baisse pour espérer décrocher le job.

 

 

Procédures illégales

 

Après une phase de médiatisation, le site précise désormais que les prétentions salariales […] ne seront visibles par les postulants qu’après clôture de l’offre.
Mais la rubrique FAQ affirme toujours que les salaires soumis par les postulants sont visibles, de manière strictement anonyme.

 

Jérémy Roffe-Vidal, cofondateur du site, se défend dans Le Figaro de tout dumping social et précise que ce n’est pas forcément le salaire le plus bas qui gagne. Dont acte. Il ne peut ignorer la loi de 2006 pour l’égalité des chances, qui dispose que les procédures d’enchères électroniques inversées sont interdites en matière de fixation du salaire, entraînant la nullité du contrat de travail qui en serait issu. 

 

Sourcing: FO Hebdo  / CLARISSE JOSSELIN

 

NDR / BM

L'esclavagisme fait son retour, sous de nombreuses formes. En voici une

BM

Les demandeurs d’emploi invités à se vendre aux enchères
Les demandeurs d’emploi invités à se vendre aux enchères
Partager cet article
Repost0