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  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, 
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Dans ce blog nous sommes amenés fréquemment à diffuser des images, des vidéos, des photos, voire des articles de presse, d'insérer des liens vers des documents,   ceci afin d'étoffer et d'éclairer nos posts, en leur donnant plus de contenus, pour une meilleure compréhension.

Nos sources sont toujours citées.

Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.

Néanmoins rien n'empêche les personnes ne désirant pas voir leur image diffusée de nous le signaler lors de la prise de vue.

Sans manifestation de leur part, nous considérerons leur consentement présumé.

Merci

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31 janvier 2017 2 31 /01 /janvier /2017 23:38
Carrefour choisit de rester dans l’Ain
Carrefour choisit de rester dans l’Ain

L’enseigne a porté son choix sur un terrain de 18 hectares situé à cheval sur Bagé-la-Ville et Saint-Jean-sur-Veyle, deux communes situées dans le département de l’Ain.

 

Confronté à la recherche d’un nouvel emplacement foncier pour la construction d’un entrepôt logistique destiné à remplacer le site existant de Laiz (01), Carrefour avait déclenché, dès 2015, beaucoup d’inquiétude au niveau social pour les 200 salariés employés ici. Surtout quand des emplacements des départements du Rhône et de Saône et Loire avaient été évoqués. 

Le site de Laiz avait démarré ses services il y a plus de 40 ans, sous l’enseigne Codec.
Finalement, et après l’implication de la Communauté de Communes du canton de Pont de Veyle (01) et du pays de Bagé (01), et avec l’appui des services de l’Etat, le distributeur a porté son choix sur un terrain de 18 hectares situé à cheval sur les communes de Bagé-la-Ville et de Saint-Jean-sur-Veyle, toutes deux situées dans le département de l’Ain et localisé à proximité des autoroutes A40 et A6.
Une implantation qui se situe surtout à moins de 10 kilomètres de l’original de Laiz, ce qui correspond à un même bassin de vie. 

Non seulement les 200 salariés devraient y trouver leur compte et conserver leur emploi, mais, en plus, Carrefour annonce la création de 50 supplémentaires.
Le chantier démarré au début de l’été dernier a bien avancé et sera livré dès la fin du mois de février. Il s’adressera à l’ensemble des enseignes du groupe et constituera notamment la base régionale du distributeur pour les produits secs.
Développé par le cabinet Jbd Expertise, « il est constitué d’un entrepôt « double face » expéditions-livraisons de 60 000 m² de plain pied et il sera détenteur du label environnemental Breeam Good », explique Jean-Baptiste Rerolle, chef de projet chez Jbd Expertise.
Pour ce dernier, il s’agit du premier contrat pour le compte du groupe Carrefour. Il devrait être suivi par deux autres réalisations non dévoilées à ce jour.

 

Sourcing: stratégies logistiques /  Gilles Solard

Carrefour choisit de rester dans l’Ain
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31 janvier 2017 2 31 /01 /janvier /2017 13:54
Reprendre la parole

Reprendre la parole

Gymnase Japy : pour dénoncer les effets de la loi Travail

Les unions régionales de sept organisations syndicales, dont FO, se sont retrouvées le 30 janvier dans le gymnase parisien.
Une rencontre considérée comme un coup d’envoi des nombreuses mobilisations qui jalonneront ce début d’année 2017.

 

 

À en croire le nombre de militants présents ce lundi 30 janvier, la revendication n’a rien perdu de son éclat. Devant la halle Japy, un groupe de personnes est en pleine discussion, tandis que d’autres entrent sans tarder dans la salle de sport.

 

À l’intérieur, un comité d’accueil distribue des drapeaux aux couleurs de FO pour les uns et de la CGT pour les autres. Une fanfare invite à chalouper sur une partition jazz New Orléans. Les rangées de chaises encore vides un quart d’heure plus tôt sont désormais occupées par plusieurs centaines de militants syndicaux. Il est 18h30, le meeting peut commencer.

 

 

Reprendre la parole

 

 

L’initiative a été portée au niveau régional par les unions Ile-de-France de FO, la CGT, et de la FSU, ainsi que par les organisations étudiantes et lycéennes UNEF, FIDL et UNL.

 

 

L’objectif : reprendre la parole pour demander l’abrogation de la loi Travail.

 

 

Alors que la loi travail commence à se mettre en place dans les entreprises, ce meeting nous permet de dire aux salariés qu’ils peuvent compter sur les organisations syndicales, précise Gabriel Gaudy, de FO Paris.
Un avis partagé par son homologue à la CGT, Pascal Joly : Aujourd’hui, les salariés se rendent compte que ce que nous dénonçons depuis plusieurs mois est entrain de se mettre en place.

 

 

Pour Clotilde Hauppe, représentante de l’UNEF, l’unité du mouvement syndical tient à cœur à son organisation. Elle considère que la loi Travail aggrave la situation des étudiants, déjà exclus du droit commun de la protection sociale. En moyenne 50% des étudiants d’Ile-de-France sont salariés, avec des pointes qui peuvent monter à 70% comme à Paris VIII (Saint-Denis).

 

 

Coup d’envoi des mobilisations

 

 

Gabriel Gaudy appréhende ce meeting du 30 janvier comme la poursuite de la manifestation qui a eu lieu plus tôt dans la journée. Quand plusieurs centaines d’adhérents de FO se sont rassemblés devant l’hôtel de ville de Paris pour dénoncer les restructurations et le néo management en vogue dans les services et administrations de la capitale.
Également dans la ligne de mire de FO : les douze dimanches travaillés récemment votés par le Conseil de Paris.

 

 

Un coup d’envoi, selon le secrétaire général de l’union départementale de Paris, d’une période qui verra de nombreux salariés défendre leur statut et surtout un Code du travail qui fait grise mine.
Comme ce 31 janvier 2017, pour les salariés des entreprises électriques et gazières qui seront en grève. Relayés le 1er février par les enseignants et le 7 mars, par les salariés des hôpitaux, de la sécurité sociale et de l’action sociale.

Sourcing:  FO Hebdo / NADIA DJABALI

Coup d’envoi des mobilisations

Coup d’envoi des mobilisations

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31 janvier 2017 2 31 /01 /janvier /2017 11:17
Revaloriser les actes de base et plafonner les prothèses

Revaloriser les actes de base et plafonner les prothèses

Dentistes : Les négociations sur les tarifs n’ont pas abouti
En l’absence d’accord entre l’assurance maladie et les chirurgiens dentistes, le gouvernement va prendre la main pour imposer un règlement arbitral.

 

L’assurance maladie et les chirurgiens-dentistes n’auront pas réussi à trouver un accord sur les tarifs des praticiens, à l’issue d’une négociation qui aura duré environ quatre mois.
Les trois syndicats de dentistes (FSDL, CNSD et Union dentaire) ont refusé les propositions de l’Assurance maladie.

 

 

Revaloriser les actes de base et plafonner les prothèses

 

 

Au cœur du projet figurait la revalorisation des soins de prévention et de conservation, comme le traitement des caries, en contrepartie d’un plafonnement du prix des soins liés aux prothèses.

 

Nous sommes favorables à l’orientation qui consiste à revaloriser les soins conservateurs et à baisser les tarifs des actes en lien avec les prothèses, car cela ne peut qu’améliorer l’accès aux soins dentaires, indique Jocelyne Marmande, secrétaire confédérale FO.

 

FO aurait souhaité une vision globale

 

Nous aurions cependant souhaité que l’assurance maladie présente, en amont de l’ensemble des négociations avec les professions de santé, le budget qui y serait consacré, afin d’avoir une vision globale.
Avant les dentistes, il y a eu les médecins, et des discussions vont voir lieu avec les pharmaciens d’officine et avec les radiologues, ajoute-elle.

 

La semaine dernière, lors de la négociation avec les dentistes, l’assurance maladie avait mis sur la table une enveloppe complémentaire, portant à 806 millions d’euros son effort financier. Une ultime proposition qui n’aura pas suffi à convaincre les organisations de dentistes.

 

 

Les dentistes mécontents

 

 

Plusieurs milliers de dentistes et d’étudiants en dentaire se sont rassemblés le 27 janvier devant le siège de la Caisse nationale d’assurance maladie à Paris. Et leurs syndicats ont promis la poursuite des actions.

 

Car le refus d’un accord sur les tarifs avec l’assurance maladie va entraîner la mise en œuvre d’un règlement arbitral par le gouvernement.
Celui-ci s’annonce à priori moins favorable pour les professionnels que le projet de texte qui devait être annexé à la convention régissant les relations tarifaires des 37 000 chirurgiens-dentistes libéraux avec la Sécu et les complémentaires santé.

 

Sourcing:  FO Hebdo / FRANÇOISE LAMBERT

FO aurait souhaité une vision globale

FO aurait souhaité une vision globale

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30 janvier 2017 1 30 /01 /janvier /2017 12:29
Brexit : des négociations qui patinent dans un...
Lettre électronique FO actualité internationale

Lettre électronique FO actualité internationale

Lettre électronique FO actualité internationale

Brexit : des négociations qui patinent dans un...
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26 janvier 2017 4 26 /01 /janvier /2017 10:26
J-C Mailly :     « L’augmentation du pouvoir d’achat, une nécessité sociale et économique »
J-C Mailly :     « L’augmentation du pouvoir d’achat, une nécessité sociale et économique »
J-C Mailly :
« L’augmentation du pouvoir d’achat, une nécessité sociale et économique »
Alors que l’inflation repart à la hausse en Europe, dépassant 1 %, et que les taux d’intérêt amorcent également une remontée, la question du pouvoir d’achat des salaires, retraites, allocations et minima sociaux devient encore plus urgente, dans le privé comme dans le public.
C’est une nécessité sociale et économique.

 

 

Sociale, car il s’agit de mieux payer la valeur travail, de contribuer à la réduction des inégalités sociales et d’accroître les recettes des régimes de protection sociale collective, dont l’Assurance chômage.

 

Économique, car l’augmentation du pouvoir d’achat favorisera la consommation et l’activité économique, tout en mettant du baume au cœur.

 

C’est d’ailleurs pourquoi Force Ouvrière se félicite de la décision prise par les syndicats européens, dans le cadre de la Confédération européenne des syndicats, de lancer dès le mois de février une campagne dans tous les pays pour l’augmentation générale des salaires.
Force Ouvrière, sur ses positions, y participera.

 

D’une manière générale, il y a urgence à ce qu’il soit mis fin, aux niveaux européen et national, aux politiques économiques et sociales d’austérité.
Retrouver une activité économique plus forte, respectueuse des conditions sociales et environnementales, est là encore une nécessité.

 

 

C’est ce que j’ai expliqué également, dans le dernier numéro de notre journal, concernant l’industrie. C’est aussi le sens de la tribune sur l’industrie, lancée par un économiste keynésien, Gabriel Colletis, dans le journal Le Monde, la semaine dernière. C’est à ce titre que je l’ai signée. Le fait qu’il y ait d’autres signataires, comme Arnaud Montebourg, n’y change rien.

 

Nous ne le soutenons pas comme candidat car nous ne soutenons personne, c’est une question de liberté et d’indépendance syndicale.

 

 

Comme je l’ai déjà dit et écrit à plusieurs reprises, Force Ouvrière ne donnera aucune consigne de vote, directe ou indirecte.

 

Car quel que soit le futur président de la République, le futur gouvernement et la future Assemblée nationale, le syndicalisme libre et indépendant doit continuer à être une garantie pour tous les travailleurs.

 

 

Force Ouvrière, un syndicat pas un parti, ce vieux slogan est toujours d’actualité. 

 

JEAN-CLAUDE MAILLY

 

 

Documents joints

Editorial de Jean-Claude Mailly - FO Hebdo 3227
24 JANVIER PDF135.2 KO

Documents joints  Editorial de Jean-Claude Mailly - FO Hebdo 3227 24 JANVIER PDF135.2 KO

Documents joints Editorial de Jean-Claude Mailly - FO Hebdo 3227 24 JANVIER PDF135.2 KO

Documents joints Editorial de Jean-Claude Mailly - FO Hebdo 3227 24 JANVIER PDF135.2 KO

La rose des neiges nous accompagne en cette période de froidure hivernale. Merci Sandrine !

La rose des neiges nous accompagne en cette période de froidure hivernale. Merci Sandrine !

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25 janvier 2017 3 25 /01 /janvier /2017 18:03
Travail le dimanche à la Fnac: la CFDT dit oui, l'accord sera appliqué

Travail le dimanche à la Fnac: la CFDT dit oui, l'accord sera appliqué


Travail le dimanche à la Fnac: la CFDT dit oui, l'accord sera appliqué 


La CFE-CGC et la CFTC ont déjà donné leur accord. À eux trois, ils rassemblent 51,61% des voix.

 

 

Le nouvel accord sur le travail dominical sera appliqué à la Fnac. La CFDT a en effet décidé de le signer, a-t-on appris mercredi auprès du syndicat.
La semaine dernière, la CFE-CGC avait donné son aval, ainsi que la CFTC. À eux trois, ils rassemblent 51,61% des voix.

 

 

De leur côté, la CGT et SUD avaient déclaré qu'ils ne donneraient pas leur aval à la nouvelle mouture d'un accord auquel ils s'étaient opposés il y a six mois. "On ne signe pas", a déclaré à l'AFP Boris Lacharme (CGT). "Notre position ne change pas sur le fond", a aussi déclaré Olivier Gasnier (SUD-Fnac).

 

12 dimanches payés triple

 

 

Les négociations à la Fnac avaient repris le 5 janvier.
Le nouveau projet reprend les grandes lignes du précédent texte, avec pour les magasins ouverts régulièrement le dimanche, 12 dimanches -"les plus chargés de l'année" selon la CFTC - payés triple et 40 dimanches payés double, sans repos compensateur.    
La direction s'est aussi engagée à augmenter le pourcentage d'embauches compensatrices à 3,1%, au lieu de 2,6% dans l'ancien projet.
Le rôle de la commission de suivi a également été renforcé.

 

Sourcing:   BFM BUSINESS 

 

La Cfdt c'est bien cette organisation qui se permet de donner des leçons chez Carrefour, et qui a co-rédigée la loi MEK, dite loi travail ?
La Cfdt peut toujours donner des leçons chez Carrefour, à FORCE OUVRIERE on reste vigilant, on ne brade pas les acquis sociaux, et surtout on est honnête vis à vis des salariés. 
FO ne signe pas n'importe quoi.

BM

 

La Cfdt valide le travail du dimanche à la FNAC
La Cfdt valide le travail du dimanche à la FNAC
La Cfdt valide le travail du dimanche à la FNAC
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25 janvier 2017 3 25 /01 /janvier /2017 09:55
Les salariés du groupe Vivarte dans la tourmente
Distribution
Vivarte se sépare du chausseur André, la marque historique à l'origine de la création du groupe et de Naf Naf

 

Le groupe Vivarte (La Halle, Caroll...), engagé dans un vaste plan de restructuration, va finalement, selon les syndicats, se séparer du chausseur André, sa marque historique, et de Naf Naf, tandis que 700 à 800 postes seront supprimés à La Halle aux chaussures.

 

Les représentants de l'intersyndicale seront reçus mercredi au ministère du Travail par la ministre Myriam El Khomri et le secrétaire d'État chargé de l'industrie, Christophe Sirugue.

 

La cession d'André (135 magasins, 786 salariés), redoutée par les syndicats et démentie dans un premier temps début janvier par la direction, a été annoncée mardi lors d'un comité central d'entreprise (CCE) extraordinaire à Paris.

 

Après avoir perçu 45 milliards d’euros de crédits d’impôt pour la compétitivité et l’emploi depuis 2013, dont 14 en 2016.

Le groupe Vivarte supprime des centaines de postes et vend André et Naf Naf 

 


Ce nouveau plan de restructuration fait suite à quatre plans sociaux déjà lancés en 2015 (La Halle, Kookaï, Défi Mode et André), ayant entraîné la suppression de 1.850 postes.

 

Les salariés du groupe Vivarte dans la tourmente
Les salariés du groupe Vivarte dans la tourmente
Le groupe cherche à se séparer de son enseigne historique, les magasins André.

André, La Halle, Minelli, San Marina, Naf Naf, Caroll... Le groupe Vivarte, en pleine restructuration, regroupe 14 enseignes d'habillement et de chaussures.

L'empire français de l'habillement et des chaussures se disloque.
Un groupe constitué d'enseignes bien connues des Français et crées depuis de nombreuses années pour certaines: plus de 100 ans pour André, 40 ans pour Naf Naf, plus de 30 ans pour Kookaï et la Halle…
Son histoire commence en 1904, par l'ouverture des premiers magasins André. L'objectif: une offre riche et accessible.
C'est au début des années 2000 que le groupe adopte son nom actuel, Vivarte, et mène une politique de rachat d'enseignes.
Des créateurs comme Agnès B, Jean-Paul Gaultier, Jean-Charles de Castelbajac, ont collaboré avec certaines enseignes.
Aujourd'hui, plusieurs de ses 14 marques sont en vente.

Discret sur ses chiffres, Vivarte compte plus de 4000 points de vente. Non coté en bourse, le groupe affiche 2,2 milliards d'euros de chiffre d'affaires sur l'exercice 2015-2016 (clos en août) et une dette nette d'1,5 milliard.
Il compterait environ 16 000 salariés, dont une grande part de travailleurs précaires.

 

Sourcing:  LeFigaro.fr / Jeanne Cavelier  

 

Le groupe Vivarte et ses marques en chiffres

Le groupe Vivarte et ses marques en chiffres

Le groupe Vivarte et ses marques en chiffres

Le groupe Vivarte et ses marques en chiffres

Ce nouveau plan de restructuration fait suite à quatre plans sociaux déjà lancés en 2015 (La Halle, Kookaï, Défi Mode et André), ayant entraîné la suppression de 1.850 postes.
Ce nouveau plan de restructuration fait suite à quatre plans sociaux déjà lancés en 2015 (La Halle, Kookaï, Défi Mode et André), ayant entraîné la suppression de 1.850 postes.
Ce nouveau plan de restructuration fait suite à quatre plans sociaux déjà lancés en 2015 (La Halle, Kookaï, Défi Mode et André), ayant entraîné la suppression de 1.850 postes.

Ce nouveau plan de restructuration fait suite à quatre plans sociaux déjà lancés en 2015 (La Halle, Kookaï, Défi Mode et André), ayant entraîné la suppression de 1.850 postes.

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24 janvier 2017 2 24 /01 /janvier /2017 12:07
Réclamations DP de janvier: Les délégués FO CPF sont sur le terrain et interpellent la direction
Rôle et  missions des délégués du personnel 

 


•    Représenter le personnel auprès de l’employeur et lui faire part de toute réclamation individuelle ou collective en matière d’application de la réglementation du travail (Code du travail, convention collective, salaires, durée du travail, hygiène et sécurité…).

Les salariés permanents mais aussi extérieurs à l’entreprise ou intérimaires peuvent saisir les délégués du personnel de leurs réclamations.

 


•    Être consultés, en l’absence de comité d’entreprise, sur les licenciements économiques, la durée du travail (heures supplémentaires, horaires individualisés), la formation professionnelle. Ils sont également consultés sur la fixation des congés payés.

 


Les délégués du personnel peuvent également faire des suggestions sur l’organisation générale de l’entreprise.

En l’absence de comité d’entreprise, l’employeur informe les délégués du personnel, une fois par an, des éléments qui l’ont conduit à faire appel, au titre de l’année écoulée, et qui pourraient le conduire à faire appel pour l’année à venir, à des contrats de travail à durée déterminée, à des contrats de mission conclus avec une entreprise de travail temporaire ou à des contrats conclus avec une entreprise de portage salarial.

 


•    Être les interlocuteurs de l’inspecteur du travail qu’ils peuvent saisir de tout problème d’application du droit du travail et accompagner, s’ils le désirent, lors de ses visites dans l’entreprise.

Si un délégué du personnel constate, notamment par l’intermédiaire d’un salarié, qu’il existe dans l’entreprise une atteinte injustifiée aux droits des personnes, à leur santé physique ou mentale, ou aux libertés individuelles, il en saisit immédiatement l’employeur.

 

 

Cette atteinte peut notamment résulter de faits de harcèlement sexuel ou moral ou de toute mesure discriminatoire en matière d’embauche, de rémunération, de formation, de reclassement, d’affectation, de classification, de qualification, de promotion professionnelle, de mutation, de renouvellement de contrat, de sanction ou de licenciement. 

 


L’employeur, ainsi saisi, procède (ou fait procéder) sans délai à une enquête avec le délégué et prend les dispositions nécessaires pour remédier à cette situation. En cas de carence de l’employeur ou de divergence sur la réalité de cette atteinte, le salarié (ou le délégué si le salarié concerné averti par écrit ne s’y oppose pas) saisit le conseil de prud’hommes qui statue selon la procédure de référé.

 

 

Le juge peut ordonner sous astreinte toutes mesures de nature à faire cesser cette atteinte.

 

 

Principaux textes de référence


•    Attributions : Articles L. 2313-1 à L. 2313-16 et R. 2313-1 à R. 2313-3 du Code du travail
•    Moyens d’actions : Articles L. 2315-1 à L. 2315-12 du Code du travail
•    Loi n° 2012-954 du 6 août 2012 (JO du 7 août)
•    Loi n° 2015-994 du 17 août 2015 (JO du 18)
•    Décret n° 2016-345 du 23 mars 2016 (JO du 24)

 

 

 

Retrouvez ci après les réclamations des DP du mois d e janvier 2017, des établissements  Paris Centre et Nord Hauts de France

Réclamations DP de janvier: Les délégués FO CPF sont sur le terrain et interpellent la direction

Réclamations mensuelles des DP de l'établissement régional CPF Paris Centre

Réclamations DP de janvier: Les délégués FO CPF sont sur le terrain et interpellent la direction

Réclamations mensuelles des DP de l'établissement régional Nord Hauts de France

Réclamations DP de janvier: Les délégués FO CPF sont sur le terrain et interpellent la direction
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23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 21:53

Dernière mise à jour, le 23 janvier 2017

Expulsion des syndicats : nous gênons car nous résistons aux attaques patronales et politiques
Expulsion des syndicats : nous gênons car nous résistons aux attaques patronales et politiques
Expulsion des syndicats : nous gênons car nous résistons aux attaques patronales et politiques
Expulsion des syndicats : nous gênons car nous résistons aux attaques patronales et politiques
Bourse du travail d'Elbeuf en 1907

Bourse du travail d'Elbeuf en 1907

FO Commerce rappelle l’utilité des bourses du travail qui souvent, sont le seul endroit de réunions pour les salariés du commerce quand ils veulent s’organiser, se former, se rencontrer, s’informer…

FO Commerce rappelle l’utilité des bourses du travail qui souvent, sont le seul endroit de réunions pour les salariés du commerce quand ils veulent s’organiser, se former, se rencontrer, s’informer…

Expulsion des syndicats : nous gênons car nous résistons aux attaques patronales et politiques

Expulsion des syndicats : nous gênons car nous résistons aux attaques patronales et politiques

Expulsion des syndicats : nous gênons car nous résistons aux attaques patronales et politiques
 
Pour soutenir les huit organisations syndicales de l’Eure, dont FO, menacées d’expulsion des locaux de la Bourse du Travail et laissés sans solution de relogement, près de 2 000 salariés manifestaient ce 9 novembre 2016 à Evreux.

FO Commerce se félicite des mobilisations contre les lois Macron et El Khomri et nous n’en avons pas fini puisque les entreprises du commerce s’apprêtent à mettre en oeuvre la remise en cause des droits des salariés : repos dominical, majoration des heures supplémentaires, temps de travail, etc.

 

Dans ce cadre, les sections FO dans le commerce font l’objet d’attaques de plus en plus fréquentes, du fait de la résistance qu’elles opposent à la casse sociale.

 

En plus du patronat, des politiques s’y mettent. Nous avons eu à nous mobiliser récemment à Évreux pour défendre la bourse du travail des Unions départementales de l’Eure.

 

 

Aujourd’hui, c’est à Évry que sont menacées d’expulsion les organisations syndicales de leur bourse du travail de l’Essonne, qu’elles occupent depuis plus de 30 ans.

 

 

FO Commerce rappelle l’utilité des bourses du travail qui souvent, sont le seul endroit de réunions pour les salariés du commerce quand ils veulent s’organiser, se former, se rencontrer, s’informer…

 

 

La Section fédérale du Commerce de la FEC-FO soutient l’Union Départementale de l’Essonne et appelle ses militants et au-delà à signer la pétition contre l’expulsion des Unions Départementales de l’Essonne situées au cœur de la ville d’Évry.

 

EMPLOYÉS ET CADRES Communiqué de la FEC - Section fédérale du Commerce, non alimentaire

 

Expulsion des syndicats : nous gênons car nous résistons aux attaques patronales et politiques
Expulsion des syndicats : nous gênons car nous résistons aux attaques patronales et politiques
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23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 17:43
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