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La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
Que signifie communiquer ? demanda le petit prince.
"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, répondit le renard." Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry
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Ulisse Aldrovandi
Ulisse Aldrovandi, né le 11 septembre 1522 à Bologne et mort le 4 mai 1605 dans cette même ville, est un scientifique italien de la Renaissance.
Vie
Son père est le comte Teseo Aldrovandi, notaire et secrétaire au sénat de Bologne, sa mère, Veronica Marescalchi, est cousine d'Ugo Boncompagni (qui deviendra plus tard pape sous le nom de Grégoire XIII).
Orphelin de bonne heure (1529), il reçoit une première éducation par des précepteurs privés. Il étudie l'arithmétique auprès d'Annibale della Nave et, en 1537, devient comptable auprès d'un marchand de Brescia pendant un an. Il entreprend alors un voyage qui le mène de Rome à Saint-Jacques-de-Compostelle.
De retour à Bologne en 1539, sous la pression de sa famille, il abandonne ses projets de voyage pour suivre les enseignements des humanités et du droit dans les universités de Bologne et de Padoue et devient notaire en 1542.
Aldrovandi abandonne le notariat en 1547 pour se consacrer à ses centres d'intérêts. Il se tourne tout d'abord vers la philosophie et la logique avant de s'intéresser également à la médecine.
Accusé d'hérésie
Il est accusé d'hérésie en 1549 car il est soupçonné d'entretenir des relations avec l'anabaptiste Camillo Renato. Malgré son abjuration solennelle, il est emprisonné à Rome où il reste dix-huit mois. Durant sa semi-détention, il découvre la botanique, la zoologie et la géologie (de nombreux historiens pensent que c'est lui qui le premier a employé ce terme).
Aldrovandi rencontre à cette époque Guillaume Rondelet alors à Rome ainsi que Paolo Giovio (1486-1552).
En 1550, il rédige son premier texte, Delle statue romane antiche, che per tutta Roma, in diversi luoghi, et case si veggono dans un livre sur les antiquités romaines de Lucio Mauro qui paraîtra sous le titre de Le antichità de la città di Roma en 1556.
(wikisource)
Non nous ne sommes pas revenu au temps de Pinochet, mais le 1er mai 2019, Paris, devant la Salpêtrière...
4 mai 1814 Napoléon 1er débarque sur l'île d'Elbe
Le 04 mai ......
4 mai 1789
En France, séance d’ouverture solennelle, avec messe, des États généraux.
4 mai 1814
Napoléon 1er débarque sur l'île d'Elbe
Le mercredi 4 mai 1814, Napoléon 1er arrive à Portoferraio, sur l'île d'Elbe, une île italienne de la mer Tyrrhénienne à l'est de la Corse. Il y séjournera jusqu'à son retour en France, le 26 février 1815.
La prise de Paris par les Alliés, la défection des maréchaux forcèrent Napoléon 1er à signer une abdication sans condition, le 6 avril 1814. Celui-ci fut également contraint à s'embarquer pour l'île d'Elbe, dont la souveraineté pleine et entière a été accordée lors du traité de Fontainebleau (11 avril 1814) à l'empereur déchu qui l'avait conquise en 1802.
Dès son abdication, Louis XVIII, frère de Louis XVI, est rétabli par les Alliés, sur le trône de France.
Après un voyage tumultueux, raison d'un épisode dépressif pour l'empereur déchu, l'arrivée à Elbe sous l'acclamation des autochtones rendit Napoléon un peu plus « joyeux »... Accompagné des quelques fidèles qui avaient décidé de partager son exil, il prit possession de son nouveau domaine le 4 mai.
Fidèle à son tempérament, il se « remit au travail » dès le 7 mai en réglementant ses nouveaux domaines. Le 10 mai, il conçut l'organisation militaire de son territoire, créa son administration de la Guerre et un hôpital.
Le 22 mai, il finalisa la création de la Garde et de la marine, et régla leur approvisionnement le 5 juin.
4 mai 1897 :
Incendie du Bazar de la Charité
Le 4 mai 1897, comme les années précédentes, le Bazar de la Charité ouvre ses portes dans une halle somptueusement décorée pour la circonstance (échoppes médiévales en carton-pâte, vélum,...), au 17, rue Goujon, près des Champs-Élysées, à Paris.
Des dames de la bonne société vendent divers objets pour les bonnes oeuvres. La plus remarquée de toutes est la duchesse d'Alençon, soeur de l'impératrice d'Autriche « Sissi ». Une salle de cinéma a été installée pour divertir les 1200 invités. C'est là que vers 16 heures, des vapeurs d'éther s'enflamment. L'incendie se propage à toute allure à l'ensemble de la halle...
Après la bousculade, on comptera 160 victimes brûlées vives dans des conditions atroces, essentiellement des femmes de la haute société que leur robes ont gênées dans leur fuite. Parmi elles la duchesse d'Alençon, qui n'avait pas voulu laisser derrière elle les jeunes filles de son entourage.
Le pays est frappé de stupeur. Un service funèbre est célébré à Notre-Dame le 8 mai, en présence du président Félix Faure.
4 mai 1919
Les étudiants se soulèvent à Pékin
Le 4 mai 1919, peu après la naissance de la République chinoise, 3000 étudiants manifestent à Pékin, sur la place Tien An Men.
Ils dénoncent les «21 conditions» présentées par le Japon à leur gouvernement, car elles tendent à une colonisation de la Chine. Ils protestent aussi contre le traité de Versailles qui livre au Japon les concessions allemandes du Chang-toung, une province du nord du pays.
Assez d'humiliations !
Guidés par de jeunes intellectuels progressistes, les étudiants dénoncent également le poids des traditions, le pouvoir des mandarins et l'oppression des femmes. Ils se montrent favorables à la modernité et aux sciences nouvelles.
L'agitation gagne les citadins et les commerçants, dans tout le pays. Elle se double d'un mouvement de boycott des produits japonais. Mais elle reste dans l'immédiat sans effet sur les Occidentaux comme sur les Japonais.
Le «Mouvement du 4-mai», ainsi baptisé par les historiens, n'en est pas moins capital car il traduit l'émergence en Chine d'une conscience patriotique opposée aux Occidentaux comme aux Japonais, et l'abolition de l'empire mandchou.
Plusieurs de ses leaders rejoignent le Parti communiste chinois dans l'espoir de régénérer la Chine. Trente ans plus tard, ils célèbreront sur la place Tien An Men le triomphe de l'insurrection communiste.
70 ans plus tard, se rappelant du «Mouvement du 4-mai», d'autres étudiants réclameront la démocratie sur la même place Tien An Men.
Leur révolte finira dans un bain de sang mais débouchera paradoxalement sur une ouverture de leur pays au monde extérieur.
4 mai 1926
Grève générale en Grande-Bretagne
Le 4 mai 1926, la Grande-Bretagne connaît une grève générale d'une ampleur jamais vue.
Les salariés cessent le travail par solidarité avec les mineurs, auxquels le gouvernement a imposé une baisse de salaire autoritaire pour restaurer la compétitivité du charbon national. C'est la conséquence d'une réévaluation malheureuse de la livre sterling, l'année précédente, par le Chancelier de l'Échiquier Winston Churchill.
Face à la fermeté du gouvernement conservateur de Stanley Baldwin et de son Lord Chancelier, les mineurs et leurs syndicats, le Trades Union Congress, doivent bientôt rendre les armes. Ils ne retrouveront semblable combativité qu'un demi-siècle plus tard.
4 juin 1989
L'armée massacre les étudiants sur la place Tien An Men
Le 4 juin 1989, à Pékin, l'armée chinoise massacre avec des chars et des armes lourdes les milliers d'étudiants rassemblés sur la place Tien An Men, dont certains depuis le 18 avril précédent ! Ce massacre dit du 4/6 (en chinois : «Liu Si») met un terme brutal au «printemps de Pékin».
En ce haut lieu du pouvoir et de la vie politique, face à la Cité interdite, d'autres étudiants avaient déjà manifesté 70 ans plus tôt et donné naissance au Mouvement du 4-Mai, fer de lance de la démocratisation de la Chine.
Cette fois, le mouvement étudiant surgit en opposition à la dictature du Parti Communiste chinois (PCC), ressentie comme de plus en plus insupportable à mesure que le pays se modernise et s'ouvre sur l'extérieur.
Des communistes à la peine
Peu après la mort de Mao Tsé-toung (1976), le Parti a été pris en main par Deng Xiaoping. Il a entrepris de libéraliser l'économie tout en maintenant la dictature du Parti dans le respect des «quatre principes fondamentaux : la voie socialiste, la dictature du prolétariat, la direction du PCC et le marxisme-léninisme-pensée Mao Tsé-toung».
Mais les troubles sociaux et les aspirations démocratiques des classes moyennes mettent à mal le pouvoir communiste. En novembre 1987, le conservateur Li Peng accède à la tête du gouvernement et interrompt le processus de réforme. La tension monte.
Le 15 avril 1989, est annoncée la mort mystérieuse de Hu Yaobang, un hiérarque réputé intègre et révoqué deux ans plus tôt de ses fonctions de secrétaire général du PCC.
Elle soulève une grande émotion dans le camp réformateur.
On annonce par ailleurs la visite de Mikhaïl Gorbatchev le mois suivant à Pékin.
Cette visite du secrétaire général du Parti Communiste d'URSS est perçue comme un encouragement à la démocratisation.