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8 mars 2020 7 08 /03 /mars /2020 15:49
Notre histoire    La grande grève victorieuse de 1995

Notre histoire La grande grève victorieuse de 1995

Notre histoire

Notre histoire

 

La grande grève victorieuse de 1995
 

  • En s’attaquant frontalement à la Sécurité sociale et aux retraites, le gouvernement de l’époque a dû affronter une grève générale interprofessionnelle qui a duré plus d’un mois, obligeant le gouvernement à faire marche arrière.

 

Lorsque, le 13 novembre 1995, Force Ouvrière réunit à Paris son Comité confédéral national, on est loin de tout connaître de ce qui sera annoncé deux jours plus tard sous le nom de « plan Juppé ». Cependant, les responsables des fédérations et des UD sont suffisamment avertis des dangers pour décider la grève interprofessionnelle. La date est arrêtée : ce sera le 28 novembre.

 

Le 15 novembre, le Premier ministre, Alain Juppé, présente son plan : création du remboursement de la dette sociale (RDS, un impôt supplémentaire de 0,5% prélevé à la source), remise en cause des régimes spéciaux, rationnement des soins, réforme des mécanismes de gestion des caisses. Bref, la volonté de fiscaliser et d’étatiser la Sécu est bel et bien confirmée.

 

FO avait depuis longtemps prévenu les gouvernements : touchez à la laïcité, au Smic ou à la Sécu et vous aurez des centaines de milliers de salariés dans les rues.

 

Alain Juppé avait oublié qu’il avait en face de lui un des meilleurs spécialistes de la Sécu et des retraites, bien au-delà du simple cercle des dirigeants syndicaux : Marc Blondel. Le soir de l’intervention du Premier ministre, Marc Blondel est sur le plateau de « La marche du siècle » où il déclare : C’est la plus grande opération de rapt de l’histoire de la République et dans la foulée annonce la grève pour le 28.

 

Le Premier ministre vient d’agiter sa muleta devant Marc Blondel. Mais la cornada de FO et du mouvement social sera forte. Très forte.

 

  • Jusqu’à la victoire finale


Le mardi 28 novembre 1995, 60 000 salariés manifestent à Paris, dont 35 000 derrière les banderoles de FO. Ce jour-là, devant les caméras le Secrétaire général serre la main de son homologue de la CGT, Louis Viannet. De quoi donner des sueurs froides au gouvernement, au patronat, ainsi qu’à la CFDT de Nicole Notat qui a chaudement soutenu le « plan Juppé ».

 

Les 29 et 30, la SNCF, la RATP, les électriciens-gaziers, la moitié des centres de tri postaux et nombre d’agents de France Télécom entrent dans le mouvement. Le 1er décembre, les Métallos (Renault, Alsthom, Aérospatiale…) débrayent. Le 7 décembre, ils sont 1,5 million à battre le pavé. Du jamais vu depuis mai 68 : 30 000 à Montpellier, 50 000 à Toulouse, 70 000 à Bordeaux et 100 000 à Marseille.

 

Les profs et les étudiants sont aussi de la partie. Le 10 décembre, Alain Juppé retire de son projet l’abolition des régimes spéciaux de retraite. Le lendemain Nicole Notat demande au gouvernement d’instaurer un service minimum dans les transports en cas de grève. Le président de la SNCF, Jean Bergougnoux, lui répond que c’est impossible. C’est le monde à l’envers !

 

Le 12, les deux millions de manifestants sont largement dépassés. Même les villes moyennes s’y mettent : 8 000 à Bastia, 10 000 à Auch et Evreux, 15 000 à Agen et Albi, 25 000 à Toulon, 30 000 à Perpignan, 50 000 à Nîmes, 70 000 à Grenoble… S’agissant du Code des pensions des fonctionnaires, le ministre de la Fonction publique annonce : le projet est abandonné.

 

 

Le 21 décembre, Alain Juppé organise un « sommet sur l’emploi », ou « sommet social », avec les organisations syndicales. Un peu surréaliste, déclare Marc Blondel et d’ajouter à sa sortie après dix heures de réunion : Aucun conflit ne se résout correctement sans une véritable négociation… Les conclusions ne sont pas de nature à calmer les esprits.

 

De cette mascarade, FO retient surtout le refus du gouvernement d’aborder les problèmes les plus importants. Pas d’augmentation du Smic, pas d’augmentation des minima sociaux, pas d’augmentation de l’allocation spécifique de solidarité, note Blondel qui fustige un texte dont aucune disposition n’a d’effet sur les salaires et sur les revenus des gens.

 

 

Le Président Chirac siffle la fin de la récréation dès les premiers jours de 1996. Le « plan Juppé » est retiré.

 

La mobilisation, qui a fait reculer le gouvernement, est victorieuse et reste, dans les annales, comme un bel exemple du rapport de force qui conduit à la victoire.

 

 

 

Sourcing:   CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

 

 

smiley   Blog publication, 08 mars 2020, 16H36

 

 

 

Notre histoire    La grande grève victorieuse de 1995
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26 février 2020 3 26 /02 /février /2020 14:24
Retraites     L’objectif demeure le retrait du projet

Société / Réforme / Retraite par points / Retraites / Mobilisation / Manif / Rassemblement  / Grève / Syndicat

 

ACTU

 

Retraites

 

L’objectif demeure le retrait du projet

 

  • La mobilisation est bien ancrée et d’une longueur exceptionnelle, se félicite la confédération qui, dans le cadre de l’intersyndicale, appelle à une nouvelle journée interprofessionnelle le 31 mars.

 

  • FO demande toujours au gouvernement de retirer son projet de réforme des retraites qui ne satisfait personne. Elle prévoit aussi de participer à une conférence distincte de celle sur l’équilibre et le financement, qui ne vise qu’à imposer des économies non fondées aux régimes de retraite via l’assentiment pro-actif des syndicats.

 

A lors que l’intersyndicale, au soir de la journée d’action du 20 février, appelait les travailleurs à organiser des actions le 8 mars et à une nouvelle journée de grève interprofessionnelle et de manifestations le 31 mars, le gouvernement persistait dans son acharnement à maintenir son projet sur les retraites, décrié de tous bords et critiqué vertement par le Conseil d’État.

 

En ce début de deuxième semaine d’examen du projet par les députés – examen devant s’étirer jusqu’au 8 mars et peut-être au-delà du 22 mars après une pause pour les élections municipales – celui-ci, lesté de près de 40 000 amendements, a à peine été abordé.

 

 

Depuis ces derniers jours plane la menace d’un déclenchement de la procédure du 49.3, soit l’engagement de la responsabilité du gouvernement devant l’Assemblée pour une adoption sans vote du projet. Alors que la confusion concernant ce projet est chaque jour toujours plus évidente, y compris au sein de la majorité gouvernementale, parallèlement la conférence sur l’équilibre et le financement met en évidence l’aberration d’un projet à trous.

 

  • Construire une autre conférence

 

Cette conférence est en effet censée trouver d’ici avril, donc a priori après un hypothétique vote de l’Assemblée, des mesures d’économies sur le financement des régimes de retraite d’ici à 2027.

 

 

Après avoir évoqué la nécessité d’une économie de 12 milliards, le gouvernement évoque désormais un déficit des régimes de retraite à hauteur de 113 milliards entre 2018 et 2030... Le 19 février, la commission exécutive de FO, soulignant que ladite conférence ne peut conduire qu’à une impasse », donnait mandat au bureau confédéral « pour décider d’en sortir le moment opportun.

 

Plusieurs syndicats, dont FO, programment d’ores et déjà de réunir une conférence parallèle. Celle-ci pourrait se tenir le 24 mars au CESE, en présence notamment d’économistes, « pour un vrai débat contradictoire sans lettre de cadrage ».

 

  • Plus largement, pour FO la détermination à lutter contre le projet sur les retraites est constante. Et notre objectif – l’abandon du projet de système universel de retraite par points – demeure intact !, rappelle la confédération.

 

 

 

Sourcing:   VALÉRIE FORGERONT, in fo.fr

  • Journaliste à L’inFO militante

 

 

 

 

smiley   Blog publication, 26 février 2020, 14H46

 

 

 

Retraites     L’objectif demeure le retrait du projet
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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 17:33
Retraites      Un rejet universel

Société / Retraite / Réforme / Manif / Grève / Rejet / Syndicat

 

Communiqué intersyndical

 

Retraites

 

 Un rejet universel
 

 

  • Largement majoritaire et de plus en plus confortée, l’intersyndicale CFE-CGC ; CGT ; FO ; F.S.U ; SOLIDAIRES ; FIDL ; MNL ; UNEF ; UNL renouvelle son exigence du retrait du projet de réforme des retraites.

 

 

  • Le rejet de ce texte est grandissant :

 

Les différentes institutions et caisses de sécurité sociale ont désormais rendu leur avis sur le projet de loi retraites. Et ils sont affligeants pour le gouvernement, aucune des consultations, de la CNAV à la CNNCEFP, n’est de nature à encourager à poursuivre le projet présenté.


Bien au contraire.


Le Conseil d’État a rendu un avis d’une violence extraordinaire, pointant des insuffisances, des lacunes et des problèmes institutionnels. Du jamais vu !

 


Le Conseil Supérieur de la Fonction Militaire a lui aussi rendu un avis négatif. Un fait rare !

 


100 % des barreaux et pratiquement toutes les professions libérales sont opposées et toujours en lutte contre le projet.

 


Les salariés du public et du privé prennent des initiatives multiples pour manifester leur opposition à ce projet. Le monde de l’éducation donne un bel exemple d’unité intergénérationnelle puisque la mobilisation concerne tout autant personnels, lycéens et étudiants.

 


Les experts de tout bord et de toute tendance se rejoignent tous dans l’analyse très critique du projet, confirmant les 3 rapports à charge de l’Institut de la Protection Sociale, y compris les inspirateurs de l’idée de régime universel qui viennent de dénoncer les impasses et les incertitudes du texte annexé au projet de loi actuellement examiné à l’Assemblée Nationale.

 


L’opinion publique, dont le fort soutien aux opposants n’a fait que croître, confirme dans toutes les enquêtes récentes très majoritairement le désaveu.

 

  • Et pourtant le gouvernement s’entête :

 

Il est sourd à la contestation massive de la grande majorité de la population.
Il n’a pas éclairci les innombrables points obscurs du projet
Il n’a pas de solution pour juguler le déficit créé par les exonérations de cotisations décidées par ce même gouvernement
Il fait peu de cas du débat démocratique en présentant un projet incomplet et mensonger et ce dans une urgence parlementaire que rien ne justifie.

 

  • Jusqu’où ira ce gouvernement, jusqu’où devrons-nous aller ?

 

Renforcée par tous ces soutiens unanimes, l’intersyndicale CFE-CGC ; CGT ; FO ; F.S.U ; SOLIDAIRES ; FIDL ; MNL ; UNEF ; UNL demeure déterminée et convaincue du bien fondé de poursuivre la mobilisation tout le temps nécessaire sur l’ensemble du territoire et parallèlement de renforcer l’information pour rétablir la vérité jusqu’au retrait de ce projet inutile et dangereux.

 

 

  • La FGTA-FO appelle ses adhérents et sympathisants qui souhaitent se joindre aux mobilisations du 20 février à se rapprocher des unions départementales

 

 

 

smiley   Blog publication, 15 février 2020, 17H42

 

 

 

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12 février 2020 3 12 /02 /février /2020 14:34
Yves Veyrier      « Retraites : on ne baissera pas les bras ! »

Retraite par points / Réforme / Retraites / Syndicat

 

ÉDITO  du 12 février 2020

 

Yves Veyrier  

 

« Retraites : on ne baissera pas les bras ! »

 

 

  • Des discussions ont été ouvertes par le gouvernement, ces dernières semaines, sur les questions de l’emploi des seniors, de la pénibilité, de la retraite progressive, du minimum de pension, dont le Premier ministre entendait indiquer, jeudi 13 février, ce qu’il en retiendrait.

 

Si FO a fait connaître ses revendications en la matière, nous n’en sommes pas moins dupes qu’il s’agit de détourner l’attention des conséquences du projet de « système universel de retraite par points ». Nous ne nous laisserons pas divertir !

 

Au contraire, il nous semble important de rétablir précisément les faits.

Certains journalistes nous interrogent sur le rôle de FO.

 

Rappelons simplement qu’au mois de juillet, lorsque nous avons pris connaissance du rapport du Haut-commissaire, qu’au mois de septembre, lorsque nous avons rencontré le Premier ministre, FO est l’organisation qui a alerté : Ce n’est pas le système de retraite actuel qui est défaillant, c’est l’entrée dans le système, c’est-à-dire l’emploi, l’emploi des seniors, c’est l’entrée dans l’emploi des jeunes, les temps partiels subis, ce sont les bas salaires et c’est sur cela qu’il faut travailler.

 

Quand d’autres s’inscrivaient dans les concertations pour la mise en œuvre du système universel, FO déposait ses revendications précises sur ces sujets, dès le 16 octobre auprès du Haut-commissaire, puis le 25 novembre formellement au Premier ministre, considérant qu’elles s’inscrivaient dans le maintien et l’amélioration de notre système actuel de retraite.

 

Et il a fallu qu’on arrive à la grève du 5 décembre, il faut le rappeler, pour que le gouvernement consente à bien vouloir ouvrir des discussions sur ces questions.

Comme c’est le mouvement de grève qui a fait que le gouvernement recule. Par exemple, il a reculé à la génération 1975, il a reculé plus loin pour les cheminots, pour la RATP. Il a dû concéder des dispositions spécifiques, particulières à certaines professions qui se sont mobilisées.

 

Qui a la main aujourd’hui ? nous demande-t-on.

 

Si quelqu’un a la main, ce sont les syndicats, qui ont, comme FO, analysé précisément ce qu’était le contenu de cette réforme. C’est la confédération FO qui a prévenu, dès le mois d’août :  Si nous ne sommes pas entendus, nous irons à la grève, nous mobiliserons !

 

Quant à la conférence de financement, là non plus, nous ne sommes pas et ne serons pas dupes. Pour les représentants des employeurs la solution doit passer par une mesure d’âge.

 

Quant aux organisations qui ont demandé cette conférence, elles semblent plus frileuses parce que tout le monde s’aperçoit qu’au final, c’est dans le projet de loi et l’étude d’impact, ce sera un âge d’équilibre qui démarrera non plus à 64 ans, mais même à 65 ans pour aller plus loin…

 

  • Alors, quand on nous interroge sur la suite… la réponse est évidente pour FO : on ne baissera pas les bras ! C’est le sens de l’envoi de l’adresse à l’ensemble des parlementaires, leur demandant de ne pas voter ce texte en parallèle de la nécessité du maintien de la mobilisation !

 


YVES VEYRIER

  • Secrétaire général de Force Ouvrière

 

 

 

 

smiley   Blog publication, 12 février 2020, 14H47

 

 

 

Yves Veyrier      « Retraites : on ne baissera pas les bras ! »
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11 février 2020 2 11 /02 /février /2020 16:36
9e manifestation contre la réforme des retraites voulant instaurer un régime de retraite à points. Paris le 6 février 2020. Photos : F. Blanc

9e manifestation contre la réforme des retraites voulant instaurer un régime de retraite à points. Paris le 6 février 2020. Photos : F. Blanc

Société / Retraite par points / Réforme / Grève / Manif / Mobilisation / Syndicat

 

Retraite

 

 

 

 

La mobilisation continue
 

REVUE DE PRESSE 

 

 

  • Contrairement aux espoirs du gouvernement, la mobilisation contre la réforme des retraites ne faiblit pas, voire s’accentue dans certaines régions et professions.

 

Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

AFP


L’agence dresse un état des lieux : De son côté, Force Ouvrière a écrit aux parlementaires pour qu’ils n’approuvent pas le projet de loi et qu’ils demandent au gouvernement d’y renoncer. Dans la rue, des actions se sont poursuivies cette semaine [3-6 février], organisées notamment par des fonctionnaires (police scientifique, éboueurs, égoutiers…), ports morts… Les salariés du secteur de l’énergie restent aussi mobilisés, notamment dans le traitement de déchets et le nucléaire.

 

 

 

 

Le Figaro


Dans toute la France : Tramway bloqué par des pompiers allongés sur les rails à Nice, chaîne humaine d’avocats à Tours, intrusion d’enseignants-chercheurs dans les locaux du Medef de Lille… Les opposants à la réforme des retraites ont poursuivi leurs actions et sont redescendus dans la rue pour la neuvième fois, jeudi [6 février], contre un projet décrit comme injuste et dangereux.

 

 

 

 

L’Humanité


De nombreux agents des secteurs publics, de la santé, de l’éducation nationale… et des salariés du privé ont ainsi défilé de la gare de l’Est jusqu’à la place de la Nation. C’est une question de survie, on se souvient que des textes de loi comme le CPE ont été annulés après avoir été adoptés, explique Julien Allayaud, égoutier dans le Val-de-Marne, bombe de peinture à la main.

 

À ses pieds, il a dessiné la forme d’un corps sur le bitume avec l’inscription Égoutier mort au travail.

 

 

 

Sud Ouest


Le grand quotidien aquitain n’hésite pas à titrer son article La mobilisation sociale repart à la hausse. Il décrit la manifestation : Hier [6 janvier], les enseignants se sont levés à l’aube pour édifier un mur de parpaings devant l’entrée du rectorat avant l’arrivée des personnels. La construction a été rebaptisée mur du mépris.

D’après les syndicats, ils étaient plus de 8 000 manifestants dans les rues de Bordeaux : Les cheminots, toujours équipés de fumigènes, sont nettement moins nombreux qu’au début mais, cette fois, universitaires et étudiants sont entrés dans la danse. Le nouveau sujet qui fâche est en effet la LPPR, la future loi recherche, dont les enseignants redoutent qu’elle accentue la précarité. L’Université Bordeaux-Montaigne est d’ailleurs restée fermée toute la journée.

 

 

 

 

Sourcing: CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

  • Journaliste l'InFO militante 

 

 

Libre et independante

 

 

 

smiley   Blog publication, 11 février 2020, 16H56

 

 

 

Retraite par points, la mobilisation continue - (revue de presse)
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7 février 2020 5 07 /02 /février /2020 17:45
Réforme des retraites    Le retrait, point

Grève / Retraite par points / Retraites / Réforme / Manif / Mobilisation / Syndicat

 

COMMUNIQUÉ INTERSYNDICAL 

 

Réforme des retraites

 

Le retrait, point

 

 

  • Les journées des 5 et 6 février ont été de nouveaux temps forts de mobilisations et de grèves, de la jeunesse et des salarié.es.

 

Chaque semaine et ce depuis le 5 décembre, des A.G se multiplient sur les lieux de travail, dans les lycées et universités malgré les diverses pressions. En aucun cas la réponse à la crise sociale ne peut être une répression à l’encontre de celles et ceux qui expriment un désaccord.

 

Chaque jour des actions et des initiatives sont organisées dans tous les territoires. Le rejet de la réforme et la détermination d’obtenir le retrait sont intacts et se propagent de manière inéluctable.

 

 

Notre intersyndicale partage et porte des propositions sur le financement et l’amélioration de notre système de retraite solidaire et intergénérationnel. Elle travaille à l’organisation d’une contre-conférence nationale courant mars, déclinée localement, pour débattre largement et publiquement des solutions et propositions envisageables pour un projet sérieux d’amélioration des régimes de retraite.

 

De même, au-delà de l’opinion publique défavorable au projet de réforme, les différentes caisses de retraites comme les institutions, dont la plus haute, celle du Conseil d’État, ont toutes acté un avis critique voire négatif. Continuer à vouloir imposer ce projet relève de la part du gouvernement d’un vrai déni de démocratie.


Nos organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, UNL et UNEF sont persuadées que cette mobilisation inédite et historique vaincra.

 

 

 

 

Elles appellent au renforcement et à la continuité de la mobilisation et de la grève là où les salarié.es le décident. Elles engagent à tenir des AG, à poursuivre durant la période à venir des actions diverses de mobilisations et d’informations larges de la population, à multiplier les initiatives locales et interprofessionnelles pour créer les conditions d’une journée d’ampleur.

 

Elles appellent à préparer d’ores et déjà de nouveaux temps forts de mobilisation, autour du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Elles seraient effectivement les plus grandes perdantes, avec ce projet de loi sur les retraites.

 

C’est dans ce contexte de mobilisation continue que nos organisations syndicales et de jeunesse, appellent l’ensemble de la jeunesse, des salarié.es, des privé.es d’emploi, des retraité.es à une nouvelle journée de convergence de grèves et de manifestations le 20 février.

 

  • L’intersyndicale se réunira le 20 février pour définir les suites.

 

 

YVES VEYRIER

  • Secrétaire général de Force Ouvrière

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

smiley   Blog publication, 07 février 2020, 17H58

 

 

 

Réforme des retraites    Le retrait, point
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6 février 2020 4 06 /02 /février /2020 18:47
#6Février2020 - Mobilisation pour les retraites par www.force-ouvriere.fr -  FO au démarrage du cortège parisien.© F. BLANC)

#6Février2020 - Mobilisation pour les retraites par www.force-ouvriere.fr - FO au démarrage du cortège parisien.© F. BLANC)

Retraite / Réforme / Mobilisation / Manif / Grève / #6Février2020 / Syndicat

 

MOBILISATION

 

Projet de réforme des retraites

 

 On est loin d’en avoir terminé

 

  • Ce 6 février, deux mois quasiment jour pour jour après le début de la mobilisation, plusieurs dizaines de milliers de salariés du privé et de fonctionnaires ont de nouveau manifesté contre le projet gouvernemental de régime unique de retraites par points.
  • Des cortèges se sont ébranlés à travers tout le pays, jusque dans les plus petites villes, démontrant que rien n’est réglé et que la mobilisation est toujours là. Sa durée montre la force de la contestation et de l’inquiétude, a souligné le Secrétaire général de la confédération

 

Alors que le projet de réforme des retraites sera discuté en séance plénière à l’Assemblée nationale à partir du 17 février et l’est déjà en commission, le secrétaire général de FO Yves Veyrier a indiqué au démarrage de la manifestation parisienne : la confédération FO s’est adressée à tous les parlementaires pour leur demander de ne pas voter cette erreur historique.

 

  • On sera là et on ne lâchera pas

 

Rappelant que le Conseil d’État a dû demander que l’étude d’impact du projet soit refaite, la qualifiant de lacunaire, Yves Veyrier a souligné : Il confirme ainsi notre analyse : personne ne peut savoir ce que sera sa retraite demain dans le cadre de ce projet (…) On est donc loin d’en avoir terminé. On sera là. On ne lâchera pas.


De fait, dans le cortège, les slogans ne variaient pas d’un iota par rapport aux manifestations précédentes. Retraites à points tous perdants et d’abord nos enfants !… La clause du grand-père on n’en veut pas, la clause la grand-mère, on n’en veut pas !… Ni amendable, ni négociable…

 

  • Face à l’aveuglement du gouvernement

 

La durée inédite du mouvement montre la force de la contestation, de l’inquiétude, a souligné le secrétaire général de FO. Il a rappelé le très large soutien qu’il recueille au sein de la population, citant aussi l’exemple des 350 délégués FO d’hypermarchés Carrefour qu’il avait rencontré la veille à Arles : Je peux vous dire qu’ils sont à fond derrière nous et qu’ils nous demandent de ne pas lâcher. Ce qui est en jeu aujourd’hui, c’est ce que le Conseil d’État lui-même qualifie de composante majeure du contrat social.

 

Et de conclure : De la part du gouvernement, ce n’est plus une volonté de réforme, c’est de la posture. Face à cet aveuglement, à cette obstination, nous allons réfléchir à de nouvelles formes de mobilisation. Nous allons trouver les moyens de tenir, avec l’imagination et l’enthousiasme de celles et de ceux qui sont convaincus de la justesse de leur analyse et de leur action.



Sourcing: EVELYNE SALAMERO, in fo.fr

 

  • Journaliste à L’inFO militante - Rubrique internationale

 

 

smiley   Blog publication, 06 février 2020, 19H38

 

 

 

Projet de réforme des retraites      On est loin d’en avoir terminé
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30 janvier 2020 4 30 /01 /janvier /2020 16:29
Bruno ARBESU/REA

Bruno ARBESU/REA

Grève / Retraite par points / Retraites / Manif / Syndicat

 

COMMUNIQUÉ INTERSYNDICAL

 

 

 

 

Retraites

 

 Mobilisé-es et toujours aussi déterminé-es
 

 

  • Les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, MNL, UNL se félicitent de l’importance des mobilisations pour le retrait du projet de réforme des retraites du Gouvernement.
  • Le soutien de la population au mouvement social s’amplifie, des initiatives unitaires sont prises sur tout le territoire, les journées de grèves et de manifestations du vendredi 24 et du mercredi 29 janvier ont encore rassemblé des centaines de milliers de personnes.
  • C’est la preuve d’un rejet massif des propositions portées par le Gouvernement.

 

L’avis du Conseil d’État est un désaveu cinglant à la stratégie gouvernementale.

 

Cette réforme est décidément injuste et dangereuse. Il confirme nos analyses d’une réforme qui méprise les formes réglementaires et législatives et, sur le fond, fait ressortir le flou du projet.

Il pointe les biais de l’étude d’impact et des 29 ordonnances auxquelles le texte du projet de loi renvoie comme autant d’éléments qui masquent la réalité de la réforme.

 

Il contredit les engagements de compensation aux dégâts de la réforme que le gouvernement avait fait miroiter pour certain-es catégories.

 

A la veille de l’ouverture de la « conférence des financeurs », nos organisations syndicales réaffirment leurs propositions d’augmentation des recettes des régimes de retraites, qui passent par une meilleure répartition des richesses créées par le travail des salarié-es.

 

Une mobilisation historique par sa force et sa durée, le soutien sans faille de l’opinion publique, l’avis du Conseil d’État : le projet de réforme des retraites n’a jamais été si fragile.

 

Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, MNL, UNL appellent l’ensemble du monde du travail et la jeunesse à poursuivre et à amplifier, dans tous les secteurs, la mobilisation dès maintenant et tout au long du débat parlementaire qui s’ouvre la semaine prochaine par des actions diversifiées : rassemblements, retraites aux flambeaux, dépôts d’outils symboliques des métiers, etc.

Il n’y aura pas de trêve. Des actions de mobilisation sont déjà prévues la semaine prochaine.

 

Le 5 février, les organisations soutiennent l’initiative de mobilisation des organisations de jeunesse et encouragent à construire des initiatives locales et diversifiées.

 

  • Elles appellent à faire du jeudi 6 février une nouvelle journée interprofessionnelle de grève et de manifestations à l’occasion du début des travaux de la commission spéciale de l’Assemblée Nationale. Elles appellent à interpeller les parlementaires. Elles mettent en perspective des actions de mobilisation notamment la semaine d’ouverture des travaux à l’Assemblée Nationale et tout au long des débats parlementaires. Elles décident de se réunir à nouveau le 6 février au soir.

 

 

YVES VEYRIER

  • Secrétaire général de Force Ouvrière

 

 

 

 

 

 

smiley   Blog publication, 30 janvier 2020, 16H38

 

 

 

Retraites - Mobilisé-es et toujours aussi déterminé-es
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27 janvier 2020 1 27 /01 /janvier /2020 10:55
© F. BLANC

© F. BLANC

Société / Chômage / Cotisations sociales / Égalité professionnelle / Egalité réelle / Réforme / Emploi / Pénibilité / Retraite par points / Retraites / Syndicat / Manif / Grève

 

COMMUNIQUÉ DE FO

 

Retraites

 

FO appelle le gouvernement à stopper le processus

 

La confédération FO a pris connaissance de l’étude d’impact ainsi que de l’avis du Conseil d’État sur les deux projets de loi relatifs au projet de système universel de retraites par points.

  • L’avis du Conseil d’État porte une critique sévère sur les aspects essentiels sur lesquels FO n’a eu de cesse d’alerter.

 

En premier lieu, il se confirme que le projet de réforme systémique sera bel et bien une réforme paramétrique permanente de l’ensemble des retraites sur laquelle les gouvernements pourront agir.

 

Le Conseil d’État confirme ainsi la mise en garde de FO quant au caractère incertain de la retraite demain, si le système universel voyait le jour : le choix d’une détermination annuelle de chacun des paramètres du système, y compris ceux applicables à une génération entière, aura pour conséquence de limiter la visibilité des assurés proches de la retraite sur les règles qui leur seront applicables.

 

Qui plus est, au-delà du débat sur l’âge pivot temporaire (renvoyé à ladite Conférence des financeurs) tant les projets de loi que l’étude d’impact et l’analyse du Conseil d’État confirment que l’âge d’équilibre sera la clé de voûte du système universel. Alors que depuis des mois, cet âge d’équilibre était annoncé à 64 ans, il serait de 65 ans dès l’entrée en vigueur du futur système (génération 1975) et continuerait de croître.

 

En fait de système plus juste et plus simple, le Conseil d’État met à bas le slogan du « chaque euro cotisé donnera les mêmes droits » pointant la complexité et la diversité des règles de cotisation ou d’ouverture des droits définies par le projet de loi.

 

Le Conseil d’État confirme aussi les analyses de FO qui a dénoncé à plusieurs reprises les éléments de langage du gouvernement consistant à mettre au compte de son projet des éléments de solidarité qui ont été mis en œuvre dans la cadre du système de retraite actuel : le gouvernement reprend, en les adaptant, les principaux mécanismes existants de bonification notamment pour motifs familiaux, les avantages afférents, qui prennent aujourd’hui la forme de majoration de pensions ou de durée d’assurance.

 

  • Cette situation conforte un peu plus encore la position de FO.

 

  • FO appelle le gouvernement à stopper le processus et à revenir à la table de négociation au point de départ, sans préalable. Le projet de système universel par point doit être abandonné.

 

  • FO est prête et a fait connaître ses propositions et revendications sur les questions clés pour les retraites demain, dans le cadre du système actuel : emploi, chômage, précarité et bas salaires, salaires et cotisations sociales, égalité femme-homme, pénibilité…

 

 

 

YVES VEYRIER

  • Secrétaire général de Force Ouvrière

 

 

 

 

 

smiley   Blog publication, 27 janvier 2020, 11H07

 

 

 

Retraites     FO appelle le gouvernement à stopper le processus
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25 janvier 2020 6 25 /01 /janvier /2020 15:52
Retraites     Etude d’impact – première réaction

Société / Grève / Manif / Réforme / Retraite par points / Retraites

 

COMMUNIQUÉ DE FO

 

Retraites

 

Etude d’impact – première réaction
 

 

  • La confédération FO se félicite de la mobilisation de cette journée du 24 janvier, partout en France, qui confirme la détermination intacte contre le projet de régime unique par points, après 50 jours de grèves et manifestations.

 

FO a pris connaissance dans le même temps de la parution publique de l’étude d’impact dans le cadre de la présentation, sans surprise, des deux projets de loi au Conseil des ministres.

 

En premier lieu, FO ne peut que déplorer une conception pour le moins restreinte du dialogue social de la part du gouvernement. En effet, cela fait plus d’un an que FO a demandé au gouvernement de produire des simulations de l’effet de son projet, comparé à la situation dans le cadre du système actuel de retraites. Non seulement ces simulations n’ont pas été produites, mais l’étude des impacts par grandes catégories ne permet nullement de comparer les situations individuelles.

 

 

En se référant à la synthèse, FO constate que les effets présentés comme favorables soit masquent le recul de l’âge de la retraite pour la majorité des salariés – l’âge d’équilibre est fixé à 65 ans dès l’entrée en vigueur du régime (génération 1975) - soit sont dus à des mesures n’étant pas directement liées au régime unique par points. Ainsi le relèvement du minimum contributif à 85% du Smic est déjà prévu dans la loi depuis 2003 et aurait dû être atteint depuis 2008.

 

 

FO constate que les mêmes formules fausses sont reprises, comme celles mettant sur le compte du système de retraite actuel l’écart de niveau de pension des femmes vis-à-vis de celui des hommes, alors que cette réalité est la conséquence des inégalités dans l’emploi que subissent les femmes (bas salaires, inégalités de salaires et de carrières, temps partiel subi).

 

FO constate que là où le gouvernement n’a eu de cesse de vanter que l’annulation de la décote descendrait à 64 ans (au lieu des 67 ans pour celles n’ayant pas une carrière complète) cela sera, avec le nouveau régime, à 65 ans, pour augmenter ensuite !

 

Qui plus est rien n’est dit quant au niveau de pension avec un système où il faudra intégrer l’ensemble de la carrière et non plus les seules 25 meilleures années. Autrement dit, l’âge d’équilibre à 65 ans et plus pourrait lui-même devenir virtuel si le niveau de pension ne suffit pas pour une retraite correcte.

 

FO note aussi que le Conseil d’état « constate que les projections financières transmises restent lacunaires » et laisse comprendre que les procédures de consultations ont été bâclées, y compris en ce qui le concerne (manque de sérénité et de délais de réflexion pour garantir la sécurité juridique, au regard d’une réforme touchant une des composantes majeures du contrat social).

 

 

 

 

Au passage, le Conseil d’état démonte l’artifice de communication du « un euro donnera les mêmes droits » et du système censé être plus simple, soulignant la complexité et la diversité des règles de cotisation et d’ouverture des droits.

 

Le Conseil d’état compte un total de 29 ordonnances à venir, ce qui conduit à perdre la visibilité d’ensemble nécessaire à l’appréciation des conséquences de la réforme.

 

FO est plus que jamais convaincue de tout mettre en œuvre pour empêcher cette contre-réforme de notre système de protection sociale de voir le jour. Et en conséquence, son engagement résolu dans la mobilisation nécessaire.

 

 

 

YVES VEYRIER

  • Secrétaire général de Force Ouvrière

 

Retraites     Etude d’impact – première réaction

angry   Blog publication, 25 janvier 2020, 16H11

 

 

 

Retraites     Etude d’impact – première réaction
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