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  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 16:42
The futur world of work
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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 14:29
FO Banques tire le signal d’alarme et alerte les candidats à la présidentielle du risque de catastrophe !

FO Banques tire le signal d’alarme et alerte les candidats à la présidentielle du risque de catastrophe !

FO Banques tire le signal d’alarme et alerte les candidats à la présidentielle du risque de catastrophe !
FO Banques tire le signal d’alarme et alerte les candidats à la présidentielle du risque de catastrophe !

Les fédérations FO Banques et Sociétés Financières et FO Organismes Agricoles Branche Crédit Agricole ont saisi la Fédération Bancaire Française (FBF) et les candidats à l’élection présidentielle des évolutions alarmantes de la profession bancaire.

 

 

En effet, la profession bancaire est, ces derniers mois, l’objet d’annonces régulières en matière de plans de restructurations touchant les réseaux d’agences. Un à un, les groupes bancaires français, Société Générale, BNPP, BPCE, LCL... annoncent leurs plans de développement du numérique et du digital.

 

Les justifications de ces restructurations sont toujours les mêmes :
Les clients n’iraient plus et ne voudraient plus de leur agence bancaire, ils voudraient du numérique et du digital !

 

Fortes de ce soi-disant constat, les banques françaises annoncent des milliers de fermetures d’agences :

 


  • 200 pour BNPP ;

  • 400 pour la Société Générale ;

  • 400 pour BPCE ;

  • 200 pour LCL ;
...

Aujourd’hui si le Crédit Agricole et le Crédit Mutuel, au travers de leurs caisses régionales, n’annoncent pas officiellement de fermetures massives, l’inquiétude est grande quant aux restructurations et réorganisations annoncées.
En effet, sous couvert de « maillage », vocable utilisé par de nombreuses caisses régionales, celles-ci restructurent leur réseau en fermant des agences en territoire rural et en regroupant les effectifs sur des grosses agences.

 

Pire encore des dizaines de milliers de suppressions d’emplois à venir complètent les annonces de restructurations :

 


  • 4 000 chez BPCE.

  • Plus de 1 000 chez BNPP.

  • 1 000 à la Société Générale.

  • Plus de 500 à LCL.
...

Au Crédit Agricole, le digital devient prétexte au remplacement du conseil physique par des interlocuteurs physiquement non-présents et accessibles via écrans.

 

Les fédérations FO Banques et Sociétés Financières et FO Organismes Agricoles Branche Crédit Agricole disent non à cette mascarade et cette hypocrisie !

 

Oui les clients veulent du numérique et du digital, oui ils veulent accomplir certaines opérations sur leurs smartphones et leurs tablettes, mais ils ne veulent pas de fermetures d’agences et d’un conseiller financier qui serait virtuel.
Toutes les études le prouvent, le premier critère dans le choix de leur banque est bien souvent la proximité. Un des principaux critères est également d’avoir un vrai conseiller dédié qu’ils connaissent.

 

 

Aujourd’hui, si les banques ferment des agences et détruisent des emplois, c’est pour augmenter encore et encore leurs bénéfices qui pourtant pour 2016 s’élèvent à plus de 20 milliards d’euros !

 

 

Si nous interpellons la FBF et les candidats à la présidentielle, c’est que nos deux fédérations FO pensent que nous sommes certainement à la veille d’une catastrophe sociale sans précédent dans notre profession et que l’impact serait fortement négatif sur l’économie locale de notre pays.

 

Avec une telle réduction des réseaux d’agences, qui financera l’économie locale ?
Qui sera le plus à même d’aider et de financer au quotidien les projets des ménages, les projets des commerçants, des artisans, des PME ?
Ce ne sont pas des plateformes téléphoniques ou des centres de décisions régionaux ou nationaux qui pourront avoir suffisamment de proximité pour comprendre et prendre en compte les particularités locales, pour déceler le potentiel de tel ou tel client, de tel ou tel artisan, de telle ou telle entreprise...

 

Les fédérations FO pensent que si la montée du numérique et du digital est inéluctable, elle n’oblige en rien à changer notre modèle de banque universelle profondément ancré sur une banque de réseau proche du client afin de financer l’économie réelle et de jouer son rôle de conseil.

 

 

Contrairement aux dirigeants de la finance qui souhaiteraient suivre des modèles « anglo-saxon ou allemand », nous pensons que le modèle « français » de banque universelle nous a permis de mieux passer l’écueil de la crise de 2007 et peut nous permettre de relancer l’économie de notre pays en maintenant l’emploi.

 

Oui la profession et les salariés que nous défendons représentent plus de 400 000 emplois et qui, de par ses services, peut aider l’économie locale à relancer bien d’autres emplois et la consommation.

 

 

FO Banques et Sociétés Financières et Organismes Agricoles Branche Crédit Agricole proposent donc d’utiliser les milliards d’euros de bénéfices des banques et les milliards d’euros d’aides du CICE et du pacte de responsabilité pour :

 


  • aider au maintien d’emplois dans les campagnes ;

  • recréer des mesures de départs anticipés de type préretraites, afin d’accompagner la montée en puissance du numérique et du digital ;

  • recréer des dispositifs de baisse du temps de travail aidé type De Robien ;

  • compenser les départs en retraite aujourd’hui non remplacés ;

  • des mesures d’aides financières aux salariés de mobilité géographique et fonctionnelle ;
  • des formations/reconversions spécifiques dédiées aux salariés de notre profession.

Ces mesures devront être mises en œuvre et totalement prises en charge par les entreprises grâce aux bénéfices des banques et aux aides CICE et Pacte de responsabilité.

 

Pour être efficace et ne pas « sacrifier » les emplois et l’économie locale sur l’autel des dizaines de milliards d’euros de bénéfices rêvés par les dirigeants des banques, il est nécessaire d’interdire les licenciements dans une profession qui prospère et perçoit des aides de l’État.

 

Ainsi nous souhaitons ouvrir un débat et des travaux sur la défense de l’emploi des salariés de la profession bancaire et au maintien de conditions de travail descentes pour des salariés qui subissent une augmentation de leur charge de travail, des mutations géographiques et fonctionnelles forcées ou pire encore le retour du « chantage à l’emploi ».

 

 

Communiqué de la FEC-FO - Banques et Sociétés Financières et Organismes Agricoles Branche Crédit AgricoleLa force de l’information


 
#LoiTravail­FOditNON

FO : j’adhère !
FO Force Ouvrière, La force syndicale

FO Banques tire le signal d’alarme et alerte les candidats à la présidentielle du risque de catastrophe !
FO Banques tire le signal d’alarme et alerte les candidats à la présidentielle du risque de catastrophe !
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Les fédérations FO pensent que si la montée du numérique et du digital est inéluctable, elle n’oblige en rien à changer notre modèle de banque universelle profondément ancré sur une banque de réseau proche du client afin de financer l’économie réelle et de jouer son rôle de conseil.
Les fédérations FO pensent que si la montée du numérique et du digital est inéluctable, elle n’oblige en rien à changer notre modèle de banque universelle profondément ancré sur une banque de réseau proche du client afin de financer l’économie réelle et de jouer son rôle de conseil.
Les fédérations FO pensent que si la montée du numérique et du digital est inéluctable, elle n’oblige en rien à changer notre modèle de banque universelle profondément ancré sur une banque de réseau proche du client afin de financer l’économie réelle et de jouer son rôle de conseil.

Les fédérations FO pensent que si la montée du numérique et du digital est inéluctable, elle n’oblige en rien à changer notre modèle de banque universelle profondément ancré sur une banque de réseau proche du client afin de financer l’économie réelle et de jouer son rôle de conseil.

FO Banques tire le signal d’alarme et alerte les candidats à la présidentielle du risque de catastrophe !
FO Banques tire le signal d’alarme et alerte les candidats à la présidentielle du risque de catastrophe !
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3 avril 2017 1 03 /04 /avril /2017 17:00
Junk food
Junk food

Junk food

Junk food


La malbouffe est la nourriture jugée mauvaise sur le plan diététique en raison notamment de sa faible valeur nutritive et de sa forte teneur en graisses ou en sucres.
Les hamburgers, les hot-dogs, les frites, les chips, les sodas en sont des archétypes.

 

Mc Donald est une enseigne de ce type de nourriture désignée sous le vocable de junk food
Mc Donald est une enseigne de ce type de nourriture désignée sous le vocable de junk food

Mc Donald est une enseigne de ce type de nourriture désignée sous le vocable de junk food

Junk food, McDonald’s, un exemple de pratiques abusives dans la restauration rapide
 Mobilisation de FO-McDonald’s demandant des explications à l’enseigne concernant l’évasion fiscale le 25 novembre 2016.

Mobilisation de FO-McDonald’s demandant des explications à l’enseigne concernant l’évasion fiscale le 25 novembre 2016.

Focus sur McDonald’s, un exemple de pratiques abusives dans la restauration rapide

Le groupe américain McDonald’s multiplierait les manoeuvres pour s’enrichir toujours plus au détriment de ses travailleurs, de ses consommateurs et maintenant de ses franchisés comme le révèlent l’EFFAT (Fédération Européenne des Syndicats de l’Alimentation, de l’Agriculture et du Tourisme) et le syndicat américain SEIU dans leur rapport McProprio de mars 2017.

 


En 2015, une coalition de syndicats européens et américains avait révélé les pratiques abusives du groupe McDonald’s en matière fiscale lui ayant permis d’éviter de payer plus d’un milliard d’euros en impôt sur les sociétés en Europe entre 2009 et 2013, principalement en France, Italie, Espagne et Royaume-Uni.
Cette stratégie consistait à déplacer le siège social européen du Royaume-Uni en Suisse et à utiliser les paiements de redevances intra-groupes pour les placer dans une filiale au Luxembourg avec une branche suisse.

 

 

Cette filiale employait 13 personnes avec un chiffre d’affaires s’élevant à 3,7 milliards d’euros dont seulement 16 millions d’euros étaient versées au titre de l’impôt sur les sociétés – McDonald’s compte 7 850 magasins en Europe et affiche un chiffre d’affaires mondial s’élevant à plusieurs dizaines de milliards de dollars chaque année tandis que la division européenne compte pour environ 40 % du chiffre d’affaires global.

 

 

 

Le cœur du problème réside dans le paradoxe de l’optimisation fiscale et des conditions de travail précaires des travailleurs pour le groupe McDonald’s avec des salaires dérisoires au vu de leur chiffre d’affaires astronomique accentué en outre par cette optimisation fiscale.
Le 3 décembre 2015, la Commission Européenne a lancé une enquête sur le traitement fiscal accordé par le Luxembourg au groupe McDonald’s, qui n’a toujours pas abouti à l’heure actuelle.

 

 

Plus récemment, en janvier 2016, trois associations de consommateurs italiennes – soutenues par une coalition de syndicats européens et américains – ont émis une plainte à l’encontre du groupe McDonald’s auprès de la Commission Européenne afin de condamner le groupe pour sa pratique déloyale vis-à-vis de ses franchisés sur la question de l’immobilier et des paiements de loyer au groupe.

 

 

La plainte antitrust vise à condamner le système de franchisage mis en place par la société McDonald’s afin de maximiser ses profits en pressant sur ses franchisés qui représentent plus de 80% de ses enseignes – avec des conséquences négatives à la fois sur les consommateurs mais surtout sur les travailleurs.

 

McDonald’s possède virtuellement tous les magasins utilisés par ses franchisés qui doivent s’acquitter d’un loyer – les contrats de franchisage sont conditionnés à la conclusion du bail commercial incluant des conditions difficiles à respecter en termes de loyers, durée du contrat et des clauses de résolution.

 

Selon des syndicats européens et américains et des associations de consommateurs, McDonald’s abuse de sa position dominante sur le marché du fast food européen et considère leur pratique de franchisage incompatible avec le droit de l’Union Européenne notamment en raison de l’activité des franchisés résolument restreinte par le franchiseur.

 

 

Selon le rapport McProprio, McDonald’s chargeait en 2014 les loyers à hauteur de 13,4% des ventes en moyenne et plus de 20 % dans certains pays européens comme l’Allemagne et l’Italie –plus de trois fois supérieur aux prix sur le marché de l’immobilier– ces prix sont bien plus élevés que pour les magasins directement utilisés par le franchiseur ou par les franchisés de chaînes concurrentes.
Pour la même année, le groupe McDonald’s a réalisé une marge brute mondiale de 2,6 milliards d’euros pour la vente de nourriture tandis que 4 milliards d’euros de bénéfices provenaient des loyers des franchisés.

 

En janvier 2016, des syndicats ont envoyé de nombreuses pétitions au Parlement européen pour demander de prendre des actions à l’encontre de McDonald’s qui pratique des politiques de l’emploi précaires comme l’utilisation de contrats zéro-heures au Royaume-Uni ou qui limite la représentation syndicale notamment en France.

 

La Commission Européenne est aujourd’hui en train d’enquêter sur l’optimisation fiscale de McDonald’s au Luxembourg tandis que les autorités fiscales du Royaume-Uni et de la France seraient prêtes à ordonner des sanctions s’élevant à plusieurs centaines de millions d’euros.

 

La Fédération FGTA-FO estime notamment que des actions seraient envisageables si les faits été avérées, à l’issue des enquêtes aujourd’hui en cours au sein de la Commission Européenne et de l’administration française, afin de mettre un terme à de telles pratiques.
Cependant, la Fédération met en avant une problématique générale du système du franchisage et le groupe McDonald’s n’est qu’un acteur parmi tant d’autres d’un système minant les droits des travailleurs, bien que son poids sur le marché français demeure inédit.

Mais pour la Fédération FGTA-FO, le cœur du problème demeure la représentation syndicale au sein des franchises afin de donner véritablement une voix aux salariés – le groupe McDonald’s doit nécessairement reconnaître l’existence des unités économiques et sociales (UES) – un groupement d’entités juridiquement distinctes de la branche de la restauration rapide – condition sine qua none pour lutter efficacement contre une distorsion de concurrence au sein même de la branche qui s’opère au bénéfice d’entreprises adoptant des stratégies de contournement de la loi et réalisant des marges au moyen de conditions sociales minimalistes, au détriment d’entreprises respectueuses des dispositions légales et consentant de meilleures conditions sociales à leurs salariés.

 


Pour Force Ouvrière, ces pratiques abusives, malheureusement communes dans la restauration rapide comme dans d’autres secteurs d’activité, doivent cesser ; mais elles démontrent aussi toutes les limites de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) qui apparaît plus que jamais comme un simple outil marketing qui fait l’impasse sur des pratiques, parfois légales, clairement déloyales et qui sabordent sans cesse les droits des travailleurs et des consommateurs.

 


Plus généralement, une véritable réflexion doit être menée sur la question du franchisage, qui permet à certains, notamment les multinationales, de mettre en place des empires engrangeant des bénéfices record au grand dam des travailleurs qui se retrouvent avec des conditions sociales au rabais.

 

Mais le rapport entre le franchisé et le franchiseur, souvent au bord de la dépendance économique et qui s’apparente plus à une relation de travail plutôt qu’à un simple rapport commercial, doit aussi être questionné.
Cgt FO SECTEUR EUROPE - INTERNATIONAL

 

À lire également


McDonald’s : FO revendique la transparence financière, suivre le lien:

 

Mc Donald est une enseigne de ce type de nourriture désignée sous le vocable de junk food

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3 avril 2017 1 03 /04 /avril /2017 12:48
Forfait Jours, alerte aux Risque Psychosociaux !
Forfait Jours, alerte aux Risque Psychosociaux !
Forfait Jours, alerte aux Risque Psychosociaux !
Forfait Jours, alerte aux Risque Psychosociaux !

Forfait Jours, alerte aux Risque Psychosociaux !

Forfait Jours, alerte aux Risque Psychosociaux !
« Forfait jour » et « Organisation du travail » - Conditions de travail : un avis de recherche est lancé
« Forfait jour » et « Organisation du travail » : les deux accords signés en 2016 devaient, d’après la direction, améliorer les conditions de travail.

Un an plus tard, FO Energie et Mines fait le constat d’un échec sans précédent.

 

 

Forfait Jours, alerte aux Risque Psychosociaux !

 

 

Contrairement aux « éléments de langage » diffusés par la Direction ou certains syndicats signataires, la grande majorité des Cadres qui ont opté pour le forfait jour n’ont pas été « emballés » par l’accord. Ils ont simplement considéré que ne pas signer, c’était prendre un risque fort sur ses Rémunération de la performance contractualisée des cadres (RPCC), et qu’ils n’auraient de toute façon pas le choix au prochain changement de poste.
Pour eux, il valait donc mieux prendre les 2 niveaux de rémunération (NR) prévus par « l’accord ».

 

 

Un an plus tard, le bilan est sombre : la mise en œuvre de l’accord entraine une augmentation de la productivité supportée par les agents, une dégradation de la qualité de vie au travail et de l’autonomie des cadres.

 

De plus, la Direction rattrape les 2 NR « supplémentaires » accordés aux cadres signataires en faisant fondre les effectifs et les quotas d’avancements.

 

Les Organisations Syndicales signataires de l’accord forfait jours ont beau protester et réclamer une réunion du comité national de pilotage, c’est trop tard !

 

Les cadres commencent à se rendre compte que la confiance qu’ils ont accordée aux Directions est bafouée.

 

FO Énergie et Mines alerte la Direction sur la dégradation des conditions de travail et l’augmentation des Risques Psychosociaux liés à ce dispositif.

 

FO Énergie et Mines tire la sonnette d’alarme !

 

Il faut le dire clairement : la Direction porte toute la responsabilité de l’augmentation des contraintes et de l’absence de plan de prévention des risques.

 

Organisation du Travail, la deuxième couche !

 

Dans la foulée du forfait jour, un autre Accord a vu le jour, encore une fois entériné par les deux mêmes organisations syndicales…

 

Le titre de cet accord : « Améliorer le fonctionnement et les conditions de travail des équipes au quotidien, pour plus de qualité de vie au travail et de performance des organisations ».

 

Lors de cette négociation, il nous est apparu inévitable de parler d’effectif pour traiter du fonctionnement : refus catégorique de la Direction !

 

Comment traiter de l’amélioration du fonctionnement sans aborder la question des effectifs ?

 

Que dire de l’amélioration des conditions de travail ?

 

L’augmentation de la « performance des organisations » est le seul élément qui compte vraiment pour la Direction !
Améliorer les conditions de travail en supprimant des emplois, cherchez l’erreur !
Comment ? En augmentant la pression pour faire plus avec moins d’agents.

 

 

Et en tentant de faire croire à tous, que la solution a été trouvée de façon collective (ceux qui ont déjà vécu la mise en place du « Lean management » voient bien de quoi il s’agit).

 

Qu’on ne s’y trompe pas : FO n’est évidemment pas opposée à l’augmentation de la performance. Mais cette augmentation, pour s’inscrire dans la durée, ne peut se faire qu’avec les agents, en leur accordant des contreparties réelles.

 

Faire contre les agents, c’est l’assurance d’aller dans le mur à moyen terme.
Car il faut le rappeler, la principale richesse d’EDF, c’est son personnel.

 

Face à l’orientation de l’entreprise, et à l’attitude déloyale des Directions, les représentants FO Énergie et Mines accompagneront les agents afin de faire respecter leur droit.

 

Communiqué de FO Energie et Mines

Forfait Jours, alerte aux Risque Psychosociaux !
Forfait Jours, alerte aux Risque Psychosociaux !
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31 mars 2017 5 31 /03 /mars /2017 22:03
Dans la rue, devant les tribunaux, dans les entreprises, la loi Travail continue d’être rejetée et combattue
Dans la rue, devant les tribunaux, dans les entreprises, la loi Travail continue d’être rejetée et combattue
Dans la rue, devant les tribunaux, dans les entreprises, la loi Travail continue d’être rejetée et combattue
Dans la rue, devant les tribunaux, dans les entreprises, la loi Travail continue d’être rejetée et combattue
Ayant combattu durant des mois avec notre Confédération cette loi Travail liberticide et destructrice, la fédération FO Énergie et Mines tient à exprimer son incommensurable satisfaction à la découverte des résultats du référendum tenu à RTE (Réseau de Transport d’Électricité).

 

 

Le rejet massif exprimé par les agents à hauteur de 70,8 % est l’expression de nombre de messages qu’il faut savoir apprécier.

 

 

Le référendum façon El Khomri a bien été perçu par nos collègues comme étant un moyen de division. Ils ont bien compris aussi que le but de cet accord chantiers à délais constants visait à flexibiliser les horaires des agents concernés, les soumettre à des délais de prévenance inacceptables et mettre à mal leur droit au repos, les weekends et jours fériés.

 

 

Pousser à faire voter des agents non concernés par le sujet du référendum afin de décider de ce qui concerne leurs collègues est une manière étonnante de concevoir la cohésion sociale de l’entreprise.
L’immense majorité l’a compris.
Bien moins que les 35,83 % que pèsent la CFDT et la CFECGC, à l’origine de cette indigne manoeuvre, ont cédé à la pression de ce duo soutenu par la direction.

 

Quel extraordinaire levier aurait été l’aboutissement de cette sournoise stratégie !

 

Sans nul doute, l’ambition de ses initiateurs résidait dans l’idée que les agents de la maintenance, s’ils n’avaient pas trouvé cette fois le soutien de leurs collègues, n’auraient probablement pas agi pour les défendre à l’occasion d’un autre référendum qui cette fois les aurait visés.

 

Diviser pour mieux régner, ce vieil adage est encore en vigueur !

 

Pour FO Énergie et Mines, l’expression des agents est la confirmation qu’il faut continuer de combattre cette loi, continuer d’en exiger l’abrogation. Ce référendum à RTE était l’une des premières conséquences concrètes dont celle-ci nous menace.

 

Dans les IEG, la loi Travail menace nos droits comme ceux de tous salariés.
Elle menace notre Statut, notre Branche. Cet exemple du référendum est d’ailleurs révélateur de la conception qu’ont nos employeurs de ce que serait le « dialogue social. » Il faut dire que cette loi étant née de trois 49-3… cette conception était déjà bien amenée !

 

Comment ne pas faire le lien avec ce fameux « dialogue social » qui amena à ce que l’on nous impose le gel à 0 % du Salaire National de Base, sans la moindre négociation ?

 

Enfin, lorsque la direction de RTE prétend que salariés et organisations syndicales se sont appropriés ce subterfuge que d’aucuns nomment « dialogue social », FO Énergie et Mines oppose les faits.
Deux confédérations syndicales luttent contre cette loi depuis plus d’un an : 70 % des agents ont cette semaine continué ce combat.

 

Nous ne pouvons que féliciter la sagacité et le courage de nos collègues de RTE qui ont prouvé que l’on peut résister aux tentatives de division.
Comme nous saluons le courage de tous nos collègues des IEG en lutte depuis des mois.

 

AGIR, RESTER DÉTERMINÉ, POUR NE PAS SUBIR

 

Communiqué de FO Énergie et Mines

Dans la rue, devant les tribunaux, dans les entreprises, la loi Travail continue d’être rejetée et combattue
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30 mars 2017 4 30 /03 /mars /2017 23:11
Le secteur du fruit n’est évidemment qu’un petit exemple de ce qui s’opère ailleurs dans le monde, notamment dans diverses industries allant du textile à l’alimentation en passant par l’accaparement de ressources rares.

Le secteur du fruit n’est évidemment qu’un petit exemple de ce qui s’opère ailleurs dans le monde, notamment dans diverses industries allant du textile à l’alimentation en passant par l’accaparement de ressources rares.

Elle dévoile la façon dont nos enseignes européennes influencent de façon négative les conditions de vie des producteurs étrangers par diverses pressions commerciales.

Elle dévoile la façon dont nos enseignes européennes influencent de façon négative les conditions de vie des producteurs étrangers par diverses pressions commerciales.

Ils sont mal patron ils sont mal !

 

Scandale chez LIDL : la triste face cachée de l’enseigne préférée des Français
Avec un chiffre d’affaires de 80 milliards d’euros en 2014, la marque allemande Lidl, réélue « enseigne préférée des Français » en 2015, a de quoi financer des campagnes publicitaires pour rafraîchir son image de marque discount. Et elle ne s’en prive pas !
Deuxième investisseur publicitaire parmi les grandes surfaces, Lidl semble pourtant avoir plus de difficultés lorsqu’il s’agit d’offrir à ses fournisseurs des conditions de travail décentes.
Révélées par un rapport publié par Peuples Solidaires – ActionAid France et Oxfam-Allemagne, les pratiques de l’enseigne coûtent cher aux travailleurs agricoles en Équateur et au Costa Rica, où la firme s’approvisionne.
Une pétition a été lancée.
C’est une enquête publiée par Peuples Solidaires – Action Aid France, et Oxfam-Allemagne, qui révèle aujourd’hui la situation inquiétante des travailleurs agricoles d’Équateur et du Costa Rica, deux régions connues pour leurs cultures de bananes et d’ananas.
Dans un communiqué de presse diffusé hier, l’ONG française invite à la prise de conscience et à la défense des producteurs laissés impuissants face aux géants de la distribution.
Mettant directement en cause l’enseigne de la marque Lidl, le communiqué renvoie vers l’enquête qui met en lumière les conditions dans lesquelles les fruits sont récoltés puis achetés.

L’enquête, réalisée dans le cadre de la campagne « Le Juste Fruit ! », s’est concentrée sur les plantations de « Matias », en Équateur, et de « Finca Once », au Costa Rica.

 

Elle dévoile la façon dont nos enseignes européennes influencent de façon négative les conditions de vie des producteurs étrangers par diverses pressions commerciales.

 

 

Des conditions de travail indignes et dangereuses

 

 

Sur les deux plantations, l’enquête révèle tout d’abord un usage intensif des pesticides, vaporisés en masse sur les monocultures. Dans un sondage, 60% des ouvriers interrogés travaillant sur une plantation fournissant Lidl affirment avoir déjà travaillé alors que l’épandage par avion était en cours.
Or, cette pratique est formellement en opposition avec les recommandations de l’État Équatorien en termes de sécurité et de droits du travail.

 

 

Dangereux non seulement pour les travailleurs agricoles, les pesticides utilisés sont aussi responsables de la pollution des zones riveraines adjacentes. Le rapport met notamment en garde contre la haute toxicité des produits utilisés, tant en Équateur qu’au Costa Rica, dont certains vont jusqu’à être interdits par l’Union Européenne ou étiquetés « hautement dangereux » par l’OMS .

 

 

Résultat :
De nombreux travailleurs souffrent de maladies respiratoires, de nausées, de réactions allergiques cutanées, de vertiges, mais subissent aussi un taux élevé de handicaps, de cancers et de fausses couches chez les femmes.
Des problèmes de santé desquels ni les propriétaires des plantations ni Lidl ne s’incommodent, comme en témoigne un ouvrier de « Finca Once » qui explique : « On nous arrose de pesticides, mais on ne nous propose pas de soins adaptés quand on tombe malade. Ça ne les gêne pas que les travailleurs-ses se fassent empoisonner. »

Les revendications syndicales étouffées dans l’œuf

 

Comme le pointe l’enquête, les employeurs font tout pour tenir les travailleurs dans l’ignorance la plus totale concernant leurs droits fondamentaux.
Chez Finca Once, on va même jusqu’à employer des immigrés du Nicaragua à qui ne sont concédés que des contrats verbaux d’une durée de trois mois et sans couverture sociale.
En Équateur, de nombreuses ouvrières n’ont jamais eu trace de leur contrat de travail. Si elles tombent enceintes, elles peuvent être licenciées du jour au lendemain.
Bref, chez nous, nous mangeons les fruits de cet esclavagisme moderne en toute ignorance des faits.

 

Lorsque ces travailleurs commencent à s’organiser pour faire valoir leurs droits, les mesures de répression sont telles que la plupart des revendications sont étouffées dans l’œuf.
Ainsi, le communiqué reprend le témoignage d’Isidrio Ochoa, ouvrier et syndicaliste dans le secteur de la banane et menacé par son ancien employeur.
Il raconte : « Durant l’été 2014, nous avons fondé un syndicat car les conditions de travail étaient terribles. En octobre, nous avons tous-tes été renvoyé-e-s. […] J’ai parlé de notre expérience lors d’une conférence au Pérou. À mon retour, j’ai reçu des menaces envoyées directement du portable de mon ancien patron. “Je t’aurai..” écrivait-il. Je me suis caché durant un long moment et, en mars 2015, j’ai déposé plainte auprès du bureau du procureur. Cette plainte est restée sans suite à ce jour. »

Le rôle pas anodin des géants de la distribution

 

 

Jusqu’ici, on pourrait encore se demander ce qu’une enseigne comme Lidl peut bien avoir à voir avec les conditions de travail des ouvriers équatoriens et costaricains.
Pour Alice Bordaçarre, chargée de campagnes Dignité au travail / secteur agricole chez Peuples Solidaires-ActionAid France, la réponse se trouve dans la pression exercée par ces géants sur les producteurs de fruits exotiques.

 

En effet, en revendiquant des prix défiant toute concurrence, les enseignes allemandes citées par le rapport, agissent et participent à la paupérisation des exploitations.
Celles-ci accumulent les stratagèmes pour proposer des fruits aux prix toujours plus bas et rester compétitifs au regard de la grande distribution.
La dictature du prix emporte tout sur son passage, les valeurs, la raison et les droits humains élémentaires.

 

 

La répartition de la valeur ajoutée est également sujette à polémique.
Comme le soulève le rapport, 42,4% de la valeur ajoutée produite grâce aux plantations équatoriennes va dans les poches de Lidl, quand le travail des ouvriers et ouvrières ne sera récompensé qu’à hauteur de 7% de celle-ci. En plus des conditions de travail difficiles, les ouvriers réalisent jusqu’à 14 heures de travail par jour 6 jours sur 7 pour gagner à peine de quoi vivre. La pétition a déjà rassemblé plus de 20 000 signature.

 

Pour Alice Bordaçarre, le constat est sans équivoque : « Tant que les grandes enseignes comme Lidl exerceront une pression sur leurs fournisseurs pour tirer au maximum les prix vers le bas, les travailleurs-ses agricoles ne pourront ni sortir de la pauvreté, ni faire respecter leurs droits. »
Le secteur du fruit n’est évidemment qu’un petit exemple de ce qui s’opère ailleurs dans le monde, notamment dans diverses industries allant du textile à l’alimentation en passant par l’accaparement de ressources rares.

 

 

Sourcing

 

image: https://i1.wp.com/aidersonprochain.com/wp-content/uploads/2016/08/lidle_ananas_bananes.jpg?resize=640%2C381

lidle_ananas_bananes
Source : flickr – Make fruit fair!

image: https://i0.wp.com/aidersonprochain.com/wp-content/uploads/2016/08/lidle_ananas_banane.jpg?resize=640%2C377

lidle_ananas_banane
Source : flickr – Make fruit fair!


Sources : « Des fruits au goût amer » — rapport Juillet 2016, Peuples-Solidaires – Oxfam /image illustration : Appels-urgents.peuples-solidaires.org/

 

Fourni par 
image:

https://www.gstatic.com/images/branding/googlelogo/1x/googlelogo_color_42x16dp.png

 

 

Par Harrag Aloés

 

En savoir plus sur http://aidersonprochain.com/scandale-chez-lidl-triste-face-cachee-de-lenseigne-preferee-francais/#A06Biif7vyGg58L2.99

 

NDR / BM

Ouvriers-ères du textile au Bangladesh, de la chaussure en Ethiopie, de la culture en Equateur ou au Costa Rica, les enfants pêcheurs en Asie, et autres......même combat,  mêmes délinquants, mêmes enseignes !

Or, cette pratique est formellement en opposition avec les recommandations de l’État Équatorien en termes de sécurité et de droits du travail.
Or, cette pratique est formellement en opposition avec les recommandations de l’État Équatorien en termes de sécurité et de droits du travail.

Or, cette pratique est formellement en opposition avec les recommandations de l’État Équatorien en termes de sécurité et de droits du travail.

Tant que les grandes enseignes comme Lidl exerceront une pression sur leurs fournisseurs pour tirer au maximum les prix vers le bas, les travailleurs-ses agricoles ne pourront ni sortir de la pauvreté, ni faire respecter leurs droits.

Tant que les grandes enseignes comme Lidl exerceront une pression sur leurs fournisseurs pour tirer au maximum les prix vers le bas, les travailleurs-ses agricoles ne pourront ni sortir de la pauvreté, ni faire respecter leurs droits.

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30 mars 2017 4 30 /03 /mars /2017 15:16
Michel Bourel, président de la fédération française de la franchise.

Michel Bourel, président de la fédération française de la franchise.

La fédération de la franchise fait valoir ses revendications pour les présidentielles. La version libérale absolue du jouir sans entrave appliquée à l'entreprise, !!!
10 propositions de la fédération de la franchise pour les présidentielles
 

 
A moins d’un mois du premier tour de l’élection présidentielle, la Fédération française de la franchise a décidé d’interpeller les candidats en publiant 10 propositions pour appuyer la franchise et continuer d’en "faire un fleuron de l’économie française et de l’emploi".

 

Les détails de ces mesures.  



Le président de la Fédération française de la franchise, Michel Bourel, et la déléguée générale, Chantal Zimmer, ont profité de Franchise Expo Paris (du 19 au 22 mars 2017), le plus grand salon international dédié à la franchise, pour rencontrer plusieurs parlementaires, conseillers et représentants de Benoît Hamon et Emmanuel Macron ainsi que des élus Les Républicains.
L’occasion de leur montrer l’efficacité du modèle de la franchise et de leurs transmettre 10 propositions pour favoriser son développement.
"La franchise est un système performant contribuant au dynamisme de l’économie française. (…) La grande ambition de la fédération française de la franchise est depuis toujours de préserver le modèle, lui redonner de la valeur et reconnaître son indépendance.
Cette volonté collective nécessite la contribution de tous et également des élus. Après une année 2016 marquée par l’article 64 de la loi Travail, nous avons besoin d’un signal fort de leur part pour préserver et soutenir le modèle et non le discriminer", indique Michel Bourel, président de la fédération française de la franchise.

Abroger l'article 64 de la loi travail

Sans surprise c’est d’ailleurs ce fameux article 64 de la loi travail (voir ci dessous), qui prévoit une représentation sociale collective de tous les salariés des réseaux de plus de 300 salariés, alors que les entreprises franchisées sont indépendantes en gestion et en droit, qui fait l’objet de la première proposition de la « fédé ».
La fff demande en effet aux candidats de préserver les fondamentaux de la franchise afin de reconnaître son indépendance et la spécificité de son modèle et cela passe en premier lieu par la suppression de l’article 64 de la loi Travail du 8 août 2016 car "il bafoue le principe d’indépendance entre franchiseur et franchisé", selon la fédération.
Autres dispositions pour préserver le secteur : la modification de la définition d’un gérant de succursale par l’article L.732-2 du Code du Travail afin d’éviter les dérives ; le maintien des clauses de non-concurrence contractuelles et post-contractuelles et le droit de préférence et enfin la reconnaissance à l’instar des instances européennes des spécificités de la franchise et leur protection.

Aider l'emploi et la création d'entreprises

Outre ces 5 dispositions socles, la fff demande dans son communiqué :

1/ D’amplifier la dynamique en faveur de l’emploi en agissant pour le référencement systématique de la franchise par les acteurs de l’emploi et de la reconversion : Pôle Emploi, APEC, les chambres de commerce et d’industrie, les chambres de métiers…

2/ D’instaurer une politique globale d’appui à l’entrepreneuriat pour accompagner le développement des jeunes franchisés avec 3 propositions :
  • Un régime fiscal pour diminuer le besoin en fonds de roulement pour les deux premières années de l’activité ;
  • une politique mieux coordonnée entre les ministères du travail et de l’économie, les régions et les organismes référents ;
  • et enfin, le référencement systématique de la franchise par les différents organismes dispensateurs d’aides.

3/ De revitaliser les centre-villes en accompagnant les commerces dans la transformation numérique

4/ Et enfin de favoriser l’expansion de la franchise à l’international.
Sourcing:    LSA / JÉRÔME PARIGI

 

NDR / BM

 

Aucune surprise, on enlève toutes contraintes aux règles  du jeu de quilles, et le gérant envoie la boule au milieu  comme il l'entend, et regarde les quilles tomber. Ceci est une autre version sur le thème, de la liberté du renard dans le poulailler, et foutez moi la paix, je m'enrichis comme je veux, ej suis indépendant, ce qui dans leur langage veut dire, indépendant des pouvoirs publics, de la justice, des règles de droit...................La version libérale absolue du jouir sans entrave appliquée à l'entreprise, !!!!  (le salarié n'est qu'une pièce, ou une quille dans notre exemple, simple variable, sans aucun droit, déshabillé complètement, taillable et corvéable).

 

Ils ne proposent pas la remise en cause des autres dispositions ! 

BM

La fédération de la franchise fait valoir ses revendications pour les présidentielles. La version libérale absolue du jouir sans entrave appliquée à l'entreprise, !!!
La fédération de la franchise fait valoir ses revendications pour les présidentielles. La version libérale absolue du jouir sans entrave appliquée à l'entreprise, !!!
Article 64 de la Loi travail

 


 https://www.legifrance.gouv.fr/eli/loi/2016/8/8/ETSX1604461L/jo/article_64
Alias: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/loi/2016/8/8/2016-1088/jo/article_64

 

I. - Dans les réseaux d'exploitants d'au moins trois cents salariés en France, liés par un contrat de franchise mentionné à l'article L. 330-3 du code de commerce qui contient des clauses ayant un effet sur l'organisation du travail et les conditions de travail dans les entreprises franchisées, lorsqu'une organisation syndicale représentative au sein de la branche ou de l'une des branches dont relèvent les entreprises du réseau ou ayant constitué une section syndicale au sein d'une entreprise du réseau le demande, le franchiseur engage une négociation visant à mettre en place une instance de dialogue social commune à l'ensemble du réseau, comprenant des représentants des salariés et des franchisés et présidée par le franchiseur.

L'accord mettant en place cette instance prévoit sa composition, le mode de désignation de ses membres, la durée de leur mandat, la fréquence des réunions, les heures de délégation octroyées pour participer à cette instance et leurs modalités d'utilisation.

A défaut d'accord :

1° Le nombre de réunions de l'instance est fixée à deux par an ;

2° Un décret en Conseil d'Etat détermine les autres caractéristiques mentionnées au deuxième alinéa.

Les membres de l'instance sont dotés de moyens matériels ou financiers nécessaires à l'accomplissement de leurs missions. Les dépenses de fonctionnement de l'instance et d'organisation des réunions ainsi que les frais de séjour et de déplacement sont pris en charge selon des modalités fixées par l'accord [Dispositions déclarées non conformes à la Constitution par la décision du Conseil constitutionnel n° 2016-736 DC du 4 août 2016.]

Lors de sa première réunion, l'instance adopte un règlement intérieur déterminant ses modalités de fonctionnement.
Lors des réunions mentionnées au deuxième alinéa et au 1° du présent I, l'instance est informée des décisions du franchiseur de nature à affecter le volume ou la structure des effectifs, la durée du travail ou les conditions d'emploi, de travail et de formation professionnelle des salariés des franchisés.

Elle est informée des entreprises entrées dans le réseau ou l'ayant quitté.

L'instance formule, à son initiative, et examine, à la demande du franchiseur ou de représentants des franchisés, toute proposition de nature à améliorer les conditions de travail, d'emploi et de formation professionnelle des salariés dans l'ensemble du réseau ainsi que les conditions dans lesquelles ils bénéficient de garanties collectives complémentaires mentionnées à l'article L. 911-2 du code de la sécurité sociale.

Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application du présent I, en particulier le délai dans lequel le franchiseur engage la négociation prévue au premier alinéa du présent I.

II. - Les organisations syndicales et les organisations professionnelles des branches concernées établissent un bilan de la mise en œuvre du présent article et le transmettent à la Commission nationale de la négociation collective au plus tard dix-huit mois après la promulgation de la présente loi.


Liens relatifs à cet article

Cite:
Code de commerce - art. L330-3 (V) 
Code de la sécurité sociale. - art. L911-2 (M) 

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30 mars 2017 4 30 /03 /mars /2017 13:57
Des salariés de Bonneval prévenus par SMS de ne plus venir travailler
© Agence de CHATEAUDUN - Des salariés de Bonneval prévenus par SMS de ne plus venir travailler

© Agence de CHATEAUDUN - Des salariés de Bonneval prévenus par SMS de ne plus venir travailler

Conflit social

Des salariés de Bonneval prévenus par SMS de ne plus venir travailler


 
Les employés et clients devant l'entreprise Conceptome, ce mardi 28 mars, en compagnie de Joël Billard, maire et président de la Communauté de communes du Bonnevalais.


Les salariés et les clients de l'entreprise Conceptome, située sur la zone d'activité La Louveterie, à Bonneval, se retrouvent devant une porte close depuis près de deux semaines. Le gérant ne répond pas à leurs appels. 

Du jour au lendemain, les cinq salariés et les deux apprentis ont été sommés de ne plus venir travailler, affirment-ils, par le biais de deux SMS de leur responsable, président de la société qui vend et installe notamment des cuisines, des salles de bains ou des dressings.

 

Depuis le 20 mars, les portes de l'entreprise Conceptome sont fermées. Le patron est absent et reste injoignable. Quant aux employés, ils viennent chaque matin signer une feuille de pointage : « Nous n'avons pas reçu nos salaires depuis début février », assure l'un d'entre eux.

Ils souhaitent que la situation soit régularisée et ont saisi la justice : « Nous avons déposé plainte auprès du procureur de la République », indique Franck, plombier. 

 

"Jusqu'à 50.000 € encaissés"

Ils ne seraient pas les seuls à se retrouver face à cette situation incongrue.
L'un des salariés, Olivier, affirme : « Une soixantaine de clients sont directement impactés car ils ont versé des acomptes et attendent la prestation. Des chèques d'un montant allant jusqu'à 50.000 € auraient été encaissés. »

 

La Communauté de communes du Bonnevalais, propriétaire des murs, figure également parmi les créanciers. Le président, Joël Billard, maire (LR) de Bonneval, a rendu visite aux employés et clients présents devant l'entreprise, ce mardi 28 mars : 
« Nous avons six mois de loyers impayés. Si cette entreprise peut repartir, la seule chose que nous pouvons faire pour l'aider, c'est de lui permettre de payer dans le temps. Le but est que ça marche et que ça crée des emplois. »

 

Le procureur de la République de Chartres, Rémi Coutin, indique : « J'ai saisi le tribunal de commerce d'une demande d'ouverture de procédure collective et une enquête pénale va, par ailleurs, être diligentée afin d'établir d'éventuelles infractions. »

 

 

L'Echo Républicain a tenté d'entrer en contact téléphonique avec le président de Conceptome. Il n'a pas répondu.

Camille Fayet

Des salariés de Bonneval prévenus par SMS de ne plus venir travailler
Des salariés de Bonneval prévenus par SMS de ne plus venir travailler
Des salariés de Bonneval prévenus par SMS de ne plus venir travailler
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30 mars 2017 4 30 /03 /mars /2017 13:28
Quelques enseignes dont les étiquettes ont été retrouvées dans les décombres et les cadavres du Rana Plaza
Quelques enseignes dont les étiquettes ont été retrouvées dans les décombres et les cadavres du Rana Plaza
Quelques enseignes dont les étiquettes ont été retrouvées dans les décombres et les cadavres du Rana Plaza
Quelques enseignes dont les étiquettes ont été retrouvées dans les décombres et les cadavres du Rana Plaza

Quelques enseignes dont les étiquettes ont été retrouvées dans les décombres et les cadavres du Rana Plaza

Quelle prise de conscience des marques et consommateurs ?
Quelle prise de conscience des marques et consommateurs ?

Quelle prise de conscience des marques et consommateurs ?

L’effondrement de l’immeuble du Rana Plaza au Bangladesh a blessé 2 000 personnes et causé la mort de 1 138 autres, la plupart des femmes.
L’effondrement de l’immeuble du Rana Plaza au Bangladesh a blessé 2 000 personnes et causé la mort de 1 138 autres, la plupart des femmes.

L’effondrement de l’immeuble du Rana Plaza au Bangladesh a blessé 2 000 personnes et causé la mort de 1 138 autres, la plupart des femmes.

RESPONSABILITÉ SOCIALE DES ENTREPRISES

Pas d’amende pour les multinationales irrespectueuses des droits humains

Le Conseil constitutionnel a invalidé l’amende de 10 à 30 millions d’euros prévue pour les multinationales coupables d’atteintes graves aux droits humains et environnementaux, dont le siège social est établi en France.

 

Cela devait être une avancée historique face à l’impunité des multinationales en matière de droits humains, syndicaux et environnementaux. Mais les sanctions prévues par les parlementaires en cas de manquement au devoir de vigilance des sociétés mères et entreprises donneuses d’ordre n’auront pas passé l’examen du Conseil Constitutionnel.

 

Bien qu’ayant validé le texte de loi, les 10 à 30 millions d’euros d’amende n’ont pas recueilli les faveurs des Sages de la rue Montpensier.
La loi perd ainsi une grande partie de sa force de persuasion.

 

 

Sous-traitances en cascade

 

 

Retour en arrière. Après plus deux années de débat parlementaire enflammé et la rédaction de plusieurs versions, la loi relative au devoir de vigilance des entreprises est votée le 21 février 2017.
Objectif du législateur : prévenir les atteintes graves aux droits humains et à l’environnement que peuvent causer les très grandes entreprises via leurs activités et celles de leurs filiales, sous-traitants et fournisseurs.

 

Il s’agit de responsabiliser les sociétés multinationales dont bien souvent les chaînes d’approvisionnement sont constituées par une cascade de sous-traitants.

 

Et en cas d’accident, comme celui du Rana Plaza en 2013, les responsabilités sont tellement diluées, que ces multinationales ne sont guère inquiétées.

 

L’effondrement de l’immeuble du Rana Plaza au Bangladesh a blessé 2 000 personnes et causé la mort de 1 138 autres, la plupart des femmes.
L’immeuble abritait des ateliers de confections de vêtements appartenant à des sous-traitants de grandes marques occidentales, et parmi elles des enseignes françaises.

 

Réduction des coûts et des délais

 

 

Sur la sellette : la pression qu’exercent ces grandes entreprises sur leurs fournisseurs.
Concrètement : un certain nombre de multinationales à la recherche des moindres coûts de production et délais de livraison sont peu regardantes sur les conditions de travail en cours chez leurs fournisseurs. Hommes, femmes et enfants y travaillent sans protection sociale, sans hygiène, sans sécurité, sans jours de repos, douze heures par jour, et ce, pour des salaires misérables.

 

 

La loi de février 2017 concerne 150 à 200 entreprises possédant un siège social en France employant plus de 5 000 salariés en France ou 10 000 salariés dans le monde (filiales comprises).
Ces grandes entreprises sont désormais obligées de rendre public et mettre en œuvre un plan de vigilance comportant des mesures permettant d’identifier les risques sociaux et environnementaux.
Il s’agit également de prévenir les atteintes aux droits humains et aux libertés fondamentales commises par la société mère, ses filiales, leurs fournisseurs et sous-traitants, en France comme à l’étranger.

 

Une cartographie pays par pays

 

Le plan de vigilance permettra de cartographier des risques pays par pays, de mettre en place une procédure d’alerte, des audits sociaux et environnementaux, des mesures de prévention de la sous-traitance en cascade, ainsi que des mesures d’information et de consultation des organisations syndicales.

 

En cas de non-respect, la législation prévoyait une riposte graduée : d’abord une mise en demeure ; puis une injonction prononcée par un juge.
Enfin, une amende civile de 10 à 30 millions d’euros si l’absence de plan débouchait sur un préjudice comme par exemple la pollution d’un cours d’eau ou des accidents du travail.

 

Des expressions trop générales

 

Ce sont ces sanctions financières qui ont été retoquées par le Conseil constitutionnel.
Raison invoquée : l’imprécision des termes employés dans le texte de loi. Les expressions mesures de vigilance raisonnable et actions adaptées d’atténuation des risques sont trop générales ;
Les Sages ont également considéré que la mention par la loi des atteintes aux droits humains et aux libertés fondamentales était large et indéterminée ; et enfin que le périmètre des sociétés, entreprises et activités entrant dans le champ de l’infraction était très étendu.

 

La décision du Conseil constitutionnel arrive au terme d’un processus législatif marqué par un intense lobbying patronal de la part du Medef et surtout de l’Association française des entreprises privées (Afep) qui représente les grandes entreprises françaises et étrangères établies en France.
Le périmètre de la loi, fixé à l’origine aux entreprises de 500 salariés, est passé à celles en employant 5 000, voire 10 000.

 

Un verre à moitié plein

 

Un des arguments portés par l’Afep : la loi est une initiative française isolée d’un point de vue international.
Cette approche provoquera une perte de compétitivité pour les entreprises françaises par rapport à leurs concurrentes étrangères.
Un point de vue aux antipodes de celui d’Andrée Thomas, secrétaire confédérale FO du secteur international. Pour elle, cette loi était un premier pas important dans la régulation de la mondialisation dans le cadre complexe des chaînes d’approvisionnement et de sous-traitance. Et pour prendre pleinement effet, cet élan doit être porté au niveau européen et international.

 

Quelle portée conserve cette loi si les sanctions financières sont inexistantes ?
La plupart de ses défenseurs ont ravalée leur déception et préfèrent désormais regarder le verre à moitié plein. Les injonctions du juge feront peser un risque de réputation.
Et en ces temps de forte promotion de la responsabilité sociale des entreprises, victimes, syndicats et associations pourront désormais saisir la justice.

 

FO Hebdo / NADIA DJABALI

Quelle prise de conscience des marques et consommateurs ?
Quelle prise de conscience des marques et consommateurs ?
Quelle prise de conscience des marques et consommateurs ?

Quelle prise de conscience des marques et consommateurs ?

Pas d’amende pour les multinationales irrespectueuses des droits humains
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30 mars 2017 4 30 /03 /mars /2017 10:14
Joelle Présidente CPNE FCD réferente FGTA FO pour la formation 

Joelle Présidente CPNE FCD réferente FGTA FO pour la formation 

quelque belles réalisations des jeunes apprentis boulangerie de Paris. 

quelque belles réalisations des jeunes apprentis boulangerie de Paris. 

Secteur de la boulangerie, la formation qualifiante ça paie!
Communication de Joëlle Noldin, Présidente de la CPNE de la branche FCD

 

Réunion groupe travail CPNE/ CFA 

Coup d'œil sur quelque belles réalisations des jeunes apprentis boulangerie de Paris. 

Pour FO la formation en alternance doit être de qualité et les entreprises doivent s'engager pour ainsi offrir un emploi durable aux jeunes.
Dans notre branche c'est plus plus de 20 000 contrats par alternance conclus chaque année par les entreprises.

 


C'est le sens de l'accord signé entre la FCD et les CFA référencé s par la CPNE et le sens de nos travaux au sein de la CPNE 

 

 


Joelle Présidente CPNE FCD réferente FGTA FO pour la formation 
 
quelque belles réalisations des jeunes apprentis boulangerie de Paris. 
quelque belles réalisations des jeunes apprentis boulangerie de Paris. 

quelque belles réalisations des jeunes apprentis boulangerie de Paris. 

quelque belles réalisations des jeunes apprentis boulangerie de Paris. 

quelque belles réalisations des jeunes apprentis boulangerie de Paris. 

Secteur de la boulangerie, la formation qualifiante ça paie!
Secteur de la boulangerie, la formation qualifiante ça paie!
Secteur de la boulangerie, la formation qualifiante ça paie!
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