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La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, répondit le renard." Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry
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Ce «compromis est «un bon équilibre», aurait
déclaré M. Sarkozy, cité par un des participants à la réunion de lundi. Si les défenseurs de la précédente mouture – au premier rang desquels M. Sarkozy – ont sans doute dû revoir à la baisse leurs
ambitions initiales, les syndicats, en particulier FO, n’ont pas l’intention de relâcher la pression car, remanié ou pas, le texte, constitue toujours une «régression inacceptable des droits des
salariés».
«Un compromis pour quel équilibre ?», s’insurge Marie Alice Medeuf-Andrieu, secrétaire confédérale chargée à FO notamment de ce dossier, alors que, dit-elle, «les salariés à travers leurs
représentants, les syndicats, n’ont à aucun moment été consultés». Pour FO, «mis à part l’idéologie, ce texte n’a aucune autre justification. C’est un non-sens économique total dans le contexte de
crise actuelle. L'extension du travail du dimanche ne fera que détruire davantage d’emplois et n'apportera rien au pouvoir d’achat des salariés qui, lui, n’a jamais été extensible avec l’amplitude
des horaires travaillés. Celui-ci le sera d’autant moins que le doublement de la rémunération des travailleurs le dimanche n’est absolument pas garanti par le texte».
Marie Alice Medeuf-Andrieu s’interroge par ailleurs sur «le message envoyé à la société, d’une proposition de loi dont le seul dessein est d’amnistier et légaliser les comportements frauduleux».
Enfin, FO appelle «le gouvernement et sa majorité à mesurer ses conséquences sur la pénibilité et le stress au travail ainsi que sur la cohésion familiale des salariés concernés». Sur ce dernier
point, la Confédération rappelle que le ministère du Travail s’était engagé en juin à organiser dans les plus bref délais une table ronde centrée sur «la conciliation vie professionnelle-vie
familiale et le temps partiel» avec les interlocuteurs sociaux. Les syndicats attendent depuis d’être fixés sur la date d’une telle table ronde. On comprend désormais mieux
pourquoi.
Ø C'est priver
les salariés du repos dominical et détruire leur vie de famille.
Ø C'est
étendre le travail du dimanche à un plus grand nombre d'activité. : crèches, transports, banques, assurances, administrations, organismes sociaux, mairie, poste
etc.....
Ø C'est nuire
à l'utilisation des temps libres dans les domaines des loisirs, du sport, de la culture ......
Travail le dimanche:
FO-Ed fustige
"les petits arrangements entre amis" au sein de l'UMP
Voici venu le temps des "petits arrangements entre amis", au lendemain du compromis entre Nicolas Sarkozy et l'UMP sur la
proposition de loi sur le travail le dimanche." En ce qui nous concenrne il s'agit ni plus ni moins qu'une réforme idéologique".
C'est mettre le doigt dans l'engrenage pour pouvoir mettre en cause le repos dominical.
.
Des groupes de députés ont déposé pas moins de 4.000 amendements.
Cette réforme constitue un "dossier très représentatif d'une société individualiste et de l'argent" que veut construire avec acharnement Nicolas Sarkozy. "On
est là dans une réforme vraiment idéologique. Il faut casser toutes les protections, il faut tout organiser autour de la consommation et de l'argent", cette réforme "n'aura aucun effet
positif sur le plan économique", aux dires de nombreus économistes, et aussi de patrons du commerce.
A FO nous ne considérons pas que l'avoir, le toujours plus, la consommation est l'alpha et l'oméga de la société. Vivre bien, c'est avoir du temps.
Le dimanche, "c'est aussi un temps où la société fait une pause de consommation et de travail, pour se consacrer à d'autres activités, faites de convivialité, d'échanges, et de lien
social".
Les syndicats FOEd relaient et soutiennent l'ensemble des communiqués, et initiatives de la Confédération FO en faveur du repos
dominical, contre le travail du dimanche, qui en se généralisant deviendrait une normalité faisant du dimanche une journée de travail comme les autres. Ceci allant à l'encontre des études et
sondages qui tous contredisent les arguments avancés par le gouvernement.
Ces dispositions visant à la déréglementation du temps de travail seraient totalement inacceptables.
Force Ouvrière se félicite du report de l’inscription à l’agenda de l’Assemblée Nationale de la proposition de loi relative au travail du
dimanche et de la montée en puissance de toutes les formes de mobilisation à l’encontre de ce texte.
C’est la quatrième fois que cette proposition de loi est remaniée cette année, preuve que, sur le fond, le texte proposé n’est pas acceptable et que les faibles changements intervenus en
commission n’ont pas convaincu les salariés.
Force Ouvrière dénonce la tactique selon laquelle il y aurait volontariat et paiement double, comme l’expliquent les partisans de la proposition de loi.
En effet, on fait miroiter un paiement double aux salariés alors que celui-ci ne revêt pas un caractère obligatoire pour tous.
Quant au volontariat, il s’agit d’une notion faussée par la réalité du monde du travail puisque les refus des salariés conduiront à des discriminations difficiles à établir (discriminations à
l’embauche, différences de traitement entre salariés dans leur déroulement de carrière, l’obtention de formations professionnelles ou d’augmentations de salaire…).
Alors que tous les syndicats dont Force Ouvrière refusent le texte, le Président de la République montre une conception autoritaire du dialogue social. Ce projet constitue une erreur sociale,
économique et sociétale
Madame Parisot s’émeut que l’on permette que les salariés refusent de travailler le dimanche et indique qu’il
s’agit d’une rigidité supplémentaire.
Nous à FO, nous lui disons que face à la liberté d’entreprendre, à la liberté des salaires, il y a aussi la liberté du salarié au repos dominical.
Face à la pression des syndicats, et plus particuliérement de FO le gouvernement commence à changer son fusil d’épaule, et nous ne pouvons qu'espérer qu'il renoncera à cette
mesure de contrainte pour les salariés.
Car si les Français acceptent aujourd’hui de travailler le dimanche, c’est parce qu’avec leur travail de la semaine, ils ne gagnent pas assez pour vivre. Et ce seront encore une fois de
plus les plus précaires qui ne pouvant faire autrement devront renoncer au repos dominical en famille.
Les arguments économiques ne tiennent pas. La création d’emplois le dimanche détruira l’emploi de la semaine dans le petit commerce.
Le porte-monnaie des Français est en berne et le pouvoir d’achat porté sur le dimanche le sera moins en semaine. FO Ed réitére sa ferme hostilité au travail du dimanche.
Travail dominical XAVIER BERTRAND REPART EN CROISADE
Afin de défendre la proposition de loi Mallié, le «ministre du Travail… du dimanche» s’est rendu de nouveau
dans un magasin en infraction avec la législation en vigueur. Il a toujours autant de mal à convaincre de la nécessité de changer la loi.
Xavier Bertrand n’aura jamais aussi bien porté le titre de «ministre du Travail…du dimanche», dont l’a affublé
Jean-Claude Mailly (FO). M. Bertrand est reparti hier en croisade pour imposer le travail dominical. Histoire de faire une énième fois la «pédagogie» de la proposition de loi du député UMP
Richard Mallié, qui ne passe ni dans l’opinion, ni dans les rangs de sa propre majorité parlementaire. Il devait commencer à être examiné jeudi l'Assemblée nationale mais le débat a toutes les
chances d'être reporté d'une semaine, voire jusqu'au début de 2009.
Accompagné de Luc Chatel, secrétaire d’Etat à la Consommation et à l’Industrie, M. Bertrand s’est rendu dimanche pour la deuxième fois en trois semaines dans un centre commercial refusant de se
plier à la réglementation en vigueur sur le repos dominical (voir notre article du 19 novembre 2008). Cette fois, c’est la librairie le Grand cercle a Eragny-sur-Oise (Val d’Oise) qui a eu les
honneurs des deux ministres. Lesquels ont été accueillis comme il se doit par une flopée de militants syndicalistes de FO et de la CFTC, en pointe contre la modification de la législation
actuelle voulue par le gouvernement.
«Vous venez soutenir des délinquants du travail», a lancé à leur arrivée Eric Scherrer, secrétaire général CFTC chargé du commerce. Piqué au vif M. Bertrand a voulu voir là une insulte à l’égard
des employés de la librairie, avant d’assurer qu’il était simplement venu parler avec les salariés. «Vous refusez de débattre avec nous. Nous n'avons pas été invités», a lancé de son côté Vincent
Lecourt, avocat de FO, qui a fait condamner le «Grand cercle» en justice pour non respect de la réglementation. Et ce même si l’enseigne en question met en avant le fait que 95% de ses 160
employés se sont prononcés pour l'ouverture le dimanche après une consultation interne. Dans un arrêt du 12 novembre, la Cour d'appel de Versailles a confirmé en effet que, selon la loi en
vigueur, la librairie le Grand cercle ne pouvait pas ouvrir le dimanche.
Au delà des comportements illégaux que le gouvernement veut récompenser, FO a rappelé que «parmi les salariés qui ne sont pas hostiles au travail le dimanche, on trouve les plus misérables, ceux
qui sont près à accepter la précarité comme remède à leur situation, a fortiori en période de crise (chantage au chômage, pouvoir d’achat en berne...). L’ouverture dominicale est à ce prix».
D’ailleurs, certains salariés du «Grand cercle» l’ont bien souligné aux deux ministres, à l’instar de cette vendeuse : «personnellement, je ne suis pas forcément pour travailler le dimanche. Je
pense que si les employés le font, c'est pour augmenter leur pouvoir d'achat». En fait, le gouvernement sait très bien que son texte même remanié aura du mal à rallier l’opinion et même les
suffrages de certains députés de sa majorité, dont au moins une soixantaine d’entre eux la combattent avec force, tel Yves Bur, qualifiant ce texte de «régression sociale».
D’où cette nouvelle opération de com’ (de la dernière chance?) qui a commencé hier au micro d’Europe 1, avant de s’étaler sur les écrans de télévision. Selon M. Bertrand, la future loi mettra
«des bornes» au travail dominical, en limitant son extension à «des zones touristiques et dans quatre grandes zones d'attractivité commerciale (Paris, Lyon, Lille et Marseille)» et en «payant
double» les salariés volontaire.
«Les grandes surfaces alimentaires n'ouvriront pas dans le cadre de ces nouvelles dérogations» pour ne pas nuire aux petits commerces, a-t-il déclaré et comme «le dimanche n'est pas un jour comme
les autres, le repos dominical est un principe qui va être réaffirmé» dans la loi. Le salarié aura un «droit de refus» de travailler le dimanche et refuser d'embaucher quelqu'un pour ce motif
sera «sanctionné», car il s'agirait d'«une discrimination», a assuré encore M. Bertrand. Pour lui, ce n’est plus qu’un texte «technique» et «vraiment bien équilibré» qui vise à «clarifier» les
situations existantes et non à les «généraliser». Dès lors, il a estimé avoir «apporté les clarifications nécessaires», sans s’étendre sur le niveau de rétribution des salariés. Et pour cause, la
proposition de loi, qui ne concernerait pas les salariés travaillant déjà le dimanche, prévoit une rémunération «au moins double» dans certains cas tout en permettant qu'un accord d’entreprise en
décide autrement (contreparties inférieures ou supérieures en terme de repos ou de salaire).
Pas de quoi donc désarmer l’opposition à la l’extension du travail dominical qui traverse toute la société. Porté par les syndicats, voire par une partie du patronat des petites entreprises
(CGPME, UPA), l’opinion publique commence à comprendre… Le dernier sondage Ipsos publié lundi dernier, montre qu’une très large majorité de Français (84%) se disent désormais attachés au repos
dominical et 63% ne croient pas au volontariat promis.
Vous serez amené, très prochainement, à décider de nouvelles extensions des
dérogations au repos dominical dont les conséquences impacteront considérablement :
L’équilibre social et la vie familiale
D’après le sondage BVA des 10 et 11 octobre 2008, 81 % des salariés
veulent préserver le dimanche comme jour de repos commun, consacré à la vie personnelle, familiale ou associative.
En effet, quelle vie privée, quelle vie de famille lorsque l’un des parents
travaille le samedi, l’autre le dimanche et ont des jours de repos hebdomadaires différents, alors que notre société souffre justement d’une déstructuration des liens
familiaux ?
Qui, d’autre part, gardera les enfants des salariés en activité le
dimanche ?
Il y a là une contradiction avec la volonté affichée du gouvernement de
concilier vie familiale et vie professionnelle.
Quelles activités associatives, culturelles ou sportives pour les salariés
travaillant le dimanche ?
La vie économique dans les collectivités
territoriales
Il ressort que 72 % des salariés n’iraient pas davantage dans les commerces
s’ils étaient ouverts 7 jours sur 7 (Sondage BVA des 10 et 11 octobre 2008).
Les consommateurs, qui sont en grande majorité des salariés, ne pourront
bénéficier de l’ouverture dominicale s’ils doivent eux-mêmes travailler.
Or, la proposition de loi soutenue par le gouvernement souhaite instituer non
seulement l’ouverture permanente des commerces, mais également celle des établissements mettant à disposition des services.
Le travail dominical ne sera donc plus exceptionnel, puisque pourraient être
concernés des services au public des crèches, (avec les augmentations d’impôts locaux corrélatives), l’ensemble des transports, les banques, les assurances, les fournisseurs, les
informaticiens, les agents d’entretien, de livraison…
L’extension de l’ouverture dominicale n’augmentera en rien le pouvoir d’achat
des ménages et conduira simplement à reporter certaines dépenses d’un jour sur un autre, sauf à considérer que les ménages dépensent davantage à budget constant, ce qui risque de les pousser
vers le surendettement qui constitue d’ores et déjà un fléau en France.
Cette mesure conduira également à la disparition des petits commerces et à une
moindre diversité de l’offre dans les magasins.
Les commerces de proximité ne pourront, en effet, rivaliser avec les grands
magasins concernant l’amplitude d’ouverture ou l’implantation dans les zones touristiques ou d’attractivité commerciale exceptionnelle où les prix vont grimper, ce qui conduira fatalement à de
nombreuses faillites et à la disparition des emplois corrélatifs.
Un autre effet négatif est de réduire la concurrence, à la défense de laquelle
le gouvernement se déclare pourtant si attaché !
L’environnement et le développement durable
L’extension de l’ouverture dominicale se traduira non pas par une baisse mais
par une hausse des prix.
Compte tenu des études nord-américaines qui font état d’une hausse de 4% des
prix liée à l’ouverture dominicale, il est évident que les dépenses d’énergie pour le chauffage et l’éclairage des magasins le dimanche et le transport des consommateurs vers les lieux de vente
pèseront sur la facture finale que ceux-ci devront payer. Au moment où le Grenelle de l’environnement vise à limiter les gaz à effet de serre, on ne peut que regretter des mesures qui auront
pour conséquence directe de les accroître.
La liberté et les conditions de travail des
salariés
68 % des salariés déclarent ne pas vouloir travailler régulièrement le
dimanche (Sondage BVA des 10 et 11 octobre 2008).
Prétendre garantir le volontariat des salariés consiste à méconnaître les
réalités du monde du travail.
Un droit de refus des salariés garantit-il l’absence de discrimination dans
l’évolution de carrière, l’obtention d’augmentations de salaire ou l’attribution de formations ?
Le marché du travail ou la notion d’offre raisonnable d’emploi permettent-ils
réellement à un salarié de refuser, à l’embauche, un contrat de travail prévoyant le travail du dimanche ?
De plus, le travail dominical ne sera pas nécessairement payé double
puisque la proposition de loi compte renvoyer à l’accord d’entreprise le soin de fixer la majoration de salaire sans aucun encadrement. Le dimanche serait, en outre, de moins en moins bien
rémunéré, puisque la généralisation du travail le dimanche conduirait à en faire un jour comme les autres et aboutirait à une absence de paiement majoré à terme.
Par ailleurs, le travail du dimanche conduit à la précarité (CDD, Intérim,
surcharge de travail due à l’augmentation des amplitudes de travail…). Il deviendra le contrat imposé par les employeurs aux salariés étudiants et aux salariés à temps partiel subi. Or, ce sont
de véritables emplois qu’il convient de proposer à l’ensemble des salariés.
Le travail du dimanche se heurte ainsi à de nombreuses politiques que le
gouvernement prétend vouloir mener : conciliation entre vie professionnelle et vie privée, Grenelle de l’environnement, lutte contre la concurrence déloyale, lutte contre le stress et la
pénibilité au travail…
En l’absence d’effets positifs pour le commerce, est-il impératif de porter un
tel coup à ce qui constitue encore l’un des fondements de la cohésion sociale et familiale de notre société : l’existence d’un moment de repos commun régulier et qui n’est destiné qu’à
soi ?
Force Ouvrière appelle au respect du dialogue social ayant abouti à des accords
plus favorables, que cette proposition de loi conduira à remettre en cause, à la préservation du repos dominical et au strict respect de la législation actuelle qui autorise déjà de nombreuses
dérogations.
Certains que vous saurez prendre en considération ces éléments, pour le bien
des salariés comme de notre environnement,
Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, à l’expression
de notre sincère considération.
JF. COPPE, CHEF DE FILE DES DEPUTES DE LA MAJORITE UMP AU
POUVOIRinflexible
est revenu cet apres midi dans une Interwiew au Figaro.fr d'aujourd'hui, 30/11, sur les propos tenus par certains des
députés de sa propre majorité qui s'étaient positionnés de façon défavorable aux mesures préconisées dans le cadre des nouvelles dispositions légistatives en cours de débat à l'assemblée
nationale.
En effet, Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Jean-François Copé, s'est déclaré déterminé à faire adopter le
texte sur le travail dominical, en dépit de l'hostilité qu'il suscite auprès de nombreux députés de la majorité,selon l'article du figaro.fr de ce dimanche.
Il est de plus en plus clair que ce gouvernenment s'est attellé à une tâche: Faire du
dimanche un jour de travail comme un autre. Ce qui représente aux yeux de nombreux observateurs, dont des organisations de commerçants, un non sens économique, en plus de la destruction et de la
déstructuration de tout lien social, de la vie de famille, de l'éducation des enfants, de la pratique du sport amateur, et de la richesse de la vie associative, entre
autres..........
Notre détermination dans ce combat devra être pleine et
entiére,
Notamment
Notamment & plus particuliérement à la lecture des derniére études les plus sérieuses qui démontrent pourtant que le"COÛT SALARIAL par UNITE PRODUITE a BAISSE DE 5,5% en trente ans"