Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : FO Retail Distribution
  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
  • Contact

Profil

  • @FO RD system publication
  • (BM) - Le Blog-note InFOrmatif
  • (BM) - Le Blog-note InFOrmatif

Que signifie communiquer ? demanda le petit prince.

"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, 
répondit le renard."    
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

​​​​​​FOCPFEXDIA,  la chaine TV FO CPF : lien: https://www.youtube.com/channel/UCfWq-DLz258o2BG9m7Z6HDg

 

Le Blog-master (BM) se réserve le droit de suspendre, d'interrompre, ou de rejeter  la diffusion de tout commentaire dont le contenu serait susceptible de porter atteinte aux tiers, d'enfreindre les lois et règlements en vigueur, ou serait de nature ou à caractère diffamatoire, et décline toute responsabilité quant aux opinions émises, qui n'engagent que leurs auteurs.

Archives

FO, Libre Independant Déterminé

 


Lanceur d'alerte

Un lanceur d'alerte est toute personne, groupe ou institution qui, voyant venir un danger, un risque ou un scandale, adresse un signal d'alarme et, ce faisant, enclenche un processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective

 Libres, Indépendants, Déterminés et Solidaires Ensemble. Communication, Information et Expression directe de l'actualité sociale, économique et syndicale de FO CPF et des salariés du commerce et de la Grande distribution.

Pages Du Blog-Note Informatif

 
Pour le  REPOS DOMINICAL pour tous en même temps

DROIT A L'IMAGE

Droit À L'image

Dans ce blog nous sommes amenés fréquemment à diffuser des images, des vidéos, des photos, voire des articles de presse, d'insérer des liens vers des documents,   ceci afin d'étoffer et d'éclairer nos posts, en leur donnant plus de contenus, pour une meilleure compréhension.

Nos sources sont toujours citées.

Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.

Néanmoins rien n'empêche les personnes ne désirant pas voir leur image diffusée de nous le signaler lors de la prise de vue.

Sans manifestation de leur part, nous considérerons leur consentement présumé.

Merci

BM

Militons ensemble - adhérez à FO

 
Adhésion à Force-Ouvrière, suivre le lien
http://www.force-ouvriere.fr/adherer

FO CONTACT REGION

Eric   Centre    06 85 15 20 73
François   Nord    07 50 49 09 04

Fréderic   DSN FO CPF   06 87 21 72 94
Sofiane   Est & RA    06 61 50 67 96
Faiçal   Sud    06 22 57 50 64
Nadine   Paris Centre   06 36 97 10 40
Nathalie  UD FO 62   06 30 60 74 70

 udfo62@force-ouvriere.fr

Reda Sud 06 29 38 30 49

Philippe RS au chsct  06 28 75 01 36

Sandrine Sec CE Paris   06 98 43 61 93
Bruno, coordinateur des IRP FO CPF
06 73 59 98 28
Cyril DSC FO CPF   06 25 56 84 86

 

2 avril 2020 4 02 /04 /avril /2020 16:54
© Wang Jilin/ZUMA Press/ZUMA/REA

© Wang Jilin/ZUMA Press/ZUMA/REA

BCE / Coronabonds / Coronavirus  - Covid19 / Économie / FMI

 

CORONAVIRUS / COVID19 ​​​​​​

 

Face à la pandémie, un système aux prises avec ses contradictions

 

  • Dans un monde en proie à une crise sans précédent depuis le début du 20e siècle, crise sanitaire, mais aussi par contre-coup économique et sociale, les États sont appelés à la rescousse.

 

 

 

Signe des temps,

Le mot « nationalisation » n’est plus totalement tabou.

 

 

  • L’Italie a ainsi annoncé la renationalisation de sa compagnie aérienne Alitalia dès le 17 mars.
  • Le gouvernement britannique a repris temporairement le contrôle des lignes ferroviaires.
  • L’Allemagne s’est donné la possibilité de nationaliser partiellement et provisoirement certaines entreprises.

 

Pour ce faire et pour financer d’autres mesures destinées à faire face aux conséquences économiques de la pandémie, l’État fédéral allemand, de façon totalement inédite depuis la Seconde Guerre mondiale, a fait sauter tous ses verrous budgétaires et violé sa propre règle constitutionnelle du frein à l’endettement.

 

  • Aux États-Unis, le gouvernement fédéral a fait savoir le 26 mars qu’il pourrait prendre des participations dans les compagnies aériennes.

 

 

 Le marché est mis sur pause 

 


Interrogé par l’Agence France-Presse, l’économiste en chef de l’assureur Allianz, Ludovic Subran, s’inquiétait il y a quelques jours de la place redonnée aux États : C’est très bien que les acteurs publics aient fait ces annonces d’aides, mais vu la taille de ces interventions, on a du coup une économie administrée dans beaucoup d’endroits et sur beaucoup de segments.

 

 

L’État remplace tous les échanges, le marché est mis sur pause […]. Les signaux de prix, le baril de pétrole… Les marchés ne donnent plus vraiment d’informations.

 

 L’obsession de tous les États est que l’activité puisse redémarrer après la crise […] et ils sont les seuls à pouvoir jouer un rôle à ce point systémique, a souligné de son côté Pascal Cotte, économiste au sein du cabinet de conseil en gestion Boston Consulting Group (BCG).

Nous n’hésiterons pas à utiliser la pleine autorité du gouvernement pour faire face à cette crise, Donald Trump, le 27 mars.

 

  • De fait, les États qui se sont de plus en plus désengagés au fil des dernières décennies, notamment en matière de stratégie industrielle et de soutien aux secteurs publics, sont aujourd’hui amenés à multiplier leurs interventions dans le cadre de la lutte contre la propagation du Coronavirus.

 

Et cet infléchissement de trajectoire concerne aussi les gouvernements réputés être les plus libéraux. Le 27 mars, après tout de même quelques jours de tergiversations, le président américain Donald Trump s’est résolu à adopter un décret qui contraint le géant du marché automobile General Motors à produire des respirateurs artificiels dans le cadre de la lutte contre le Coronavirus.

 

 

L’administration américaine s’est ainsi décidée à utiliser une loi datant de la guerre de Corée (1950-1953), le Defense Production Act, qui, dans des circonstances exceptionnelles, permet de mobiliser le secteur privé industriel pour les besoins de la sécurité du pays.

 

Nous n’hésiterons pas à utiliser la pleine autorité du gouvernement fédéral pour faire face à cette crise, a lancé Donald Trump, une fois sa décision prise.

 

 

 

Face à la crainte que les marchés financiers fassent défaut, les banques centrales entrent en scène.

 


Mais les États sont avant tout appelés à la rescousse pour absorber les pertes du secteur privé, comme l’a rappelé l’ancien président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, dans une récente tribune publiée par le Financial Times.

 

Les vingt premières puissances économiques ont donc promis d’injecter plus de 5 000 milliards de dollars dans l’économie, à l’issue d’un sommet virtuel du G20, réuni en urgence le 26 mars. Elles le feront dans le cadre de politiques fiscales ciblées, de mesures économiques et de plans pour contrer les impacts sociaux, économiques et financiers de la pandémie.

 

 

Pour tenir ces promesses, les États vont devoir s’endetter, à l’instar de nombreuses entreprises. Dans ce contexte, les banques centrales ont pour tâche, elles, de tout faire pour leur permettre de le faire dans les meilleures conditions possibles tout en rassurant les marchés financiers et éviter qu’ils ne freinent les possibilités de crédit par crainte de ne pouvoir être remboursés.

 

La Banque centrale des États-Unis, la Fed, a ainsi commencé à inonder le marché financier de liquidités et de dollars dès le 16 mars et a baissé ses taux directeurs, désormais compris entre 0 % et 0,25 %. Le 31 mars, elle a annoncé le lancement d’une nouvelle facilité d’accès à des liquidités en dollars pour les banques centrales étrangères. Celles-ci pourront échanger leurs avoirs en bons du Trésor américain contre des prêts de dollars au jour le jour.

 

La Banque centrale européenne (BCE) va ainsi débloquer 750 milliards d’euros d’ici la fin 2020, en achats de dettes publiques et privées. En clair, la BCE garantit ainsi aux banques le remboursement des emprunts contractés auprès d’elles par les États et les entreprises, à hauteur de 750 milliards d’euros. Pour ce faire, la BCE a renoncé à la limite qu’elle s’était jusqu’ici imposée de ne pas détenir plus de 33 % du stock de dette en circulation pour chaque État.

 

La somme de 750 milliards d’euros peut paraître considérable. En réalité, on peut craindre qu’elle ne soit insuffisante, sachant par exemple que la dette italienne représente déjà à elle seule 2 500 milliards d’euros.

 

 

 

Les critères de convergence économique de l’Union européenne volent en éclats

 


Un autre levier est envisagé. Le Mécanisme européen de stabilité (MES), créé en 2012, peut en théorie prêter jusqu’à 500 milliards d’euros aux pays en crise. En pratique, il ne lui reste que 450 milliards d’euros dans la mesure où environ 80 milliards de prêts passés n’ont pas encore été remboursés. Surtout, ses statuts stipulent qu’il ne peut accorder des prêts qu’aux États qui s’engagent à réduire leurs déficits (comme cela a notamment été imposé à la Grèce dans le sillage de la crise de 2008).

 

Or, la nécessité de lutter contre la pandémie oblige au contraire les États à sortir des clous budgétaires imposés jusqu’ici par les traités européens.

 

La Commission européenne a d’ailleurs dû annoncer, dès le 20 mars, la suspension du pacte de stabilité qui contraignait jusqu’ici les États membres de l’Union européenne à respecter coûte que coûte les critères de convergence économique, à savoir : un déficit public et une dette publique respectivement inférieurs à 3 % et à 60 % du PIB.

 

 

Autre idée défendue par certains États membres, notamment l’Italie et la France, mais vigoureusement rejetée par d’autres, à commencer par l’Allemagne : l’émission de Coronabonds, c’est-à-dire d’emprunts publics collectifs pour permettre aux États de mutualiser leur dette. Pour l’instant, les dissensions autour de cette question ne font que souligner le manque d’unité et de solidarité au sein de l’Union européenne. Un manque qui, lui, résiste bien à la pandémie.

 

Des États appelés à la rescousse dans le cadre de la lutte contre la pandémie, des marchés financiers à rassurer, des rivalités qui persistent, des milliers de milliards à trouver… L’affaire n’est pas simple. Qui plus est, une autre question émerge : quelles traces laissera cette crise une fois la pandémie enrayée ?

 

Les pays pauvres endettés devront se contenter d’un répit

 

 

Le 25 mars, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale ont demandé aux créanciers bilatéraux des pays les plus pauvres de geler les remboursements de dettes, afin que ces pays puissent dégager de l’argent pour combattre la pandémie.

 

Ce répit permettra d’analyser la situation et les besoins de chaque pays, ont précisé les deux institutions de Bretton Woods dans une lettre commune. Elles ont également demandé au G20 de les charger de cette tâche d’évaluation, de façon à faire la liste des pays éligibles à une restructuration de leur dette.

 

  • Les banques européennes vont-elles renoncer à verser des dividendes à leurs actionnaires ?


Le 27 mars, le SESF (Système européen de supervision financière) a appelé les grandes banques de la zone euro à ne pas rémunérer leurs actionnaires pour les années 2019 et 2020, au moins jusqu’au 1er octobre 2020. Les banques sont également invitées à ne pas racheter leurs propres actions, ce qui est un autre moyen de rémunérer leurs actionnaires durant la pandémie.

 

  • Renoncer à ces dividendes pourrait libérer 30 milliards d’euros de capital, a estimé l’institution européenne.

 

Les banques françaises à la traîne

 

  • Comment les banques ont-elles réagi à cette demande ?

 

Le géant espagnol Santander a annoncé vouloir revoir le dividende versé pour l’année 2020 et propose un dividende final unique en 2021, précisant qu’aucun acompte ne serait versé en 2020. Plusieurs groupes européens se sont engagés depuis à ne pas rémunérer leurs actionnaires au moins jusqu’à octobre, à l’instar du groupe allemand Commerzbank, des trois principaux groupes bancaires néerlandais, ING, ABN Amro et Rabobank, ou encore de Banca Generali et UniCredit en Italie.

 

 


En revanche, les banques françaises, parmi les plus solides de la zone euro, rechignent visiblement à prendre de tels engagements. BNP Paribas, la Société générale et le Crédit agricole ont indiqué avoir pris connaissance de ces recommandations mais n’ont pris aucun engagement à ce jour.

 

 

Sourcing:    EVELYNE SALAMERO, in fo.fr

  • JOURNALISTE L’INFO MILITANTE - Rubrique internationale

 

 

smiley   Blog publication, 02 avril 2020, 18H25

 

 

 

 

Face à la pandémie, un système aux prises avec ses contradictions
Partager cet article
Repost0
26 novembre 2019 2 26 /11 /novembre /2019 14:37
(© Erik Jan Ouwerkerk/HH-REA)

(© Erik Jan Ouwerkerk/HH-REA)

Congo / Côte d’Ivoire / Ecole / Education / Enseignement / États-Unis / FMI / Mali / Maroc / Niger / Pologne / Royaume-Uni / Tchad / Tunisie / France / Europe

 

INTERNATIONAL 

 

Campagne internationale contre la privatisation de l’école
 

 

  • Plus un mois ne se passe sans que des enseignants ne se mobilisent quelque part dans le monde. Partout, leurs revendications supposent une augmentation des budgets publics dédiés à l’éducation.

 

A u Tchad, en Libye, au Mali, au Congo, en Côte d’Ivoire, au Maroc, en Tunisie, au Niger, au Burkina Faso, mais aussi aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Pologne, et plus récemment en Croatie, en République tchèque… Les grèves d’enseignants se multiplient sur la planète pour des augmentations de salaires, le paiement d’arriérés, la titularisation des contractuels, la défense des pensions, contre les classes surchargées, le délabrement des locaux…

 

Depuis la crise de 2008, les politiques d’austérité et les plans d’ajustement structurel du Fonds monétaire international (FMI) non seulement n’ont rien réglé, mais ont encore détérioré la situation des systèmes publics d’éducation.

 

Les classes à plus de cent élèves, sous paillotes, sont toujours légion. Du fait de la corruption, nombre de constructions en dur [souffrant de malfaçons, NDLR] ne résistent pas aux intempéries. La presse locale qualifie la météo de  meilleur contrôleur public, a témoigné Souleymane Badiel, secrétaire général de la Fédération des syndicats nationaux des travailleurs de l’éducation et de la recherche (F-Synter) du Burkina Faso, lors du récent congrès de la Fnec FP-FO (enseignement, culture et formation professionnelle).

 

  • La défense du statut, toujours

 

Dans ce pays, il manquait environ 5 000 instituteurs et 7 000 professeurs à la rentrée scolaire 2019-2020 (chiffres officiels). Et en 2018, le Burkina Faso ne comptait plus que 208 établissements publics contre 919 relevant du privé (tous degrés confondus).

 

Mais il ne s’agit que d’un exemple parmi tant d’autres, au point qu’en juillet dernier l’Internationale de l’éducation, en congrès à Bangkok, a prioritairement décidé d’amplifier sa campagne contre les menaces de marchandisation et de privatisation de l’école.

 

Partout le désengagement de l’État s’accompagne d’une hausse inédite du recrutement de personnels précaires. Le congrès de l’Internationale de l’éducation a ainsi adopté une résolution proposée par la Fnec FP-FO et neuf autres organisations pour défendre et renforcer le recrutement de personnels de l’éducation sur la base de l’emploi permanent de titulaires garanti par un statut.

 

 

Sourcing: EVELYNE SALAMERO, in fo.fr

  • Journaliste à L’inFO militante - Rubrique internationale
INTERNATIONAL ​​​​​​​    La marchandisation de l'école - Campagne internationale contre la privatisation de l’école

 La marchandisation de l'école génère de façon automatique le mercantilisme des contenus pédagogiques, des programmes enseignés, vers le formatage des cerveaux des enfants selon les marques, les philosophies, les enseignes, les lignes politiques qui s'approprient l'enseignement dans une région, un pays ou un département.

 

La qualité des programmes et des matières enseignés ne seront pas homogènes, et seront construits pour servir les interêts bien construits des "sponsors " donneurs d'ordre, qui privatisent l'enseignement, qui peuvent être au choix, des sectes, des entreprises du secteur privé, des ordres religieux aux mains des églises, et fanatiques de tous genres, des milices privées servant des interêts opaques, des fonds privés, qui à terme décideront des emplois, des formations, des orientations de nos enfants, et des inscriptions , ou non, dans les universités selon besoins et nécessités.

 

Le recul de l'état en règle général, la corruption,  nous conduisent de façon inéluctable (?) vers cette situation.......!

(BM)

INTERNATIONAL ​​​​​​​    La marchandisation de l'école - Campagne internationale contre la privatisation de l’école
mois sans tabac

 

 

 

 

angry   Blog publication, 26 novembre 2019, 15H06

 

 

 

 

INTERNATIONAL ​​​​​​​    La marchandisation de l'école - Campagne internationale contre la privatisation de l’école
Partager cet article
Repost0
19 octobre 2019 6 19 /10 /octobre /2019 15:28

Economie / FMI

 

REVUE DE PRESSE 

 

FMI / Croissance éco

 

 

Coup de froid sur la croissance économique mondiale
 

 

  • Le Fonds monétaire international (FMI) vient d’annoncer un ralentissement conséquent de la croissance économique sur l’ensemble de la planète. Il y a fort à parier que ce sont encore les travailleurs qui vont payer les pots cassés.

 

Aperçu dans la presse.

 

 

 

 

Les Échos


 Mois après mois, la croissance se grippe.

 

De nouveau, le Fonds monétaire international (FMI) a revu, mardi [15 octobre], ses prévisions à la baisse. En 2019, la croissance mondiale devrait s’établir à 3%, soit deux dixièmes de point de moins qu’attendu en juillet dernier. Lors de sa conférence de presse, Gita Gopinah, l’économiste en chef du Fonds, a souligné que l’économie mondiale est entrée dans une phase de ralentissement synchronisé.

Le quotidien économique de préciser : En cause, l’apparition de barrières commerciales et la montée des tensions géopolitiques.

Le relèvement des droits de douane et l’absence de visibilité sur la politique commerciale internationale ont pesé sur l’investissement et la demande de biens d’équipement, souligne le Fonds.

 

 

 

 

La Tribune


Les nouvelles tribulations du maître de la Maison blanche n’arrangent pas les choses. Le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la baisse mardi ses prévisions de croissance pour la Chine, avertissant des conséquences néfastes de la guerre commerciale sino-américaine sur l’économie.

La seconde économie mondiale devrait voir son PIB progresser de 6,1% cette année et de 5,8% l’an prochain.

 

 

 

 

 

Sud-Ouest


Le grand quotidien girondin pointe aussi du doigt l’Allemagne. En Allemagne, le secteur automobile, pilier de l’industrie, fait de plus en plus figure de talon d’Achille. Particulièrement vulnérable aux conflits commerciaux, il apparaît également mal préparé pour la révolution électrique.

 

 

 

 

 

Le Monde


 

Et comme toujours c’est le secteur industriel, donc les ouvriers qui sont les premiers touchés. Trou d’air du commerce, inquiétude du commerce. La décélération de la croissance mondiale s’est traduite par un ralentissement de la production industrielle, dont l’indice a été divisé par deux depuis le début de l’année 2018.

 

 

 

 

Le Figaro


Quels remèdes.

 

  • Comment redresser la barre ?

 

Une fois de plus, le FMI en appelle à un coup de pouce – une relance par la dépense - de la part des pays aux finances saines, comme l’Allemagne ou les Pays-Bas, explicitement désignés. Et si le moteur économique mondial devait avoir des ratés, une réponse budgétaire internationale coordonnée, serait nécessaire, suggère Gita Gopinah.

 

  • Le FMI comprendrait-il que la politique d’austérité est dramatique et suicidaire ?

 

On peut en douter !

 

 

 

 

 

 

 

Libre & independante

 

 

   Sourcing: CHRISTOPHE CHICLET, in fo.fr

La revue de presse hebdo:  (FMI) - Coup de froid sur la croissance économique mondiale

smiley   Blog publication, 19 octobre 2019, 16H53

 

La revue de presse hebdo:  (FMI) - Coup de froid sur la croissance économique mondiale
Partager cet article
Repost0