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  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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10 mars 2020 2 10 /03 /mars /2020 17:18
Aéroport de Bordeaux-Mérignac      Quand la sous-traitance devient maltraitance

4e jour de grève des agents de sécurité de l'aéroport Bordeaux-Mérignac par France 3 Nouvelle-Aquitaine -Une centaine d'agents de la société Hubsafe, en charge du contrôle des passagers et des bagages, a encore manifesté ce matin devant l'aéroport de Bordeaux-Mérignac

Aéroport de Bordeaux-Mérignac      Quand la sous-traitance devient maltraitance

Condition de travail / Grève / NAO / Transport aérien / Sous traitance / IRP / Syndicat / Conflit social / CSE

 

CONDITIONS DE TRAVAIL 

 

Aéroport de Bordeaux-Mérignac

 

 Quand la sous-traitance devient maltraitance

 

  • Face à la dégradation des conditions de travail depuis leur reprise par Hub Safe, les agents de sûreté de l’aéroport bordelais multiplient les actions de protestation depuis le 21 février.

 

  • Quatorze revendications toujours sur la table, déjà cinq jours de manifestation et un préavis de grève illimitée qu’ils n’entendent pas lever avant d’avoir obtenu gain de cause.

 

 

 

 

Depuis le 21 février, les agents de sûreté de l’aéroport Bordeaux-Mérignac (Gironde) ont engagé un bras-de-fer avec Hub Safe, filiale du groupe Samsic qui a repris en sous-traitance le contrôle des passagers (inspection et filtrage) fin 2018.

Le préfet, qui a reçu les manifestants le 24 février, devrait engager une médiation. Mais à ce jour, les agents bordelais envisagent une sixième journée de débrayage.

 

  • La quasi-totalité des salariés mobilisée

 

Leur mobilisation résume, à elle seule, l’ampleur du malaise : le 21 février, 112 des 135 agents en CDI ont manifesté devant l’aéroport régional, soutenus par FO notamment. Le 25 février, ils étaient encore… une centaine à débrayer. Soit la quasi-totalité des salariés en CDI, une fois décomptés les 17 agents en arrêt de travail.

 

Les salariés poursuivront le mouvement tant qu’ils ne seront pas entendus. Ils exigent de la considération et des conditions de travail qui leur permettent d’exercer leur mission, martèle Laure Bua, déléguée syndicale FO, première organisation avec une représentativité de 61%. Il en va de la sécurité de tous, celle du personnel aéroportuaire et des passagers. La politique du chiffre ne devrait pas exister dans un cadre aussi crucial que celui de la sûreté.

 

  • Le minimum légal pour toute politique


Depuis que cette mission de service public a été privatisée voilà plus de dix ans, les agents bordelais subissent un changement d’employeur au gré des appels d’offre (tous les trois ou six ans). Si le transfert des acquis sociaux n’est pas obligatoire généralement, la société qui remporte l’appel d’offre fait un état des lieux des accords et des usages existants, pour en reprendre une partie. Mais, s’irrite Laure Bua pas Hub Safe, qui s’en tient au minimum légal et conventionnel.

 

Finis, la possibilité de fractionner en journée la cinquième semaine de congés payés, les jours pour enfant malade, déménagement, la prise en charge du jour de solidarité… Et il a fallu un an de négociations pour que les salariés, contraints de porter l’uniforme, récupèrent l’indemnité de nettoyage (17 euros par mois). Idem pour la prime de repas (6 euros par salarié) : elle n’a été rétablie qu’en novembre 2019… uniquement pour les salariés justifiant 18 mois d’ancienneté.

 

 

  • Jusqu’à six heures de vacation sans pause

 

S’y ajoute l’absence de visibilité sur les plannings. « Précédemment, nous avions un cadre fixe, sur quatre semaines, avec deux week-end travaillés. Ce n’est plus le cas. Notre planning bouge sans cesse, certes dans le respect des délais de prévenance – 7 jours pour les changements de jours, 48 heures pour les changements horaires – mais cela ne rend pas la situation plus supportable », ajoute Laure Bua.

 

Pis, Hub Safe refuse toute sortie de poste pendant les vacations qui durent jusqu’à six heures ! Prendre 10 minutes toutes les deux heures est pourtant essentiel pour conserver sa vigilance. La sûreté ne peut être low cost, rappelle la déléguée qui dénonce une gestion basée sur un sous-effectif permanent. Sans même compter le non-remplacement des congés maladie.

 

Et à cela il faut ajouter d’autres paramètres inadmissibles. Ainsi, les locaux réservés aux agents sont dans un état d’hygiène déplorable. Les sanitaires sont bouchés depuis trois mois. L’entretien, sous-traité par Hub Safe, n’est pas fait, souligne Roxane Idoudi, secrétaire confédérale chargée du développement, qui est allée soutenir les manifestants.

 

 

 

  • Médiation du préfet


Malgré la mobilisation inédite, la direction d’Hub Safe campe pour l’instant sur ses positions. Elle renvoie l’ouverture de négociations à la prochaine réunion sur les NAO, mais en la conditionnant à la levée du préavis de grève illimitée explique Laure Bua. Or Ce n’est pas tolérable. Cela fait quatorze mois que nous évoquons à chaque CSE les conditions de travail dégradées, rappelle la militante.

 

Le choix d’Hub Safe d’appeler des renforts de Paris, Nice et Nantes, pour remplacer les agents grévistes, a renforcé la détermination. Tous les salariés ont été choqués. Hub Safe préfère mettre la main à la poche pour faire venir du personnel plutôt que pour nous assurer des conditions de travail décentes !.

 

 


Sourcing:   ELIE HIESSE, in fo.fr

Aéroport de Bordeaux-Mérignac      Quand la sous-traitance devient maltraitance

 

 

angry   Blog publication, 10 mars 2020, 17H33

 

 

 

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20 octobre 2019 7 20 /10 /octobre /2019 14:16
Illustration : Jean-Luc Boiré

Illustration : Jean-Luc Boiré

SERVICES À LA PERSONNE 

 

Aide à Domicile / Aides ménagères / Assistante maternelle / Condition de travail / Dares / Emploi / NAO / Services à la personne (SAP) / PE / CESU

 

 

FO en campagne pour des travailleurs très isolés

 

  • C’est l’un des secteurs où les salaires sont les plus bas mais où de grands groupes engrangent des profits considérables : les services à la personne (SAP).

 

Les personnes qui y sont employées, très souvent à temps partiel, figurent parmi les plus vulnérables, dont beaucoup de chefs de familles monoparentales, qui sont pour la plupart des femmes...

 

Les salariés des services à la personne sont d’ailleurs en grande majorité des femmes : 87,3 % (en 2015) contre 50,1 % pour l’ensemble des salariés, selon la Dares, la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques.


FO a lancé en septembre une campagne dédiée à ces salariés, en collaboration avec trois fédérations concernées par les services d’aide à la personne : FGTA-FO, FNAS-FO et FO-SPS.

 

Assistance aux personnes âgées, aux malades et aux personnes handicapées, garde d’enfants, préparation des repas, ménage, petit bricolage ou même jardinage, assistance informatique et soutien scolaire… Ce sont les services à la personne. Ils se définissent en tant qu’activités destinées à répondre aux besoins des particuliers.

 

On en compte 26 au total. Soumises à agrément, elles sont recensées dans le décret du 6 juin 2016 (article D 7231-1 du Code du travail) et liées à l’aide à la vie quotidienne, à l’aide à la famille et à l’aide aux personnes dépendantes.

 

Il existe deux types d’employeur.

 

  • L’un est le particulier employeur (PE). Il peut payer directement l’intervention à son domicile, aidé ou non par un organisme mandataire pour recruter le salarié. On parle alors de « mode direct ».

 

  • L’autre est un organisme prestataire qui met à disposition ses propres salariés à un particulier et qui lui facture le service. C’est le mode prestataire.

 

Ce sont surtout les organismes prestataires (hors micro-entrepreneurs) qui fournissent principalement des prestations d’aide à domicile à destination des personnes dépendantes (ils y consacrent 61,4 % de leur activité en 2015), note la Dares.

 

L’effet Borloo

 


Les services à la personne ont connu un important développement à partir de 2005, à la suite de la loi dite Borloo (du 26 juillet 2005). Libéralisant ce secteur, elle y a introduit des exonérations aux entreprises et donné des avantages fiscaux à l’embauche de salariés à domicile, avec notamment le CESU, le Chèque emploi service universel, avec pour but de simplifier la vie des Français en allégeant les formalités.

 

Objectif affiché de cette politique publique : lutter contre le travail non déclaré en incitant les contribuables à travers un crédit d’impôt. La forte croissance de ce secteur s’explique par l’augmentation des besoins sociaux, mais également par la politique active menée par les pouvoirs publics pour rendre la demande solvable, expliquait la Dares en 2014, la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques.

 

 

Cela a induit un essor considérable de ce secteur, surtout au grand bénéfice du privé. Plus de trois organismes prestataires sur quatre sont des entreprises privées (micro-entrepreneurs inclus).

 

Si les heures d’intervention à domicile de ces dernières continuent d’augmenter (+ 8,5 % en 2016), l’activité des autres organismes prestataires – associations et organismes publics – continue de ralentir (- 1,4 % en 2016), analysait la Dares en avril 2018.

 

D’un coût de près de 1,5 milliard d’euros et ambitionnant la création de pas moins de 500 000 emplois en trois ans, le plan Borloo a été vivement critiqué.

L’argument consistant à dire que ces mesures profitaient surtout aux plus aisés qui utilisent des services à la personne. Malgré la mise en place du crédit d’impôt sur le revenu en 2007, visant une meilleure redistribution vers les ménages modestes, il a été souligné que 17,7 % des cadres supérieurs employaient, en 2011, du personnel à domicile (principalement pour des tâches ménagères), contre 2 % des employés ou des ouvriers, alors que ces derniers représentent près de la moitié des actifs (Dares, 2014).

 

  • Le vivier des femmes

 


 

Quant aux salariés du secteur, leur situation n’est pas florissante : Depuis 2004, leurs conditions de travail et d’emploi évoluent de manière assez défavorable en comparaison avec la population en emploi salarié. Les femmes y sont particulièrement majoritaires : 87,3 % en 2015.

On compte même 97 % de femmes chez les aides à domicile, les aides ménagères et parmi l’activité d’assistant maternel (Dares, 2011).

 

Le salarié type des services à la personne affichait en 2015 une moyenne d’âge de 46 ans et peu de diplômes. Ainsi, 42,8 % des employés du secteur n’ont pas de diplôme ou seulement le brevet des collèges (...), contre 16,6 % pour l’ensemble des salariés, selon la Dares, qui constate : « Les salariés de prestataires ont des conditions de travail moins favorables, avec notamment des horaires de travail plus atypiques et des salaires horaires plus faibles. »

 

Le ton avait été donné dès le début de la loi Borloo avec l’annonce de la création de 145 000 « emplois » rien qu’en 2006, mais consistant en des tiers-temps ou des mi-temps. Un patron du secteur avait même pu confier : Les femmes de 50 ans qui aspirent à revenir sur le marché du travail sont un vivier important. (…) On est en permanence en flux tendu. Tout comme les rémunérations des quelque 1,4 million de salariés du secteur. S’ils sont nombreux, ils sont souvent isolés.

 

 

 

 

Force Ouvrière, cette année encore, n’a pas signé l’accord salarial dans la branche des entreprises de services à la personne. Si elles prétendent vouloir valoriser le métier, reste que les organisations patronales en oublient l’essentiel : la rémunération, le maintien du pouvoir d’achat de leurs salariés, s’insurge la FGTA-FO.

 

  • Lors des dernières négociations salariales annuelles (NAO), la délégation FO a demandé une revalorisation de 3 % de la grille conventionnelle actuelle, dont trois niveaux ont été dépassés par le Smic.

 

 

 

  • Les organisations patronales ont proposé elles une augmentation de 0,03 euro l’heure.

 

Sourcing: MICHEL POURCELOT, in fo.fr
Journaliste

SERVICES À LA PERSONNE,  FO en campagne pour des travailleurs très isolés

 

 

smiley   Blog publication, 20 octobre 2019, 15H36

 

SERVICES À LA PERSONNE,  FO en campagne pour des travailleurs très isolés
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19 avril 2019 5 19 /04 /avril /2019 16:12
Salaires, augmentations ,  l’individualisation toujours de plus en plus privilégiée

EMPLOI /  NAO / SALAIRES
 

Augmentations

 

 l’individualisation toujours de plus en plus privilégiée

 

  • « De plus en plus d’entreprises prônent l’individualisation des salaires », note le cabinet Deloitte dans une étude publiée en février dernier à partir d’un questionnaire sur les budgets d’augmentations en cours de négociation ou de versement envoyé à plus d’une centaine de sociétés en janvier 2019 dans le cadre des négociations annuelles obligatoires (NAO).

 

  • Régner sur les atomes

 


Ce cabinet d’audit et de conseil souligne une « nette individualisation » des augmentations salariales par rapport à celles « générales et collectives ».

 

L’an dernier déjà, en août 2018, Deloitte avait constaté, comme d’autres cabinets du même secteur, que de plus en plus les entreprises allouaient « principalement des augmentations individuelles (44% pour les non-cadres, 63% pour les cadres) ».

 

Cette tendance, actuellement de plus en plus en vogue et appréciée au plus haut niveau en France, est apparue dans les années soixante-dix aux États-Unis et contribue à l’atomisation des salariés et à leur mise en concurrence.

 

  • C’est cette logique d’individualisation que refuse Force Ouvrière.

 

 

 

Sourcing: MICHEL POURCELOT, in fo.fr

Salaires, augmentations ,  l’individualisation toujours de plus en plus privilégiée

yes Blog publication, 19 avril 2019, 17H21

 

 

 

 

 

Salaires, augmentations ,  l’individualisation toujours de plus en plus privilégiée
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7 février 2019 4 07 /02 /février /2019 17:05
Salaires bloqués,  que fait le Gouvernement ?

NAO / CCN Branches / SALAIRES / Négos /

 

Salaires bloqués

 que fait le Gouvernement ?


Chaque année, les syndicats de salariés négocient les grilles de salaires avec les employeurs pour les conventions collectives nationales de chaque branche professionnelle.

 

Toutes les entreprises adhérentes aux confédérations patronales se doivent d’appliquer ces grilles de salaires dès leur signature. Pour les autres, il faut attendre que les accords soient étendus, c’est-à-dire qu’ils paraissent au Journal Officiel.

 

Aujourd’hui, en pleine crise du pouvoir d’achat, les syndicats de salariés se heurtent à un problème majeur : de nombreuses grilles de salaires signées en 2018 ne sont toujours pas étendues par le Gouvernement !

 

 

 

Dans la boucherie artisanale par exemple, les négociations salariales 2019 sont bloquées.

 

La délégation patronale ne veut rien négocier puisque leurs adhérents dénoncent à juste titre une distorsion de concurrence entre leurs entreprises qui doivent appliquer les grilles et celles qui ne le font pas car, n’étant pas adhérentes et n’étant pas dans l’obligation de le faire compte tenu de la non extension des accords, elles bénéficient de charges moins élevées.

 

Aujourd’hui, face au manque de volonté du Gouvernement de faire appliquer les accords signés par les partenaires sociaux, de moins en moins d’entreprises veulent adhérer à une confédération patronale… Nous sommes donc dans une situation où le dialogue social est au point mort.

 

Pour Didier Pieux, Secrétaire fédéral en charge du secteur de l’artisanat alimentaire :

 

« Le Gouvernement doit prendre ses responsabilités. On peut organiser tous les grands débats que l’on veut, si les salariés n’ont pas droit aux augmentations négociées par les syndicats, la crise du pouvoir d’achat va s’amplifier. L’inflation, elle, s’applique au quotidien ! »

 

C

 

ommunication FGTA FO

Salaires bloqués,  que fait le Gouvernement ?

La FGTA FO s'était déjà mobilisée auprès du ministère de tutelle concernant le blocage de la grille dans la branche FCD, celle de la grande distribution.

 

Blog publication7 février 2019, 17H19

 

 

 

 

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