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  • : FO Retail Distribution
  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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Que signifie communiquer ? demanda le petit prince.

"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, 
répondit le renard."    
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

​​​​​​FOCPFEXDIA,  la chaine TV FO CPF : lien: https://www.youtube.com/channel/UCfWq-DLz258o2BG9m7Z6HDg

 

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FO, Libre Independant Déterminé

 


Lanceur d'alerte

Un lanceur d'alerte est toute personne, groupe ou institution qui, voyant venir un danger, un risque ou un scandale, adresse un signal d'alarme et, ce faisant, enclenche un processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective

 Libres, Indépendants, Déterminés et Solidaires Ensemble. Communication, Information et Expression directe de l'actualité sociale, économique et syndicale de FO CPF et des salariés du commerce et de la Grande distribution.

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Pour le  REPOS DOMINICAL pour tous en même temps

DROIT A L'IMAGE

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Dans ce blog nous sommes amenés fréquemment à diffuser des images, des vidéos, des photos, voire des articles de presse, d'insérer des liens vers des documents,   ceci afin d'étoffer et d'éclairer nos posts, en leur donnant plus de contenus, pour une meilleure compréhension.

Nos sources sont toujours citées.

Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.

Néanmoins rien n'empêche les personnes ne désirant pas voir leur image diffusée de nous le signaler lors de la prise de vue.

Sans manifestation de leur part, nous considérerons leur consentement présumé.

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1 juin 2009 1 01 /06 /juin /2009 00:09



« On veut savoir qui fixe les prix »,
?

S'agacent les Guadeloupéens, qui soupçonnent les grands distributeurs de l'île de s'en mettre plein les poches. Qu'ils se rassurent, nous aussi, en métropole, on aimerait bien savoir qui fixe les prix.

Comment se fait-il que l'effondrement des prix agricoles, par exemple ceux de la viande de porc, ne se retrouve pas sur les étals des hypermarchés ? Pourquoi le prix des pâtes ne faiblit-il pas, alors que les cours du blé se sont effondrés en six mois ? Et le lait ?

Ne cherchez pas ! C'est comme aux Antilles, personne n'a la réponse. Le Monde a mené l'enquête et a trouvé un Michel-Édouard Leclerc tout à fait scandalisé. « Il y a quelque chose qui ne va pas », confie-t-il, en s'étonnant que les industriels comme Fleury-Michon ou Herta lui présentent des hausses de prix. À la Fédération nationale porcine, autre son de cloche, on se dit « écœuré » par les marges des grandes et moyennes surfaces.

Quant à Christine Lagarde, ministre de l'Économie et des Finances - oui, oui c'est toujours elle -, elle est toujours aux fraises. En août dernier, elle avait prévu que la baisse des prix agricoles aurait des effets rapides sur les prix des produits alimentaires. Bien vu ! Elle avait promis de faire la lumière sur les marges en quinze jours… C'était juste avant les municipales 2008. En décembre dernier, son sous-ministre Luc Châtel a réuni un premier comité pour entamer les études sur ces fameuses marges

Tout cela sent bon l'air vicié des économies ultramarines.

 

Et, comme là-bas, derrière les harangues politiciennes enflammées se cachent de fortes complicités, entre pouvoirs publics et gros propriétaires. On a laissé s'installer ici des monopoles de la distribution dans l'alimentation, dans le pétrole et, maintenant, le gaz, qui n'ont rien à envier à ceux des békés. Et, ici, on n'a même pas l'excuse de l'histoire !

Juste celle de la bêtise. Si ce n'est pas pire…
B-M
Source AFP

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11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 22:41

Chez Cora les syndicats sont synonymes de perte d'emploi...

 

Deux salariés de Cora qui avaient fait savoir qu'ils allaient prendre leur carte après la création d'une section FO ont été licenciés. Le syndicat crie au scandale.

 

SI c'est une simple coïncidence, elle semble curieuse. Le 30 mars, par lettre recommandée, Daniel Blondeau, secrétaire général de Force ouvrière Ardennes, avise le directeur de l'hypermarché Cora que Dany Sobaco est désigné délégué syndical et représentant de FO au comité d'entreprise.
Déjà 30 syndiqués

Une semaine plus tard, deux salariés qui avaient fait savoir qu'ils souhaitaient rejoindre la toute nouvelle section syndicale sont mis à pied. Leur licenciement interviendra le 29 avril.
« Ce n'est pas un hasard mais la volonté de frapper un coup symbolique pour éviter que le mouvement fasse tache d'huile. C'est de l'entrave… »

se fâche Daniel Blondeau. Lequel a immédiatement saisi la direction du travail pour préparer une action devant les prud'hommes.

« J'ai aussi écrit au préfet. Celui-ci prêche le dialogue social. Il pourra constater que certains chefs d'entreprise sont loin d'en être de chauds partisans… »
A noter au demeurant qu'aucun syndicat n'avait jusqu'alors réussi à s'implanter dans l'hypermarché, installé sur la zone de Villers-Semeuse depuis les années 70.
« Si j'ai fait confiance à Dany Sobaco, c'est que je le savais costaud mais pas du genre à être intimidé ou à être sensible au chant
 des sirènes.
 Mais je n'imaginais pas que la direction de Cora réagirait de cette manière » tonne encore Daniel Blondeau.

« L'ambiance s'est dégradée au printemps. Quand le personnel a appris que des cadres bénéficieraient d'une augmentation salariale alors que les employés de base, eux, verraient leur participation sérieusement diminuée en raison de la crise »
glisse le nouveau délégué syndical.

« Bizarrement, après ma nomination comme délégué, mon supérieur m'a dit que c'était dommage, que je pouvais espérer devenir adjoint… »

Sous-entendu, cet engagement syndical est venu ternir une carrière qui s'annonçait brillante !

Reste le plus sensible, à savoir le licenciement des deux collègues du service sécurité du magasin. « Les faits invoqués ne constituent en rien des fautes graves justifiant des licenciements » estime le responsable départemental de FO (lire par ailleurs).

La justice tranchera.

« Un mini-sondage nous faisait espérer que près de la moitié des employés étaient d'accord pour rejoindre le syndicat quand il se créerait.

Pour l'heure, la manœuvre, a réussi. Les gens ont peur. Mais la section est forte quand même d'une trentaine de syndiqués.

C'est un début.

 

B-M

Source anti Grde.Distribution

Texte Libre

 

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27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 21:55

Il est grand temps que les yeux s'ouvre afin que l'on ne nous prennent plus pour des attardés, des profitants, des fainéants ou des perfusés...

Ou est l'égalité que  je souhaite mais qui ne semble pour le moment qu'utopie?

La fraternité on cherche a nous l'enlever définitivement avec le manque d'information de notre situation à nos compatriotes français sur le continent, ou plutôt devrais-je dire la désinformation et, un journalisme orienté!

Alors SVP fait tourner!!!

Fey touné souplè!!!!

La vérité est celle là ...

15/02/2009 à 21:59

Les DOM-TOM (520 euros/hab./an) coûtent moins chers que la Corse (2.400 euros/hab./an) ou la métropole (1.200 euros/hab./an).

Alors renseignez vous et lisez le rapport du délégué interministériel à l’égalité des chances des français d’outre mer (Patrick Karam) !!!

Par ailleurs sans les DOM-TOM la France ne posséderait pas la 3eme zone maritime mondiale, ni aucun droit sur les droits de douane et passage pour le Canal du Panama (grâce aux Antilles) et du Canal de Suez (La Réunion).

Renseignez vous, Bernard Pons disait lui même en 1986 que les DOM-TOM rapportaient à la France "largement plus que ce qu'ils lui coûtent".
Par ailleurs les Antillais sont français qui cotisent et paient des impôts comme n’importe quel français, ils sont en réalité plus taxés que les métropolitains (en plus de la TVA, on paie ici 3 taxes d’octroi de mer sur tout produits importé) et paient des impôts locaux aussi élevés qu’en Région Parisienne.
Alors par pitié cessez de dire n’importe quoi, les Antillais ne vivent pas grassement sur les impôts de leurs compatriotes de métropole !!!

 

 Je peux comprendre que les 7000 km qui nous séparent de la France Métropolitaine fassent que certains de nos compatriotes ne maîtrisent pas trop le sujet. Le traitement déplorable des médias n'y est pas étranger.
Donc petite piqûre de rappel :

1- les manifestants ne demandent rien à l Etat: ni argent, ni RSA, ni monnaies sonnantes et trébuchantes. Ce sont les patrons (Béké, Medef) qui ont sollicités de l’Etat, ces derniers ont voulu tirer partie de la grève en demandant une énième aide en échange d'augmentation des salaires les plus bas. Ils bénéficient déjà d'exonérations de charge, de la défiscalisation, de nombreuses aides qui proviennent de l'Etat et de l'Europe- (la liste n'est pas exhaustive).

2- Les manifestants n'ont pas et jamais demandé l'indépendance: vous ne trouverez nulle part une demande d'indépendance de la part des manifestants. Le choix d’être français a été tranché à maintes reprises (Référendum de 1946, de 1962 et 2003). Les Guadeloupéens ne demandent qu’une chose, l’EGALITE DES DROITS pour tous les française de Métropole et d’Outre Mer.

Par ailleurs, l’indépendance ne se donne pas, elle se prend et se conquiert par les peuples, la Guadeloupe elle est française depuis 1635 !!!

3- Les Guadeloupéens ne sont ni xénophobes, ni racistes: Ce sont les békés qui vivent entre eux, se marient entre eux, travaillent entre eux en excluant les antillais. D’ailleurs les antillais sont tous plus ou moins métissés ! Vous ne trouverez aucun cadre de direction dans les entreprises tenues par eux, les annonces d'emplois ne paraissent même pas en Guadeloupe, mais directement en France, via des cabinets de recrutement. Nous vivons et côtoyons les descendants d'esclavagistes et à ce jour les antillais n'ont jamais eu l'attitude que eux ont envers nous.

4 - Les manifestants demandent 200 euro d'augmentions pour les bas salaires. Cette revendication est légitime, comme je l'ai expliqué plus haut les patrons antillais bénéficient de nombreuses aides qui leur permettent d'empocher de substantiels bénéfices.

Ces aides venant de l’Etat se sont vous, nous qui les payons pour enrichir des patrons qui exploitent les antillais !!! Le salaire d'un Antillais est de 20% à 30% voir 50% inférieur à ceux proposés (à compétence égale) en métropole. Quand on sait que là bas tout coûte plus cher de 20% à 30% comment voulez vous que les gens s'en sortent???
Comment peut-on croire qu'avec un coût de production moins élevé et de telles majorations de prix les patrons Antillais prétendent ne pas pouvoir augmenter les salaires???
Que vous ayez fait des études ou non, ont vous proposera le Smic, les emplois sont rares les patrons en profitent pour sous payer leurs employés.

En conclusion, la fin du système néocolonial (exclusivité de la Métropole et application stricte des lois de la République) et de l'exploitation, voilà ce que les Guadeloupéens demandent, qu'on leur donne les moyens de travailler et de vivre de leur travail et non du RSA ou autre RMI.
Qu'on arrête de donner des sommes exorbitantes, sans contrepartie, sans aucun contrôle à des patrons qui ne font que s'enrichir en exploitant le côté insulaire de la Guadeloupe et de ses  habitants. Que ces dites sommes servent à développer l'économie, à payer décemment les salariés pour qu'enfin l'économie de la Guadeloupe ne repose pas uniquement sur le tourisme. Que les abus soient réprimandés : fin du monopole de certaines familles qui empêchent la concurrence, veille des prix, contrôles serré des sommes envoyés par l’Etat et l’Europe, etc...

 L’Etat aurait tout à gagner à développer des partenariats avec les autres îles des Caraïbes (Puerto Rico, St Domingue, Trinidad) avec les autres continents, la Guadeloupe est à 4 heures de l'Amérique du Sud et à 2 h des USA.

Nous sommes des français à part entière alors de grâce cessez de nous comparer aux habitants des pays voisins (Haïti, Cuba, République Dominicaine, etc?) !!!
Aucun métropolitain n’aimerait qu’on lui balance à la figure qu’il doit être heureux et la fermer parce qu’il gagne plus et vit mieux qu’un Roumain ou qu’un Polonais.
Nous ne sommes pas cubain ni haïtien mais français comme vous et même depuis plus longtemps que certains d’entre vous !!!

En espérant que certains comprendront un peu mieux leurs compatriotes des Antilles et leur apporteront leur soutien dans cette lutte.

Cordialement

A-Nonyme, avec aimable autorisation

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15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 14:59

FO 75 : "NON au travail du dimanche..."

Ils profitent de la crise :

ils détruisent les emplois, le code du Travail, les services publics, l’hôpital et la Sécurité Sociale,. Ils réduisent les salaires et les retraites  

Le 29 janvier 2009 : grève interprofessionnelle et manifestations pour bloquer le pays et stopper cette politique.

 

Dès septembre 2007, alors que les entreprises n’avaient jamais enregistré autant de bénéfices au cours des années précédentes, les premières annonces de licenciements intervenaient.

Aujourd’hui ce sont des vagues de suppression d’emplois sans précédent que les salariés sont en train de subir ainsi que de longues périodes imposées de chômage technique qui annoncent elles- mêmes de nouveaux plans de licenciement.

 

Ce n’est pas aux salariés, aux retraités, aux chômeurs de payer la crise d’un système, eux qui se disent légitimement aujourd’hui "mais où est donc passé tout ce fric gagné par les entreprises et les spéculateurs au cours des dernières années ? "

 

Alors que des milliards sont distribués sans compter aux banquiers, alors que tout est fait pour que les banques poursuivent impunément  leurs errements spéculatifs, les salariés, les retraités, les chômeurs constatent que le gouvernement et le MEDEF entendent :

 

 - Réduire encore les droits des chômeurs

 - Mettre en place la loi Bachelot et les Agences Régionales de Santé en tentant ainsi de réduire toutes les qualités et les compétences de l’hôpital, ses lits et son personnel et en tentant de supprimer les Caisses régionales d’assurance maladie et leurs compétences dans les domaines des autres soins et des laboratoires, avant de s’attaquer aux Caisses primaires et à leurs offres de soins.

 - Etendre le travail du dimanche et en faire demain un jour travaillé comme tous les autres et, pour certains salariés, en faire le seul jour où ils travailleront.

 - Privatiser l’ensemble des services publics, en commençant par La Poste, en détruisant ainsi égalité de traitement, services rendus, tarifications identiques dans l’ensemble du pays tout en cassant les statuts des personnels.

 - Mettre en place la RGPP qui vise à supprimer des dizaines de milliers d’emplois dans la fonction publique, particulièrement à l’école. Dans ce secteur les fortes mobilisations des lycéens, des enseignants, des parents d’élèves ont fait reculer le gouvernement sur la réforme des lycées.


Sur le travail du dimanche les actions commencent à payer pour empêcher que celui-ci ne se mette en place.

 

Alors OUI avec les UD FO, il faut organiser la grève interprofessionnelle le 29 janvier 2009. Il faut mettre un coup d’arrêt à cette politique de destruction.


Alors OUI avec les UD FO  il faut participer à une imposante manifestation qui pour la région IDF partira de la Place de la Bastille, à 14H00, pour se rendre à Saint Augustin.


FO ouvrira cette manifestation. Dès 13H00, vous vous rassemblerez sous les ballons et banderoles de FO au métro Chemin Vert.


Avec les UD FO  le 29 janvier 2009, vous ferez grève et vous manifesterez sur des revendications et des positions claires :


 - Interdiction des licenciements et arrêt de la précarisation. Arrêt immédiat de toutes les suppressions d’emplois.


 - Augmentation générale des salaires, des retraites et des minimas sociaux pour relancer la consommation donc l’économie.


 - Retour au monopole public de La Poste et de tous les services publics déjà attaqués. Non à la privatisation des services publics.


 - Retrait des réformes de l’école primaire et des lycées. Maintien de tous les postes, de toutes les classes et de tous les cours.


 - Retrait de la loi Bachelot. Non à la mise en place des Agences Régionales de Santé qui détruisent l’hôpital et la Sécurité Sociale. Maintien de la CRAMIF, de son centre de santé et de son laboratoire.


Oui à la Sécurité sociale de 1945.


Retrait du projet de loi Boutin qui remet en cause le logement social.

 

NON au travail du dimanche. Maintien du code du Travail, des conventions collectives et des statuts.

 

 - NON à la fusion ANPE /ASSEDIC


  - Contre l’imposition du travail jusqu’à 70 ans.


 - Maintien du droit de grève, NON au service minimum.


 - Respect des droits syndicaux, de la libre désignation des délégués syndicaux dans les entreprises.

 

DETERMINES, UNIS, PUBLIC PRIVE, DANS LA GREVE INTERPROFESSIONNELLE ;

SUR NOS REVENDICATIONS FO

LE 29 JANVIER 2009 NOUS DIRONS AU GOUVERNEMENT ET AU MEDEF

« CE NE SONT PAS LES TRAVAILLEURS QUI DOIVENT PAYER ! »

 

Le Blog FO-Ed relaie et fait sien les mots d'ordre AINSI que la mobilisation de la CgtFO du 29 janvier 2009. Les syndicats régionaux FORCE OUVRIERE Ed appelle à la gréve généralece ce jour là, et demande à tous ses adhérents, élu-es, militantes et militants, et plus largement à tous les salariés Ed, et de la grande distribution à rejoidre les manifestations qui seront organisées ce jour là dans leur commune, ou régions respectives.

!!! ILS NE COMPRENNENT ET N'ENTENDENT QUE LE RAPPORT DE FORCE !!!

B-M
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12 janvier 2009 1 12 /01 /janvier /2009 23:13
COUP DE GUEULE!: TRAVAILLER LE DIMANCHE

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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 01:28

Alors évidemment, le travail dominical est encore moins le bienvenu : Donnons déjà du travail à tout le monde à temps plein les lundis, mardis, mercredis, jeudis, vendredis, et même les samedis.

!!! Et après le dimanche, & les jours fériés il ne restera que la nuit, et toute la vie pour mourir, avant de partir en retraite, à 70 ans et plus !!!

Non la précarité ne se partage pas, elle est et se subie !
Bas salaires, temps partiels, amplitudes quasi permanentes,  horaires flexibles, plannings non affichés, ou changeants selon les circonstances, voir les humeurs de la hiérarchie, mutations sauvages, et prêts intempestifs, quasi permanents d’un magasin vers un autre, servant de variable d’ajustement managérial pour pallier aux carences d’effectifs récurrents: les caissières en ont ras-le-bol

«J’ai quitté ma caisse parce que je n’en pouvais plus et pour rien au monde, je ne pourrais y retourner». Ce constat d’une caissière est aujourd’hui partagé par toute une profession en manque de reconnaissance.
 

http://memorix.sdv.fr/0/default/empty.gifOn la connaît tous, on la rencontre régulièrement, on l’observe, on discute parfois avec elle, la caissière. De la pluie, du beau temps. Rarement des conditions de travail de plus en plus pénibles, des bas salaires et du temps partiel subi qu’elle cumule. Sans parler de cette insécurité croissante, ou victime d’un genre nouveau : Frappée, giflée, insultée, pour un prix erroné, ou pour une attente en caisse. On a peine à le croire mais c’est pourtant le calvaire subi comme une humiliation supplémentaire aux traces indélébiles.

 

Salariées les moins bien formées de tout le secteur, soumises à la l’extrême polyvalence, cette poly activité les privant de reclassement lors d’inaptitudes liées à leur fonction, lombalgies et autres TMS, elles formeront le bataillon des premières charrettes avec l’arrivée des nouvelles technologies d’encaissement.

La caissière, nouvelle icône du prolétariat, taillable et corvéable. Elle se serait bien gardée de ce statut mais voilà : lors des dernières élections présidentielles, les politiques, démunis d’un ouvrier désormais devenu une entité évanescente, en ont fait leur faire-valoir de bonne conscience. Et un souffre-douleur.

« Les clients sont de plus en plus stressés et les caissières sont le dernier maillon d’une chaîne. Elles prennent tout, encaissent tout, subissent tout… ». Souvent les larmes coulent, en s’excusant, c’est d’en parler…

Elle est le réceptacle de tous les problèmes du magasin, car elle est souvent la seule à avoir un contact avec la clientèle, et dans tous les cas elle en est le dernier maillon humain.

Qui s’en aperçoit ?

Car au-delà de la pénibilité du travail, c’est le manque de reconnaissance qui blesse :

 « L’indifférence de la hiérarchie fait mal. Ils ne portent pas plainte et n’appellent même pas pour prendre des nouvelles, lorsqu’en arrêt lié à un braquage, ou une agression… », Déplorent-elles, de façon unanime.

Alors évidemment, le travail dominical est encore moins le bienvenu, non rémunéré en plus : « Je serai pour, le jour où tout le monde travaillera le dimanche. Mais surtout, il ne faut pas croire que la direction soit d’accord pour nous payer tous les dimanches à +100%, ou au delà, ça ne serait pas rentable pour eux, ou peut être seulement pendant les fêtes».

Car, seul le chiffre d’affaires compte. Et la caissière n’est qu’un numéro parmi d’autres. Un pion dans l’échiquier de la flexibilité imposée. Dix ans de caisse avec des horaires anarchiques, ça  bousille une vie.

 

Et la pilule du travail dominical, avec en plus les rallongements des horaires de fermeture en soirée n’a rien d’alléchant : … Comment feront les gens avec leurs enfants s’ils doivent payer quelqu’un pour les garder? Comment réintégrer son foyer avec prés de deux heures de trajet quand vous quitter à 21H30 ?

Comment éduquer vos enfants, les surveiller, les soigner, suivre leurs levons et leurs devoirs ? Sept heures de travail, + 03 heures de trajets quotidiens, et 10 minutes de retards sont sanctionnées, avec perte de salaire, mais 10 minutes de plus effectuées avant de partir ne sont pas comptabilisées.

Salaire de misère pour travail usant, souvent dans le froid, debout, toujours plus de productivité. Les articles à passer, à porter d’un tapis à l’autre, carte de crédit, bons de réduction, vérification des cabas, de la monnaie, des cartes d’identité, prélèvements de caisse... pas le temps, le droit d’aller aux toilettes… De quoi devenir dingue. Avec obligation de sourire, SBAM oblige.

A travers le syndicalisme, on peut, on veut se battre pour les petites jeunes. Aujourd’hui, on ne peut plus obtenir quoique ce soit mais on essaie de ne pas perdre ce qu’on a acquis ». Ni ses droits, ni sa fierté.

Le temps partiel

Une caissière sur deux le subit aujourd’hui contre une femme active sur trois en France.

Quelques données en France

Seuil de pauvreté 817 euros par mois
Salaire mensuel brut moyen 1900 euros

  Remerciements caisierenofuture.com

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12 décembre 2008 5 12 /12 /décembre /2008 23:36

!!!  Laurence et  Nicolas ensemble, Tous Ils l'avaient révés,
ce que le Medef veut, le gouvernement s'y oblige
!!!

......En obséquieux courtisans, serviteurs des décisions à intervenir, et des ordres non encore pris ou décidés, non transmis,voire inexistants, il(s ) (les) en ont devancé le désir (?), de peur que ces consignes n'arrivent jamais, et que les dispositions ratifiant la mort du repos dominical ne soient pas prises, (sait-on jamais?), passant du rêve à la fiction, pour plonger dans la plus sordide des réalités, tout seul, le(s) responsable(s) sectoriel et de site du magasin ont offert à la direction, qui n'en demandait certes pas tant, sur l'autel des sacrifices sociaux, et familiaux des salariés de l'établissement, la faisabilité du 7éme jour, comme s'il s'agissait d'une anomalie, ou d'une chose incongrue.
Ceci de plus ayant été établi sous de fausses promesses, en totale méconnaissance des régles légales régissant les modifications des horaires collectifs des salariés, à savoir, consultation des IRP (instances représentatives du personnel), et en violation des modalités légales des horaires du dimanche d'ouverture/fermeture des structures commerciales à prédominance alimentaire.

Faire du dimanche un jour comme un autre, une journée de travail comme une autre, n'est pas acceptable
.

 !!! OUI, ET N'EN DEPLAISE A CERTAINS LES DP FO VEILLENT !!!

B-M


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6 décembre 2008 6 06 /12 /décembre /2008 18:50

Aprés la perte constatée d'une partie de nos jours fériés, nous à FO Réaffirmons que  Le Dimanche est un jour de rencontre, de partage, de joie en famille ou entre amis.

C'est une respiration salutaire, ou le corps et l'esprit peuvent se donner du temps, pour eux mêmes, du repos, salutaires et necéssaires à la santé.
Valoriser le travail, et les valeurs qu'il véhicule, est important et nécessaire, tout comme il est impératif que les salaires permettent aux salariés d'avoir une vie décente, de pourvoir aux soins de sa famille, de pouvoir faire des projets personnels, sans avoir recours à de tels expédients qui livreraient les salariés de toutes les catégories, fragilisés, en état d'extrême précarité, taillables et corvéables à merci, 7 jours sur 7; Recourir à une telle dérégulation sociale, & déréglementer le travail dominical portera atteinte à notre identité, nos valeurs et entraînera un choix de société que nous ne souhaitons pas, que nous ne voulons pas, que les salariés ne veulent pas.


!!! Pas d'hypocrisie,  comme d'aucun de façon indigne, et insidieuse tente de le faire croire ou de le laisser entendre, tout en négociant en sous main les ouvertures généralisées de nos magsins les dimanches, pour FO, c'est NON AU TRAVAIL DOMINICAL, c'est NON A LA SOCIETE DU CADDIE ROI, c'est UN OUI ABSOLU & DETERMINE POUR LE REPOS DOMINICAL POUR TOUTES ET TOUS SANS DISTINCTION !!!
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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 10:36
Source: merci à l'apport amical contributif; caissierenofutur. sur over.blog

Petit rappel; Il faut savoir:
- le dimanche est un jour férié laïque depuis 1906
- il existe 180 dérogations pour ouvrir les magasins le dimanche
- 25% de la population active travaille occasionnellement le dimanche, la moitié d'entre elle travaille tous les dimanches.
 
On en dit des choses, et on en fait dire des choses, et tout plein de choses, enfin surtout des contre vérités sur NOTRE REPOS DOMINICAL. Car enfin c'est bien de cela qu'il s'agit. Les quatres V, vous connaissez:  la régle du VOLONTARIAT POUR TOUS?

 - Retraite à 70 ans,

 - Les Heures supplémentaires, et chez Ed non payées pour la maîtrise,

 - Le temps partiel choisi(?)

 - Le travail du dimanche, et les extensions d'horaire en soirée

Merde, ça fait CINQ !!!, Quant on aime on ne compte plus !!!Maintenant en avant pour les aberrations pour faire gober des mouches génétiquement modifiées, de plus en plus grosses, aux manants que nous sommes:



 - Il paraît que travailler le dimanche va relancer la croissance économique, et aussi participer à l'augmentation des prix, de par l'explosion des coûts de distribution, de transport, de Logistique, de sécurité..

 - Il paraît que travailler le dimanche va permettre aux salariés de gagner plus d'argent,
et comment ? Quand ils devront dépenser plus pour leur transport, ou faire garder leurs enfants, et dégrader leur santé...

 - Il paraît que les salariés demandent à travailler le dimanche, et ben ça ça se saurait

 - Il paraît que seuls les volontaires travailleront le dimanche,
celui qui y croit a gagné un week end dans son magasin, ou ailleurs.

Beaucoup de rumeurs, beaucoup d'idées aussi diverses que variées, beaucoup d'a priori et en fin de compte assez peu de certitudes sur cette réalité qui va bientôt arriver.
Floriléges:

 - On nous promet de gagner 2 fois plus (ou 150% selon certains articles) en travaillant le dimanche. Curieux car  chez Ed, qui ouvre déjà le dimanche on ne gagne pas plus cher qu'en semaine.
 - On nous parle de volontariat pour le travail du dimanche. Curieux quand on se rend compte que bien souvent ce jour de travail devient un jour de volontariat imperatif & obligatoire.
 - On nous dit que grâce à l'ouverture le dimanche, les gens consommeront plus. Curieusement on pourrait imaginer qu'on consommerait autrement, différemment, qu'on étalerait peut être un peu plus nos achats dans la semaine, mais pas qu'on achèterait plus le dimanche que les autres jours.
 - On nous dit que c'est pour travailler plus, curieux quand on voit le nombre de temps partiels..
.
 - On nous a dit aussi que les extensions des horaires de fermeture en soirée seraient accompagnées en termes de sécurité, avec la présence d'un agent, et aussi du personnel en quantité suffisante permettant un départ sécurisé des salariés, et là aussi sur la base exclusive du volontariat....
Qui y croît encore?

Voilà quelques  interrogations. Il y en a certainement beaucoup d'autres et des plus valables sans aucun doute. De surcroît le travail du dimanche va être créateur de précairté sociale, va abaisser le niveau de formation des salariés, et détruire le lien social pouvant exister entre salariés.

Il y a quelques dizaines d'années, les hommes et les femmes se sont battus pour obtenir leur samedi de repos, pour obtenir leur week-end en famille. Puis ils se sont battus pour avoir des horaires plus décents.
Bref, tout un tas d'avancées pour le salarié afin qu'il puisse concilier au mieux travail et vie de famille. (Je ne lr débattre des 35 heures ou des RTT.)

Mais au jour d'aujourd'hui:

- il y a des professions où travailler le dimanche fait partie du métier : milieu hospitalier, infirmiéres de statut libéral, restauration, salles de cinéma, police, transports ferroviaires, voir taxi ... et certains commerces (boulangeries, marchés, boucheries, enfin des commerces spécialisés- il y a aussi des professions où l'on travaille le samedi (mais pas le dimanche) : hors petits commerces ouverts le dimanche matin de type : boulangerie, boucherie...  qui ont un autre jour de fermeture fixe dans la semaine, les banques (à noter d'ailleurs que l'ouverture toute la journée le samedi, c'est relativement récent)
- il y a des professions où l'on ne travaille jamais le week-end (samedi et dimanche) : la plupart des entreprises privées, le service public (hors mairies et bureaux de poste), ...
A côté, on constate que les enfants en primaire ne vont plus à l'école le samedi matin, un bon nombre  de services d'entreprises ferment plus tôt le vendredi, que l'ANPE, la sécurité sociale, sont fermés le week-end.

Les salariés dans tout ça, ils en pensent quoi?:  
Je n'en ai pas entendu dire être favorable pour le travail du dimanche. À chaque fois, l'argument principal était :
« Et la famille ? On la verra quand ? Déjà qu'en semaine, avec les horaires qu'on a, ce n'est pas toujours facile...
 
»

Très concrètement, cela veut dire quoi ?
Si le travail le dimanche se banalise, pour combien de temps encore sera-t-il payé double, considérant qu'il pourrait l'être ?
Et le jour où cet avantage financier disparaîtra, quel intérêt y aura-t-il à continuer de travailler le dimanche ? Ne sera-t-il pas simplement devenu un jour comme un autre à la différence près que les enfants seront seuls à la maison, qu'il faudra payer une nounou pour les plus petits ou une occupation (payante bien souvent) pour les enfants un peu plus grand ?
Comment fera t'on pour les familles séparées, ou monoparentales, pour faire valoir la garde alternée de ses enfants le Week-end?
Alors, effectivement, pour les étudiants, cela pourraît être intéressant (il permet de cumuler plus facilement études et emplois : faire moins d'heures pour gagner plus... douce ironie tiens...) mais pour les mères et pères de famille ou les familles mono-parentales ?
Et très sincèrement, nous avons beaucoup de mal à croire que l'ouverture des magasins le dimanche va relancer la croissance. Les gens viendront acheter ce jour-là ce qu'ils n'achèteront pas un autre jour de la semaine...
Et alors là il faudra poursuivre avec la fuite en avant, laquelle consistera à nous indiquer qu'il est inéluctable de devoir ouvrir 7jours sur 7, et 24 H sur 24, avec en prime l'éradication totale de tous les jours fériés !!


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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 13:04

!!! INJUSTIFIABLE !!!

Apres l'Assemblée Nationale, le Sénat est sur le point de confirmer l'amendement scélérat sur la retraite à 70 ans.
Dans le même temps, le projet de loi de financement de la SS devrait réserver la hausse de + 25% du minimum vieillesse promise d'ici 2012 aux personnes âgées vivant seules, excluant celles qui vivent encore en couple.


RMI: 10 000 nouveaux RMIstes pour le seul mois de septembre.....

La FÊTE des MORTS:

Par l'introduction d'un amendement à la loi de financement de la SS juste avant le WEEK-END de la Toussaint, le gouvernement reléve l'âge " VOLONTAIRE " de la retraite: 70 ans dans le privé, 65 ans dans le public.
Un " libre choix " parafaitement mensonger.

De moins en moins de salariés auront la totalité de leurs droits à 60 ans et une retraite suffisante à 65 ans. Ils devront donc chercher à poursuivre leur travail et ce "CHOIX (?)" leur sera dés lors imposé.

Résultat; une paupérisation des Séniors, ET une baisse de l'espérance de vie.....

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