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  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
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28 avril 2020 2 28 /04 /avril /2020 15:23
Journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail      Priorité à la santé face au COVID-19

CHSCT / CSI / OIT / Santé-Sécurité au travail / IRP / Syndicat

 

COMMUNIQUÉ DE FO

 

Journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail

 

 Priorité à la santé face au COVID-19

 

La journée mondiale de la santé et sécurité au travail de l’OIT prend une dimension particulière dans le contexte de la crise sanitaire du COVID-19.

 

  • La Confédération Force Ouvrière soutient toutes les victimes d’accidents de travail mais également les travailleurs et leurs familles victimes de la crise sanitaire que nous traversons.

 

Force Ouvrière rappelle que le droit à la santé et à la sécurité des travailleurs est garanti par les normes internationales du travail de l’OIT. A ce titre, FO rappelle sa revendication, aux côtés de la Confédération syndicale internationale (CSI), de leur inclusion dans les principes et droits fondamentaux au travail. FO réaffirme également l’importance de l’inspection du travail et de la convention 81 de l’OIT en la matière, pour assurer la bonne mise en œuvre des conditions de Sécurité et Santé au Travail (SST) dans les entreprises.

 

La directive-cadre européenne n°89/391 relative à la SST peut également jouer un rôle déterminant dans la mise en œuvre de la SST au niveau national.

 

La pandémie actuelle met en lumière la nécessité de repenser la stratégie industrielle afin de la rendre moins dépendante de chaînes de valeurs mondiales concernant les biens stratégiques, notamment les équipements individuels de protection ou encore les médicaments par exemple. Les politiques d’austérité de ces dernières années ont fortement impacté les services publics, notamment de santé ou encore de l’inspection du travail, dans leur capacité à faire face à une telle crise.

 

 

 

 

Pour Force Ouvrière, la priorité est aujourd’hui bel et bien au renforcement de la protection de la santé et sécurité des travailleurs face au risque de contamination, que ce soit dans l’entreprise ou l’administration, dans les transports et lieux de restauration. La consultation des organisations syndicales est centrale pour garantir la disponibilité et la prise en charge de l’équipement individuel de protection pour l’ensemble des travailleurs ainsi que l’organisation du travail permettant de respecter les gestes barrières.

 

En ce sens, FO revendique notamment la remise en place des CHSCT supprimés par les ordonnances travail.

 

Enfin, FO revendique la reconnaissance en maladie professionnelle du COVID-19 pour tous les salariés exposés dans le cadre de leur activité. Ce serait en effet une mesure de réparation et de reconnaissance des efforts consentis et des risques encourus par tous ces travailleurs.

Force Ouvrière rappelle, en ce 28 avril, que la santé et la sécurité des travailleurs doit rester la priorité.

 

 

 

 

 MARJORIE ALEXANDRE

  • Secrétaire confédérale au Secteur International, Europe et Migrations

 

 SERGE LEGAGNOA

  • Secrétaire confédéral au Secteur de la Protection Sociale Collective

 

 

 

 

 

 

 

 

smiley  Blog publication, 28 varil 2020, sad 16H44

 

 

 

 

Journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail      Priorité à la santé face au COVID-19
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19 décembre 2019 4 19 /12 /décembre /2019 17:54
© Juan Carlos Rojas/ZUMA Press/ZUMA/REA

© Juan Carlos Rojas/ZUMA Press/ZUMA/REA

COP 21 / COP 25 / CSI / OIT / Réchauffement climatique

 

INTERNATIONAL 

 

Climat

 

 Malgré la pression, la COP 25 a fait flop
 

 

  • La Cop 25 s’est terminée le 15 décembre, soit deux jours plus tard que prévu. Mais ces deux journées supplémentaires n’ont pas suffi aux représentants des États participants pour parvenir à un accord à la hauteur de l’urgence climatique, a regretté le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, « déçu » du résultat.

 

Pour le mouvement syndical international, la déception est double. Une fois de plus. Si les résultats ne sont pas satisfaisants du point de vue de l’urgence climatique, ils ne le sont pas davantage du point de vue de l’urgence sociale, ont constaté les 150 syndicalistes qui composaient la délégation de la Confédération syndicale internationale (CSI), dont Marjorie Alexandre, secrétaire confédérale FO et Eric Keller, secrétaire fédéral FO Métaux.

 

Cette 25e conférence des 196 pays signataires en 1992 de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUC) s’était pourtant ouverte le 2 décembre sous la pression d’un contexte alarmant. Mais les signaux n’ont visiblement pas été entendus.

 

 

 

  • Délocalisée pour cause de crise sociale

 

Premier signal : alors qu’il était initialement prévu qu’elle se déroule à Santiago, la capitale du Chili, la COP 25 a dû être délocalisée à Madrid, en raison du mouvement social qui secoue l’un des pays les plus riches, mais aussi les plus inégalitaires d’Amérique Latine.

 

L’échec de la Cop 25 ne peut que se lire à l’aune des multiples crises qui secouent le monde, et en premier lieu celle du multilatéralisme qui conduit à l’incapacité des États à s’accorder au niveau mondial pour lutter contre les inégalités, donner toute sa place au dialogue avec les interlocuteurs sociaux et garantir la paix et la démocratie, a réagi la confédération FO à l’issue des travaux.

 

Deuxième signal : la publication par l’ONU, à la veille de l’ouverture des travaux, d’un rapport selon lequel les États devraient revoir nettement à la hausse leurs ambitions en matière de diminution des émissions de gaz à effet de serre, pour pouvoir tenir les objectifs fixés par l’accord signé en 2015 à Paris, lors de la COP 21.

 

 

L’accord de 2015 prévoit que chaque pays présente – au plus tard – en 2020, soit d’ici la COP 26 qui se tiendra l’an prochain à Glasgow, un plan national détaillé pour réduire ses émissions de façon à maintenir le réchauffement climatique entre +1,5° et +2°. Désormais, même si les engagements déjà pris étaient respectés, ce qui est loin d’être le cas, la température mondiale pourrait augmenter de plus de 3°, indiquent les experts du GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).

 

  • Inégalités entre États aussi


Quelque 80 pays seulement se sont engagés à revoir leurs efforts à la hausse. Et ils ne sont responsables que de 10% des émissions mondiales. Ils étaient 68, représentant 8% des émissions, au début de la COP... L’avancée est donc infinitésimale.

Il avait d’ailleurs été acté dès la fin de la première semaine des travaux de cette COP 25, qu’aucun accord global visant à mettre la barre plus haut ne serait trouvé cette année.

 

 

Aucun des grands émetteurs (États-Unis, Brésil, Inde, Chine…) n’a accepté de revoir ses engagements à la hausse, sachant que la Chine et l’Inde insistent sur la responsabilité des pays les plus riches à investir davantage pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre.

 

De plus, les pays en développement devront batailler encore pour obtenir des aides financières à la hauteur pour les aider à faire face aux catastrophes naturelles dues aux changements climatiques.

 

  • Un financement degré zéro ou presque

 

En clair, la question du financement de la lutte contre le réchauffement climatique est très loin d’être réglée. La communauté internationale a raté une occasion importante de faire preuve d’une ambition plus grande en matière d’atténuation (c’est-à-dire de réduction des émissions de gaz à effet de serre), d’adaptation et de financement de la crise climatique, a d’ailleurs résumé le secrétaire général de l’ONU.

 

De fait, le fonds vert pour le climat, mécanisme visant à transférer des fonds aux pays les plus exposés aux conséquences du changement climatique n’a reçu que 20 milliards de dollars depuis sa mise en fonction en 2015, pour un objectif fixé à l’origine à 100 milliards de dollars par an d’ici 2020…

Le retrait des États-Unis de l’accord de Paris, officiellement confirmé le 4 novembre et qui sera effectif dans un an, ne va rien arranger…

 

La question de l’augmentation de la taxe carbone dont les pays les plus pollueurs doivent s’acquitter pour aider les plus vulnérables a été repoussée à la prochaine Cop.

 

  • Et les emplois ?

Quant à la question du devenir des emplois dans la cadre de la transition énergétique… Elle reste entière.

 

Pour FO, qui a toujours revendiqué de concilier l’urgence climatique et l’urgence sociale,  il est indispensable d’évaluer les impacts du changement climatique sur l’emploi afin d’anticiper et accompagner la reconversion des territoires concernés, et aussi des entreprises et des travailleurs dont les emplois sont appelés à disparaître., afin de garantir un emploi décent à chacun.

 

Menant campagne avec la CSI pour l’adoption d’une nouvelle norme de l’OIT (Organisation internationale du travail) qui garantisse une transition socialement juste, la confédération FO réaffirmait en septembre dernier : la protection de l’environnement ne doit pas se faire au détriment de l’emploi, de la protection sociale collective et de l’ensemble des droits (…).

 

Pour FO, au contraire de ceux qui s’inscrivent dans un pacte social sur l’urgence climatique, il n’est pas question de soumettre les revendications sociales à des considérations sociétales ou écologiques.

 

  • FO entend donc être consultée sur les engagements nationaux que présentera le gouvernement français à la COP 26 afin qu’un dialogue soit ouvert tant sur l’investissement nécessaire en recherche et développement dans le cadre d’une vision prospective de l’emploi que sur les mesures de protection sociale essentielles à une transition socialement juste dans les secteurs impactés, a-t-elle fait savoir à l’issue de cette COP 25.

 

 

Sourcing: EVELYNE SALAMERO, in fo.fr

  • Journaliste à L’inFO militante - Rubrique internationale
Climat      Malgré la pression, la COP 25 a fait flop

surpriseblush   Blog publication, 19 décembre 2019, 18H11

 

 

 

Climat      Malgré la pression, la COP 25 a fait flop
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9 décembre 2019 1 09 /12 /décembre /2019 15:57
Solidarité avec la grève nationale du 10 décembre 2019

Grève / Retraite / Manif / Solidarité / CSI

 

RÉFORME DES RETRAITES, FO DIT STOP ! ​​​​​​

 

Solidarité avec la grève nationale du 10 décembre 2019

 

  • La Confédération syndicale internationale (CSI), qui représente 200 millions de travailleurs au sein de 332 organisations affiliées nationales dans 163 pays et territoires, vous félicite pour le succès de la grève du 5 décembre 2019.
  • Il est évident que l’ampleur des mobilisations des salarié-e-s et des jeunes montre le mécontentement profond des citoyens en réponse au projet de réforme des retraites d’une génération à l’autre.

 

La CSI partage pleinement vos revendications pour le renforcement et l’amélioration du système actuel de retraite solidaire et intergénérationnel. En effet, c’est par l’amélioration de l’emploi, par la fin du chômage massif et de la précarité, par l’augmentation des salaires et l’égalité entre les femmes et les hommes, que la pérennité des retraites sera garantie.

Le système par points dit universel conduirait immanquablement à une baisse des pensions et à une augmentation de l’âge de la retraite.

 

Merci de nous informer de votre prochaine action en défense des droits des travailleur-euse-s en France, notamment de la journée massive de grève et de manifestations interprofessionnelles et intergénérationnelles du mardi 10 décembre, afin de continuer à dénoncer les réformes des retraites en l’absence d’une réponse adéquate du gouvernement.

 

A l’heure où les travailleur-euse-s du monde entier réclament un nouveau contrat social, une atteinte aux droits à la pension des citoyens français nous toucherait tous. Je voudrais, par la présente, au nom de la CSI, vous exprimer notre soutien et notre solidarité dans la lutte que vous engagez pour le respect des droits sociaux en France.

 

La CSI s’engage résolument à vous accompagner dans ce combat.

 

Sharan Burrow

  • Secrétaire générale de la CSI

 

yes   Blog publication, 09 décembre 2019, 16H10

 

 

 

Solidarité avec la grève nationale du 10 décembre 2019
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30 mai 2019 4 30 /05 /mai /2019 10:12
Yves Veyrier, Secrétaire général de FO     Discours au congrès de la CES

International / OIT / Cgt FO / CSI / CES

 

Confédération européenne des syndicats
Congrès - Vienne 2019
Intervention d’Yves Veyrier

 

Yves Veyrier, Secrétaire général de FO 

 

Discours au congrès de la CES

 

Chers camarades,

 

je vous apporte le salut fraternel en tant que Secrétaire Général de la confédération FO - Force Ouvrière - en France.

 

Lorsque face à la crise, les états, dans le cadre de l’UE, ont privilégié les mesures d’austérité, FO a prévenu : l’austérité est dangereuse - nous avions même dit suicidaire - non seulement sur le plan social et économique mais y compris vis à vis de la démocratie.

 

Nous y sommes mes camarades. La crise n’est plus seulement économique et sociale mais prend des formes politiques dangereuses pour la démocratie.

L’austérité n’est pas seulement budgétaire.

 

Sous la dictée de la troïka, elle a pris la forme de la mise en cause du droit de négociation collective, en donnant la priorité aux négociations d’entreprises pour affaiblir, les garanties négociées aux niveaux national et sectoriel.

 

Nous y sommes confrontés en France sur les rémunérations ou le temps de travail à la suite de la loi travail de 2016 et des ordonnances qui ont suivi en 2017.

 

Vous le savez, je suis engagé au nom de la Confédération Syndicale Internationale (CSI) et du groupe des travailleurs de l’OIT, au sein du comité de la liberté syndicale.

 

Nous avons réussi - malgré la crise provoquée par certains employeurs - à préserver et mettre à jour la compilation des décisions du Comité, qui constitue la doctrine de l’OIT sur la liberté syndicale.

L’une d’entre elles est majeure - elle a été prise à la suite de plaintes, notamment de la Confédération des syndicats (GSEE) en Grèce.

 

Le paragraphe 1408 de cette compilation réaffirme la position constante de l’OIT sur la liberté de négociation pour décider du niveau de la négociation, et met en garde contre les interventions des gouvernements « favorisant systématiquement la négociation décentralisée de dispositions dérogatoires dans un sens moins favorable que les dispositions de niveau supérieur ce qui constituent un affaiblissement de la liberté́ syndicale et de la négociation collective à l’encontre des principes des conventions nos 87 et 98. »

 

Nous devons préserver le droit de négociation sectoriel, il est un droit antidumping social.

 

Mes chers camarades, la négociation collective est liée à la liberté syndicale et à la capacité pour les syndicats de conduire leurs actions - y compris par le droit de grève quand il n’y a pas d’autre choix.

La démocratie exige aussi de défendre ce droit essentiel des travailleurs.

Nous ne pouvons pas non plus détourner nos actions de la responsabilité des multinationales et de leurs chaînes de valeurs.

A l’OIT, le protocole à la convention 29 sur le travail forcé invoque ce devoir de vigilance. Il faut militer dans vos pays pour sa ratification sans délai.

 

Et nous appelons en ce sens la CES à soutenir la mise en œuvre d’une réglementation sur le modèle de la loi française sur le devoir de vigilance qui responsabilise les entreprises donneuses d’ordre.

 

 

 

YVES VEYRIER

 

 

 

 

 

 

Documents joints
Discours_yves_veyrier_congres_ces_vienne_22_mai_2019-2.pdf
30 MAI PDF143.7 KO

 

 

Documents joints Discours_yves_veyrier_congres_ces_vienne_22_mai_2019-2.pdf 30 MAI PDF143.7 KO

Yves Veyrier, Secrétaire général de FO     Discours au congrès de la CES

 

 

Signez et diffusez la pétition pour la sauvegarde des emplois dans le groupe Casino

enlightened  Blog publication, 30 mai, 11H25

 

 

 

 

 

 

Yves Veyrier, Secrétaire général de FO     Discours au congrès de la CES
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