Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : FO Retail Distribution
  • : La Bataille continue - Le Blog-note InFOrmatif - Un blog d'actualités sociales, juridiques et syndicales pour communiquer, faire connaître et partager nos expériences au service des salariés de la grande distribution et du commerce. En général faire valoir les positions syndicales de FO sur l'actualité sociale, tant Française qu'Internationale.
  • Contact

Profil

  • @FO RD system publication
  • (BM) - Le Blog-note InFOrmatif
  • (BM) - Le Blog-note InFOrmatif

Que signifie communiquer ? demanda le petit prince.

"C'est une chose trop oubliée, ça signifie créer des liens, 
répondit le renard."    
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

​​​​​​FOCPFEXDIA,  la chaine TV FO CPF : lien: https://www.youtube.com/channel/UCfWq-DLz258o2BG9m7Z6HDg

 

Le Blog-master (BM) se réserve le droit de suspendre, d'interrompre, ou de rejeter  la diffusion de tout commentaire dont le contenu serait susceptible de porter atteinte aux tiers, d'enfreindre les lois et règlements en vigueur, ou serait de nature ou à caractère diffamatoire, et décline toute responsabilité quant aux opinions émises, qui n'engagent que leurs auteurs.

Archives

FO, Libre Independant Déterminé

 


Lanceur d'alerte

Un lanceur d'alerte est toute personne, groupe ou institution qui, voyant venir un danger, un risque ou un scandale, adresse un signal d'alarme et, ce faisant, enclenche un processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective

 Libres, Indépendants, Déterminés et Solidaires Ensemble. Communication, Information et Expression directe de l'actualité sociale, économique et syndicale de FO CPF et des salariés du commerce et de la Grande distribution.

Pages Du Blog-Note Informatif

 
Pour le  REPOS DOMINICAL pour tous en même temps

DROIT A L'IMAGE

Droit À L'image

Dans ce blog nous sommes amenés fréquemment à diffuser des images, des vidéos, des photos, voire des articles de presse, d'insérer des liens vers des documents,   ceci afin d'étoffer et d'éclairer nos posts, en leur donnant plus de contenus, pour une meilleure compréhension.

Nos sources sont toujours citées.

Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.

Néanmoins rien n'empêche les personnes ne désirant pas voir leur image diffusée de nous le signaler lors de la prise de vue.

Sans manifestation de leur part, nous considérerons leur consentement présumé.

Merci

BM

Militons ensemble - adhérez à FO

 
Adhésion à Force-Ouvrière, suivre le lien
http://www.force-ouvriere.fr/adherer

FO CONTACT REGION

Eric   Centre    06 85 15 20 73
François   Nord    07 50 49 09 04

Fréderic   DSN FO CPF   06 87 21 72 94
Sofiane   Est & RA    06 61 50 67 96
Faiçal   Sud    06 22 57 50 64
Nadine   Paris Centre   06 36 97 10 40
Nathalie  UD FO 62   06 30 60 74 70

 udfo62@force-ouvriere.fr

Reda Sud 06 29 38 30 49

Philippe RS au chsct  06 28 75 01 36

Sandrine Sec CE Paris   06 98 43 61 93
Bruno, coordinateur des IRP FO CPF
06 73 59 98 28
Cyril DSC FO CPF   06 25 56 84 86

 

15 avril 2018 7 15 /04 /avril /2018 13:45
Homme augmenté, consommateur diminué ?

CONSOMMATION


Homme augmenté, consommateur diminué ?

 


L’Institut national de la consommation vient de publier un livre blanc intitulé « Demain, un consommateur augmenté ou diminué ? ». Un guide qui appréhende la consommation à venir sous quatre thématiques : alimentation, santé, évolution sociétale et économique, et intelligence artificielle.

 

15
C’est le nombre d’associations de consommateurs nationales agréées représentées à l’INC.

 

Célébrant ses cinquante ans en cette année 2018, l’INC, l’Institut national de la consommation, fait face au futur.

Le livre blanc [1] qu’il vient de publier le 15 mars dernier, « Demain, un consommateur augmenté ou diminué ? », envisage le futur consommateur en pleine ère numérique, équipé de puces et nanotechnologies diverses.

 

Bombardé d’informations, connecté en permanence, ce consommateur sera-t-il augmenté ou diminué ?

Sa consommation sera-t-elle augmentée et/ou orientée ?

Les applications technoscientifiques à venir seront-elles vraiment utilisées pour son bien ?

 

Pour l’INC, ce ne sont pas seulement les produits, les services et les modes de consommation qu’il faut reconsidérer, mais l’image, le statut et le rôle du consommateur, toujours plus informé, connecté et exigeant, mais souvent perdu dans un univers soumis à une telle accélération que tous les acteurs ont peine à suivre.

 

Face aux algorithmes prétendument rationnels

 


D’où ce livre blanc issu de travaux ayant réuni aussi bien des universitaires et des sociologues que des dirigeants de startups et des représentants du monde politique, autour de questions telles que:

 

« Quels seront les impacts de l’intelligence artificielle dans notre vie quotidienne ?

Quels enjeux se dessinent autour de l’alimentation et de la santé ?

Comment vivrons-nous la ville de demain ?

Comment le statut du consommateur va-t-il évoluer ? ».

 

 

Sur 31 pages, l’INC livre là une véritable étude prospective qui inclut des conseils aux consommateurs, pas toujours conscients de toute l’ampleur prise par le développement informatique de la société de consommation.

 

En effet, comment s’opposer au choix prétendument rationnel d’algorithmes inconnus qui décident de l’attribution d’un crédit, émettent un diagnostic médical ?

 

Et quid de la protection des données, surtout personnelles, quand les législations internationales divergent et en profitent pour s’immiscer dans les failles ?.

 

Sourcing:    MICHEL POURCELOT, in FO Hebdo

 

Zoom :

 

 

L’INC, un établissement public;

L’INC, où est représentée l’Association Force Ouvrière des consommateurs, l’AFOC, est un établissement public au service des consommateurs et de leurs associations, créé en 1966.

Aujourd’hui, sa mission passe par le journal 60 millions de consommateurs, l’émission télé ConsoMag et les sites Internet inc-conso.fr, 60millions-mag.com et jeconsommeresponsable.fr.


Notes
[1] Consultable sur le site www.inc-conso.fr et disponible sur demande en version papier.

Homme augmenté, consommateur diminué ?
Partager cet article
Repost0
1 avril 2018 7 01 /04 /avril /2018 12:27
Le « crédit conso » n’est pas mort, prudence !  

INFO / CONSO


Le « crédit conso » n’est pas mort, prudence !
 

 

Les Français se tournent de nouveau vers le « crédit conso », mais une récente enquête de la DGCCRF, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, incite à quelque prudence.

 

325
Pour 325 établissements visités, il y a eu 36 avertissements, 9 injonctions et 3 procès-verbaux pénaux.

 

La reprise est là est-il claironné depuis des mois, même si elle patine un peu. Le pouvoir d’achat étant, quant à lui, resté en berne, les Français se sont montrés un peu plus nombreux à se tourner vers le crédit à la consommation, qui est en franche augmentation.

 

 

Pourtant, en 2016 son taux de détention chez les ménages français était, avec 46,4 %, le plus bas jamais enregistré par l’Observatoire des crédits aux ménages. Constante depuis 2008, la baisse s’est donc interrompue en 2017, ce taux retrouvant presque le niveau de 2012. D’où la recrudescence d’offres. Le 22 mars, un opérateur téléphonique lançait même un crédit conso 100 % mobile.

 

Or, une récente enquête de la DGCCRF a montré que la réglementation n’était pas toujours scrupuleusement appliquée.

 

Fidélité, confusion et numérique.


Elle a été menée auprès de 325 établissements, aussi bien des établissements de crédit que des intermédiaires commercialisant des crédits à la consommation directement sur le lieu de vente.

Les manques concernent principalement le défaut d’information du consommateur à la souscription de contrats de crédit à la consommation et le manque de lisibilité de certaines offres de crédit, notamment lorsqu’elles accompagnent des programmes de fidélité.

 

Ainsi ont été relevés des argumentaires commerciaux ambigus, voire trompeurs, et la non-intégration du coût de l’adhésion au programme de fidélité dans le TAEG, le taux annuel effectif global, qui intègre le coût des intérêts bancaires de base plus tous les autres frais associés à ce crédit.

 

 

A aussi été pointé un défaut d’information pré-contractuelle, qui tend à s’accroître avec la pratique de la souscription sur tablettes numériques, l’emprunteur ne pouvant voir certaines clauses de l’offre de prêt ou les informations relatives au prêt étant insuffisantes par rapport à ce que prévoit la réglementation.

 

Enfin, attention à la case « option assurance », précochée alors qu’elle est facultative. 

 

Sourcing:   MICHEL POURCELOT, in FO Hebdo

 

Zoom : Il court le délai...


L’enquête de la DGCCRF a relevé des pratiques consistant à transmettre tardivement des documents précontractuels ou contractuels après la signature de l’offre de prêt par l’emprunteur. Alors que le délai de rétractation, de quatorze jours calendaires, débute le jour de la signature de l’offre de contrat de crédit.

 

Partager cet article
Repost0
31 mars 2018 6 31 /03 /mars /2018 15:38
Plateformes numériques : quelles obligations d’information ?

InFO CONSO


Plateformes numériques

 Quelles obligations d’information ?
 

 

Les plateformes numériques exerçant notamment une activité de moteur de recherche, de place de marché (marketplaces), de comparateur de prix ou de réseau social, doivent informer les consommateurs sur les modalités de référencement, de classement et de déréférencement des offres en ligne.

 

Les plateformes numériques ont déjà pour obligation de fournir au consommateur une information loyale et transparente sur :

 

les conditions générales d’utilisation du service d’intermédiation ;

 

les critères de référencement, de classement et de déréférencement des offres en ligne (biens ou services par exemple) ;

 

la qualité de l’annonceur et les droits et obligations des parties en matière civile et fiscale, lorsque des consommateurs sont mis en relation avec des professionnels ou des non-professionnels.


Depuis le 1er janvier 2018, elles doivent indiquer les critères de référencement, de classement et de déréférencement dans une rubrique spécifique, facilement accessible sur toutes les pages du site.

Pour chaque résultat de classement, elles doivent renseigner s’il a été influencé ou non par le versement d’une rémunération par l’offreur référencé.

 

L’obligation d’information varie selon que la plateforme numérique :

 


  • contribue à la mise en relation entre consommateurs et professionnels (places de marché, par exemple) ;
  • ou classe/référence des offres mises en ligne par des tiers (moteurs de recherche).


Les plateformes chargées de mettre en relation des consommateurs avec des professionnels doivent notamment indiquer la qualité du vendeur (professionnel ou non), le montant des frais de mise en relation facturés par la plateforme, l’existence ou non d’un droit de rétraction, l’existence ou non d’une garantie légale de conformité ou encore les modalités de règlement des litiges.

 

 

Communication AFOC

 

 

À savoir :


A partir du 1er janvier 2019, les plateformes numériques les plus visitées (plus de 5 millions de connexions mensuelles de visiteurs uniques) devront également élaborer et diffuser des bonnes pratiques.


Textes de référence :

 

Décret n° 2017-1434 du 29 septembre 2017 relatif aux obligations d’information des opérateurs de plateformes numériques.
 

Plateformes numériques : quelles obligations d’information ?
Partager cet article
Repost0
4 février 2018 7 04 /02 /février /2018 12:42

InFO conso, s'invite au cinéma

 

Sugarland : l’addition est sucrée


Un film documentaire, sorti dans les salles le 24 janvier, dénonce la consommation excessive de sucre due à sa large utilisation par l’industrie agroalimentaire, sans que le consommateur en soit vraiment conscient.

 

Après le sel, le sucre !

 

On sait qu’il est présent dans bien des produits, dont bien sûr les sodas, mais on ignore à quel point il est presque partout.

 

On le retrouve même dans des produits salés, par exemple dans des saucissons. Dans Sugarland, le réalisateur et acteur, un Australien, s’est changé en cobaye et a filmé les effets sur sa santé d’une consommation excessive de sucre.

 

Pour mettre en évidence tous ces sucres cachés, Damon Gameau a suivi pendant deux mois le régime de l’Australien moyen, tout en évitant cependant les aliments réputés sucrés.

 

Il a ainsi absorbé l’équivalent de 40 cuillerées de sucre par jour.

 

Bilan :

  • Plus de huit kilos en plus, une augmentation du tour de taille de 10 cm et un début de diabète.

 

Addict
35kg
C’est la consommation de sucre par an et par personne en un an en France, contre un seul kilo il y a un siècle.

 

En effet, l’industrie agroalimentaire utilise de plus en plus de sucre, notamment dans les plats préparés. Bien souvent ces sucres sont ajoutés pour compenser une diminution du gras.

 

Le sucre a l’avantage d’améliorer le goût et la texture et de contribuer à la conservation, mais il a également des propriétés addictives.

 

Ainsi, inconsciemment, le consommateur reviendra vers un produit possédant du sucre ajouté. Il s’agit généralement de sirop de glucose-fructose, aussi appelé isoglucose ou high fructose corn syrup (HFCS), qui, bon marché, tend à remplacer, depuis plusieurs années, le saccharose issu de la betterave ou de la canne à sucre.

 

La production et l’utilisation massives de HFCS découlent d’une décision politique prise par les États-Unis dans les années 1970 afin de se libérer des importations de sucre de canne et de betterave, expliquait en 2015 la biologiste Anne-Françoise Burnol, directrice de recherche au CNRS.

 

Parallèlement à l’augmentation de la consommation de sucre, on a assisté à l’émergence d’une épidémie de maladies métaboliques, comprenant l’obésité, le diabète de type 2 et la stéatose hépatique non alcoolique (NASH en anglais), qui peut dériver vers une cirrhose, même pour des personnes qui ne consomment pas d’alcool, et un cancer du foie. La note peut alors être salée.

 

Sourcing:  MICHEL POURCELOT, in FO Hebdo

 

Pour aller plus loin : Sucre libre et OMS


« Sucre libre », tout comme le glucose, le fructose diminue la satiété et donne ainsi envie de manger plus.

En 2015, l’OMS a baissé à 25 grammes par jour sa recommandation de consommation journalière de sucre, en raison de la hausse de l’absorption de sucres cachés, qui peuvent constituer la moitié de la consommation de sucre.

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2018 2 09 /01 /janvier /2018 16:25
Consommation : des voeux de prospérité contrariés…  

INFO CONSO / AFOC

 

Consommation

 Des voeux de prospérité contrariés…
 

 

Alors que près de 12 millions de personnes éprouvent des difficultés à payer leurs factures de gaz et d’électricité, les tarifs réglementés du gaz naturel pour les particuliers vont augmenter de près de 7% en 2018.

 

Dans le même temps, le prix de l’électricité devrait également augmenter pour les particuliers, conséquence d’une augmentation prévue de la Contribution au Service Public de l’Electricité. une taxe pesant sur le prix de l’énergie.

 

Côté essence, une hausse de la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits pétroliers) de 7,6 centimes par litre de gazole et de 3,84 centimes par litre d’essence est prévue.

 

 

Le forfait hospitalier sera également en hausse en 2018 et l’augmentation du prix des péages autoroutiers est prévue entre 1 et 2 %.

 

Face à ces dépenses contraintes, la question centrale est bien celle du pouvoir d’achat des consommateurs en baisse depuis 2008.

 

Pour 2018 ce sera 4,5 milliards d’euros en moins dans la poche des Françaises et des Français selon la note de conjoncture de l’Insee du 19/12/2017 (-0,3 % de pouvoir d’achat).

 

Dans le même temps, le PIB par habitant ou l’indice de développement humain de la France ne cessent de décroitre.

 

 

Pour l’AFOC, il ne revient pas aux consommateurs de payer les avatars des choix de politique de financement de l’économie productive ou les errements gestionnaires de l’État.

 

Aussi, une fois de plus, l’AFOC demande aux pouvoirs publics de ne pas puiser indéfiniment dans le porte-monnaie des consommateurs, déjà fortement touchés par le chômage, la précarité, la hausse du coût de la vie, la hausse des cotisations des mutuelles et des assurances... et rappelle que sans consommation, pas de croissance.

 

Le produit intérieur brut (PIB) est l'un des agrégats majeurs des comptes nationaux.

En tant qu'indicateur économique principal de mesure de la production économique réalisée à l’intérieur d'un pays donné, le PIB vise à quantifier — pour un pays et une année donnés — la valeur totale de la « production de richesse » effectuée par les agents économiques résidant à l'intérieur de ce territoire (ménages, entreprises, administrations publiques).

Le PIB reflète donc l'activité économique interne d'un pays et la variation du PIB d'une période à l'autre est censée mesurer son taux de croissance économique.

​​​​​​

Communication AFOC

 

Voir en ligne : AFOC - Site internet

www.afoc.net

 

 

Consommation : des voeux de prospérité contrariés…  
Consommation : des voeux de prospérité contrariés…  
Consommation : des voeux de prospérité contrariés…  
Consommation : des voeux de prospérité contrariés…  
Partager cet article
Repost0
13 décembre 2017 3 13 /12 /décembre /2017 11:10
Acheter en ligne n’est pas sans risques, CQFS

 

InFO Conso / Achats en ligne


 

Acheter en ligne

 

Acheter en ligne n’est pas sans risques. 

 

Rappel des conseils pour ne pas se faire avoir


 

 

Quelques règles sont à suivre pour éviter les déconvenues :

 

Vérifier l’identité du vendeur et sa e-réputation.

Les sites marchands basés en France ou en Europe offrent davantage de garanties que ceux installés hors Union européenne.

Des avis en ligne peuvent exister, il faut s’y référer.

 


Au moment de passer la commande, quelques précautions s’imposent pour éviter les mauvaises surprises : contrôler les caractéristiques du produit, pas simplement la photo en ligne, comparer les prix et les services sur d’autres sites, notamment les éventuels essais ou tests qui existeraient.

 


Pour le paiement : avant de donner le numéro de sa carte, il faut s’assurer que la page est bien sécurisée (l’adresse « http://... » se transforme en « https://... », avec un « s » pour « secure ».

 

Parfois, un cadenas fermé apparaît dans la fenêtre du navigateur. L’usage de cartes de paiement virtuelles ou de cartes prépayées permet d’éviter les pièges.

Il est important de vérifier que le montant débité sur son compte correspond bien à la commande effectuée. Sinon, contacter sa banque pour obtenir des explications.

 


La livraison de la commande doit arriver à la date convenue, au plus tard 30 jours après l’enregistrement de votre commande.

 

En l’absence de livraison, après mise en demeure par courrier recommandé, le contrat est annulé et les sommes versées doivent être remboursées au plus tard dans un délai de 14 jours.

 

 


 

Il faut vérifier l’état de la marchandise lors de la livraison, en présence du livreur si possible. En cas de non-conformité ou de défectuosité, vous pouvez refuser le produit à la livraison ou le retourner au vendeur.

 


Une fois la livraison effectuée, vous disposez de 14 jours pour informer le vendeur de votre décision de vous rétracter, sans vous justifier et sans avoir à payer de pénalités (art. L.221-18 du code de la consommation).

 

Vous disposez ensuite de 14 jours francs pour renvoyer votre achat, à vos frais.

 


En cas de litige, contactez le service client.

S’il persiste, rapprochez- vous de l’AFOC ou saisissez le médiateur correspondant (www.economie.gouv.fr/mediation-conso). 

 

 


 

Voir en ligne : AFOC - Site internet

 

www.afoc.net

 

 

Partager cet article
Repost0
5 décembre 2017 2 05 /12 /décembre /2017 14:00
Glyphosate épanda

Glyphosate épanda

GLYPHOSATE / SOCIETE

 

COMMUNIQUÉ DE L’AFOC


Recul sur le glyphosate :
A quand une politique environnementale et sanitaire pour une alimentation saine, sûre, durable ?

 

Par leur vote du 27 novembre dernier, une majorité d’États membres de l’UE ont décidé de prolonger une nouvelle fois l’autorisation d’utilisation du glyphosate comme désherbant jusqu’en 2022.

 

Après les nombreuses controverses scientifiques et les mobilisations des citoyens et consommateurs pour interdire le glyphosate en Europe en raison de ses effets cancérogènes probables pour l’homme, l’AFOC regrette que la majorité des États membres de l’Union européenne (UE) n’aient pas décidé d’appliquer immédiatement le principe de précaution, laissant soupçonner une faiblesse coupable des gouvernements envers les lobbies industriels de la chimie.

 

L’attention générale portée à ce dossier depuis 2015 a par ailleurs mis en lumière les méthodes de contrôle scientifique des agences nationales et internationales à l’occasion des autorisations de mise sur le marché des produits phytosanitaires notamment ou issus des industries chimique et pharmaceutique, tels que le Lévothyrox ou le Sulfoxaflor.

 

 

L’AFOC s’est exprimée récemment en appelant les ministres concernés à agir sur la question de l’efficacité des agences nationales de contrôle, lesquelles doivent se voir garantie, en matière de sécurité sanitaire, une expertise incontestable assortie des budgets et des moyens suffisants pour remplir pleinement leurs missions.

 

 

Au nom de la santé des consommateurs, l’AFOC réclame également que les agences européennes aient les moyens de mener des études totalement indépendantes des industriels qui demandent les autorisations de mise sur le marché.

 

Concernant le glyphosate, l’AFOC réclame une véritable politique européenne environnementale et sanitaire garantissant aux consommateurs une alimentation saine, sure et durable.
Elle demande au gouvernement français de mettre rapidement et effectivement en actes son interdiction en France et agisse fermement envers les autres pays européens pour obtenir son interdiction dans l’ensemble de l’UE d’ici 2022.

 

 

L’AFOC met en garde contre le choix de solutions alternatives dont l’innocuité pour la santé humaine ne ferait pas l’objet d’un consensus scientifique mondial.

 

 

 

 

Voir en ligne : AFOC - Site internet

 

www.afoc.net

Recul sur le glyphosate, pour une politique environnementale et sanitaire pour une alimentation saine, sûre, durable
Recul sur le glyphosate, pour une politique environnementale et sanitaire pour une alimentation saine, sûre, durable
Partager cet article
Repost0
4 décembre 2017 1 04 /12 /décembre /2017 11:55
Les coffrets-cadeaux... attention méfiance ! (CQFS)

CONSOMMATION

Les coffrets-cadeaux... attention méfiance !
Les offres dites de coffrets-cadeaux connaissent depuis quelques années un succès commercial. Leur développement récent et les plaintes ou réclamations qui peuvent en résulter justifient une mise au point à toutes fins utiles.
Les réclamations des consommateurs portent généralement sur la disponibilité des prestations proposées, sur les difficultés de réservation mais aussi sur la qualité desdites prestations (prestations au rabais, mauvais accueil, suppléments exigés…).

 

La clientèle qui paie sa prestation plein tarif est ainsi souvent privilégiée face à celle qui réserve via un coffret-cadeau et qui bénéficie alors d’une prestation de moindre qualité afin de compenser la marge captée par la société émettrice.
Par ailleurs, de nombreux exemples ont démontré les difficultés qu’ont les consommateurs à proroger la durée de vie de leur coffret, notamment par un apparent manque de souplesse des entreprises concernées.

 

 

Sur un plan juridique, les éditeurs de coffrets-cadeaux incluant des prestations touristiques (voyages, séjours, services pouvant être fournis à l’occasion de voyages ou de séjours, comme la délivrance de titres de transports et la réservation de chambres d’hôtels, de services liés à l’accueil touristique…) sont soumis aux dispositions du code du tourisme, qui sont protectrices pour le consommateur.
Ils sont donc notamment tenus de s’immatriculer au registre des agents de voyages et autres opérateurs de la vente de voyages et de séjours, ce qui implique le respect d’un certain nombre d’obligations (garantie financière, assurance en responsabilité civile destinée à garantir les conséquences pécuniaires de la responsabilité civile professionnelle, conditions d’aptitude professionnelle).
Les éditeurs de coffrets-cadeaux entrant dans le champ du code du tourisme sont également responsables de plein droit de la bonne exécution des obligations résultant du contrat.

 

En matière de contrôle, c’est la DGCCRF (direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) qui exerce une vigilance régulière dans le secteur des coffrets-cadeaux afin de contrôler le respect par les opérateurs de l’ensemble des dispositions du code de commerce et du code de la consommation.

 

Ces services départementaux, au sein des préfectures (DDPP) peuvent donc être saisis, en cas de problème, par les consommateurs-acheteurs desdits coffrets.

 

Publication AFOC consommateurs

 

Voir en ligne : AFOC - Site internet

www. afoc.net

 

 

 

 

 

Les coffrets-cadeaux... attention méfiance ! (CQFS)
Les coffrets-cadeaux... attention méfiance ! (CQFS)
Les coffrets-cadeaux... attention méfiance ! (CQFS)
Les coffrets-cadeaux... attention méfiance ! (CQFS)
Les coffrets-cadeaux... attention méfiance ! (CQFS)
Partager cet article
Repost0
30 novembre 2017 4 30 /11 /novembre /2017 09:39
Sécurité sanitaire des produits pharmaceutiques et alimentaires : l’efficacité des agences en question...

INFO CONSO / SECURITE SANITAIRE

 

COMMUNIQUÉ DE L’AFOC

Sécurité sanitaire des produits pharmaceutiques et alimentaires : l’efficacité des agences en question...

Alors que le tribunal administratif de Nice vient de suspendre en référé l’autorisation de mise sur le marché de deux insecticides au nom du principe de précaution et que l’affaire du « Levothyrox » a pointé au cas d’espèce les limites du dispositif de la sécurité du médicament, l’AFOC s’interroge sérieusement sur le bon fonctionnement des agences sanitaires dans ces dossiers : l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).

 

S’agissant des insecticides fabriqués par l’entreprise Dow Agrosciences SAS, sous le nom de Sulfoxaflor, ces produits, dont la nocivité pour les abeilles semble avérée, avaient pourtant reçu l’autorisation de mise sur le marché français de l’Anses, le 27 septembre… dernier, au motif qu’en l’état actuel des connaissances scientifiques l’un et l’autre ne présentaient aucun danger pour la santé publique ou l’environnement !

 

Des arguments rejetés par le tribunal administratif qui renverse l’ordre des facteurs en pointant qu’il n’y a pas d’absence de certitude quant à l’innocuité de ces deux produits phytopharmaceutiques.

 

Le tribunal s’appuie en particulier sur les conclusions de l’Anses qui avait admis pourtant le caractère toxique du sulfoxaflor pour les abeilles compte tenu de sa fonction insecticide…

 

Si la décision en référé du tribunal administratif de Nice fera sans doute l’objet d’un appel, l’appréhension actuelle du principe de précaution montre un réel problème dans la gestion des homologations européennes et des autorisations nationales des matières actives de pesticides accordées en l’absence de données, ou en présence de données partielles, pourtant essentielles sur la sécurité des produits.

 

Quant au Levothyrox et son changement de formule, on peut s’interroger là aussi sur l’efficacité des procédures d’alertes de l’ANSM, l’analyse comparée montrant notamment que d’autres pays dans lesquels il était commercialisé avaient signalé les effets secondaires défavorables de la nouvelle formule.

 

 

 

L’AFOC en appelle aux ministres concernés pour agir sur la question de l’efficacité des agences pointées qui, en matière de sécurité sanitaire, doivent avoir une expertise incontestable assortie des budgets et des moyens en conséquence pour remplir pleinement leurs missions .

 

Voir en ligne : AFOC - Site internet

[AFOC]
www.afoc.net/

 

Sécurité sanitaire des produits pharmaceutiques et alimentaires : l’efficacité des agences en question...
Sécurité sanitaire des produits pharmaceutiques et alimentaires : l’efficacité des agences en question...
Sécurité sanitaire des produits pharmaceutiques et alimentaires : l’efficacité des agences en question...
Partager cet article
Repost0
19 novembre 2017 7 19 /11 /novembre /2017 10:02
L’État réduit fortement ses subventions aux associations de consommateurs

CONSOMMATION


L’État réduit fortement ses subventions aux associations de consommateurs

On liquide à tout va sous le drapeau de l’austérité et de l’insupportable dette :

 

Les associations de défense de consommateurs sont clairement visées avec un projet de 40 % de subventions publiques en moins.

 

L’État veut se désengager franchement, façon de parler, de la défense des consommateurs : le projet de loi de finances 2018 envisage de réduire de 40 % les subventions allouées à l’Institut national de la consommation (INC) ainsi qu’aux quinze associations de consommateurs agréées, dont l’AFOC, l’Association Force Ouvrière Consommateurs.
L’exécutif, devant le tollé qu’il prévoyait sans doute, lâchera quelques miettes, mais la diminution des moyens sera considérable, c’est-à-dire bien plus importante que les baisses de crédit régulières pratiquées ces dernières années.
Une méthode également employée pour asphyxier le magazine 60 Millions de consommateurs, édité sans publicité depuis 1970 par l’INC, et ensuite arguer d’une audience en baisse pour lui porter le coup fatal.
Une privatisation rampante avait même été tentée vers 2010-2011, pour « l’adosser au privé ».
Il faut dire que le magazine, dont les enquêtes ont maintes fois révélé des affaires où des vies humaines étaient en jeu, dérange souvent de gros intérêts.

 

Service public

 

700 000
C’est le nombre de visiteurs mensuels du site Internet de 60 Millions de consommateurs en 2015, selon l’INC.

Bref, le pot de fer n’apprécie guère.
Le fameux laissez faire, laissez passer, le monde va de lui-même du Vieux Monde est plus que jamais d’actualité !
La nouveauté, c’est cette volonté d’en finir rapidement avec tout ce qui fait obstacle au libéralisme, dénonce l’AFOC, pour qui le gouvernement veut mettre à genoux les associations de représentation et de défense des consommateurs*.
Rien ne doit entraver la logique libérale, peu importe l’intérêt général et la cohésion sociale.
L’association FO consommateurs rappelle d’ailleurs que c’est une mission de service au public, que prennent aujourd’hui en charge les associations de défense des consommateurs et leurs milliers de bénévoles [...] sur l’ensemble du territoire.
Qui pour remplacer ces associations ?
Les entreprises, partie prenante aux litiges ?
Les juges de proximité que l’on a supprimés ? Les tribunaux, déjà saturés ?
La DGCCRF, dont les effectifs ne cessent de fondre ?
Les avocats et à quel tarif ?
Les collectivités dont les budgets sont à l’os et où les associations de consommateurs pallient déjà les fermetures de services publics ?

 

La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes est une administration française relevant du ministère de l'Économie

 

 

Sourcing:    MICHEL POURCELOT, in FO Hebdo

 

Pour aller plus loin : Une défense multimédia


La défense des droits des consommateurs passe par leur information.

Pour ce faire, l’INC, créé en 1966, propose non seulement le magazine 60 Millions de consommateurs et son site Web www.60millions-mag.com, mais aussi le portail de la consommation www.conso.net, et le site thématique dédié au commerce équitable www.jeconsommeequitable.fr.

 

 

 

www.afoc.net 

* Note

 

NDR / BM

 

Il en est de même de la politique d'affaiblissement des organisations syndicales, des IRP, et de la destruction des droits sociaux protecteurs des salariés.

Les politiques libérales et d'austérité doivent pouvoir s'appliquer sans aucune contrainte, ni entrave.

BM

L’État réduit fortement ses subventions aux associations de consommateurs
L’État réduit fortement ses subventions aux associations de consommateurs
L’État réduit fortement ses subventions aux associations de consommateurs
Partager cet article
Repost0