7 décembre 2012
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Europe 1 matin - Bruce Toussaint 06/12/2012 |
ITW Jean-Claude Mailly
ARCELORMITTAL: «LE GOUVERNEMENT N'A PAS TENU SA PROMESSE»
Jean-Marc Ayrault a
reçu mercredi 5 décembre 2012 au soir l'intersyndicale du site sidérurgique de Florange pour s'expliquer sur l'accord passé vendredi avec ArcelorMittal. Réaction de Jean-Claude Mailly, secrétaire
général de FO, sur Europe 1 le jeudi 6 décembre 2012.
Visionner la retransmission vidéo sur notre Blog, (post: document precédent)
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Négociations
6 décembre 2012
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FO EXIGE UN ACCORD DE SURVIE POUR LA CONVENTION 51
Article paru dans FO Hebdo n°3054
Depuis le 2 décembre, la convention collective de 1951 est caduque.
Les 230 000 salariés des établissements médico-sociaux non lucratifs qui en dépendaient se retrouvent sous le régime du Code du travail. Pour qu’ils
continuent à être couverts et pour la poursuite des négociations, FO demande en urgence à la ministre de la Santé, Marisol Touraine, la signature d’un accord de survie prolongeant le texte d’au
moins quelques semaines.
Le 29 novembre, pour ne pas relâcher la pression, trois syndicats, dont FO, ont appelé à la grève les salariés du secteur. Une délégation a été reçue au
ministère alors que quatre cents personnes manifestaient sous les fenêtres.
Les employeurs, représentés par la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne (FEHAP), avaient dénoncé la convention il y a quinze
mois pour la réviser.
À l’issue de négociations a minima, ils ont proposé un avenant réduisant les droits des salariés du secteur.
«Au final, la Fédération des établissements hospitaliers parvient à obtenir les gains financiers qu’elle souhaitait opérer sur la masse salariale», dénonce
FO dans un communiqué.
DROIT D’OPPOSITION
Malgré tout, cet avenant de substitution a été signé par la CFDT et la CFE-CGC. Cette signature pourrait être invalidée si trois syndicats s’y opposent. FO
est pour l’instant la seule organisation à avoir fait valoir son droit d’opposition. La CGT et la CFTC ont jusqu’au 7 décembre pour se prononcer.
«Tant qu’il peut être dénoncé, l’avenant des employeurs ne s’applique pas, explique Pascal Corbex, Secrétaire général de la Fédération FO Action sociale. En
attendant, les salariés n’ont plus aucune protection; le ministère est coupable de cette situation. Au lieu d’anticiper il a laissé cette situation s’installer, comme s’il cautionnait les
employeurs.»
CgtFO.fr
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Négociations
3 décembre 2012
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19:34
Le Medef exige la flexibilité tout de suite, pour la sécurisation des salariés, on verra plus tard !
La séance de négociation sur la sécurisation de l'emploi de vendredi a été l'occasion pour le patronat de remettre un coup de pression sur
la flexibilité et de donner en contrepartie, des miettes pour la sécurisation de l'emploi des salariés.
Pour la CGT et FO, la discussion fait du sur place.
Pour la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC, il a du mieux.
Dans tous les cas, on est loin d'un accord.
« A ce stade de la négociation, il est extrêmement important qu'on ait des éléments sur la flexibilité », lance Patrick Bernasconi,
négociateur pour le Medef.
Dans la séance de discussion sur la sécurisation de l'emploi qui s'est tenue vendredi, le patronat a mis un coup de pression pour exiger un maximum de
flexibilité, allant jusqu'à dire qu'il n'y aurait pas d'accord "si la balance n'était pas équilibrée".
Pour Agnès le Bot, de la CGT, « le Medef a essayé de rendre le texte présentable, mais
il est structurellement mauvais », estimant que la négociation était dans « une impasse ».
Constat partagé par Stéphane Lardy de FO, « Ce texte est arrogant, nous n'avons pas de droits nouveaux pour les salariés, mais des faux droits
conditionnées à des négociations de branches ou à des groupes de travail ».
Le Medef a assuré qu'il y avait des avancées du côté de la sécurisation des salariés, présentant les droits rechargeables pour les chômeurs, la
création d'un compte individuel de formation ou un droit à la complémentaire santé universelle.
Mais pour la CGT, FO et la CFDT, il y a trop de renvois à des négociations ultérieures ou des accords de branches.
Alors que le patronat souhaite que la flexibilité, comme les accords de compétitivité emploi, soit immédiate.
La question des droits rechargeables pour les chômeurs pose problème. Le Medef envisage en contrepartie de baisser l'indemnisation des demandeurs
d'emploi, pour ne pas plus creuser le déficit de l'Unedic (organisme de gestion paritaire de l'assurance chômage).
Ce qu'ont rejeté la plupart des syndicats.
Sur la taxation des CDD, le patronat a opposé un feu rouge aux syndicats. Pour Patrick Pierron de la CFDT. « On imagine pas un accord si on ne
limite pas les contrats courts, alors que les statistiques explosent ». Pour Joseph Thouvenel de la CFTC, c'est aussi « un point central de cette négociation ». Par ailleurs, la
CFDT et la CFTC, plus nuancées, ont salué le texte patronal comme un vrai document de travail.
Quant à Marie-Françoise Leflon, de la CFE-CGC, elle a jugé qu'on est « assez loin de l'équilibre » entre flexibilité et sécurisation des
salariés dans ce texte, mais que c'est « un bonne base pour travailler ».
Prochaine séance de négociation jeudi prochain.
Nulle doute , on en reparlera, La Bataille continue !!
BM
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3 décembre 2012
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RETRAITE COMPLÉMENTAIRE: PREMIÈRE SÉANCE DE NÉGOCIATION
Article paru dans FO Hebdo n°3053
Syndicats et patronat, gérant paritairement les régimes complémentaires de retraite AGIRC (cadres du secteur privé) et ARRCO (tous les salariés du privé),
ont ouvert des négociations le 22 novembre.
Excédentaires en 2009, ils cumulent depuis des déficits, résultat d’une situation économique dans laquelle un taux élevé de chômage réduit les recettes des
régimes.
Au regard des projections, les réserves seraient épuisées dès 2017 pour l’AGIRC, en 2020 pour l’ARRCO et les interlocuteurs sociaux se sont donné jusqu’au
mois d’avril, période de revalorisation des pensions, pour trouver des solutions.
Les services techniques ont fourni des pistes pour agir, soit sur les prestations, soit sur les cotisations, soit sur l’âge de départ et la durée
d’activité.
Le président de l’ARRCO, Philippe Pihet, également Secrétaire confédéral de FO, privilégie le deuxième scénario, les recettes, et exclut le
troisième.
Le MEDEF oublie les recettes
Dans cette négociation, FO n’est pas contre une contribution exceptionnelle, à condition qu’elle soit répartie entre les retraités, les salariés et les
entreprises: «C’est notre mandat», confiait Philippe Pihet en sortant de la réunion. Le document soumis par le MEDEF a donc été retoqué, puisqu’il propose un gel des pensions pendant trois ans ou
une sous-indexation de ces pensions (inflation moins un point) pendant cinq ans, et ne propose rien sur le volet recettes.
«Nous sommes une organisation syndicale créatrice de ces régimes, rappelle Philippe Pihet. Nous traversons une période difficile, mais nous ferons en sorte
de pérenniser la retraite complémentaire de l’ensemble des salariés du privé.»
Il table sur «une prise de conscience de l’ensemble des partenaires
Prochain rendez-vous le 14 décembre.
CgtFO.fr
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26 novembre 2012
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NÉGOCIATION SUR L’EMPLOI: LE PATRONAT SORT DU BOIS
Article paru dans FO Hebdo n°3052
Catalogue de toutes les flexibilités, le document patronal censé sécuriser l’emploi est l’œuvre d’un «juriste fou» aux yeux de FO.
Cantonnée depuis son coup d’envoi, le 4 octobre, à des tours de table, chapitre par chapitre, la négociation interprofessionnelle sur la sécurisation de
l’emploi est entrée dans le vif du sujet le 15 novembre. Vif, le mot est juste car le document patronal présenté à cette occasion aux organisations syndicales a fait des
étincelles.
Ultra sécurisant pour les entreprises et ultra flexible pour les salariés, ce texte de neuf pages est une attaque en règle contre le Code du travail:
développement des contrats d’export ou des contrats de chantier en CDI... à durée incertaine; accès direct des entreprises au CDI intermittent, qui alterne les périodes travaillées et non
travaillées; réduction à un an des délais de prescription aux prud’hommes; limitation du montant des condamnations prononcées par le juge pour licenciement sans motif réel et sérieux... le texte
ratisse large.
Au chapitre des procédures de licenciements, le patronat ressert le même texte qui avait déclenché une bronca syndicale lors de la séance du 25
octobre (lire: Obsession: Négociation interprofessionnelle sur l'emploi: le MEDEF abat ses cartes).
DES CLAUSES DE RETOUR À BONNE FORTUNE
Autre point de friction, les «accords de maintien dans l’emploi», feu les accords de compétitivité, mort-nés sous l’ère de la présidence Sarkozy. Ils
réapparaissent sous un autre vocable mais le fond est le même: il s’agit, en période de difficultés conjoncturelles, d’arbitrer entre la durée du travail, les salaires et
l’emploi.
Ce type d’accords existent déjà, mais le patronat aimerait les multiplier. En guise de garanties pour les salariés, ces accords devraient être
majoritaires et limités à deux ans au maximum. Pour toute contrepartie, le texte propose la mise en place de «clauses de retour à bonne fortune», sans plus de détails.
En revanche, les conséquences du refus d’un salarié de se voir appliquer l’accord sont très claires: cela vaudrait rupture du contrat de travail sans
obéir aux critères du licenciement économique, comme c’est aujourd’hui le cas.
Catégorique lorsqu’il s’agit de sécuriser son camp, le patronat avance avec une prudence de chat dès qu’il s’agit de sécuriser les salariés. Outre que
les propositions sont rares, elles sont systématiquement conditionnées ou renvoyées à plus tard.
Ainsi, une généralisation de la couverture complémentaire prévoyance pour tous les salariés est-elle renvoyée à un groupe de travail paritaire; la
situation des temps partiels est renvoyée à la négociation de branche; l’examen de la pertinence de certains recours au CDD est conditionné à un assouplissement substantiel des règles de
licenciement.
«Ce doit être un juriste fou qui a rédigé ce texte incompréhensible, déconnecté des réalités économiques», a déclaré Stéphane Lardy, qui conduit la
négociation au nom de FO. D’ici à la prochaine séance, repoussée au 30 novembre, le patronat a promis de réécrire son texte.
À raison de 30 milliards d’euros d’exonérations, de 75 milliards de niches fiscales et des 20 milliards de crédit d’impôt récemment octroyés par le
gouvernement, le patronat a, selon FO, de «grosses marges de manœuvre» pour engager une vraie sécurisation de l’emploi.
CgtFO.fr
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16 novembre 2012
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NÉGOCIATION INTERPROFESSIONNELLE SUR L’EMPLOI: LE MEDEF ABAT SES CARTES
Article paru dans FO Hebdo n°3051
En
matière de licenciement, le patronat a proposé aux syndicats, dans un document remis sur table, de tout réduire, de la place du juge au périmètre du motif économique.
Licencier plus vite et plus facilement, cette revendication patronale revient toujours, tel un mantra. Ainsi, le 25 octobre, la quatrième séance de la
négociation interprofessionnelle sur la «sécurisation de l’emploi» a été consacrée aux licenciements économiques. L’occasion pour le patronat (MEDEF, CGPME, UPA) d’abattre ses cartes, dans un
document de cinq pages remis sur table aux syndicats.
Sous couvert d’«améliorer» les procédures, les employeurs tentent de redéfinir et de simplifier les licenciements collectifs. Pour Stéphane Lardy (FO),
les propositions du MEDEF visent «à tout réduire: la place du juge, les délais de licenciement, le périmètre du motif économique et des plans sociaux».
Non seulement le motif économique ne concernerait plus que les licenciements résultant d’une suppression d’emploi, mais le patronat propose aussi que les
difficultés économiques s’apprécient dans les centres de profit, ou «business unit», isolant ainsi une activité dans la chaîne de production.
Actuellement, au contraire, la cause économique d’un licenciement s’apprécie dans l’entreprise, voire le groupe. En cas de PSE, le patronat propose
d’«encadrer les délais» et de mettre en place une procédure d’homologation administrative qui «validerait non seulement la régularité de la procédure, mais également l’existence et la mise en
œuvre du PSE».
Derrière tout cela, il y a des salariés.
Patrick Bernasconi (MEDEF) imagine «ne pas traiter de la même façon les salariés qui ont retrouvé un emploi et les autres», en précisant: «Ne resteraient
dans les PSE que ceux qui n’ont pas trouvé d’emploi».
Les autres? Ceux qui n’accepteraient pas une «offre raisonnable d’emploi», telle que définie par le Code du travail ou un accord collectif d’entreprise,
pourraient perdre une partie de leurs droits à l’assurance chômage, et ceux qui accepteraient ne pourraient plus contester leur licenciement.
Des positions aux antipodes de celles de FO, qui revendique un contrôle accru des PSE par l’administration, ainsi qu’une capacité d’intervention des
institutions représentatives du personnel en cas de procédures collectives.
«UN PATRONAT À CÔTÉ DE LA PLAQUE» (FO)
Un patronat «à côté de la plaque», commente FO, au regard de la situation du marché du travail et des très mauvais chiffres du chômage. Même s’il augmente en
raison de la situation économique, le nombre de PSE reste faible et les contentieux sont rares.
En réalité, les entrées à Pôle emploi pour licenciements économiques ne représentent pas grand-chose par rapport aux entrées pour fin de contrats, CDD ou
intérim.
La prochaine séance de négociation est prévue le 15 novembre autour d’un projet d’accord remis, là encore sur table, par le patronat aux syndicats. Pour
l’instant, les positions de l’un et des autres restent très tranchées.
CgtFO.fr
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16 novembre 2012
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ÉCHEC DES NÉGOCIATIONS AVEC BRICORAMA
Article paru dans FO Hebdo n°3051
FO est prête à renoncer aux astreintes –37 millions d’euros– en échange d’avancées sociales pérennes pour les salariés de l’enseigne de bricolage. La direction refuse et s’entête à ouvrir
illégalement le dimanche.
CgtFO.fr
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7 novembre 2012
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AFFAIRE BRICORAMA: LA NUIT PORTE CONSEIL
Aujourd’hui, une délégation de la direction de Bricorama s’est rendue à la Fédération des Employés et Cadres FO suite à son
invitation.
Les échanges ont été constructifs et nous ont amenés à prendre rendez-vous demain à 11h à la FEC FO en raison des enjeux de cette
négociation.
FO a rappelé ses revendications, en particulier le 13ème mois pour l’ensemble des salariés et la pérennité des mesures qui se dégageront de cette
négociation.
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3 novembre 2012
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FGTA-FO Communiqué du mardi 30 octobre 2012
QUAND LES POUVOIRS PUBLICS S’EMPARENT DE LA CRISE PORCINE
La FGTA-FO exprime sa satisfaction suite à la réunion qui s’est tenue ce matin au ministère de l’Agriculture, de
l’Agroalimentaire et de la Forêt. En réunissant les acteurs économiques de la filière et en n’omettant pas de convier les organisations syndicales de salariés, les ministres en charge du dossier
ont fait preuve de responsabilité tant sur le plan économique que du point de vue social.
Quatre groupes de travail vont être constitués et reçus dans les semaines à venir:
1/ «Restructurations du secteur abattage/découpe»;
2/ «Transformation des produits porcins»;
3/ «Stratégie sur une valeur ajoutée»;
4/ «Produire mieux».
LA FGTA-FO a rappelé à cette occasion que cette crise conjoncturelle mais aussi structurelle est dû d’une part à l’usage abusif
que fait l’Allemagne de la directive européenne «détachement» et d’autre part à l’absence de concertation de l’ensemble de la filière sur son économie globale et sur le partage de la valeur
ajoutée à l’époque où celle-ci existait.
mardi 30 octobre 2012
http://www.fgtafo.fr
AGRICULTURE, ALIMENTATION ET TABACS (FGTA)
FÉDÉRATION GÉNÉRALE DES TRAVAILLEURS DE L'AGRICULTURE, DE L'ALIMENTATION, DES TABACS ET DES SERVICES ANNEXES FORCE
OUVRIÈRE
Secrétaire général:
Rafaël NEDZYNSKI
Adresse:
7, passage Tenaille
75680 PARIS Cedex 14
Agriculture:
Jean-Pierre MABILLON
jp.mabillon@fgta-fo.org
Tabacs et allumettes:
Ronald SCHOULLER
Ronald.schouller@fgta-fo.org
Téléphone:
01 40 52 85 10
Fax:
01 40 52 85 12
E-mail:
fgtafo@fgta-fo.org
Site internet:
http://www.fgtafo.fr/
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2 novembre 2012
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LES SALARIÉS EN GRÈVE POUR L’INTÉRESSEMENT CHEZ IKEA
Article paru dans FO Hebdo n°3049
Après l’affaire d’espionnage du printemps dernier et la mobilisation historique du magasin de Paris-Nord contre la dégradation des conditions de travail,
c’est maintenant la question de l’intéressement qui agite Ikea France.
Les salariés de plusieurs des 29 magasins français ont débrayé ou se sont mis en grève les deux derniers week-ends d’octobre, à l’appel de FO et de deux autres syndicats. Ils dénoncent la baisse de leur prime d’intéressement d’environ 1.000 euros, alors que le chiffre d’affaires du géant du
meuble suédois a augmenté de 3,2% en 2011.
Ils ne toucheront cette année qu’un tiers d’un salaire mensuel.
«L’accord d’intéressement n’a pas été respecté puisque la commission de suivi qui aurait dû se réunir n’a jamais été
formée», dénonce le délégué FO de Montpellier dans un communiqué.
Le syndicat avait refusé de signer cet accord fin 2011, estimant que les critères étaient irréalistes. Et depuis aucun suivi n’a été fait par les
syndicats signataires. FO demande à la direction le versement d’une prime exceptionnelle pour atteindre au moins la somme de 1.000 euros par salarié.
20 nouveaux magasins d’ici à 2020
Les employés se plaignent d’un sous-effectif chronique et de contrats de plus en plus précaires, mais la direction affirme «n’avoir aucune marge financière pour
les salariés».
Alors que la fréquentation d’Ikea atteint 252 millions de visiteurs par an, elle vient de dévoiler un plan de développement des plus ambitieux. L’objectif à
terme est qu’aucun Français ne se trouve à plus de 60 km d’un magasin Ikea.
Mais «les salariés refusent de financer la vingtaine d’ouvertures de magasins programmée jusqu’en 2020», dénonce FO dans un communiqué.
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