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Dans ce blog nous sommes amenés fréquemment à diffuser des images, des vidéos, des photos, voire des articles de presse, d'insérer des liens vers des documents, ceci afin d'étoffer et d'éclairer nos posts, en leur donnant plus de contenus, pour une meilleure compréhension.
Nos sources sont toujours citées.
Nous le faisons en respectant le plus possible le droit à l'image et le droit de propriété intellectuel suivant les lois en vigueur.
Néanmoins rien n'empêche les personnes ne désirant pas voir leur image diffusée de nous le signaler lors de la prise de vue.
Sans manifestation de leur part, nous considérerons leur consentement présumé.
Merci
BM
udfo62@force-ouvriere.fr
Philippe RS au chsct 06 28 75 01 36
8 décembre 2009 à 17h04
Source Fecfocommerce.fr
Augmenter les salaires, embaucher, c'est possible, la preuve:
Le nombre des conseillers des cabinets ministériels a crû de 17,2% entre 2008 et 2009 et la
rémunération moyenne des personnels contractuels de ces cabinets a augmenté de 12,8%. Cette information a été rélévée jeudi dernier par le député René Dosière.
Alors que le gouvernement met en parallèle une politique drastique de réduction du nombre de fonctionnaires dans l'administration (éducation, santé ...) ces augmentations semblent démesurées et
imcompréhensibles pour les salariés. Qu'elle confiance peut-on accorder à un gouvernement qui ne cesse d'augmenter son train de vie et dont la devise est devenue "Faites ce que je dis, ne faites
pas ce que je fais".
S'agissant des traitements, la rémunération moyenne mensuelle moyenne des membres contractuels (hors fonctionaiires) de ces cabinets à augmenter de 12,8% sur la même période pour s'établir à
7157€ brut. Les salariés se souviendront également du refus du gouvernement pour ne avoir voulu donner un coup de pouce à l'augmentation du Smic en juilet
dernier.
Source:
fo.carrefourvenette.fr
LA JUSTICE CONDAMNE UN SYSTÈME DE DÉNONCIATION AU TRAVAIL
Chez Benoist Girard, fabricant de prothèses à Hérouville-Saint-Clair (Calvados), on ne pourra plus dénoncer son collègue grâce au système électronique mis en place par la direction : un juge
des référés du tribunal de grande instance de Caen a suspendu vendredi ce « dispositif d'alerte professionnelle », conformément à la demande des salariés. Selon
LeFigaro.fr, la direction de cette filiale du
groupe américain Stryker devrait faire appel.
La justice a jugé que le logiciel de dénonciation en vigueur depuis dix mois causait un « trouble manifestement illicite ». En France, l'alerte professionnelle est autorisée, mais très strictement surveillée par la Commission nationale informatique et libertés (Cnil).
Celle-ci fait signer aux entreprises désireuses de s'équiper d'un tel système une autorisation qui permet uniquement les alertes « visant à l'établissement de procédures de contrôle interne dans les domaines financier, comptable, bancaire et de la lutte contre la corruption ».
Chez Sanofi, on peut dénoncer un collègue pour « abus de stupéfiants »
En juin, Eco89 avait révélé que le laboratoire pharmaceutique
Sanofi-Pasteur utilise un système allant bien
au-delà de ces critères, grâce à une déclinaison du site
américain EthicsPoint (la pratique est très
utilisée au États-Unis, car largement autorisée). Ses employés peuvent dénoncer des collègues pour « abus de stupéfiants », « conduite inappropriée », ou « violation de
la politique interne ».
Pour prouver que le système était opérationnel, Eco89 avait dénoncé -calomnieusement- le PDG du laboratoire pour consommation de cocaïne, de marijuana et d'alcool dans son bureau. EthicsPoint n'a donné aucune suite à cette dénonciation anonyme volontairement farfelue.
A l'époque, le laboratoire nous avait affirmé que ce système n'existait en langue française que pour permettre aux résidents américains de « faire une déclaration dans une autre langue que l'anglais ». Le fait qu'on puisse utiliser le procédé depuis la France étant « une faille dans le système », selon le labo.
Le secrétaire général
de la Cnil, Yann Padova, nous affirmait que Sanofi avait « pris des risques » vis-à-vis de son organisme. Quatre mois plus tard, la « faille dans le système » est toujours
béante.
Source rue89.fr
Mardi 3 novembre 2009
Protestation contre un licenciement chez Lidl
Préparatrice de commande et cariste, Gwen, 31 ans, s'est vue reprocher "un manque de productivité", a-t-elle expliqué devant l'entrepôt où elle travaille depuis son ouverture il y a deux ans et
qui compte 170 salariés.
Il a été reproché à Gwenn de ne pas avoir réalisé 11 des 250 colis qu'elle doit préparer par heure, d'après le syndicaliste qui l'a représentée pendant son entretien préalable. Ces colis sont
destinés à près de 80 magasins Lidl de l'ouest de la France. "Je ne me tourne pas les pouces, et je ne suis pas la plus molle de mon entreprise", proteste-t-elle.
"J'ai trois enfants, une maison à payer et je vais être licenciée huit jours avant le treizième mois", raconte Gwen, qui dit se battre "pour ses enfants" et fait état de "démissions" parce que
"les gens craquent" sous les pressions.
"C'est la première fois qu'un licenciement de ce type arrive en France", assure le délégué syndical central.
La salarié licenciée, qui effectue actuellement son préavis, demande sa réintégration.
"S'ils licencient les gens qui travaillent comme elle il ne restera que six ou sept personnes dans l'entrepôt!", explique le délégué qui l'a assisté. Gwen craint de "servir d'exemple". "Ils me
licencient pour faire peur aux autres", a-t-elle ajouté car "tout le monde a peur".
Des propos relayés par les délégués syndicaux, dont certains sont venus de Lille, de Montpellier, de Strasbourg, ou encore de Rouen et évoquent l'"omerta" régnant dans la chaîne allemande de
distribution à bas prix.
Ni sur place, ni au téléphone, il n'a été possible d'entrer en contact avec la direction de la plate-forme.
lesechos.fr
source AFP
Une décision judiciaire peut-elle relancer le débat sur le travail dominical ? Trois salariés d'un magasin Ed à Oyonnax (Ain), licenciés pour avoir refusé de travailler le dimanche, ont assigné leur employeur devant les prud'hommes. Etelvina Fernandez, Elise Kongo et Rath Luang, travaillaient depuis plusieurs années lorsque cet employeur a décidé d'ouvrir le dimanche matin, à partir de mars 2009, comme la loi le permet pour les commerces alimentaires. Devant leur refus de se plier au nouveau planning, ils ont été licenciés en juin pour «non-respect des horaires et insubordination». Les trois salariés ont saisi le Conseil de prud'hommes de Créteil, qui les a convoqués le 25 janvier 2010 pour une audience de conciliation avec la direction d'Ed. Ils invoquent leur «droit à une vie familiale normale».
«Il n'y a pas de jurisprudence de la Cour de cassation sur le
travail du dimanche. Mais on va s'inspirer du raisonnement adopté pour le travail de nuit, pour lequel la Cour réclame le consentement du salarié», explique leur avocate, Me Inès Plantureux.
Interrogé par lefigaro.fr, Etienne Delattre, avocat spécialiste en droit du travail, rappelle pourtant que le code du Travail et la convention collective applicables à la grande distribution
donnent le droit à l'employeur de demander au personnel de travailler le dimanche jusqu'à 13 heures. Ainsi, dans le cas de la présente affaire, seule une mention dans le contrat de travail
d'une clause excluant ce changement aurait permis aux salariés de refuser. Le Conseil des prud'hommes va étudier si l'argument du « droit à une vie de famille normale » peut-être retenu. Si
c'est le cas, ce sera une décision inédite.
Source: Fecfocommerce.fr
Informations de dernière minute :
le GIE de Belle Epine aurait voté l'ouverture le dimanche à partir du
10 janvier 2010.
Il semblerait que le débat fut houleux et difficile, mais la majorité
en poids de vote a fait que le centre commercial s'est positionné pour l'ouverture, Carrefour se serait abstenu de voter et dans la discussion il aurait indiqué qu'il était contre
l'ouverture.
B-M, Source Fecfocommerce.fr
Une manifestation de plus, cela va servir à quoi?
La crise se poursuit malgré ce que l'on raconte. Elle sera finie le jour où les investissements et les créations d'emplois reprendront. Nous en sommes malheureusement encore loin.
L'heure n'est pas à la polémique mais il faut se poser les vraies questions. Force Ouvrière n'est pas une armée avec un général et des troupes qui répondent aux ordres. Pour nous, chaque syndicat
doit être libre. Certes les divisions ne sont pas payantes mais dans le même temps, les journées de manifestations à répétition non plus, ce n'est pas payant. Si l'objectif est de sortir les
drapeaux, ce n'est pas la façon dont FO voit les choses. Cela ne nous empêche pas d'être sur le terrain auprès des salariés et d'avoir des initiatives. Le syndicat Force Ouvrière de Carrefour
Venette ne sera donc pas présent lors de la manifestation du 7 octobre et n'appellera pas à la manifestation mais par ces actions au quotidien, FO reste et reste solidaire avec tous les salariés,
précaires, chômeurs, retraités qui souffrent et subissent les foudres d'un libéralisme immoral, qui ont amené le monde dans cette crise économique et sociale.
B-M
Pour FO-Ed
Source : fo-carrefour-venette